Histoires De Pieds - Le Cours De Droit

Nous étions en cours de droit depuis plus d'une heure, et malgré les jolies fesses de la prof, la classe était somnolente.
Comme à son habitude, elle alla s'assoir sur une table libre du premier rang, et tira une chaise vers elle afin d'y poser ses pieds.
Ainsi positionnée, elle continua son cours.
Elle était jolie, et possédait un corps de trentenaire alors qu'elle en avait dix de plus.
Avec ses cuisses maintenant à l'horizontale, elle laissait apparaître plus de chair qu'il n'était permis dans une salle de classe.
J'étais assis en face d'elle.
Je risquais souvent un œil, mais pas sous sa jupe. Je regardais ses pieds. Quand ses chaussures le permettait, je pouvais admirer de jolis pieds bien entretenus, tantôt vernis, tantôt natures, des fois gainés de collants chair, mais bien souvent nus.
C'était le cas aujourd'hui, sans doute grâce à la chaleur.
Elle s'amusait à contracter ses orteils, faisant glisser ses pieds moites à l'intérieur de ses talons aiguilles.
J'en oubliais le cours.
Un de ses pieds délaissa la chaise, et alla se balancer dans le vide.
Elle continuait de contracter ses orteils dans son escarpin humide, quand un petit bruit de peau glissant sur du cuir me parvint. Mon jean me serrait de plus en plus, mais un large t-shirt couvrait les preuves de mon excitation.
Ses pieds ainsi contractés laissaient voir des plantes très archées, et délicieusement plissées.
Mon cœur bondit quand la cloche sonna.
"On se revoit la semaine prochaine, bon week end à tous." lanca t'elle.
Puis d'ajouter en me regardant: "Tu restes deux minutes s'il te plaît ?"
Aïe. J'avais dû manquer de discrétion.
Une fois le dernier sorti, elle alla fermer la porte, et se rendit à son bureau.
Elle s'assit, et, sans me quitter des yeux, passa une main sous son bureau.
D'un geste délicat qu'elle fit durer une éternité, elle ôta un escarpin, qu'elle posa sur le bureau.


"Sens-le."
Je ne savais pas quoi répondre, et restait immobile.
"Tu préfères que ce soit moi qui le fasse ?" dit-elle en portant son escarpin jusque son nez pour en apprécier l'odeur.
Je m'approchais alors, et elle me le tendit.
A l'intérieur, la semelle marron était toute usée.
J'y plongeais le nez.
Il n'y avait plus d'odeur de cuir. Ca sentait juste les pieds, une odeur forte et agressive, rene par la chaleur qui y régnait.
"Tu veux mon pied ? Il sent plus fort encore." Elle me disait tout ça d'une voix calme, presque douce.
Elle tendit sa jambe au-dessus du bureau, et je pris son pied moite qu'elle archait au maximum. Je le collais sur mon visage, et inspirais ses odeurs le plus fort possible. Je la senti insister sur ma bouche, et l'entrouvrant à peine, elle y glissa ses orteils. Je les suçais lentement, puis me mis à lui lécher la plante, rendue salée par la sueur.
"Tu ne devrais pas mater mes pieds pendant le cours.
Viens plutôt t'en occuper pendant la pause.
D'ailleurs reviens en find'après-midi pour l'autre pied. Je pense qu'avec quelques heures de plus, j'aurai de quoi te faire éjaculer sans même te toucher."

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