Je Me Donne - La Transition 10

Depuis tous ces évènements, notre vie à quelques peut changer.
Moi, Maeva la salope, comme dit le gardien, je suis utilisée selon son grés. Selon les semaines, plus ou moins souvent, je n’ai pas le choix, enfin ça me convient bien aussi. Anthony, lui, il subit et ça lui va parfaitement maintenant, il me l’a confié. Milo, c’est le prénom de notre gardien, l’utilise de temps à autre. Anthony, n’ayant pas des besoins importants, se trouve très bien dans cette situation. Nous avons trouvé un équilibre avec et dans cette aventure.
Un soir, je rentre du bureau, un peu tardivement en raison d’un dossier à terminer. Anthony, n’est pas là, ce qui me surprend un peu, il est toujours là avant moi. A 19h30, toujours pas de mari, je tourne en rond et décide d’aller voir si Milo a vu mon chéri. Je frappe, pas de réponse. Je recommence une deuxième fois. J’entends Milo me dire qu’il arrive.
-ah c’est toi, que veux-tu ?
-tu n’aurais pas vu Anthony par hasard ?
-si, il travaille pour moi.
-comment ça, il travaille pour toi ?
-bah oui, il t’a rien dit ?
-non, rien.
-c’est embêtant, viens entre.
Je trouve Anthony le nez dans des papiers.
-bah tu fais quoi ?
-je fais la déclaration d’impôts de Milo.
-pourquoi tu m’as rien dit ?
-je ne pensais pas en avoir pour aussi longtemps.
-il finira demain soir, je vais te le rendre, avant, il va me soulager, j’ai une envie soudaine.
Milo, att Anthony par le bras et le fait mettre à genoux. Il sort son membre à demi bandé et Anthony commence à le sucer. Le membre durcit rapidement et atteint son volume normal. Mon mari suce ce membre avec vigueur, bavant avec excès.
-ouii c’est bien, t’arrêtes pas, toi viens l’aider, aller approche.
Milo me demande d’accompagner mon mari dans la fellation. Nos deux langues, nos deux bouches se chargent de lécher et sucer ce membre qui m’excite, qui me stimule à chaque fois, c’est le plaisir qu’il me procure, qui finalement m’excite.

Nous sommes comme deux gloutons qui dévorent une barbe à papa. Milo nous repousse, il plaque Anthony sur la table en bois, lui retire son bas, lui fait retirer son haut et il est maintenant nu, à sa merci. Mile crache deux ou trois fois sur la rondelle de mon chéri, puis présente son membre devant. Il pousse et rapidement pénètre mon homme. Les vas et vient commence.
-ne reste pas là à regarder, suces lui les seins et la queue.
Je m’applique à sucer les tétons de mon mari, une de mes mains vient caresser sa queue. Contrairement à moi, lui, on se préoccupe de ses seins, moi jamais, rare sont ceux qui s’occupent des miens. Anthony apprécie le traitement qui lui est prodigué. Milo le prend de toute sa longueur comme il sait si bien le faire. La petite queue de mon chérie bande sous mes caresses et mes succions, ce qui le fait mouiller.
-vas-y doucement Maeva, sinon il va gicler rapide, si c’est le cas tu lui nettoiera sa jute de…..
Effectivement mon chéri se vide sur lui de tout son jus.
-tu vois, bouffes lui son jus, j’ai pas terminé.
Je prends en bouche le jus de mon mari, Milo lui continu à s’activer dans mon mari. Il laboure le fondement d’Anthony et il se fait plaisir.
-aaah quelle chatte de mec, elle est bonne cette saloppee, aaahhhh …..ne reste pas à rien faire, pinces lui les seins et tirent les.
Je prends dans chaque main un téton et commence à les pincer et à tirer. Anthony aime et il le fait comprendre, alors j’accentue les pincements et les étirements, en même temps Milo, agrippe les bourses d’Anthony et tire dessus, tout en le besognant. Nous maltraitons Anthony durant plusieurs minutes, pour vraisemblablement son plaisir. Il finit par se répandre encore une fois sur son ventre. La quantité est moindre que la première fois, deux petites giclées. Milo, se retire d’Anthony et se vide sur la queue et le ventre de mon mari. Lui c’est plusieurs giclées, puissante et abondante, rien à voir avec mon homme.
-raaahahhhhh,…… Maeva viens me lécher tout ça
Je m’empresse de laper de ma langue tout ce jus, la quantité est bien là. Milo reprend la rondelle d’Anthony pour faire quelques vas et vient encore.
-les dernière gouttes pour ta chatte, ah ah ah ah ah ah ah.
Une fois bien vidé, Milo nous dit de partir.
Le vendredi soir suivant, Anthony termine la déclaration de Milo. Vers 23h00, je reçois un sms « descends, j’ai besoin de toi », puis un deuxième, « viens à poil, nous gagnerons du temps ». Là pas possible, je l’appelle.
-Milo, je ne peux pas faire ça, c’est pas possible, je pourrais tomber sur les résidents.
-bah ouais, c’est sûr……bon, envoi ton mec, je vais lui donner une robe.
-quoi ?
-là c’est pas négociable.
Après une petite réflexion, Anthony fait un aller-retour à la loge. Il ramène un paquet, que j’ouvre et je découvre une robe noire courte en dentelle.
-Milo as dit sans sous-vêtement.
Lorsque je découvre la robe, elle est transparente, on voit tout. Glups ! je suis dans l’embarras. Je recois un sms « je t’attend ». Je demande à Anthony ce qu’il en pense.
-à cette heure là, tu ne crains pas grand-chose.
J’enfile la robe et descend les deux étages par les escaliers, comme exigé. Je frappe à la porte.
-vas-y entre.
J’entre et me dirige dans son petit coin salon ou un film passe à la télévision. Milo est sur son canapé, le sexe bandé. Il regarde un film porno.
-tu es parfaite avec cette robe, c’est nickel, moi j’avais pas envie de gaspiller mon jus.
Il me prend par la main, me place à quatre pattes sur le canapé, remonte ma robe qui en réalité ne sert pas à grand-chose et pointe son membre sur mon sexe. Sans se préoccuper de savoir si j’était humide ou pas, il me prend, forçant l’entrée. Je suis semi excité par le fait d’avoir descendue les deux étages avec ma robe transparente alors que j’aurais pu rencontrer des habitants de la résidence, mais aussi par la scène à mon entrée. Milo me prend et rapidement il se retire et se vide sur mes fesses. Avec sa queue, il étale son jus sur ma petite rondelle et me pénètre.
-comme ça tu sera bien librifiée, rah je suis bien au fond, humm.
Milo fait quelques allers-retours en moi, puis se retire. Il me place sur le tapis du sol du salon, moi face à la télé, ou défile toujours le film porno. Le membre me repénètre le fondement et me laboure. Pendant que je subit les assauts de Milo, que j’adore, qui me donne un immense plaisir à chaque fois, je vois défiler des images, des images excitantes, des images ou des hommes prennent une femme à tour de rôle, ou cette femme suce des queues, ou le jus coule sur le corps et dans l’intimité de cette femme. Mon excitation est accentuée par ces images et j’en suis moi-même surprise. Je sens que mon intimité coule vraiment abondamment, coulant le long de mes cuisses.
-oh oui, ou oui, baise moi ennnccoooorreeee.
-tu aimes ma salope, ça t’excite ce film.
-aanh anh, … ouuiiiii, je coullleeeee de partouuuttt.
-ouais, alors profite, j’adore quand ça coule comme ça, j’ai pas fini.
-oui t’arrête pas, paaass maintenannantt, anh, anh , oooohhh, annhh….
Je suis prise et c’est tellement bon. Je mouille tellement, pourquoi ça m’excite à ce point ? Je sens un objet pénétrer mon sexe. Un gode me pénètre en quelques secondes tellement je suis mouillée. Je sens les deux membres me baiser, oui là je suis baisée et que c’est bon. J’en veux encore et toujours plus.
-ah oui, anh anh anh, ouuii, ooohh c’essttt booonnnnnn.
-la salope Maeva aime bien avoir deux bites pour elle ?
-ooohh ouiii.
-tu es ma salope, comme ton mec est ma salope ?
-oouiu, je suis ta salope, oouuiiii, ooohhh,.
-et ton mec, c’est ma salope ?
-ouiiiiiii lui aussi c’est ta salope, ttaaaa puuutteee siii tu veuuuxx.
-oui ma pute tu as raison et toi tu es ma salope, une salope à bite.
-anh anh anh, ouiii, ta saaalopppe à biiittee, taaa bittee., encoreeeeeeee, ouiiiiii, aaaaaaaaaaaaaahhhhh….
Je prends un plaisir de fou, mon sexe palpite, ma rondelle palpite et je sens ce jus se déverser dans mes fesses. Je m’affale sur le sol, sonnée. Je ne sais pas combien de temps je suis restée sur le tapis allongée, amis lorsque je reprends pied, Milo bois un café.
-merci Maeva, maintenant tu peux rentrer.
Je repars aussi vite que possible pour ne pas être vue, prend une douche et viens me blottir contre mon homme qui dors déjà. La seule chose qu’il fait, c’est venir tâter mes orifices.