La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1425)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château (suite de l'épisode précédent N°1424)
-
Cest bien continue, comme tu le fais, que cest bon Ma chienne, de se branler pour le Maitre, que cest bon pour toi, je le sais...
Sur Ses mots, je mactive encore plus sur mon clitoris de salope de chienne en manque et une fois au bord de la jouissance, je supplie :
- Mai
Maître
je
. je
Vous en supplie
. permettez à Votre grosse chienne en chaleur de
de jouir
en bonne salope
. que je suis pour Vous Maî
Maître
, dis-je en faisant des efforts incroyables pour ne pas fauter avant une éventuelle autorisation à lorgasme
- Attends encore Ma chienne, Mon objet de plaisir, Ma chose. Accélère davantage et encore plus vite
Prends ton autre main et doigte-toi ta chatte de pute en manque, cest une Exigence, Ma chienne salope
Je continue alors à me branler vite et fort, ma chatte de salope et je commence à me doigter ma cavité vaginale. Je me sentais partir au bord de la jouissance, quand je neus plus la force, ny physique, ni mentale de me retenir et Maitre ordonna enfin la libération tant attendue :
- Maintenant, Ma chienne, jouit tout ce que tu peux jouir ! Je lexige... Lâche et laisse exploser tes orgasmes de grosse chienne en chaleur
en manque !
Je ne me fis pas attendre et je me laissai aller à lextrême jouissance. Ce fut une explosion orgasmique extraordinaire, étant parcourue par de longs spasmes électriques, comme si jétais possédée mentalement et physiquement par une entité démoniaque. Mais la réalité, plus délicieuse, était que jétais possédée par la Volonté du Maitre... Je me mis à hurler mes orgasmes qui senchaînaient, faisant aboyer les chiens de lenclos
Il me fallut de longues minutes pour me remettre les pieds sur terre. Puis le Maitre rajouta
- Maintenant, il est temps daller dormir Ma chienne, alors roule-toi en boule, et dort vite.
Je mexécutai et malgré lodeur animale des chiens autour de moi, je réussis à mendormir assez rapidement grâce à la fatigue me gagnant et aux orgasmes libérateurs mayant littéralement détendue et épuisée
Au petit matin, ce fut le garde-chasse du Maitre qui me réveilla pour venir me laver
- Pas question que je te rende à Monsieur le Marquis de la sorte. Tu pues la chienne en chaleur
Jacques ouvrit Le robinet de leau et déplia un long tuyau à pression, puis il commença à passer le jet deau froide sur tout mon corps, ce qui me fit trembler, mettant mes mains sur mes seins pour me protéger de cette fraiche température. Il me jeta un savon pour me laver comme il se doit, ce que je fis rapidement noubliant aucune partie de mon corps sou les yeux gourmands du garde-chasse. Une fois finie, il me tendit une serviette de bain pour que je messuie, ce que je fis. Et ce qui visiblement excitait cet homme, qui ne résista pas à venir me prendre la chatte par derrière, en exigeant de me maintenir debout et bien penchée en avant, mes jambes largement écartées, mon cul bien relevé en me cambrant les reins, mes mains en appuie contre les barreaux de lenclos des chiens. Je sentis de suite et sans préliminaires, sa grosse bite senfoncer dans ma chatte et me labourer le sexe à grands coups de boutoir, alors quil me maintenait fermement par les hanches. Jétais excitée et il trouva en ma chatte un fourreau chaud et humide quand ses va-et-vient saccéléraient sans modération tel un mâle en rut. Cette copulation bestiale dura peu de temps car il jouit sans tarder tout au fond de ma chatte en demande de sexe. Sa rapide jouissance me rappela quil était très certainement un éjaculateur précoce
Ensuite, il exigea que le lui nettoie sa queue redevenue molle
Un quart dheure après, Walter arriva pour venir me chercher :
- Bonjour mon cher Jacques. Alors, comment cest passé la fin de journée et la nuit avec la chienne de Monsieur le Marquis ?
- Bonjour Walter, très bien, je nai rien à dire, elle est très docile et obéissante.
- Bien, je le ferai... Quant à toi, Cataleya, on y va, jai des choses à faire sans plus attendre. Monsieur le Marquis tattend dans Son bureau, alors dépêchons, dépêchons !
Walter me fit monter et menferma dans le coffre, le temps darriver au Château. Quand je fus arrivée, je sortis du coffre et je me mis à quatre pattes pour rejoindre le bureau de Maitre qui mattendait. Une fois devant la porte. Je frappe et entre après avoir entendu un Entrer:
- Ah, Ma chienne, nous avons du travail viens, entre donc. Mais dabord, passe vite sous mon bureau soulager mon érection
Tu tes bien comportée avec mon garde-chasse Je ten félicite mais Jen attendais pas moins de toi Ma belle
Aller maintenant met-toi au travail, Ma noble Verge tattend, Ma salope
Je me déplaçais donc en quadrupédie avec une évolution féline jusquau noble bureau de Maitre installé confortablement. Et je défis Sa verge déjà bien dure de Son pantalon puis lenfonça dans ma bouche. Je me mis donc à travailler sur Sa queue, le suçant avec délectation et dévotion telle une bonne chienne soumise et obéissante que je suis pour Lui. Il prit possession de ma bouche durant de longues minutes quand il déchargea un flot de sperme en déversant Sa jouissance, dans un râle jouissif, jusquau fond de ma gorge. Et je me mis à Le nettoyer bien comme il faut, léchant son gland et la hampe. Ensuite, je ne pus résister à lui lécher les couilles un long moment, à les gober, une par une, à repasser ma langue sur chacune delles. Le Noble me laissait faire, ce qui me fit comprendre quil appréciait mon initiative
Alors il avança ses fesses du fond de son fauteuil afin quelles soient presque dans le vide, juste posées sur le rebord de lassise et donc il était bien calé sur ses pieds au sol et sur ses deux jambes écartées. Je compris de suite, ce quil attendait de moi.
- Va à ton bureau et tu tempaleras ta chatte de pute sur la chaise gode le plus profondément possible, salope, et met-toi au travail ainsi empalée. Je vérifierais de temps à autre lavancer de ton travail.
- Bien Maitre.
Je fis ce que le Maitre exigea et toutes les 30 minutes, Il venait me poser des questions sur les dossiers et me donnait 20 coups de Sa cravache sur mon cul en me faisant me pencher en avant debout devant le bureau et le buste sur celui-ci, pour chaque mauvaise réponse. Je commis 5 erreurs en 2h de travail et je reçus donc 100 coups au total. Mes fesses rougies me faisaient mal et me cuisaient quand, à chaque fois, il fallait que je me rassoie et que je mempale de nouveau dans ma chatte à chaque fois trempée par cette situation forte de soumission. Quand nous eûmes terminé, Maitre mamena dans Sa salle de bain pour que je Lui serve de WC. Il se vida la vessie dans ma bouche de chienne et me fit Le nettoyer une fois terminé, ainsi que lécher à quatre pattes le bac de la douche où un peu de Son urine était restée, tout en posant Son pied sur mon épaule afin de mimposer davoir mon visage, mon nez et ma langue au plus près du sol de la douche. Cette scène était particulièrement humiliante mais ô combien excitante car je sentais ainsi toute Sa puissante Domination sexprimer, par Son pied me faisant me plier à ras le sol et de mon côté, toute ma puissante soumission se ressentait au plus profond de mon corps et de mon esprit
Jen mouillais abondamment
Plus tard, pour le coup du midi, Monsieur le Marquis prit Son repas dans la salle à manger, moi à Ses pieds mangeant dans ma gamelle à même le sol la bouillie nourrissante, toujours aussi peu ragoutante mais au combien rassasiante et nutritive, faite par Marie la perverse cuisinière.
(A suivre
)
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