Au Rendez-Vous Des Chasseurs.
Nous sommes un Samedi, dans un petit village des Cévennes. Yves, le menuisier, et Antoine le boucher, viennent de sortir les chiens. Ils doivent se rendre au "Marcassin", lieux de rendez-vous des chasseurs.
Ils y retrouvent Marcel, le gérant de l'auberge, et Hubert, un notaire à la retraite, âgé de soixante quatre ans.
Les trois autres copains ont une cinquantaine d'années.
Après chaque battue, les quatre chasseurs se disputent amicalement, pour savoir qui aura tel ou tel morceau.
Pour éviter toutes querelles, Yves à une super idée. Il a récupéré une vieille table ronde, et a fixé dessus un plateau monté sur roulettes. Dessus, des dessins représentent des morceaux de sanglier. Les chasseurs doivent se placer autour de la table, et l'un d'eux fait tourner la roue. La portion qui s'arrête devant un chasseur lui revient.
Aujourd'hui, une énorme battue est prévue. Les quatre potes demandent du renfort. Huit hommes et trois femmes viennent gonfler le groupe. Il y a Annie, vingt deux ans, et deux pouffiasses, Marcelle, cinquante ans, et Marguerite, cinquante deux ans. Les quatre copains ne sont pas chaud quant à la participation des ces deux femmes, qui pensent plus à se le faire mettre qu'autre chose. Pendant que les chasseurs vident leurs cartouchières, les deux copines font le plein de coups de queues. Une fois droite contre un arbre, une fois en levrette.
Malgré le froid, elles n'hésitent pas à dévoiler leurs appâts. Souvent, leurs cris de plaisir éloignent le gibier.
Pour atténuer le bruit, les hommes préfèrent se faire tailler des pipes, beaucoup moins bruyante.
Après le diner, au poste de surveillance, les femmes s'occupent du nettoyage des lieux. Une fois me ménage terminé, les deux femmes se gouinent, dévergondent la jeune Annie, en s'amusant avec elle. Elles prennent plaisir à l'entendre crier de plaisir. La battue se termine vers dix sept heures. Il gèle à pierre fendre. Les quatre inséparables, déçus, regagnent l'auberge, bredouille.
-C'est pas grave, dit Antoine, elle servira pour savoir qui paiera la tournée.
Aux alentour de vingt heures, on entend les pneus d'une voiture crissée sur le gravier devant l'auberge.
-Tiens, dit Marcel, qui cela peut-il être, par ce froid.
La porte s'ouvre sur une superbe brune d'environ vingt cinq ans. Les quatre copains restent scotchés devant tant de beauté.
-Bonsoir, dit-elle, s'il vous plait, pourrais-je avoir une chambre pour la nuit ?
-Bien sur Madame, répond Marcel, voulez-vous un repas chaud, prendre un verre ?
-Avec plaisir, puis-je prendre une douche avant ?
La salle de bains est au premier, poursuit l'aubergiste.
La femme n'a pas l'air farouche. Une fois montée, les chasseurs ne tarissent pas d'éloges sur la visiteuse.
Les idées les plus perverses traversent leur esprit.
-Je lui aurai bien essuyé le dos, sourit Hubert.
L'eau s'arrête de couler. Ils entendent la jeune femme passer un coup de fil.
"Allo.. c'est Cassie.. çà va.. j'ai un petit souci.. Je ne rentrerai que demain... d'accord ?
Quand elle redescend, vêtue d'un peignoir, les quatre comparses font tourner la roue.
-Tiens, remarque Cassie, c'est quoi ce jeu, je ne connais pas.
-En fait, explique Yves, c'est pour attribuer nos part de chasse. Mais là, faute de sanglier, on joue le coup à boire. Voulez-vous trinquer avec nous ?
-Merci, mais pourquoi le réserver qu'au sanglier, il y a d'autre gibier tout aussi intéressant, et bien plus attirant.
Les quatre chasseurs restent figés sur place. Cassie a ouvert son peignoir. Gracieusement, elle fait glisser le vêtement au sol, et apparait dans toute sa nudité. Les chasseurs avalent difficilement leurs salives, tant le spectacle est magnifique.
-Putain.. çà c'est de la femelle, dit Antoine.
La belle brune écarte les quatre copains, et s'allonge sur le plateau tournant. Les hommes se regardent.
Hubert, le doyen, est le plus entreprenant.
Yves prend l'initiative de faire tourner la roue. La tête de Cassie s'arrête devant Marcel, les jambes, écartées, devant Antoine. La jeune femme lance ses bras en arrière, et tire l'aubergiste par les fesses. Celui-ci sort son sexe et le trempe dans la bouche ouverte. Antoine branle sa queue, puis soulève les jambes de Cassie. Il s'avance lentement et l'a pénètre.
-Hou...hou...gémit-elle..Voyez comme je suis mouillée maintenant...ha...ha...hum...
Yves parcourt les seins gonflés de Cassie, se penche et en suce les bouts devenus énormes. Hubert, en expert, excite le clitoris avec son majeur.
-Décalottez le.. soupire-t-elle...vous arriverez mieux à le doigter.. ha...s'il vous plait...là.. oui...
Cassie se cambre de plus en plus, envoie des coups de reins à l'encontre de la bite qui lui bourre la chatte. Même sa langue s'active autour du gland décalotté de Marcel. Le souffle des deux hommes s'accélèrent, les veines de leur membre enflent. Les premiers jets de sperme envahissent les deux orifices. Cassie reçoit l'offrande en hurlant de plaisir.
Yves lance le deuxième tour de roue. Hubert la freine volontairement, pas toujours les mêmes. Il hérite des cuissots,
Yves de la tête. La jeune femme, elle, se tord sur le plateau. Elle aussi attend sa part.
Le menuisier baisse son pantalon, et dépose ses couilles sur la bouche de la belle étrangère. Elle gobe le fruit rempli de sève, le parcours avec la langue, l'aspire. Les testicules disparaissent tour à tour dans la bouche grande ouverte.
Le notaire est plus vicieux. Il ouvre la fente, caresse les lèvres humides, joue avec le clitoris. Puis, ce sont deux doigts qui pénètrent la moule baveuse.
-Hou.. qu'est-ce-que vous faites à ma petite chatte.. vous vous amusez comme çà avec vos prises.. Salauds.
Après quelques va et vient, Hubert retire ses doigts, et enduit le petit trou de mouille. Il prend la jeune femme par les hanches, et la force à se mettre à quatre pattes. Du coup, c'est le nud complètement décalotté qui remplace les couilles dYves. Il est idéalement placé pour se faire tailler une pipe.
Avec les pouces, Hubert écarte les fesses pour dégager l'illet de la visiteuse. Il avance son calibre à l'entrée du petit orifice, et le pénètre sans brutalité.
-Ha..l'enfoiré.. il m'encule...allez-y.. défoncez moi...branlez-vous dans ma bouche...oui...oui...huuumm..
Le notaire l'a baise en toute décontraction. Une main derrière le dos, l'autre appuyée sur la fesse de la jeune femme.
Yves a glissé une main sous le corps de Cassie, et lui caresse les seins aux bouts durcit par l'excitation. Les reins de
Cassie sont cambrés au maximum, pour mieux offrir sa croupe à la queue qui lui fouille l'anus. C'est même elle qui accélère les mouvements du bassin. Yves, lui, accélère sa branlette dans la voyageuse qui commence à s'.
Elle sent qu'il se passe quelque chose. Déjà, les va et vient sont plus rapides, et les râles plus intenses. La deuxième rincée arrive, aussi puissante que la première. Par contre, les hurlements que poussent Cassie lors de l'orgasme, n'ont rien à voir. Son corps est en nage, couvert de sperme, tout comme ses orifices. Les hommes restent ancrés en elle, prennent leur temps pour finir de se vider les couilles. Cassie se retourne, et s'allonge, les bras en croix.
-Merci mon dieu...quels merveilleux amants vous êtes...ah..et quand vous avez deux sangliers.. Comment faites-vous?
-Comme pour le premier, répond Antoine, des fois, çà nous prend une partie de la nuit.
-Hum..bande de salauds..j e vous vois venir, sourit-elle.
Effectivement, Cassie va repasser sur le billard. L'opération prend bien deux heures. Heureusement qu'elle a une santé de fer.
Trois chasseurs, enfin repus, rentrent chez eux. Il ne reste que Marcel, le patron de l'auberge.
-Allez prendre une bonne douche, dit-il tendrement. Je vais mettre du bois dans la cheminée.
Cassie redescend dix minutes plus tard. Marcel est assis sur une grande couverture.
-Vous devez avoir froid, venez vous réchauffer.
Elle jette un regard vers la table, sourit, puis viens se blottir contre lui. Cassie va encore jouir deux fois, soumise à la vérité de cet homme. Puis, elle s'assoupit dans les bras puissants de l'aubergiste.
Au réveil, Marcel aperçoit un petit mot sur la table.
"Je suis dans vôtre région tout les quinze jours, si vous ne tuez pas de gibier, c'est pas grave".
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