Damien 36 - Abdou 4
Quand je repris le sens des réalités, j'étais toujours allongé sur le ventre et mon mec était toujours fiché dans mon anus.
Abdou s'apercevant que j'étais revenu à moi me demanda "Alors ma petite salope, tu aimes bien ce que je te fais ?
- Oui c'est bon.
- Mais ne t'inquiète, si toi tu as pris un fade, moi je ne t'ai as encore tiré.
- Tu m'as fait jouir follement.
- Je le sais petite pute, tu es vraiment de la chair à bite.
- Merci.
- Ce n'est pas la peine, c'est la vérité, je n'ai jamais vu une pédale qui baise comme toi, quand on t'encule on a l'impression de baiser une pute, mais enfin c'est vrai tu es une petite pute.
- Oui je suis une pute et j'ai encore très envie que tu me baises.
- Ne t'inquiète pas, tu vas être bien enculée ma salope, tu sais Abdou n'est pas un petit baiseur.
- Non tu es un baiseur formidable, jamais on ne m'a baisé comme toi.
- Et tu n'as encore rien vu ma salope, tu vas en prendre toute la nuit.
- Miam !!
- Eh oui.
- Tu sais avec toi j'ai l'impression de mouiller du cul.
- Mais tu mouilles du cul ma salope, tu transpires et je t'encule tellement loin que ta merde fait office de lubrifiant.
- En tout cas je ne me souviens pas avoir joui comme ça.
- Ce n'est que le début, je vais tellement t'enculer que tu vas prendre fade sur fade".
Sans sortir de mon cul mon amant me prit par la taille et me souleva, il me dit "Plie les jambes et mets-toi à genoux, fais reposer ta tête sur le matelas et tends bien ton cul".
J'obéis et je me retrouvais le cul en l'air, les fesses écartées donnant un angle de pénétration plus grand à mon homme.
Celui-ci me dit "Bien ma petite pute, prépare-toi à prendre un autre fade, comme ça je vais complètement te casser le cul, tu vas encaisser ma salope, tu vas voir ce que c'est qu'un vrai baiseur, salope comme tu es je sais que tu vas adorer te faire enculer comme ça".
Posant ses mains sur mes hanches, mon mec commença à me besogner en de virils coups de boutoir.
Le désir un peu retombé par le plaisir que je venais de prendre remonta en moi comme une flèche.
Abdou me baisait violemment, son ventre musclé claquait sur mes fesses portées au rouge à me faire mal.
Chaque fois qu'il m'enfilait jusqu'à la garde je sentais les volumineux testicules durs de mon amant taper contre le bas de mon cul.
J'étais entièrement en feu, j'écartais les cuisses au maximum pour accen la pénétration tout en me cambrant le plus possible pour m'offrir totalement.
Mon mec ponctuait ses fougueux coups de reins par des "Tiens salope encaisse ça, prends ça dans ton cul de pute".
Je n'étais plus qu'un cul, un immense incendie couvait en moi et je savais que seul le formidable phallus qui me forait les reins, m'ouvrant encore plus à chaque fois le trou de balles, pouvait l'éteindre.
J'avais fermé les yeux et mordais les draps pour ne pas hurler le bien que Abdou me faisait.
Je jouissais sans discontinuer tandis que mon amant me pilonnait la pastille avec des "HANS" de bûcherons.
Mon homme se ruait dans mon fondement avec rudesse, chaque fois qu'il plantait son pieu raide au fond de mon rectum en fusion j'avançais sur la couche.
J'avais l'impression que sil continuait comme ça il allait me déchirer complètement mais c'était si bon que je voulais qu'il continue éternellement.
Bien que les coups de boutoir que mon mec m'assénait étaient puissants, ils n'étaient pas désordonnés, Abdou était un baiseur exceptionnel, je savais qu'il gardait la maîtrise de lui et qu'il n'était pas prêt d'éjaculer.
Je commençais à perdre le sens des réalités, les assauts répétés que je subissais me faisait sombrer dans le plaisir où seul comptait le priape roide qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
La bite démesurée me défonçait comme jamais je n'avais été défoncé et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant encore plus mon cul vers celui qui me chevauchait.
Mon amant s'en aperçut et dans le brouillard où je me trouvais j'entendis sa voix qui disait "Ah salope, tu aimes te faire enculer par Abdou, je le vois bien de la manière dont tu tournes ton cul blanc de pute, tu vas encore en avoir, je vais le casser complètement ton petit trou du cul de salope".
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me baisait, j'étais dans un état second, tout mon corps était en feu et le moindre contact contre ma peau me faisait frissonner.
Mon mec s'était immobilisé et, m'ayant attrapé aux solidement hanches, me faisait aller et venir sur son énorme verge turgescente.
J'avais le trou du cul complètement éclaté et la monumentale hampe coulissait en moi de plus en plus vite.
La bouche grande ouverte je bramais sous les vigoureux coups de bite que je recevais.
Abdou me prit aux épaules et se mit à me posséder à une vitesse effrayante, chaque fois que son ventre musclé claquait contre mon fessier enflammé, j'avais l'impression qu'on me giflait les miches.
En dehors de mes hurlements on entendait dans la pièce les bruits de succion que faisait mon anus béant chaque fois qu'il avalait le gigantesque membre érigé.
Je me sentais partir de plus en plus, jamais je n'avais ressenti un tel plaisir, j'avais l'impression que cet homme était inépuisable.
Les mains crispées sur mes épaules mon amant me baisait comme un dément, ses coups de reins redoutables me fendaient un peu plus le fion à chaque poussée me faisant perdre complètement contact avec la réalité.
Mon homme était une vraie bête de sexe, il me besognait m'amenant au paroxysme de la jouissance.
J'avais atteint le point de non-retour, je griffais les draps ondulant des hanches comme un damné et je me mis à délirer.
Soudain un spasme vertigineux m'emporta, je hurlai à plein poumons, je tendis ma croupe vers celui qui m'enfilait puis je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, j'étais allongé à plat ventre sur le lit cuisses écartées et mon mec me sodomisait toujours, ses mouvements étaient toujours aussi violents.
Voyant que j'étais de nouveau éveillé Abdou me dit "Ca y est réveillée ma petite pute, tu aimes ça te faire enculer, allez remets toi à quatre pattes ma petite salope on continue.
- Mais toi...
- Non pute je ne t'ai pas encore tiré et je n'ai pas l'intention de te tirer tout de suite, il faut que je profite encore longtemps de ce cul de rêve de petite pute, tu sais que tu es une salope, une vraie salope qui ne veut que se faire enculer et bien moi je vais t'enculer toute la nuit, tu vas encore prendre un fade avant qu'on aille chez toi pour finir la nuit et là tu vas voir je ne vais plus sortir de ton cul de petite pute avant demain matin, tu auras ton trou du cul complètement démoli, j'espère que chez toi tu as de l'huile.
- Oui pourquoi.
- parce que à un moment tu n'auras plus de merde pour lubrifier et si tu ne veux pas que je te brûle le cul tu as intérêt à avoir de l'huile.
- J'ai aussi du lubrifiant, du KY.
- Très bien ma petite salope, allez mets-toi en position pour en prendre encore plein le cul".
Aussitôt mon homme recommença à me posséder avec une violence inouïe de toute la longueur de son fantastique sexe.
Le désir un instant retombé après ce que je venais de vivre se mit aussitôt à renaître en moi et je recommençai à rouler des hanches en cadence, mon mec me dit "Ah salope, à peine revenu des vapes que déjà tu tournes ton cul sur ma bite, quelle putain tu es, une affamée de la bite, ah tu en veux et bien tu vas en avoir petite pute".
Ces paroles m'aiguillonnèrent et la volupté s'empara de mon être embrasé.
Les poussées que je recevais me faisaient avancer sur la couche, la manière dont Abdou me baisait était bestiale mais ce que je ressentais était immense, je jouissais de tous les pores de la peau.
Chaque fois que le pal s'enfonçait au plus profond de mes entrailles dévastées je sentais le plaisir monter d'un cran, j'avais le cul complètement éclaté et la pine roide de mon amant entrait dedans comme dans du beurre.
Sous les rudes assauts répétés je tombai la tête sur la couche et le cul en l'air, mon homme me prit par la taille et continua à me posséder brutalité.
Je me dis que s'il continuait de la sorte il allait me déchirer mais ce que je ressentais était tellement fort que je voulais que jamais il ne s'arrête et je commençai à pousser de lourds râles de félicité.
Sans que nos corps ne se disjoignent mon homme me fit tourner sur son membre démesuré et me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia jusqu'à ce qu'elles touchent mon visage.
Dans cette position j'avais l'anus complètement ressorti et mon mec se remit à me besogner de toute la longueur de sa bite turgescente.
Chaque fois que son pubis tapait contre mes fesses enflammées je poussai de petits cris qui firent dire à mon mec "Ah salope tu aimes ça la baise, tiens prends donc ça dans ton cul pute, je vais t'enculer jusqu'à ce que je te démolisse complètement le derche petite pédale avaleuse de bite, quand je vais te lâcher tu ne reconnaîtras plus ton trou du cul de salope, jamais plus il ne se fermera, ce sera un tunnel ouvert pour bites noires".
Tout à mon plaisir j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourai l'intense volupté qui montait en moi avec fureur et je me mis à venir à la rencontre du monstrueux phallus qui me forait pour accen la pénétration.
Abdou me pilonnait l'arrière train avec une frénésie incommensurable, chaque fois que son formidable pénis d'ébène se plantait au plus profond de mon cul en ébullition je hurlai de bonheur.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me baisait, jamais je n'avais ressenti un tel plaisir au cours d'une enculade, mon homme contrôlait parfaitement son priape et je sentais qu'il n'était pas prêt d'exploser alors que j'avais pris déjà deux fois mon pied et que je montais encore au septième ciel, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum.
J'étais tel un pantin désarticulé sous mon homme, j'avais saisi mes jambes de mes mains et les écartai le plus possible tout en me cambrant pour m'offrir au maximum à celui qui me montait.
Mon mec me dit "Quelle putain tu es, regarde moi ça comment tu m'ouvres ton fion, vas-y écarte-toi encore plus que je démolisse ton trou du cul de petite pute, ah salope, cul à bite".
J'avais atteint la plénitude rectale, seul comptait pour moi cette fabuleuse pine noire qui m'ouvrait un peu plus la corolle chaque fois qu'elle se fichait au tréfonds de mes entrailles.
J'avais perdu tout sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par cette phénoménale queue raide qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
J'ouvris les yeux et vis le visage de Abdou qui grimaçait de plaisir, on voyait à son apparence que lui aussi prenait un bonheur extrême à me sodomiser.
Mon amant avait posé ses mains de chaque côté de mon corps et m'envoyait de redoutables coups de reins, ses couilles frappaient mes fesses en feu chaque fois que l'imposante pine se plantait au fond de ma fournaise tuméfiée.
Je voyais l'extraordinaire membre turgescent entrer et sortir à toute vitesse d'entre mes miches calcinées, j'ondulais fou de désir tendant au maximum mon arrière-train vers cette fabuleuse hampe qui m'emportait au summum de la délectation.
Jamais je n'avais ressenti autant de plaisir sous un homme, cela faisait au moins une heure que mon homme m'enculait sans sortir de mon antre béante et affamée et mon corps n'était plus quune braise incandescente.
Dans la pièce, en dehors de mes halètements et de mes hurlements de bonheur, on entendait le bruit de succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait la superbe bite d'ébène.
Je me tordais comme un damné sous les terribles coups de boutoir que je recevais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles Je passais.
Un orgasme fulgurant me balaya, mes jambes battirent l'air, je plantai mes ongles dans les épaules musclés de mon mec, mon corps se tendit comme un arc, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je sombrai dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, Abdou n'était plus en moi il était assis sur le lit me regardant.
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