Damien 37 - Abdou 5

Sa gigantesque virilité était toujours aussi tendu, il n'avait pas joui en moi, il me dit "Alors salope tu viens encore de prendre un superbe fade.
- Oui j'ai joui comme jamais.
- Je le sais et mes épaules aussi.
- Excuse-moi.
- Mais non au contraire j'ai bien vu le pied que tu as pris ma petite pute, tu aimes bien la bite d'Abdou, tu aimes te faire enculer par elle.
- Oh oui, jamais on ne m'a baisé comme toi.
- Rassure-toi, j'en ai pas encore fini avec ton cul ma salope, tu vas encore en prendre toute la nuit.
- Mais tu ne jouis jamais ?
- Si mais je ne suis pas arrivé au point de te tirer, tu vas voir quand je vais t'inonder le cul, ça va te faire tout drôle, tu vas prendre des litres de jute dans ton trou.
- Humm !!
- Bon maintenant on va continuer chez toi.
- D'accord.
- Avant que je me rhabille, suce-moi pour rendre ma queue propre".
Je baissais les yeux vers l'énorme phallus en érection, il était maculé de traînées brunes, reste de mes sécrétions anales.
Je compris que Abdou me testait, sans hésitation je me mis à genoux et commençai à lécher le colossal pénis pestilentiel.
Au bout de quelques instants le sexe de mon amant était complètement nettoyé, j'avais la bouche qui puait la merde et mon homme me dit "Ce sera comme ça souvent dans nos soirées, mes potes adorent se faire décrasser la bite par une bonne langue de suceuse.
- Ce n'est pas grave, ça ne me gène pas.
- Je le sais tu me l'as dit et je viens de le voir, seulement pour ce soir, je ne veux pas que tu pues tout de suite, on verra tout à l'heure, vas donc te laver la bouche dans la salle d'eau et profites-en pour te laver le cul pendant que je me passe la queue au gant de toilette.
- D'accord".
Quand je ressortis de la salle de bains, Abdou avait remis son boubou et m'attendait.
Je m'habillai et évitant de mettre mon string qui ne servait à rien étant donné la manière dont mon œillet était ouvert.


Nous descendîmes au parking où une luxueuse BMW attendait, une fois montés dedans mon amant me demanda "Où habites-tu ?".
Je lui donnai mon adresse.
Nous sortîmes du parking et au bout de quelques instants mon homme me dit "Comme tu n'as rien à faire jusqu'à chez toi, profites-en pour t'amuser avec ma bite, tu vas me sucer jusqu'à qu'on arrive chez toi.
- Si tu veux.
- Oui je le veux, ne t'inquiète je ne vais pas te tirer dans la gueule, le premier coup que je vais te mettre je le réserve à ton trou du cul".
Mon mec releva son boubou et la splendide verge toujours érigée pointa vers le plafond, je penchai la tête vers l'entre jambe de Abdou et me mit à porter de petits coups de langue sur le gland turgescent.
Pendant tout le temps que dura le trajet, je suçai et léchai la hampe démesuré, mon amant semblait les gâteries que je lui faisais en me disant de temps en temps "C'est bien ma petite pute, suce bien mon gros sucre d'orge, prends le entier dans ta bouche de salope, allez suce petite pédale, fais ce pourquoi tu existes".
La lente fellation que j'appliquai à mon homme commençait à me faire bouillir, c'est vrai que j'avais été bien baisé et même merveilleusement mais je n'avais pas encore reçu le flot de semence qui manquait pour apaiser un peu mes sens et je sentis une douce chaleur s'emparer de tout mon bas-ventre.
Quand nous arrivâmes devant chez moi, mon mec me repoussa gentiment et descendit son boubou sur sa monstrueuse pine luisante de salive.
Nous descendîmes de voiture et nous prîmes l'ascenseur pour monter chez moi, une fois dans la cabine je dis "Tu sais, j'aimerais que tu me tires, je suis complètement en feu.
- Cette fois je vais te tirer salope, je vais inonder ton trou du cul.
- Merci.
- De rien salope".
Je m'étais habitué à ce que Abdou ne m'appelle que salope, pute, pédé, pédale, après tout c'est tout ce que j'étais, je n'étais qu'une salope, qu'une pute, qu'un pédé, qu'une pédale puisque la seule chose que je voulais c'était me faire baiser et sucer des bites.

Une fois entrés dans mon appartement mon amant me dit en enlevant son boubou "Déshabille-toi et allons dans ta chambre".
J'obéis et conduis mon homme vers la pièce désignée, mon mec me caressant les fesses me dit "Allez mets-toi à quatre pattes sur le lit".
Je pris la position exigée, Abdou se mit derrière moi à genoux, il promena son énorme gland turgescent le long du sillon de ma croupe me faisant frémir et me dit "Eh bien ma salope, ton trou du cul a déjà changé de tête depuis la première fois où je l'ai vu, il est beaucoup ouvert, mais tu vas voir demain matin ce sera encore pire. Je vois bien que tu es une vraie pute, il suffit que je promène ma bite contre ton cul pour que tu réagisses. Allez tu vas prendre ton compte".
Mon amant positionna son fantastique bout durci contre l'orée de ma rondelle et d'un puissant coup de reins il s'enfonça en moi jusqu'à la garde me faisant gémir.
Mon homme posa ses mains sur mon dos pour me cambrer et entama de longs et puissants mouvements de va et viens.
Dans l'état d'excitation où je me trouvai cela ne tarda pas à me faire basculer dans le plaisir.
Sentir ce membre bouger en moi m'excitait au plus haut point et tout à mon plaisir je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon postérieur vers le pénis qui me possédait et en comprimant et relâchant mon sphincter.
Mon mec me dit "Mais c'est bien ça ma salope, j'aime quand tu trais ma bite comme ça, continue pute, tu as un bon cul de salope".
Abdou m'agrippant aux hanches commença à me posséder à une vitesse folle, chaque fois que la pine démesurée plongeait au tréfonds de mes entrailles je poussai un couinement de bonheur.
Tout mon être était en feu, des vagues de plaisir prenaient naissance dans le creux de mes reins pour venir exploser vers mon visage en mille bulles de couleurs.
Mon amant me pilonnait le derche en de larges et virils coups de bite qui me fendaient un peu plus la rosette chaque fois que le majestueux phallus raide se plantait en moi.

J'étais rempli comme jamais une bite ne m'avait rempli et je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mon bonheur.
Mon homme pesa sur mes épaules pour que je baisse les bras et que je me retrouve la tête sur les draps et le cul en l'air complètement offert au fabuleux membre qui me forait les reins.
Chaque violentes poussée de mon mec m'envoyait un peu plus dans un brouillard où seul comptait l'ivresse de sentir une queue me défoncer l'intimité.
Abdou me possédait avec une violence inouïe, son ventre plat claquait contre mon fessier porté au rouge à me faire mal.
Sous les brutaux assauts que je subissais, je criais, je haletais et râlais, seul pour moi comptait cette phénoménale pine qui me perforait le fondement.
Je planais littéralement sous les coups de boutoir redoublés que je recevais.
Chaque fois que le merveilleux sexe m'enfessait jusqu'à la garde j'avançais sur le lit.
J'étais devenu complètement saoulé de sexe, je roulais des hanches, je pressais mon anneau contre le monumental pénis qui me bourrais le fion.
Bien que mon amant me sodomise violemment, ses mouvements n'étaient pas désordonnés et je savais qu'il allait encore m'amener à la jouissance avant d'exploser dans mes intestins.
J'avais atteint la plénitude rectale, je ne vivais plus que pour et par l'immense membre qui me labourait l'anus.
Ce que je ressentais était tel que je hurlais sans discontinuer sous les rudes coups de bite de mon homme.
Un énorme incendie couvait en moi, j'étais comme un volcan en éruption.
Sous l'intense excitation sexuelle, j'étais en nage, mes miches trempées de sueur bouillonnaient.
Mon mec était agrippé à mes cuisses et me besognait avec des "HANS" de bûcheron.
Pour la première fois de ma vie je commençais à avoir mal au cul tellement Abdou m'avait asséné de coup de reins, cet homme était vraiment uns monstre en terme de baise, il semblait inépuisable.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me sodomisait, j'avais envie qu'il jouisse en moi, que son jus de mâle éteigne le brasier qui me consumait.

Mon homme se ruait dans mon cul avec une ardeur inimaginable, sa superbe virilité d'ébène m'éclatant l'anneau toujours plus.
Mon corps enfiévré n'était plus que volupté, j'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l'irrésistible montée d'un incroyable fade qui se préparait.
Quand il me sentait prêt de jouir mon mec ralentissait ses allées et venues pour se remettre à me pilonner le cul dès qu'il sentait que la tension était quelque peu retombée.
Je ne sais pas combien de temps dura cette enculade mais j'avais l'impression d'être dans une extase permanent.
L'infatigable priape noir semblait ne devoir jamais arrêter de me défoncer l'arrière-train.
Jamais je n'avais ressenti un tel bonheur, c'était indescriptible, j'écartai les cuisses au maximum, j'avais posé mes mains sur mes lobes charnus que j'écartais tout en tendant mon derrière pour m'offrir encore plus à l'extraordinaire queue qui me cassait le fion encore plus à chaque bourrade.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer bramant toutes les phases par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier Abdou explosa en râlant, ses abondants et épais jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m'écroulais sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me chevauchait.
L'orgasme de mon amant était tellement puissant que j'avais l'impression qu'on me faisait un lavement, son éjaculation semblait ne jamais devoir stopper.
Quand enfin le phallus arrêta de se vider en moi, je sentis mon homme se lever de sur moi.
Quand le sexe sortit de mon antre béante cela fit un bruit de succion tant j'étais rempli de liqueur séminale.
Je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.

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