Jour De Pluie
Est-ce que histoire est vraie ? Oui
et non
La zone de tchat de MSN est une mine
beaucoup sy racontent
Ils disent le vrai, ils édulcorent, parfois fabulent, mais tout ce qui suit, ils me lont raconté, et jai collé ensemble plusieurs de leurs histoires, jai rajouté quelques points et quelques virgules.
Je lai appelé Nicolas, mais çaurait tout aussi bien pu être Jo, Jérémy, Phil72
Encore une journée pourrie ! Trois jours quil pleut ! Trois jours que jarrive au boulot complètement trempé ! Ma première paye, je lai donnée à mes parents pour rembourser tout largent quils mavaient prêté : téléphone portable, fringues, argent de poche pour sortir ma copine
jai gardé que cent euros : le mois a été long
Le second mois, il a fallu que je machète des outils : «
chez nous, chacun sa caisse, chacun ses outils !
», jai eu une réduction, mais ça fait cher quand même, et puis jai payé un acompte pour le scooter ! En bus et à pied, il me fallait plus dune heure pour aller au boulot ! Ce mois-ci, entre la mensualité du scooter et la caisse que je vais fixer dessus pour transporter mes outils, il ne restera pas grand-chose ; alors les fringues pour la pluie
ce nest pas pour tout de suite !
Le patron ma dit de venir directement ici à huit heures, sans passer par latelier. Ça marrange, jai gagné du temps ! Le gardien de limmeuble ma reconnu et ma dit que je pouvais laisser le scoot sous le porche, que ça risquait moins que sur le trottoir. Il ma dit que mon patron nétait pas encore arrivé, mais je nai pas voulu lattendre en bas, et je suis monté directement à lappartement où on travaillait depuis deux jours : on refait toute linstallation électrique et le matos est déjà sur place
je peux me mettre au travail sans lui.
- Bonjour jeune homme ! Entrez !
Le type qui ma ouvert nous a enquiquinés pendant deux jours ! Toujours dans nos jambes à surveiller, à poser tout un tas de questions, un chiant quoi ! Sa femme est vachement plus sympa, mais on la voit pas beaucoup, juste quand elle nous amène du café !
- Vous êtes seul ? Votre patron nest pas là ?
- Je suis venu directement, en scooter.
- Bon ! Aujourdhui, vous ne maurez pas dans vos jambes ! Faut bien que je travaille aussi, moi ! Et restez pas là ! Vous mettez de leau partout !
Au moins, il le reconnaît quil est toujours dans nos pattes ! Et puis leau, jy peux rien ! Mon jeans est trempé et le blouson aussi !
Je reste debout sur le paillasson pendant quil enfile son imper en bloquant le couloir :
- Allez ! À ce soir, jeune homme ! Travaillez bien !
Cest ça, casse-toi ! La journée sans lui sera plus calme !
- Avancez ! Ne faites pas attention ! Jessuierai derrière vous !
Je vais directement dans la chambre du fond ou est stocké tout notre matériel en marchant sur la pointe des pieds. Je me retourne en arrivant au bout du couloir : elle est à quatre pattes par terre pour essuyer lentrée avec une serpillère. Les fesses moulées dans sa robe de chambre se balancent pendant quelle frotte le sol et je vois le dessin des coutures de sa culotte en bas des fesses sous le nylon beige. Je reste là à regarder son joli derrière, même quand elle tourne la tête vers moi en arrêtant de frotter. Elle me sourit, et recommence à frotter en reculant pour effacer la trace de mes pas. Encore deux ou trois fois elle se retourne pour voir si je la regarde toujours
en arrivant près de moi, elle tend sa main pour que je laide à se relever :
- Vous devriez vous changer, vous allez attr un rhume !
Le téléphone sonne et elle lâche ma main pour aller répondre.
Jenlève mon blouson, mon gros pull et mes chaussures pour enfiler ma cote de travail et comme mon jeans est tout mouillé, je lenlève aussi. Je défais ma ceinture et les boutons de la braguette et je me baisse pour lenlever
une main sur mon épaule. Je remonte mon pantalon vite fait en me retournant. Elle me tend le téléphone :
- Cest votre patron
- Allo ?
Elle repart et puis à peine sortie de la pièce, elle revient vers moi et me dit à lautre oreille en parlant doucement :
- Je fais le mettre à sécher
Elle sagenouille à côté de moi et tire mon jean vers le bas
- Oui, oui, jécoute
bon, daccord
ok, a plus.
Mon boxer est un peu descendu quand elle a descendu le jeans et elle le remonte à deux mains, sur les hanches et derrière, en glissant les pouces sous lélastique, et sapplique, la langue entre les lèvres, à le tirer sur les jambes :
- Voilà jeune homme
il sera sec à midi
vous maidez ?
Elle me tend la main pour se relever
et moi jai un sacré coup de chaud
scotché
Elle attend, sourcils levés
je tends la main :
- Excusez-moi
vous mavez surpris
-
votre patron a un problème ?
- Euh
il doit passer à latelier
il sera en retard
- Beaucoup ?
Elle se tient juste devant moi, le jeans à la main et me détaille, sans gêne, des pieds à la tête. Elle fronce les sourcils et se penche en passant sa main sur la balafre sur ma cuisse :
- Quest-ce que cest ?
-
au foot
les crampons
- Eh ben ! Il ne ta pas raté, celui-là !
et elle caresse ma cuisse
et bien sûr
- Oh oh !
rire de gorge
le dos de sa main qui frôle (et plus que ça !) la bosse qui gonfle mon boxer
- Je te mets mal à laise ?
- Euh
non
mais
- Mais ?
elle se marre carrément maintenant
et à nouveau le dos de sa main
et elle se barre en riant
et moi je reste comme un con avec ma bite qui déforme mon boxer ! Mais quel con ! Elle me tripote et moi je bégaye et je reste planté là le téléphone à la main
quel con ! Je suis sûr quelle attendait que ça ! MERDE ! Et la voilà qui revient
elle prend le téléphone de ma main et repart en faisant voler sa robe de chambre
et merde
Hier jai passé la soirée avec Cathy, et pour une fois, on était seul chez elle, ses parents mangeaient au resto. On sest embrassés sur le canapé en regardant la télé et je lui caressais ses gros seins en passant la main dans le chemisier ; les boutons se sont ouverts tous seuls ; jarrivais pas à mettre la main dans le soutif et elle a pas voulu que je le dégrafe
une seule fois elle ma laissé le lui enlever
faut dire quelle avait un peu trop bu, enfin
pas assez quand même, parce que quand jai posé sa main sur mon sexe au-dessus du pantalon, elle la serré dans sa main et puis elle ma traité de gros dégueulasse et elle sest rhabillée ; elle a déconné avec ses copines tout le reste de la soirée !
Hier soir elle voulait juste membrasser et se faire peloter la poitrine.
Et là, je me retrouve presque à poil devant une femme, elle me touche, et je reste comme un con à bégayer !
Jenfile ma cote et mes baskets et je me mets au boulot. Il faut que jinstalle les disjoncteurs sur le tableau dans la cuisine et que je les raccorde, mais faut couper le jus
où elle est, la dame ? faut que je la prévienne
dans la cuisine, justement
oh ! La vache ! Elle a plus son peignoir ! Elle est en chemise de nuit toute légère et elle lave sa vaisselle dans lévier
on voit son slip à travers la chemise
quel cul !
- Madame ? Va falloir que je coupe lélectricité bientôt
- Ooh ! On va être dans le noir alors ?
Cest vrai quil fait sombre
la petite fenêtre donne sur larrière cour et avec ce temps
- Jai une lampe.
- Ah ! Il a une lampe ! Le chauffe-eau ne marchera plus ?
- Non, il va séteindre
- Je ne peux donc pas me doucher ! Tu ne devrais pas attendre ton patron ?
- Ben
cest-à-dire quil ne va pas arriver tout de suite sil a un problème à latelier
Elle essuie le dernier bol les fesses appuyées à lévier et sa chemise est toute mouillée :
- Et « pas tout de suite », ça fait combien de temps, à peu près ?
-
je ne sais pas
Je vois la pointe de ses seins qui soulève le nylon de la chemise
- Il ne sait pas ! Bon ! Mais ce nest plus près dune demi-heure ou de deux heures ?
- Euh
peut-être plutôt deux
- Bien ! Parce que ça change beaucoup, jeune homme ! Et deux heures, cest mieux !
Mais quest-ce quelle raconte ? Cest une barge ou quoi ?
- Par exemple, on a le temps de prendre un café ! Tu aimes le café ?
Elle pose une main sur mon épaule et me pousse vers une chaise :
- Je peux te tutoyer, ça ne te gêne pas ? Et ton prénom ? Quel est ton prénom ?
- Nicolas
et vous ?
- Mon mari mappelle tantôt Chérie et tantôt Bébé, mais je préfère que tu tabstiennes den faire autant devant lui ! Il naimerait pas !
Elle a servi deux tasses et sest assise en croisant les jambes ; la chemise de nuit est remontée assez haut sur les cuisses et je mate en douce en buvant mon café.
- Ça te plaît ?
- Oui, il est bon
- Nicolas, Nicolas, sil te plaît ! Je parle de mes cuisses, voyons ! Est-ce que tu aimes mes cuisses ? Tu les regardes depuis un moment, tu as bien un avis ?
-
- Tu es adorable quand tu rougis ! Nicolas lélectricien timide !
Elle approche sa chaise de la mienne et ses genoux touchent les miens. Elle se penche un peu et pose ses avant-bras sur mes jambes. Avec un doigt, elle joue avec la languette de la fermeture éclair qui ferme la cote par en bas :
- Ça te plaît ? Et là, je parle de mes seins, Nicolas !
Lencolure de sa chemise est grande ouverte. Entre ses deux seins qui pendent en se balançant doucement je vois même la taille en dentelle de sa culotte.
- Pose donc cette tasse ! Tu vas en renverser partout !
Elle prend la cote sous la fermeture éclair entre deux doigt dune main, et de lautre, elle tire sur la languette
clic, clic, clic
et la remonte tout doucement, cran par cran, jusquà hauteur du nombril. Je bande comme un malade
jai la gorge sèche
Elle glisse la main dans louverture, effleure ma queue au passage, et caresse mon ventre au-dessus du boxer, remonte jusquaux pectoraux et redescend doucement en me griffant un peu, frôle encore ma queue en sortant sa main.
Elle se redresse, soupire et baisse la fermeture éclair depuis en haut en me regardant dans les yeux, fait glisser ma cote sur mes épaules. Je dégage mes bras et me soulève pour quelle la tire sous mes jambes. Je me rassois, la cote roulée en boule autour de mes chevilles. Elle me regarde toujours, son petit sourire au coin des lèvres. Elle glisse les deux index sous lélastique du boxer, sous le nombril, les fait glisser lentement vers les hanches ; son index gauche griffe un peu en passant mon gland coincé contre lélastique. Elle soulève lélastique et ma bite se redresse tout dun coup :
- Oooh ! Très belle surprise, Nicolas !
Elle abaisse mon boxer ; je me soulève encore ; elle le fait descendre jusquaux chevilles et elle roule mon polo vers le haut jusque sous mes bras, se recule contre le dossier de sa chaise. La tête un peu penchée sur le côté, la langue entre les dents, elle regarde mon sexe tellement bandé quil se tient dressé et touche même pas mon ventre. Elle écarte mes jambes avec ses deux mains :
- Eh bien ! Eh bien ! Qui laurait cru ! Nicolas ! Sais-tu que tu es
étonnant !
Elle pose la main gauche sur la chaise, sous mes couilles, et prend la peau avec le pouce au-dessus, entre les deux testicules et les autres doigts en dessous ; elle mouille son index de salive dans sa bouche et le pose tout en haut de ma queue pour caresser le filet de peau tendue en tournant tout doucement
des fois avec longle elle agaçe le trou de ma bite
et puis recommençe à tourner doucement son doigt sous mon gland. Elle fait rouler la peau de mes couilles avec lautre main. Même pas deux minutes comme ça et je gicle sans quelle arrête de tourner avec son doigt.
Putain cest bon ! Personne ne ma fait jouir comme ça, presque sans me toucher. Jai envie quelle me la prenne à pleine main, quelle me branle, fort
si elle le fait pas, je le fais moi tellement jai envie ! Jai giclé jusque sur ma joue ; elle passe son doigt dessus et prend une goutte dans sa bouche
putain jen peux plus ! Je prends ma bite dans ma main et je me branle fort à grands coups de poignets, pas pour jouir encore, juste parce que cest bon ! Elle reprend du sperme sur son doigt et me le met dans la bouche en riant :
- Oui, Nicolas ! Oui ! Branle-toi !
Jarrête, jai envie de me rhabiller et de messuyer, jai du sperme sur la joue, sur mon polo, plein le ventre, ça coule et ça fait froid.
- Ne bouge pas ! Reste comme ça !
Elle messuie avec des feuilles dessuie-tout, même mon polo.
- Cest pour ta petite amie que tu te rases ?
-
oui
- Tu as raison, cest plus joli !
- Tu la baises souvent ?
-
- Tu ne la baises pas ?
-
non
- Quelle idiote !
Elle jette les papiers dans la poubelle et recule sa chaise. Debout devant moi elle soulève sa chemise de nuit et la jette sur la table. Elle a de grandes aréoles très foncées et de gros tétons tout durs qui sortent dau moins un centimètre, mais des seins pas très gros. Elle baisse sa culotte et la jette aussi sur la table ; elle a des poils noirs qui montent haut sur son ventre. Elle vient au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma chaise mais sans sasseoir sur mes genoux et elle appuie ses seins contre mon visage. Elle les soulève avec ses mains et me donne le bout à sucer, lun après lautre, les frotte sur ma bouche :
- Je ne suis pas fragile, tu peux mordre !
Je nose pas trop fort, mais je la mords, toute laréole brune et le téton ; je le serre un peu entre mes dents et elle se recule lentement en étirant le sein qui glisse entre mes dents ; elle le remet sur ma bouche et se recule encore, plusieurs fois, jusquà ce que je serre plus fort les dents et elle rit en gémissant.
Elle sassoit sur la chaise et pose une jambe sur la table, les jambes ouvertes sur sa fente rose et brun et le pli de ses fesses au bord de la chaise :
- Viens me lécher, Nicolas ! Lèches-moi bien !
Je suis à genoux entre ses jambes. Elle me prend par les cheveux et appuie ma bouche sur sa fente, appuie fort ma tête contre elle. Elle a une odeur assez forte, un peu piquante, et sa chatte est toute trempée de mouille jusquà la raie des fesses :
- Rentre ta langue, Nicolas, plus profond que ça !
Elle appuie toujours sur ma tête et jai du mal à respirer, le nez enfoncé contre sa chatte qui coule, et elle bouge ma tête en me tenant par les cheveux.
Elle me repousse et me regarde en poussant un soupir :
- Tas jamais léché une femme, toi, nest-ce pas ?
-
non
- Tant pis ! Tu as dautres arguments ! Debout jeune homme !
Elle a prend ma queue dans sa main et me branle. Je me remets à bien bander et elle lève la main vers ma bouche :
- Crache dans ma main !
encore !
Et elle recommence à me branler la queue avec la salive, en me tenant serré sous le gland avec lautre main. Elle me tourne le dos et sappuie sur la table sans me lâcher la queue et elle la met entre ses jambes en pliant un peu les genoux :
- Baise-moi !
Je suis rentré sans forcer en me tenant à ses fesses et elle a enlevé sa main pour se tenir à la table :
- Baise-moi ! Allez !
Pendant que je la baise, elle met une main entre ses jambes et de temps en temps elle touche ma queue avec ses doigts.
Je sens que je vais jouir encore et je serre plus fort ses fesses et juste comme je sens que ça vient, elle se redresse et me force à sortir la queue de sa chatte. Elle reprend ma queue dans sa main avec le bras dans son dos et en posant un pied sur la chaise à côté delle, elle tire ma queue entre ses fesses en plein sur son cul et se rallonge sur la table :
- Vas-y fort Nicolas, pousse fort, dun coup ! Encule-moi !
Je rapproche un peu mes pieds et je me cramponne à ses hanches, je sens son cul sur mon gland, elle enlève sa main, et tend son cul vers moi et jy vais dun grand coup. Je sens que ma queue se plie un peu et que son cul résiste et je rentre dun coup et jy vais à fond :
- OUUUUUI ! OUUUI !
Et je lime tant que je peux en grands coups de reins et de toute la longueur de ma queue. Jai jamais enculé de femme avant et ça me fait un effet terrible ! Je gicle dans son cul en serrant ses fesses dans mes mains et ça glisse encore mieux, et je gicle pendant longtemps en lentendant crier et gémir.
Elle me sort de son cul, se retourne et se met à genoux, elle prend ma queue qui débande dans sa bouche en serrant mes couilles, elle me suce en me branlant, et ma queue se raidit encore un peu dans sa bouche.
Au bout dun moment, quand ma queue ramollit dans sa bouche, elle se relève et sessuie le cul et la chatte avec du papier essuie-tout :
- Rhabille-toi ! Et ne coupe pas le courant tout de suite, je prends ma douche !
Je me suis rhabillé, les couilles vides
cest sûr
et jamais javais baisé comme ça
cest sûr
ni enculé une femme non plus
mais je nétais pas content quand même
cétait elle qui mavait baisé
jétais un peu en colère, après elle et après moi
le résultat était le même, mais bon
en colère après elle !
Elle prenait sa douche quand Patrick est arrivé. Le patron était retenu au bureau et il lavait envoyé à sa place. Javais déjà fait un chantier avec lui, il était sympa :
- Ça sent bizarre, ici !
bon quest-ce que tas fait depuis ce matin ?
- Rien !
- Tu déconnes, là ? Tas rien foutu ? Tas de la chance quil mait envoyé à sa place ! ten aurais pris une bonne !
- Je me suis fait baiser
- Quoi ?
Et je lui ai raconté pendant quon finissait le café resté au chaud.
- Eh bien ne vous gênez pas !
Elle était à lentrée de la cuisine, le peignoir tenu fermé avec ses mains, une serviette enroulée sur les cheveux.
Patrick sest retourné et la regardée, un coude sur la table, lautre sur le dossier de la chaise :
- Nicolas me racontait ce quil a fait ce matin
tu en étais où, déjà, Nico ?
- Ça suffit ! Mettez-vous au travail !
Patrick sest levé et sest approché delle, a enlevé la serviette de ses cheveux, et a écarté les mains qui retenaient son peignoir. Elle était à poil dessous :
- Arrêtez tout de suite !
Sa voix était moins autoritaire, moins sûre delle, et quand Patrick a lâché ses poignets, elle na pas bougé, les pans du peignoir encadrant ses seins et son ventre nus. Pour la première fois je lai regardée en détail : 30 ou 35 ans, brune avec les yeux noisette, joli visage, et vraiment bien roulée. Jétais tellement abasourdi et bousculé que je ne lavais pas vraiment regardé avant ce moment.
et puis elle avait lair un peu perdue
Patrick la prise par la main et elle la suivie dans le couloir, marchant derrière lui. Il est rentré dans la chambre sans fermer la porte, en me faisant un clin dil, et a lâché sa main pour commencer à se déshabiller. Elle le regardait faire sans bouger et elle a enlevé son peignoir quand il a été nu, sest assise sur le lit et a pris son sexe dans sa bouche lorsquil sest approché delle. De temps en temps, elle me regardait en le suçant. Je suis resté à la porte à la regarder faire jusquà ce quil jouisse sur ses lèvres. Patrick sest allongé sur le lit dans son dos. Elle a levé les yeux sur moi, et ma souri. Je me suis approché delle et elle ma déshabillé
Ce jour-là, on na pas beaucoup travaillé
On est parti avant le retour de son mari. Elle était nue en nous raccompagnant à la porte et nous a embrassés :
- A demain
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!