Un Rayon De Soleil
Début Mars, je pose une journée de congé pour me permettre de faire les boutiques et dêtre disponible pour le RDV à 14h avec le plombier. Cela fait plusieurs semaines que leau nest plus assez chaude et le bouton de réglage de la température est défectueux. Je me lève doucement à 9h. Mon planning ? Ce matin, zen, prendre soin de moi, me bichonner ; début daprès-midi le RDV et puis le shopping, tout est organisé. Seule ombre au tableau, les fameuses giboulées de mars ! ! Il pleut averse mais peut-être que cette après-midi, le soleil se montrera
9h15, je petit déjeune, je suis encore en peignoir. Jai la tête dans les nuages (du grand nord), mon esprit vagabond
Tout à coup, la sonnerie de linterphone retentit ! ! A cette heure, peut-être le facteur me livre-t-il mon nouveau jouet ? La cata, le plombier est en bas, il a un RDV dannulé et comme il se trouvait dans les parages, se propose de passer de suite pour lintervention. Prise au dépourvu, je nose dire non. Et puis après tout, je serai totalement libre pour le restant de la journée, je partirai plus tôt faire les boutiques et prendrai le déjeuner en ville dans un petit resto italien que jaffectionne plus particulièrement.
Urgence, il monte, je ne peux pas le recevoir dans cette tenue. Je file dans la salle de bain, laisse tomber la nuisette sur le sol et enfile fébrilement un pantalon de jogging et un Tshirt. Pas le temps de sattarder sur les détails, jentends la sonnette de la porte dentrée. Jouvre, un peu essoufflée et me retrouve face à un bel homme. Je linvite à rentrer et en profite pour le passer au crible. Grand, je dirais 1.85m, brun, yeux verts, environ 35 ans. Sa barbe naissante, ses épaules larges accentuent la virilité quil dégage. Toutefois, on devine chez lui, une sorte de douceur, peut-être ce sourire
Je le précède pour laccompagner dans la cuisine. Je sens, je devine son regard posé sur moi. Est-il en train de me mater les fesses, sait-il aperçu que je ne portais pas de sous-vêtements ? Allez, la chaudière ! ! Je lui expose brièvement les problèmes mais ma tête est ailleurs.
Je remarque que tout cela ne lui a pas échappé par ce sourire si délicatement dessiné sur ses lèvres. Il a décidément beaucoup de charme. Me voyant un peu mal à laise, il en profite et me lance « Bel objet déco ». Je ne sais que répondre. Et il ajoute « Quel réalisme, plutôt bien imité ». En un éclair, je pivote, lui tourne le dos quune idée en tête, ranger mon jouet intime.
Je le sens se rapprocher et dans cette salle de bain exiguë pas moyen de se défiler, je me sens prise au piège, un peu effrayée mais aussi excitée. Maintenant, il me colle et je sens son sexe au niveau de mes fesses à travers son pantalon. Me devinant pas indifférente à ses avances, il commence à poser ses mains sur mes hanches puis elles glissent tout doucement sur mon ventre, passent sous mon Tshirt. Ils me caressent les seins, cest bon ! Ses mains sont chaudes mais jai des frissons. Le désir monte en moi. Je bascule la tête en arrière, mon cou se dévoile. Il y appose ses lèvres, lembrasse, me le lèche. Sa langue remonte, il me mordille le lobe avant dintroduire sa langue dans le trou de loreille
.Ahhh, je meurs, je nen peux plus. Je me trémousse, me contorsionne. Ses mains sont redescendues et entrent dans mon pantalon. La main gauche reste sur ma hanche tandis que la droite « cherche le chemin » et sans aucune peine arrive sur mon clitoris.
Je retire mes mains de sa chevelure et les pose sur son cou linvitant à se redresser. Il remonte tranquillement en me léchant tout le corps, ses mains me malaxant les fesses. Debout de nouveau, il me sourit tandis que je mabaisse. Je lui déboutonne son jean, son pénis est en érection, il bande comme un taureau. Et là, je commence par lui lécher le gland, très sensible, puis jintroduis son pénis dans bouche. La fellation du bonheur, je pétris des testicules, il gémit, son souffle mexcite davantage. Il me caresse les cheveux, me guidant de sa main droite. Sa main gauche pendant ce temps retire de sa poche de chemise un préservatif. Il est bien équipé le garçon, il a tout prévu. Je ne lâche rien, continuant à le masturber de la main gauche, jatt de la main droite le préservatif quil me tend. Avec mes dents, je déchire lemballage puis déroule avec ma bouche dabord puis ma main, le préservatif sur sa verge gorgée de sang. Je me redresse. De nouveau plaquée sur le mur, il se saisit de ma cuisse droite et la remonte si haut que mon pied gauche touche à peine le sol. Mon vagin soffre à lui, il sintroduit, me pénètre avec force. Sa fougue me chavire, il me secoue, à chaque coup de reins, je gémis, « oh oui, viens, cest bon, oui ! » Son râle dans mon cou mexcite grave, je vais jouir, cest sûr
et là je me lâche. Mon souffle se précipite, mon cur semballe, je crie « OUI ! ! » lorgasme est exceptionnel, intense, bestial.
Après ce pur moment de bonheur, il est reparti comme il était venu, ce bel hidalgo, un rayon de soleil dans cette matinée pluvieuse.
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