Nadia Au Boulot

L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y’a six ans de cela. Je travaillais comme attaché administratif au sein d’une entreprise de la place. Il faut dire qu’au sein de l’entreprise l’ambiance n’était pas toujours au bon fixe. Beaucoup de coup bas et d’intrigues pour se faire bien voir par la direction. Toujours est-il que Nadia, la secrétaire du DG qui était une fille bien canon (grosse poitrine, taille très élancée, joli cul) ; n’était pour moi qu’une salope qu’on devait éviter à tout prix pour éviter les emmerdes. Nos rapports se limitaient au bonjour et bonsoir, j’aurai besoin de …. Bref vraiment je faisais tout pour ne pas mener une discussion ou toute autre chose avec elle.
Généralement je prends mon café dans un petit bar situé en bas de notre immeuble. De temps en temps quand elle prenait le café en même temps que moi, il m’arrivait de lui en offrir un ou de régler sa facture sans grande familiarité. Il faut dire de part nos activités, généralement le jeudi après midi, nos locaux sont vides car travaillant intensément le samedi ; beaucoup prenait ce jour leur repos. Moi ne faisant pas parti de cette catégorie, je travaillais normalement le jeudi et finissait ma semaine le samedi après midi.
Ainsi un jeudi ou tout le bureau étais vide à part moi, je reçu un appel du DG me demandant de lui préparer un mémo pour le lendemain. N’ayant pas toutes les infos, il décida de m’envoyer Nadia pour m’aider à vite finir le travail. C’est ainsi qu’elle arriva 30 minutes plus tard dans une jupe assez courte et un décolleté …. (Elle partait faire des courses en ville). On se mit immédiatement à la tache qu’on finira 3 heures plus tard. A 10 minutes de la fin une pluie torrentielle se déversa sur la ville. Nos voitures étant garées à l’extérieur on devait rester attendre la fin de la pluie pour pouvoir partir. Donc elle s’installa dans mon bureau en face de moi. J’avais en face de moi une poitrine …. Et son parfum ; bon bref, on commença à discuter et elle commença à se plaindre de la manière dont je me comportais avec elle au bureau.

Je commençais par bander grave. En parlant elle se leva et s’approcha de mon fauteuil. Je ne pourrai pas vous dire ce qui me passa par la tête. Je me redressais pour me coller à elle et appuya ma verge sur sa jupe face à elle. Elle me regarda droit dans les yeux et me dis :
« Mais c’est quoi ton problème » sans répondre, je reculais je la regardais dans les yeux et je commençais à luis peloter les seins et sans lui laisser le temps de réagir, j’abaissais son décolleté et commençais direct à lui caresser et à lui titiller la poitrine. En voulant reculer, elle se bloqua à mon bureau ; la elle soutint mon regard pendant un instant et me dis « Mais dis moi c’est quoi ces mains baladeuses ? » Sans répondre j’attrapais sa main et le plaqua sur mon sexe. Après quelques secondes d’hésitation, elle se mit à me caresser à travers mon pantalon. Dés cette période j’envoyais ma main titiller son clitoris 2 secondes et directement après dans sa chatte : la salope, la salope, la salope, elle mouillait depuis et elle le cachait bien. Sans réfléchir je la hissais sur le bureau et j’écartais son string et je me mis à sucer son clitoris. J’envoyais ma langue et pénétrais sa chatte. La salope, elle criait et enlevais son décolleté et attrapais ses seins ; oh quelle salope !!!
Après avoir bien maltraité cette chatte je la fis descendre de mon bureau pour la prendre directement en levrette. La salope ; elle criait, elle me mettait la main sur mon ventre se retournais me regarder dans les yeux, elle n’arrivait plus à tenir debout. Mais je ne l’ai pas loupé. Elle en a pris en levrette et après elle me dit : « S’il te plait, s’il te plait en missionnaire sur ton bureau s’il te plait » ; la salope elle en redemandait encore ; Je fis ce qu’elle me demandait mais en prenant le soin de ramener ses jambes sur sa poitrine pour qu’elle puisse être bien servie et elle le fut. Quand je sentis mon plaisir venir, je lui lâchais les jambes, je montais sur la table et là je me suis régalé et j’ai éjaculé en elle. Elle m’attrapa fort en mélangeant nos sueurs.
Nous retrouvions nos esprits quelques minutes plus tard et c’est là que je me rendis compte de l’énormité de la chose. J’avais baisé Nadia sans capote mais bref, elle aussi se releva me regarda en remuant la tête, ramassa son décolleté. Je peux vous dire qu’elle est partie sur la plante des pieds.
Le lendemain, elle m’appela pour me demander de lui acheter la pilule du lendemain. Je lui remis cela pendant notre pause alors là elle me dit, « toi tu es un salop ; quand tu veux quelque chose tu te sers sans demander la permission ; mais t’inquiète pas pour moi il y a pas de problèmes, je te gère maintenant mais penses à moi très souvent et penses plus souvent aux capotes…»
Donc généralement chaque lundi ou jeudi soir je partais lui dire bonsoir chez elle. Elle me mettait à l’aise quoi, je prenais tout ce que je voulais comme je voulais.
La prochaine fois, je vous raconterais une autre de mes aventures avec elle…