Comment Je Suis Devenue Une Moins Que Rien - Chapitre 1
Chapitre 1
Je mappelle Magaly, jeune lycéenne blonde, jolie mais pas exceptionnelle.
Je vais reprendre cette histoire à son début. Je sortais depuis 4 ans avec un homme plus âgé que moi (25 ans), Emeric, chez qui je vivais depuis le décès de mes parents 2 ans auparavant. Je laimais profondément, il était mon pilier de soutien, je dépendais complètement de lui (à la fois émotionnellement et matériellement, car ma tante était en réalité ma tutrice légale mais navait jamais voulu soccuper de moi) ; lui par contre, depuis le temps que nous vivions ensemble, semblait séloigner de moi, je ne devais surement pas être assez « mature » pour lui, pas assez ouverte sexuellement, et il devait sêtre lassé de moi, il voulait connaître dautres filles
Ainsi, il ne me touchait plus, et mes petites attentions ny faisaient rien (petits cadeaux, repas bien mitonnés
). Lui dailleurs ne faisait plus rien pour moi, et jen étais désespérée. Il me faisait sans arrêt des reproches, minsultait même parfois, mais jespérais toujours que ça lui passe.
Jusquau jour où, rentrant du lycée, je le retrouvai sur le canapé embrassant et pelotant une autre femme en sous-vêtements, une bouteille de champagne était ouverte et deux coupes encore à moitié pleines trônaient sur la table. Il navait pas fait les choses à moitié (il navait jamais fait ça pour moi !), et il avait tout prévu : il savait à quelle heure je rentrais et voulait que je les découvre dans cette situation. Il voulait me faire du mal.
Je sentis les larmes monter et reculai dun pas quand il minterrompit :
- Quest ce que tu fous salope ?! Ramènes toi ici !
Complètement désemparée, jobéi. Je pus mieux voir la maîtresse de mon copain : sans conteste beaucoup plus belle que moi, je nétais pas étonnée quelle lui plaise plus. Elle devait avoir à peu près son âge, 23/24 ans ; brune aux cheveux courts, bouche pulpeuse, regard hypnotique, et côté corps pas très grande mais un bon 90D, une taille fine et de belles hanches : elle incarnait parfaitement le fantasme dEmeric, sa « femme parfaite », ce qui me rendit encore plus jalouse ! Et pour couronner le tout, elle me regardait dun air goguenard, très méprisante.
Me voyant la regarder dun air renfrogné, Emeric me lança :
- Elle est belle Sonya hein ? Bien mieux foutue que toi qui ne dépasse pas le bonnet B ! Et elle, elle a du caractère, pas comme toi qui te conduis comme un vrai chien-chien ! Dailleurs puisque tu te comportes comme tel, on va te traiter comme tel ! Commences par te foutre à poil, tu ne mérites pas davoir de lintimité devant des personnes qui te sont largement supérieures !
Jobéi, mais il ne me regardait même plus, ils avaient recommencé à sembrasser et il lui avait enlevé son string pour pouvoir caresser sa chatte déjà toute luisante. Moi je commençais à avoir froid et mis mes bras autour de mes épaules pour me réchauffer. Je ne voulais pas voir ça et détournai les yeux, mais Emeric me regarda à ce moment là et mordonna :
- Toi tu regardes ! Tu naimes pas voir lhomme que tu aimes faire lamour à une vraie femme ? Tu as pourtant beaucoup de choses à apprendre !
Me voilà obligée de les regarder faire, ce qui me brisait le cur. Jaurais pu profiter des moments où ils ne soccupaient pas de moi pour regarder ailleurs mais jétais malgré moi beaucoup trop docile pour ça.
Elle était maintenant assise sur le bord du canapé, lui était devant et la pénétrait largement, elle gémissait de plaisir. Lui ne mavait plus fait lamour de cette façon depuis plus dun an !
De temps en temps, Sonya ouvrait les yeux et les plantait dans les miens en poussant un hurlement de plaisir déchirant. Elle se moquait ouvertement de moi et cela lui procurait de toute évidence un grand plaisir !
Moi, je sentais le rouge me monter aux joues, par la honte, la jalousie, et
le plaisir qui commençait à monter en moi à mon grand étonnement.
Sonya me matait en long et en large, comme jaugeant la qualité dune bête, augmentant mon humiliation. Elle mordonna décarter les jambes et de mettre mes bras dans mon dos pour pouvoir mieux mobserver.
- Quelle salope ta copine ! Elle na pas honte de se montrer comme ça devant nous !
Et son regard sattardant sur mon intimité, elle sexclama :
- Et on dirait que ça lui plait à cette traînée ! Elle mouille !
Effectivement, je sentais un liquide chaud couler le long de mes cuisses
- Cette salope nest pas bonne à baiser mais ça serait dommage ne pas profiter de cette mouille !
Ajouta Emeric.
- Approches toi que tu puisses enfin te rendre utile ! Sonya aime se faire prendre par le cul mais on va avoir besoin de plus de lubrification pour ça
Je ne comprenais pas vraiment ce quil voulait dire, mais je mapprochai pendant que Sonya se mettait à quatre pattes au bord du canapé.
Emeric récupéra un maximum de ma mouille avec sa main (me faisant frissonner lorsquelle passa sur mon sexe) et létala sur lanus de Sonya en la doigtant doucement pour la dilater, puis sur sa queue tendue à lexcès, quil présenta devant sa rondelle en pressant doucement (jamais il navait pris autant de précautions avec moi, la seule fois où il avait voulu me prendre par derrière, il y était allé violemment et depuis je nai jamais aimé la sodomie ; je ne devait pas valoir les attentions quil avait pour Sonya). Il rentra lentement son sexe dans son cul mais il sarrêta :
- Ca ne va pas être suffisant, il faut plus de lubrification ! A genoux salope !
Je magenouillai devant lui et il sortit sa queue de Sonya pour me la mettre dans la bouche. Il du forcer lentrer car jétais dégoûtée : sa bite sortait à peine du cul de Sonya et en avait encore le goût âcre ! Lhumiliation était à son comble : mon copain ne voulait pas de moi, il couchait avec une autre DEVANT moi, et pour couronner le tout, Je lui servais à mieux LA baiser ! Jen pleurais pendant quil mordonnait de saliver au maximum pour bien lubrifier sa bite.
Cela dura un moment : il rentrait sa bite dans le cul de Sonya, puis la sortait pour la remettre dans ma bouche :
- Tu comprends, je ne peux pas mettre ma bite salie dans la chatte de Sonya, ce nest pas hygiénique, ELLE ne mérite pas ça !
Sonya ri dun rire sadique avant de reprendre ses cris de plaisir. Emeric prit bien soin delle avant de sortir une dernière fois sa queue et la diriger vers moi pour éjaculer sur mon visage.
Je restais comme ça, sans bouger, sans savoir quoi faire, alors il me dit, lair désespéré :
- Et bien, laves-toi donc, petite souillon !
Et alors que je faisais mine de me lever pour aller à la salle de bain :
- Non non, tu mas mal compris ! Tu devrais être fière de recevoir ce sperme sur ton visage et ne pas vouloir le gaspiller, alors tu vas tout manger !
Je du donc récupérer toute la semence avec mes doigts avant de me les mettre en bouche.
Ils parurent satisfaits et en rire avant de sembrasser passionnément. Puis ils séloignèrent, me laissant là, où je pu me laisser aller à pleurer
alors même que javais le sexe en feu
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