Femme De Ménage Maghrébine.

Cette histoire vraie s'est passée quand j'étais dans ma dix huitième année, mes parents ayant hérité d'un grand terrain ont décidé de construire une nouvelle maison beaucoup plus grande. Ils ont mis la maison en vente et surprise, elle s'est vendue de suite. des retraités de la région parisienne étant très intéressés, ont décidé de l'acheter et de l'occuper de suite car ils voulaient fuir la vie parisienne et venir se reposer dans le midi.
Etant pris de court, mon père avait un collègue de travail qui avait un petit appartement F3, il nous l'a loué le temps que notre nouvelle maison soit terminée.
Il y avait deux chambres avec un grand lit dans chacune d'elle et je dormais avec mon frère un peu plus âgé que moi et qui s'apprêtait à partit pour effec son service militaire.
Quelque temps après, ma mère a dû subir une intervention chirurgicale ce qui l'obligeait à garder le lit pendant quelque temps.
Ne pouvant plus s'occuper de la maison, elle a fait appel à une association qui était spécialisée dans les prestations de service à domicile.
Une jeune femme de 35 ans environ et d'origine maghrébine s'est présentée pour remplacer ma mère dans les tâches domestiques. Elle a plu à ma mère et a été engagée.
Le gros problème s'est qu'il fallait la loger car elle habitait assez loin et n'avait pas la possibilité de s'héberger.
Ma mère me considérait toujours comme un petit garçon et refusait de me voir grandir donc pour elle, il n'y avait pas de problème et si cette femme était d'accord, elle pouvait dormir dans ma chambre.
Ma mère m'énervait souvent car elle m'appelait devant ses amis, mon petit bout, mon poussin, mon bébé etc... elle avait le chic de m'agacer et de me mettre mal à l'aise.
Cette personne n'ayant pas le choix, accepta de partager mon lit.
Nous étions en hiver et le radiateur de la chambre ne chauffait pas beaucoup. Le soir je me couchais toujours avant elle car elle finissait de ranger et ensuite je l'entendais quand elle était dans la salle de bain.


Je me couchais tout nu mais là, il n'était plus possible de se mettre à poil donc je mettais un grand tee short et nu en dessous car il était hors de question que je dorme avec un pyjama.
On avait pris l'habitude de se servir d'une lampe de poche qui se trouvait sur chaque table de chevet pour ne pas réveiller l'autre si on devait se lever la nuit.
Comme je me couchais le premier, c'était pour moi le parcours du combattant pour entrer dans le lit, car il faisait froid mais une fois la place réchauffée, j'appréciais d'être sous la couette.
Quand elle rejoignait la chambre, elle était en peignoir. Elle l'enlevait et en dessous, elle avait une chemise de nuit. Quelque fois, quand elle se couchait, elle s'approchait de moi pour se réchauffer plus vite car les draps étaient glacés. Je faisais semblant de dormir et comme on se tournait le dos, quelquefois je sentais ses fesses collées aux miennes et je pouvais me rendre compte qu'elle dormait nue aussi sous sa chemise de nuit.
Il m'est arrivé quand je l'entendais ronfler un peu, donc elle était dans un profond sommeil, de prendre ma lampe de poche et de m'enfoncer sous les draps en faisant bien attention pour ne pas la réveiller, quand elle me tournait le dos, de regarder ses fesses et de les écarter tout doucement pour voir son oeillet et parfois, il m'est arrivé de passer ma langue bien humectée dessus.
Elle changeait de position et je pouvais voir sa chatte bien dessinée par un sillon comme deux quartier d'orange. Elle était complètement épilée, c'était doux quand je posais mes doigts et quelquefois ma bouche dessus tout doucement.
Quand elle dormait profondément, sa respiration étant normale, j'écartais ses deux grosses lèvres et passai ma langue bien humectée à l'intérieur et sur son gros clito pour ne pas l'irriter et la réveiller. Elle sentait bon, c'était magique. Quelquefois elle mouillait tellement et je pouvais goûter sa cyprine qui remplissait petit à petit son vagin et je pouvais écouter son rythme, sa respiration s'accélérer.
Je me levais et allais aux wc pour me soulager.
Puis un matin vers 5 h 30 environ, je me réveillai, elle me tournait le dos comme très souvent, elle avait coincé ma bite entre ses fesses et je sentais une chaleur au bout de mon gland très dur car je bandais. Je poussais doucement et je sentis un orifice brûlant contre mon gland qui était presque rentré, elle se dégagea légèrement et elle passa sa main entre ses cuisses et remonta légèrement ma bite avec ses doigts et je sentis à nouveau mon gland trempé contre un orifice. Je poussai tout doucement je sentis une petite résistance puis ma queue entra complètement jusqu'à la garde.
Je restai un petit moment sans bouger puis commençai les va et vient tout doucement au début puis de plus en plus vite. Il ne me fallut pas longtemps pour inonder son orifice.
Je restai à nouveau en elle sans bouger et au bout d'un moment mon gland sortit tout seul car j'avais débandé. Elle ne bougeait pas, j'étais resté contre elle et ma main était passée sous sa chemise de nuit qui était remontée jusqu'à la taille et je caressais tout doucement sa poitrine.
Au bout d'un moment, elle se dégagea puis se retourna. Elle alluma et me regarda en souriant. J'étais un peu gêné, elle s'en aperçue, elle s'approcha et m'embrassa fougueusement.
Nos corps s'entremêlaient, elle me caressait partout, me branlait tout doucement, me caressait les fesses, passait ses doigts sur mon anus. J'en fis autant, je caressais sa chatte toute humide, ses fesses et les écartais pour atteindre son petit trou, en enfonçant mes doigts, je me rendis compte que je l'avais sodomiser car mon sperme sortait de son anus.
On est resté comme ça pendant un bon moment, elle me léchait mes tétons, descendis jusqu'à ma bite qui avait repris de la vigueur et l'enfonça complètement dans sa bouche et je pouvais sentir le fond de sa gorge. Je lui suçai à mon tour ses tétons qui avaient durcis sous mes caresses et mes coups de langue, je descendis à mon tour vers son objet de plaisir et lui mangeai sa chatte toute trempée et je me régalais en avalant sa cyprine qui coulait jusqu'au fond de ma gorge.

Malheureusement, il était l'heure de se lever, elle pour préparer le petit déjeuner et vaquer à ses occupations, moi pour me préparer à aller au lycée. Après un dernier long baiser, on se leva.
Ce n'était que le début d'une aventure incroyable et merveilleuse et qui arrive qu'une fois dans une vie.
Mon histoire réelle bien sur n'est pas terminée mais je préfère vous la raconter dans les moindres détails sans vous prendre la tête.

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