Le Jour Où J Ai Craqué....
L époque la plus trouble de ma vie est sans nul doute celle ou j ai rencontré Annie ;en ce temps là avec mon ex nous fréquentions les soirées échangistes ;au cours d une de ces soirée j ai fait la connaissance d une femme, blonde aux grands yeux bleus très belle ,lorsque je lui ai fait l amour j ai tout de suite sus que je venais de découvrir autre chose, et pourtant j en avait baisé des centaines, mais là, je me suis sentit engloutis entièrement en elle, je me fondais littéralement dans son corps :je venais de rencontrer Annie
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Je m étais pourtant juré que çà ne m arriverait jamais ; mais je suis vite devenus son amant ; nous étions voisins de quelques kilomètres ; jusqu au jour ou évidement tout c est découvert
..sa fille âgée de dix neuf ans lui disait lorsqu elle rentrait le soir »alors çà va mieux ? tu viens de te faire baiser ? »
Annie a prit un logement en ville, je l ai rejointe peu de temps après
Nous avons vécus une belle lune de miel ; mais il y avait souvent des tentions par rapport a nos ex, aussi avons-nous décidés de mettre de la distance entre eux et nous ; de Poitier nous sommes descendus du coté de Carcassonne, nous avions trouvé un petit boulot et un logement sympas au réez de chaussée d un petit immeuble une petite terrasse et un coin de pelouse abrités des regards, un vrai petit nid d amour !
Qui le serait été si la fille Martine, la fille d Annie n était pas arrivée en pleurs la veille du déménagement
« Maman, je veux partir avec vous » « mais bien sur ma chérie, il n y a pas de soucis, n est ce pas Georges ? » « Euuuh ; mais non bien sur »tu parle d un coup de massue !! finit l intimité, finit les fois ou je venais derrière Annie lorsqu elle est a l évier ou devant le fourneau, que je lui relève la jupe profitant quelle ai les mains occupées pour lui baisser la culotte et la prendre a la hussarde ; et tout ces petits moments de complicités ; mais bon que faire ! bien obligé de dire oui !!je me suis juré de lui mener la vie dure a cette petite capricieuse !
Elle est gentille a par çà ; très blonde elle aussi les yeux de sa mère, pas de petit copain, je sais aussi quelle n est plus vierge que depuis quelques mois car elle s est confiée a sa maman
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Par contre étant naturistes j ai prévenus que je ne changeais rien a mes habitudes, à savoir me balader a poil chez moi quand bon me semble ; personne n y a trouvé a redire !et de toute façon la gamine m a souvent vu a la plage, donc pas de soucis majeurs !
Les premiers jours se sont bien passés, mais au fil du temps je sentais la jeune fille devenir jalouse ; des petites attentions que me prodiguait sa mère ou bien des miennes je ne sais pas ;mais ce qui est sur, c est qu elle me détaillait lorsque je me baladais a poil, je sentait son regard sur ma queue, ou bien lorsque je prenait ma douche ,la porte ouverte comme a mon habitude ,elle marquait un temps d arrêt en passant devant la porte, bref, je voyais en face de moi , non plus une jeune fille , mais une femme en manque de sexe
elle aussi se montrais a moi ,les fois ou elle se savait seule avec moi, prenait des poses ou je pouvait voir ses seins ou sa petite culotte, je ne baissait pas les yeux, si elle croyait me faire perdre mes moyens
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Jusqu'au soir ou je dis a Annie « chérie, je descends au garage faire la vidange de la voiture » « d accord chéri a tout a l heure ! »
Martine « je peux venir avec toi Georges ?je veux acheter une voiture et j aimerais que tu m explique quelques trucs »
« Si tu veux » ce sont des garages en sous sol qui ne possèdent pas de lumières, a part celles du corridor central et je me suis confectionné une petite baladeuse sur la batterie pour éclairer mon box
Je commence donc mon travail, mais je la sens nerveuse, elle est souvent collée a moi, et a un moment penchée sous le capot, et me dit « il fait chaud ici on étouffe » c est vrai quil fait très chaud ; et là je la vois déboutonner son corsage, sortis de sa jupe, dans la pénombre je devine ses seins sous le soutien gorge léger
Elle recule ses fesses, et là je craque !je pose ma main derrière une cuisse, et mattend à prendre une gifle !mais pas du tout, elle laisse faire, écarte même les jambes
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Je remonte la main entre ses cuisses et caresse la culotte je sens la chaleur de la jeune chatte a travers le tissus, je la masse et écarte le bord pour accéder aux lèvres mouillées une fois les poils écartés car apparemment elle ne s épile pas , j introduit un doigt dans ce conduit fraichement dépucelé il est chaud et étroit ;Annie pourrait débarquer a n importe quel moment ; c est de la folie ,mais je ne peux plus reculer ;je passe derrière elle ,j ouvre la fermeture de mon bleu de travail sous lequel je suis nu, je baisse sa culotte et frotte ma bitte sur ce jeune con offert, elle se cambre pour mieux faciliter la pénétration ,et d une poussée lente mais régulière je prend possession de son ventre ; une fois bien calé au font ,je vire le soutient gorge et saisie ses seins ronds et fermes et là je la défonce littéralement ,je veux la punir de m avoir cherché, elle étouffe ses cris heureusement ,je me moque de son plaisir, et ne tarde pas a lui décharger mon foutre au plus profond de son berlingot !
Maintenant, je suis mal ; j ai la trouille de pénétrer dans l appartement « quest ce qui c est passé, vous vous êtes égueulés ou quoi ? » « Non pourquoi ? » « Martine est entrée et s est enfermée dans sa chambre ! »
« Ah bon, je ne sait pas »un moment après elle est sortie évitant mon regard, et s en est resté là
Le lendemain matin, j ai eu la curiosité de fouiller dans la corbeille a linges, et là j y découvre la petite culotte amidonnée par mon sperme ; je l ai portée longuement a mon nez pour sentir son odeur de femme mélangée a la mienne avant de la passer sous le robinet, car c est sa mère qui fait la lessive
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Le samedi suivant Annie demande « quelqu'un vient avec moi aux courses ? » « Ah, chérie je dois faire la pelouse ! » « Et toi Martine ? » « Moi ; je dois réparer un vêtement » « bon, a tout a l heure alors »
Une fois la pelouse faite je me suis rincé sous la douche, pris une serviette et suis allé m allonger sur un transat a poil a l abris des regards ; un avant bras sur mes yeux je savoure le soleil .
« Tu va prendre un coup de soleil ! » j écarte mon bras et là devant moi elle est là, accroupie les genoux écartés ; la première chose que je vois c est sa chatte quelle vient d épiler, les lèvres légèrement entrouvertes
« Tu me fais de l ombre »et je remets mon bras sur mes yeux ; mais c est sans compter sur mon instinct de male si moi je dis non mon cerveau a déjà dit oui car je sens ma queue qui en trois secondes de l état végétatif sur ma cuisse, mon gland est maintenant au dessus du nombril !
« Eh ben dit donc !çà va vite ! »Je ne réponds rien et continue de faire l autruche ; je sens la paume de sa main qui caresse doucement de mon gland a mes couilles « çà ne m étonne pas si j ai eu mal l autre soir.. »
Maintenant elle me branle doucement, je me retiens pour ne pas gémir, son souffle chaud est sur mon gland, elle le lèche comme si c était une glace, ce doit être la première fois
maintenant elle me suce maladroitement, puis elle me lâche, je la sens bouger, elle m a enjambé, et cherche l entrée de sa moule avec ma bite, elle se laisse descendre doucement, son con étroit me fait du bien ,mais j ai décidé de ne rien faire, c est elle qui me baise cette fois et cherche son plaisir qu elle ne tarde pas a trouver si j en juge ses petits cris étouffés ; et sent un mot elle se retire et repart ;et là encore, je craque, je me lève et me précipite dans la maison, je la trouve a la salle de bain, nue et s apprête a prendre sa douche ;je la saisie par un bras sans douceur, la plaque sur le mur, mon sexe est entre ses cuisses, et soudain je colle ma bouche a la sienne sa langue cherche la mienne ;elle donne des coups de bassin pour frotter sa chatte sur mon membre ;je lui soulève une jambe et c est elle encore une fois qui guide ma bite en elle ;s accrochant a mon cou elle me ceinture des ses jambes ;je la pilonne sur le mur, elle se lâche et pousse des hurlements « oooh ouuiii c est bon baise, moi j aime çà, tu me fait jouir, va y plus fort !! » il ne m en faut pas plus, et je lui tapisse son petit vagin de mon foutre ; je la laisse retomber et lui demande avant de quitter la pièce « tu prend la pilule au moins ! » « T inquiète pas je fait ce quil faut.
Je suis devenus accroc de cette gamine, et n en suis pas fier, le démon de la chair est plus fort que moi
Peu après Martine me demande devant sa mère « Georges, tu voudrais bien m accompagner dimanche matin sur le parking ou ils vendent des voitures, je veux en acheter, une mais pas sans ton conseil »
« Bien sur je t aiderais »
Le dimanche matin nous partons donc touts les deux, a peine éloignés de la maison elle s avance sur le siège, dans le mouvement sa robe est restée en haut elle écarte largement les cuisses et d autorités me prend une main et se la met sur la chatte « touche ! Je n ai pas mis de culote, tu n auras pas a la laver comme çà ! »Et toc ! met çà dans ta poche !!On peut faire un petit détour ? j aimerais que tu m apprenne quelque chose ! » « Et, c est quoi ? »Elle hésite et lance « la sodomie !! »Les bras m en tombent !
« Tu n est pas folle !et puis tu aurais trop mal, tu ne sais pas ce que c est au début ! »Et sans pudeur me dit
« Figure toi que depuis quelques jours je m entraine avec le manche d une brosse a cheveux ! »
Je ne le crois pas, Quesque je dois faire
.je ne répond rien, encore une fois je suis vaincus et bifurque vers la foret, elle affiche un grand sourire.
Je choisis avec soin un endroit caché, je sors la vielle couverture du coffre et m enfonce sous les arbres, bien loin de la route ; un petit monticule va faire l affaire je peux surveiller ainsi une approche éventuelle.
A peine la couverture étalée au sol qu elle est dessus, et tout naturellement fait passer sa robe au dessus de sa tête, le soutien gorge suit, elle s allonge les bras en croix les pieds sous les fesses, les genoux très ouverts,
« Je suis prête » lance t elle avec la candeur de sa jeunesse ! Elle offre a ma vue ses trésors cachés comme je ne les ai jamais encore vus de si prés
Je me déshabille a la hâte et m allonge sur elle ; « çà fait du bien de se faire lécher ??! »Décidément rien ne me seras épargné ; « d accords, mais tu me lèche aussi, et tu ouvre bien grand la bouche, car lautre jour tes dents m ont fait mal ! » « Excuse moi je vais m appliquer ! »
Je me relève et me positionne en soixante neuf, elle est au dessus, sa chatte sur ma bouche ; je suis obligé de la modérer car sa motte m étouffe !la bonne position acquise je lui ouvre le vagin avec ma langue, mes doigts se partagent entre son petit trou et sa moule, il est très serré ce petit anus ; je doute de la réussite !
Par contre sa pipe est bonne, elle navale pas très loin mais c est tout en douceur ; elle geint doucement car elle a la bouche pleine ; au bout d un moment : « fait moi l amour Georges
j ai envie de ta queue »
Je la bascule, et viens entre ses jambes, elle s ouvre elle-même avec ses doigts « met la moi vite !! »
En prenant appuis sur mes bras, je dirige mon phallus dans sa fente étroite et je pousse ; un aah de satisfaction sort de sa bouche, son bassin vient a ma rencontre, je la prends tendrement cette fois, ses bras autour de mon cou elle cherche ma bouche, sans décoller mon ventre du sien je la laboure doucement mais fermement elle se lâche complètement je sans sa chatte se contracter et son jus m inonder, a peine redescendue de son nuage, elle me dit « je suis prête.. » « Tu es sure de le vouloir ? » «
Oui plus que jamais ! »
« Bien alors tu va te mettre à quatre patte, les avants bras à terre, si tu as mal tu mord la couverture ! »
Je me mets a genoux, écarte ses deux petits lobes, son petit trou palpite sous mes yeux, je pose ma langue dessus et la fait pénétrer le plus loin possible, en même temps mes doigts jouent avec sa moule pour atténuer son appréhension, tout doucement l anneau se libère ,je prélève de sa mouille ; un doigt, puis deux sont en elle « va y essaie, maintenant » j enduit mon gland de salive et le positionne sur son étoile qui se détend au fur et a mesure de ma poussée ; impatiente, elle pousse elle aussi, dans une plainte mélangée de crainte et de satisfaction, la tête de ma bite entrée, je stoppe un moment pour la laisser s habi a ce corps étranger qui
Lagresse et dés quelle en manifeste le désir je progresse dans son conduit, çà y est maintenant, le plus dur est fait, cette petit chienne se fait enculer comme une grande, mes couilles touchent ses fesses je me retire doucement, et repart en avant un peu plus vite, elle accompagne mes mouvement et rythme elle-même sa sodomie, le feulement qui sort de sa bouche n est plus que du plaisir ; des petits pets de bonheur lui échappent !!!
Çà me fait sourire, et je suis fier de lui avoir pris son deuxième pucelage ; elle a hurlé quand je me suis libéré entre ses reins, puis s est affalée au sol
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Nous navons pas acheté de voiture ce dimanche là, ni l autre non plus d ailleurs
!
Mais je me suis ressaisis, sa voiture, elle l a eue, alors je lui ai dit « Martine, il faut que tu quitte la maison, çà ne peux plus continuer, c est cela ou bien j avoue tout a ta mère, avec le risque certain de me retrouver seul »
Elle a beaucoup pleuré, et ma dit « tu as raison, cest vrai ce que nous avons fait cest de la folie ; mais je ne regrette rien, et te remercie pour tout ce que tu m a appris, ce n est pas un mec de mon âge qui m aurais donné autant de plaisir ; et je te demande pardon de t avoir détourné du droit chemin.. »
« Je n ai pas beaucoup résisté aussi !! »
Huit jours plus tard elle annonçait à sa mère quelle partait chez sa tante a Poitiers « j ai le mal du pays ! »
J ai fait l amour avec elle une dernière fois avant quelle ne parte
.aujourdhui elle est mariée et a deux beaux s ; lorsque nous nous rencontrons nous échangeons des petits sourires, que nous seul comprenons
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