Adeline Fille Facile
Je gare ma voiture à ladresse indiquée par Claude.
Cest notre première rencontre physique.
Bien que nous discutions depuis plus dun an sur internet, je navais jusquici jamais ressenti lenvie ou le besoin de le rencontrer. Il faut dire que plus de trente ans nous séparent ainsi quenviron cinq cent kilomètres.
De passage chez des amis qui habitent Reims, il ma demandé daccepter un restaurant, juste pour mieux faire connaissance. Nayant rien de spécial à faire, jai accepté.
Je suis au rendez vous, à lheure, mais pas de Claude à lhorizon.
Je ne suis pas plus étonnée que ca. Internet est un vrais nid pour mythomanes de tout genre.
La nuit est tombée et je ne suis pas très rassurée.
Agacée, je mes le contact. Je lui donne encore cinq minutes et je men vais.
Un type me fait sursauter en tapant à mon carreau. Je lentrouvre, mais pas trop. On ne sait jamais.
« Adeline ? Vous êtes Adeline ? »
« Heuu, oui ! Et vous ? Qui êtes vous ? »
« Désolé de vous avoir effrayé. Je suis Pierre, un ami de Claude. Il a un problème de voiture. Il sera en retard. Il ma demandé de vous faire patienter chez moi. Je suis avec des amis, vous navez rien à craindre. »
Cest un homme grand mince, dune trentaine dannée et plutôt beau gosse.
Je descends de voiture.
« Ho, mais je nai pas peur, vous savez. Je sais me défendre. »
Il éclate de rire.
« Bien ! Me voilà prévenu. Hahaha ! Jhabite le pavillon, là, en face.»
La maison est magnifique. Japerçois même une belle et grande piscine. Humm ! La classe !
Je suis mon hôte qui me fait pénétrer dans un grand salon.
Sur un canapé, deux hommes discutent et une femme regarde des photos confortablement installée dans un moelleux fauteuil.
« Les amis, je vous présente Adeline, lamie de Claude. Adeline, je te présente Michel et Guy.»
Les hommes se lèvent et me font la bise.
« Humm ! Claude a bon gout ! »
Intimidée :
« Amie, Juste amie ! Pas petite amie.
« Hummm ! Cest une bonne nouvelle, ca ! »
« Oups ! Il ne faut pas rêver ! »
Ils ont lair sympa, mais légèrement désinvolte. Même âge, même style que Pierre. Je donnerais ma main à couper quils bossent ensemble.
« Fais pas attention, ils ne pensent quà ca ! Je mappelle Mélanie. Tiens prend le fauteuil.»
Cest une splendide blonde. Cheveux long, yeux bleus, sculptée comme une déesse. Plus jeune que les types, elle doit avoir à peu près mon âge, début vingtaine.
Elle semble super sympa et je me sens mieux davoir une alliée face à ces trois males.
« Non, non ! Reste assise, je peux lattendre sur une chaise. »
Mais elle me pousse et je mécroule dans le fauteuil.
Tout le monde éclate de rire, sauf moi. Je rougie comme une pivoine.
Mélanie sassoit sur laccoudoir du fauteuil et passe son bras autour de mes épaules.
« Ho ! Je suis désolée, excuse moi. Hihihi ! »
Elle se penche et dépose un baiser sur mon front. Jen suis un peu surprise, mais finalement, cest plutôt mimi de sa part.
« Bon ! Pour me faire pardonner, quest ce que je peux te servir ? Un whisky ? »
« Heuu, non ! Si je dois conduire, je naime autant pas. »
« Tinquiète ! Le restau est à coté et ici il y a pleins de chambres vident. Tu pourras dormir là et partir demain matin. Allez ! Laisse toi faire. Hihi ! »
« Bon ! Ben, ok pour un whisky alors. »
Elle se penche vers la table basse pour me servir. Sa croupe et ses jambes fines sont splendides. Mais très vite je détourne mon regard car les types me regardent.
Mélanie, très décontractée, me donne mon verre, prend le sien et sinstalle sur mes genoux.
« Ca ne te dérange pas, au moins ? »
« Non, non ! Pas du tout. »
« Nous non plus ! Hahaha ! »
Les gars sont aux anges car pour sassoir elle a dut écarter les jambes et sa jupe cest relevée jusquà mi cuisse.
« Putain, les mecs ! Vous êtes lourds ! »
Contrariée par lattitude des hommes, elle se tourne de coté et passe ses jambes au dessus de laccoudoir et un bras autour de mon cou.
Cest loin de me déplaire. Je sens son sein frotter le mien et je mexcite en silence.
Je cherche à en savoir plus. Discrètement, alors quils sont occupés à commenter un match de foot, je questionne Mélanie.
« Ils sont de ta famille ? »
« Eux ? Non, pas du tout. Je les ai rencontrés en boite. Je me suis tapée Pierre, mais comme javais encore faim, ils sont venus à la rescousse. Hihihi ! Je ne te choque pas au moins ? »
« Non, tinquiète pas. Il men faut plus pour me choquer. Et Claude ? Tu le connais ? »
« Non ! Jamais vu ce type. Je crois que cest un pote de Pierre et quil est cloué au lit avec quarante de fièvre. Jen sais pas plus. »
« La fièvre ? Ce nest pas un problème de voiture ? »
« Ha ? Ben moi, cest ce que lon ma dis. »
« Bizarre ca ! Bon, ben on verra bien quand il arrivera. »
« Sil arrive. Hihi ! Je te sers un autre verre ?»
Elle se relève et remplie nos verres à nouveau.
« Sil arrive ? Sil arrive ? Ten a de bonne toi ! Jespère bien quil va arriver, sinon, quest ce que je fou là ! »
Cest un fauteuil club. Il est en cuir et immense. Une personne obèse aurait encore de la place. Aussi, na-t-elle aucun mal à venir à califourchon face à moi, ses mollets contre mes cuisses.
« Et bien, tu me tiens compagnie, chérie. Hihi !»
Ainsi assise, sa jupe cest relevée bien au dessus de la limite conventionnelle. Elle ne sen inquiète pas du tout et me propose de porter un toast à notre rencontre.
Nous croisons nos bras et nous buvons en nous regardant dans les yeux.
Elle a le regard fripon. Trop peut être. En tout cas, il me fait de leffet et je me sens un peu bizarre, étourdie par le bleu de ses yeux. Jai la sensation quelle peut lire dans mes pensées ou prendre possession de mon âme sans effort.
Nous discutons de choses et dautres, plus ou moins intéressantes.
Elle tient son verre à deux mains, posé contre mon ventre.
Jamais je naurais crus quune femme puisse me troubler à ce point.
Mais que pense-t-elle, elle, de ma main posée tout aussi machinalement sur sa cuisse et que je caresse de mon pouce ?
« Et toi, ten pense quoi ? »
« Hein ? Moi ? Heuu ! Je ne sais pas trop. »
Je rougie, honteuse de ne plus suivre sa conversation. Elle sen aperçoit.
« Ca va ? »
« Heu, oui ! Cest lalcool. Ne tinquiète pas. Pfff ! Jai chaud ! Hihi ! »
« Tiens ! En parlant dalcool ! Haha ! »
Elle se tourne et se penche pour attr la bouteille sur la table basse.
Quelques secondes pour pouvoir ladmirer. Elle est sublime.
Ses seins déforment un tee-shirt trop petit qui laisse son nombril à lair. La peau de ses cuisses est douce comme du velours et
la coquine ne porte pas de culotte. Je vois son joli coquillage, lisse comme de la nacre légèrement rosé.
« Allez ! Donne ton verre. »
Elle me sort de ma rêverie et je sursaute.
Je suis sur quelle a capté quelque chose, car elle me lance un regard amusé. Je rougie de nouveau.
Sans détacher son regard du mien, elle pose la bouteille par terre. Puis, sa main vient effleurer ma joue.
« Tu rougie facilement, toi ! »
« Oui, cest vrais. Je suis un peu timide. »
« Humm ! Cest mimi comme tout. »
Elle me gratifie dun beau sourire d sage.
Elle pose son verre sur un petit guéridon tout près, prend le mien et le pose également.
Je suis prise de frissons sur toute la colonne vertébrale.
Elle glisse ses deux mains derrière ma nuque, les doigts dans mes cheveux, les pouces sur mes joues et approche son visage du mien.
« Heuu ! Mélanie ! Je ne sais pas si
»
« Chuttt ! Tais-toi ! Tu en a autant envie que moi ! »
Je dois bien me rendre à lévidence. Elle na pas tout à fait tord.
Linstant est intense en émotion. Jentends mon cur dans ma poitrine, battre la chamade. Je tremble.
Ses lèvres effleurent les miennes.
Je ferme les yeux. Ma respiration saccélère soulevant ma poitrine à chaque inspiration.
Sa langue se fait tout dabord discrète, en demande. Surtout ne pas me brusquer.
Mais je suis sous le charme et cest moi qui la première plonge mon organe entre ses lèvres brulantes.
Elle se soulève et se colle à moi, se penche sur moi. Je renverse ma tête pour mieux recevoir son baiser de feu.
Mes mains, sur ses cuisses nues, remontent centimètres après centimètres.
Invitées par son corps qui monte et descend, elles malaxent maintenant ses fesses, fermes et graciles. Quand elles effleurent ses reins, elle se cambre, collant son ventre contre le mien. Et quand elles glissent sous son tee-shirt et remonte lentement son dos, les siennes sattaquent aux boutons de ma robe dété.
Entre deux baisers, nous nous contemplons amoureusement.
Je me raidis un peu en voyant les trois hommes approcher.
Elle me rassure dune voix douce et tendre.
« Chuuut ! Làààà ! ca vas ! Ne toccupe pas deux. Aime-moi Adeline ! Aime-moi ! »
Nos seins sont libérés en même temps. Quand ils se touchent pour la toute première fois, je me sens humide, dégoulinante damour.
Cest trop fort, trop bon.
« Oui Mélanie ! Oui ! Ho ouiii ! »
Elle abandonne ma bouche et glisse dans mon cou, ma gorge. Juste avant de se mettre à genoux, elle embrasse et lèche ma poitrine, aspire et énerve mes tétons dressés de plaisir, tout en terminant douvrir ma robe en grand.
Sa bouche glisse sur mon ventre puis elle plonge sa tête entre mes cuisses. Elle respire fort, plusieurs fois.
« Hummm ! Tu sens bonnnn ! Je veux te manger !»
Fébrile, excitée, elle retire mon string sans difficulté.
Ses yeux bleus plongent une fois de plus dans les miens.
Doucement, elle écarte grand mes cuisses et je me laisse glisser jusquau bord du fauteuil.
Une fois de plus elle moctroie un de ses sourires ravageurs et plonge son visage dans la fente humide et chaude quelle a prit soin douvrir.
Au contact de sa bouche sur mon puits damour, je suis électrisée. Je maccroche aux accoudoirs et me cambre autant que je peux, tendant ma poitrine gonflée vers les cieux.
Lorsque sa langue frétillante et experte, commence une exploration systématique de ma grotte, je me mords les lèvres à en les faire .
Un coup de langue sur mon clito, me secoue de plaisir. Elle le sent. Alors, elle y retourne. Elle prend mon bouton rose entre les lèvres et joue avec. Elle laspire, y frotte sa langue, le pince.
Une décharge électrique traverse mon corps. Mon ventre et mon cerveau explosent. Je suis prise de spasmes. Dune main jécrase le visage de Mélanie sur mon clito, de lautre je mortifie mon sein gauche en le broyant dans ma paume.
Je ne veux pas que ca sarrête.
Je crie, je hurle à plusieurs reprises lorgasme puissant qui me submerge.
La haut, japerçois les trois hommes qui se masturbent en me contemplant puis, dun coup, je mécroule au fond du fauteuil, comme foudroyée.
Jai la tête qui tourne. Je vois des étoiles.
Lorsque jouvre les yeux, Mélanie est penchée sur moi, un grand sourire aux lèvres.
« Coucou, Adeline ! Tu es là ? Hihihi ! »
« Que mes til arrivée ? »
« Tes tombée dans les pommes, ma chérie ! Ca arrive. Cest que jai bien travaillé. Jen suis assez fier ! Hihi ! Tiens bois ca. Ca vas te remettre de tes émotions »
Elle a raison, un remontant ne me fera pas de mal. Mes mains tremblent et jai bien du mal à tenir mon verre. Ca lamuse beaucoup.
« Tiens ? Te revoilà parmi nous ? Whouaaa ! Tu a fais le grand saut ! Cétait magnifique à voir, vraiment. »
Cest Pierre. Il sest accroupi et croise ses bras sur laccoudoir du fauteuil, une canette de bière à la main
Je me redresse et rabat les pans de ma robe qui était encore grande ouverte.
« Fou lui la paix, Pierre ! Laisse là reprendre ses esprits ! »
« Houuuuu ! Mademoiselle Mélanie à ses nerfs ! Mademoiselle Mélanie est jalouse peut être ? Elle veut garder la douce Adeline pour elle ! Houuuuu ! »
« Tes con ou quoi !? Fou le camp Pierre ! Tu nes pas drôle ! »
Il séloigne en riant.
« Je ferrais peut être mieux de rentrer chez moi. »
« Non, sil te plais, reste encore. Tu sais il est plus con que méchant. En fait cest lui qui est jaloux. Il te baiserait bien ! Hihihi ! »
« Ouai ! Ben moi, les types qui puent la bière, non merci ! »
« Hahaha ! Viens que je te montre un truc. »
Elle mentraine à lextérieur, vers la piscine.
« Ha ouiii ! La piscine ! Je lai aperçue en arrivant. »
« Ta pas tout vu, regarde ! »
Elle ouvre une petite boite accolée à un poteau et appuie sur linterrupteur qui se trouve à lintérieur.
La piscine sillumine. Cest magnifique.
Mélanie me prend la main et nous nous approchons du bord. Et là !...surprise !
Dans leau, collés à la paroi, Michel et Guy sont enlacés et sembrassent à pleines bouches. Tout à leurs affaires, ils nont même pas remarqués les lumières et notre présence.
Je pouffe de rire, mais Mélanie pose sa main sur ma bouche. Elle chuchote pour que les deux hommes ne nous entendent pas.
« Chuttttt ! Hihi ! Tais-toi ! Hihi ! On va leur faire peur, ok ? »
Jacquiesce.
Nous nous mettons nues et nous reculons pour prendre notre élan. Quand nous sommes suffisamment loin, nous courons vers la piscine en hurlant et nous sautons en tenant nos genoux.
Surpris, les deux hommes stop net leurs étreintes et nous éclaboussent du revers de la main.
« Ho, les connes ! Vous nous avez fait peur ! Merde ! »
« Hooo ! Les pauvres petits chéris ! Vous ne vous êtes pas cognés les dents au moins ? Hahaha ! »
Jéclate de rire à la plaisanterie de ma nouvelle amie et je plonge.
Sous leau, à la faveur des projecteurs, je vois comme en plein jour. Et ce que je vois ne me laisse pas indifférente.
Les deux hommes, plutôt bien montés, sont en érections.
Encore chaude bouillante de ma petite aventure avec Mélanie, je décide de laisser ma timidité de coté et de tenter le diable.
Toujours en plongée, je nage jusquaux chevilles des deux hommes. Jen choisis un au hasard et remonte à la surface, collée à son corps.
Sa queue tendue, rigide, frappe mon crane. Puis elle glisse sur mon visage, mes seins, mon ventre et pour finir frotte mon sexe. Jenlace mon partenaire, écarte les cuisses et laisse le membre sy installer. Lorsque la baguette de chair glisse et frotte mon périnée, je resserre mes jambes pour la garder prisonnière.
Cest Guy. Surpris par mon audace, il en bafouille.
« Hé ! Mais quest ce que
Tu fais quoi, là ? »
« Ben tu vois bien ! Jai fais de ta bite ma prisonnière ! »
« Mais je
toi, Mélanie
tes
tes pas
gouine ? »
« Hahaha ! Pourquoi, tes homo ? Non ? Pourtant tu roulais bien une pelle à ton pote !? »
« Heu ! Bon oui, mais là ce nest pas pareil ! »
« À bon ? Ok ! Jen conclu que je ne tintéresse pas. Excuse-moi de tavoir dérangé. »
Je bondis en arrière pour méloigner en brasse papillon.
« Hé ! Reviens là, petite salope ! »
Il att ma cheville et me tire. Surprise, je manque de boire la tasse. Il me ceinture et me colle contre la paroi. Sa main libre cramponne mes cheveux et il tire ma tête en arrière. Il semble furieux. Son visage est à quelques centimètres du mien et je peux voir des filets de sang dans le blanc de ses yeux.
« Écoute-moi bien petite putain. Si je veux te baiser, je te baiserai. Ta compris !? »
Je sens à sa colère quil est plus vexé quautre chose. Je décide donc de jouer la carte de la « repentance ».
Tendrement, je passe mes bras autour de son cou et je le ceinture de mes jambes. Je décide de retourner la situation pour calmer ce vilain garçon. Cest tellement simple avec les hommes.
« Ho ! Je suis désolée Guy. Jai mal saisi. Jétais terriblement vexée. Jai cru que je ne tintéressais pas. »
« Tu rigole !? Tu la sens ma queue, hein ? Tu la sens ? Je vais te défoncer !»
Et voilà ! Tout redevient exactement comme je le voulais.
Je lembrasse goulument afin déviter quil ne dise dautre bêtises. Il sagite un peu et je sens enfin son gland heurter mes grandes lèvres. Je sers un peu plus mes jambes autour de sa taille et
le pieu me transperce.
Cest la première fois que je me fais prendre dans une piscine et je dois bien avouer que la sensation est des plus délicieuses.
Je flotte comme un bouchon, montant et descendant à chaque coup de bassin de mon partenaire.
Nous sommes rejoins par Mélanie, Michel et Pierre qui vient de faire un fantastique plongeons.
Je suis en jouissance et la voix de Mélanie augmente encore mon plaisir.
« Hummm ! Tu a fais connaissance ma chérie ? Il baise bien, hein ! Tu la sens bien profonde dans ton ventre ? Taime ca, hein ? Tes une bonne petite salope, hein ? »
Je jouie au moment même ou elle se jette sur mes lèvres pour membrasser.
A lopposé, Michel malaxe mes seins à tour de rôle. Parfois il sattarde sur un téton, létirant, le pinçant fortement.
Je suis de nouveau secouée de spasmes et je jouie comme une folle, lorsque mon ventre est envahi par la douce chaleur du foutre bouillant, sécrasant tout au fond de moi.
Puis, Guy séloigne avec les autres, me laissant aux bons soins de Mélanie.
« Tu es très belle quand tu jouie, tu sais ? »
« Merci, tu es gentille. Pierre na pas de chance, il était encore à lécart. Il va encore piquer une crise de jalousie, non ? »
« Tinquiète pas pour lui. Dis dont ! Ta lair de bien lapprécier ! »
« Ben
Il est plutôt pas mal et cest le mieux monté des trois. Hihihi ! »
« Embrasse moi, cest moi qui vais être jalouse ! »
Nous restons encore un petit quart dheure dans la piscine, à nous embrasser, nous caresser.
Mélanie est dune tendresse inouïe. Un homme ne me donnera jamais autant que cette fille.
A propos dhomme
nous retournons au salon après nous êtres rhabillées et je vais voir directement Pierre.
« Dis moi, Claude na toujours pas redonné signe de vie ? »
« Non, que dalle. Je suis désolé. Mais tu nes pas bien avec nous ? »
« Je nai pas dis ca, mais je suis quand même venue pour lui. »
« Bah ! Il refera bien surface. Tu tes rhabillée ? Dommage. Tu es très belle tu sais ? »
« Merci, cest gentil. »
Je rougie et je veux fuir en rejoignant ma copine. Mais entre temps, elle a du se faire entreprendre par Michel et elle se fait besogner.
Elle est à genoux sur le canapé. Lui, debout derrière elle, la sodomise avec force.
Je suis gênée et ne sais pas trop quoi faire. Alors, dun air dégagé, je me sers un verre et massois près de Mélanie.
Ses cheveux sagitent en rythme et jai toute les peines du monde à voir son visage. Je les écarte et je vois cette jeune fille si jolie, rouge et en larmes.
Touchée, je mapproche et lui demande tout bas :
« Ca vas ? Tu souffre ? Tu veux que je larrête ? »
« Nonnnn ! Nonnnn ! Cest trop bonnnn ! »
Me voilà rassurée, elle pleure de bonheur.
Son tee-shirt baille et me dévoile ses petits seins qui sentrechoc. Je ne peux mempêcher de tendre la main et de les caresser.
« Mmmmm ! Branle-moi Adelineee ! Branle-moiiii ! »
Face à ce cri de désespoir, je ne peux que mexécuter. Je me lève et mapproche de sa croupe. Je glisse une main sous son ventre, descend et atteint son clito gonflé. A peine effleuré, elle pousse un cri. Amusée, je la branle comme une forcenée.
Je vois ses jambes trembler. Je vois également le sexe de Michel entrer et sortir de la pastille brune à une cadence infernal.
Excitée par cette vision et par les cris de Mélanie, je glisse ma main libre sous ma robe et je me branle aussi.
Michel, tout occupé quil est, entreprend de déboutonner ma robe. Puis, il me caresse les seins tout en baisant mon amie.
Je rentre en transe une nouvelle fois. Je ferme les yeux un instant.
« Ten veux ? Je vais ten donner ! Viens là ma poulette ! »
Cest Pierre. Il me pousse sur le canapé et me met à genoux. Jai à peine le temps de réagir, que déjà son dard pousse lentrée de mon fondement. Sentant louverture étroite, il vient se lubrifier dans mon vagin. Son sexe est bon, puissant.
Je le cache, mais je jouie déjà, un peu.
Puis il revient à son envie première. Tout ceci ma laissé du temps pour me préparer et me détendre et cest sans appréhension que je cambre mes reins.
Lorsque son membre prend possession de mon cul, je ne peux mempêcher de soupirer daise.
Mélanie tourne la tête et me sourit tendrement. Elle est amusée de nous voir dans la même position. Les hommes ont adoptés le même rythme et nous sommes secouées en cadence. Ca nous permet dapprocher nos visages et de nous embrasser avec avidité.
Mais soudain, elle se redresse et se cambre en poussant un dernier soupir.
Michel vient de jouir.
Il se retire et laisse la belle sécrouler sur le canapé dans la position du ftus. Elle semble épuisée.
« Regarde salope ! Ta vu dans quel état vous êtes quand on en a finis avec vous ? Ca te plaît, hein, femelle !? Vous aimez être nos jouets !? Répond sale putain ! »
Je le sens, minsulter lexcite au plus haut point. Voilà une solution pour réduire la durée de ma sodomie. Je dois bien reconnaitre que même si japprécie, ce nest pas mon acte préféré.
« Ho oui, je suis un jouet ! Mmmm ! Jaime ca ! Je suis une salope ! Haaaaa ! Jaime que les hommes jouent avec mon corps ! Hummm ! Défonce-moi fort ! Je suis ta marionnette ! »
Et ca marche ! Je le sens se raidir. Il tape plus fort deux trois coups et je sens le liquide bouillant se déverser en moi.
Il me claque les fesses et séloigne.
Tout comme Mélanie, je mécroule sur le canapé. Elle relève la tête.
« Merde ! Ils nous font du bien quand même ces cons, non ? »
Apres une tête dans la piscine, Mélanie mentraine dans une des nombreuses chambres et nous nous aimons toute la nuit.
Je suis la première debout.
Je fouille un peu dans la cuisine et je parviens à trouver ce quil faut pour me faire un café.
Pierre me rejoint.
« Bien dormie ? Tu a passé une bonne soirée, jespère ? »
« Tinquiète, cétait cool. Je suis juste un peu contrariée du lapin de Claude. »
« Ha mais non ! Il ne ta pas posé de lapin ! Il était là ! »
« Quoi ? Quest ce que tu raconte ? »
« Hahaha ! Viens voir. »
Il me conduit au salon. Sur le coin du bar il y a un ordinateur. Il tourne lécran et me le me montre. Il y a une fenêtre de cam, ouverte. Elle montre une pièce et un fauteuil.
« Ha, ben là, il est parti ! »
« Hooo ! Arrête Pierre ! Là tu ménerve ! Tu vas texpliquer, oui ? »
« Regarde
là. »
Il mindique une bibliothèque. Il écarte deux livre et sort une petite cam.
« Viens voir dehors. »
Cachée entre des coussins, il men montre une autre.
« Je comprend pas ! »
« Bon ! Cest très simple en vérité. Il est bien tombé en panne et na pas pu venir te rejoindre. Alors nous avons pensé quil pourrait être là, du moins par lesprit. Il a suivi tout tes ébats sur son ordi. Tu étais filmée, au salon, comme à la piscine. »
« Putain ! Je ne sais pas comment je dois le prendre ! Et toi ? Tu es qui toi ? Et les autres ? Cest qui ? »
« Ne ténerve pas. Haha ! Prend ca comme une expérience originale. Tu verras, je suis sur que tu en garderas un bon souvenir. Quand à moi, Claude tavait parlé dun de ses amis qui habite Reims ? Et bien cest moi. Les autres, se sont mes amis, ils ne savent rien, ils ne sont pas au courant pour les cams. Voilà ! Tu sais tout. »
« Bon ! Ok ! Jai passé une excellentes soirée, mais tu aurais du me mettre au courant. »
Furieuse, je le pousse dans la piscine.
Je rejoins Mélanie. Elle dort encore. Je lui caresse la joue doucement.
Elle se réveille mais reste immobile, les yeux fermés.
Tout doucement, la voix un peu rauque :
« Cest toi Adeline ? »
« Oui ma chérie. Je viens te dire au revoir. »
« Je veux te revoir. »
« Oui, moi aussi. Je te donne ma carte de visite, ok ? Dors bien mon ange. »
Je glisse ma carte dans sa menotte. Je lui donne un doux baiser sur les lèvres et remonte la couverture.
Le jour se lève. Il est temps pour moi de rentrer et davoir quelques explications avec un certain
Claude.
Je dédie cette histoire à Adeline.
Elle se reconnaitra.
Claude.
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