Pourquoi Pas

Valentine et Greg fréquentaient de temps à autre les clubs libertins pour pimenter leurs ébats sexuels et entretenir la libido.
Cette chaude soirée de juillet était propice à toutes les coquineries. Greg était rentré du boulot et avait trouvé Valentine étendue sur le relax de la terrasse, endormie, entièrement nue. Coquette, elle aimait se faire bronzer ainsi et ne pas avoir de marque de bretelles ou de sous vêtement. Cette vision forte excitante fit bander Greg direct. Il profita que sa belle fut encore endormie et s’agenouilla au pied du transat. Il embrassa son pubis, tout en introduisant un doigt furtif dans son vagin. « Huumm, la cochonne, même au repos, elle mouille ! ! ! » A quoi donc pouvait-elle rêver ? Sentant les va et vient de Greg dans sa chatte, elle ouvrit un œil et lui sourit. « Bonsoir, monsieur ? C’est pourquoi ? » « Pour vous baiser, pardi, grosse vilaine ! ! Vous êtes déjà toute mouillée, vos rêves étaient-ils érotiques ? »
Elle lui raconta qu’elle rêvait de leur dernière soirée au Club libertin, le WHY NOT. Elle rêvait d’un plan à trois ou quatre, elle ne savait plus trop. En fait, elle ne se souvenait pas souvent de ses rêves, même les plus fous. « Alors, comme tu es toute excitée, pourquoi pas y faire un petit tour ce soir ? » Valentine afficha un sourire coquin qui en disait long, « Why not ? » dit-elle en guise de réponse.
Une petite douche, une robe à même le corps, une paire d’escarpins à talons aiguille, Greg aimait Valentine pour la beauté qui émanait d’elle simplement, sans artifice outrancier. Elle dégageait une sensualité que beaucoup d’homme remarquait. Greg était fier de cela, de savoir que les autres pouvaient désirer cette femme qui partageait sa vie.
En une petite demi-heure, ils furent arrivés au WHY NOT. Toujours aussi sympa, le proprio des lieux leur tendit tout le nécessaire du «parfait petit libertin » en leur souhaitant une chaude soirée coquine. Le lieu était bondé, il y faisait une chaleur saisissante.

Vite déshabillés, ils allèrent au bar pour se désaltérer et faire connaissance avec les autres convives et évidemment un petit repérage de bons coups éventuels. Les regards se croisaient, des sourires. L’ambiance était détendue comme d’habitude, la discussion facile.
Valentine se pencha vers Greg et lui susurra à l’oreille « As-tu remarqué ce gars au bout du bar, c’est celui de la dernière fois dont j’aurais bien fait mon petit 4 heures » Evidemment, Greg l’avait tout de suite repéré et inversement d’ailleurs. Depuis leur arrivée au bar, ce bel étalon mangeait Valentine du regard.
Greg voulant fumer, ouvrit la porte qui donnait sur la terrasse, Valentine le suivit et referma la porte derrière elle. Elle trouva une place sur un petit banc à côté d’un autre couple tandis que Gille fumait tranquillement debout. Ils furent vite rejoints. « Bonsoir, moi c’est Olivier, vous vous souvenez de moi ? Je peux m’asseoir ? » Il n’y avait pas beaucoup de place mais Valentine se décala et Olivier put s’asseoir auprès d’elle, tout près, collé. Elle sentait le contact de sa peau sur la sienne et en était toute excitée. Elle bougeait, croisait et décroisait les jambes. Greg s’amusait de ce spectacle, il savait que Valentine avait des envies folles de se faire prendre par Olivier mais il n’allait rien entreprendre pour une fois. Olivier lui, comme pour se caler ou ne pas tomber, avait passé son bras derrière Valentine pour prendre appui. Sa main effleurait ses fesses, rien n’était innocent. Valentine regarda Greg qui lui sourit. Elle vit dans son regard l’approbation qu’elle attendait.
Et là, pour la première fois, elle entreprit de montrer son désir. Elle posa délicatement sa main sur la cuisse d’Olivier, lui massa l’entrecuisse sans tarder à remonter rapidement vers son sexe. « Oh Oh mama mia , mais tu es en forme à ce que je vois mon p’tit gars ! !» dit-elle sur le ton de la plaisanterie. Elle empoignait à présent son pénis dur comme un roc et commençait à la masturber. Les mouvements étaient de plus en plus rapides.
Le couple assis sur le banc venait de se lever. Olivier mit ses mains sur les épaules de Valentine et exerça une pression. Elle s’allongea le dos sur le banc offrant sa chatte humide à la dégustation. Il se pencha, commença par lui pétrir les seins, lui pincer les tétons. Il lécha cette poitrine gonflée par le désir puis descendit tout doucement vers le pubis.
Greg n’en ratait pas une miette. Il aimait voir sa tendre prendre du plaisir et se masturbait. Olivier avait saisi son clitoris entre ses dents et le titillait avec rage. Sans aucun heur, cette stimulation à outrance faisait tourner la tête de Valentine qui gémissait « Oui, vas-y c’est bon, continue, tu es un dieu ! ! ». Il avait aussi introduit deux doigts dans son vagin imbibé de cyprine. Et ses va et vient rapides allait faire jouir Valentine sous peu. « Non, c’est trop tôt » pensa-t-elle.
Elle reprit donc la main sur les évènements. Elle s’assit et demanda à Olivier de se mettre à côté de Greg. Surpris, il obéit. « Je veux que tu te masturbe aussi devant moi » dit-elle. Elle se mit elle aussi à se masturber. D’une main elle écartait ses lèvres humides et toutes chaudes et de l’autre se massait le clitoris en se contorsionnant. Les jambes bien écartées, elle offrait une vue de tout premier choix à ces 2 coquins au garde-à-vous très affairés. Leurs sexes étaient tendus, gorgés de sang. L’excitation générale à son paroxysme.
Là, elle s’arrêta tout net ! ! Surprenant ses compagnons de jeu, elle se leva, pris Olivier par la main pour le positionner sur la gauche du banc et puis alla chercher Greg qu’elle posta sur la droite. Quant à elle, maîtrisant la situation et décidant en tout point du scénario, elle s’agenouilla sur le banc face à Greg. Elle empoigna sa queue d’une main ferme et dit
« Vas-y Olivier, je veux te sentir, prend-moi maintenant, par derrière ! ! » Il enfila un préservatif et s’introduit énergiquement dans cette chatte en feu. Quelle puissance, quelle fougue ! ! !. A chaque coup de rein, Valentine émettait des petits cris de plaisir. Pendant qu’Olivier la défonçait, elle suçait Greg frénétiquement. Sa queue était raide, délicieuse. Elle aspirait et enfonçait son gland profondément dans gorge. Le rythme des va et vient de sa bouche et de sa main sur son pénis se calait à celui des coups de queue qu’elle recevait.
L’harmonie parfaite, l’extase.
« Je vais jouir » dit Greg en se retirant. « Moi aussi, oh ouuuuuiiii vas-y » cria Valentine. Son orgasme fut intense. Parfaitement synchronisé avec la jouissance d’Olivier. Elle avait aussi apprécié apercevoir Greg éjaculer et se vider de sa semence à ce même instant. L’orchestration parfaite menée par des doigts de fée, un pur moment de plaisir.