Comment Je Suis Devenue Une Moins Que Rien - Chapitre 3
Dimanche, 9h du matin. Un réveil sonne sur la table de nuit à côté de moi. Pendant un instant jai du mal à réaliser où je suis : cest la première fois que je dors dans la chambre damis, et je navais réglé aucun réveil ! Apparemment, Emeric sen était chargé pour moi. De toute évidence, il voulait que je me lève pour leur préparer un petit déjeuner. Je ne savais pas à quelle heure ils allaient se lever, je ne pouvais pas prendre le temps de me laver, dautant plus que le frigo étant vide, jallais devoir faire quelques courses pour pouvoir préparer un petit déjeuner digne de ce nom (digne que je ne sois pas réprimandée). Heureusement, une petite supérette de mon quartier ouvrait le dimanche matin. Je mhabillais donc rapidement et sortis faire des emplettes.
Une fois rentrée, je noubliais pas denfiler ma tenue de bonne (je navais pas envie de me faire gronder) et je me mattelais à préparer un bon petit déjeuner, avec café chaud, croissants, jus dorange, toasts
Emeric arriva dans la cuisine le bras autour de la taille de Sonya alors que jétais en train de mettre la table.
- Bien, je vois que tu as compris le message !
- Il ny a que du café ? Je ne bois que du thé ! Tu aurais dû te préparer à toutes les possibilités ! Quest ce que je vais prendre moi maintenant ?
- Magaly, je suis très déçu
A lavenir tu feras attention de faire faire ce qui plait à Sonya, afin de la servir au mieux ! En attendant, je vais devoir prévoir une punition pour cette erreur. Il ne faudrait tout de même pas que tu oublies ton rang !
« Mais cest MOI, ta copine ! ». Je gardais cette réflexion pour moi. Elle ne lui aurait pas plu, bien sur. Je nen étais pas moins blessée.
- Au fait, ton repas dhier ta-t-il plu ?
- Ou
Oui.
- Oui Maître ! A partir de maintenant, nous allons instaurer quelques règles. Je suis ton Maître, et Sonya ta Maîtresse, tu ne devras donc nous appeler quainsi. En ce qui concerne ton repas, jétais sûr que ça te plairait ; quest ce qui peut mieux convenir à une chienne que de la pattée pour chien ? A partir de maintenant, tu ne mangeras plus que ça.
- Mais
Je ne peux pas rater des cours comme ça !
- Ne proteste pas ! Et ne tinquiètes pas, je règlerai ça avec ton proviseur
Pendant cette discussion, ils avaient tout deux entamé leur petit déjeuner, pendant que moi je restais servilement debout devant eux, à les regarder manger. Mon estomac gargouilla.
- Ah, tu as faim ?
Il venait de finir de manger et se leva, dans un grand sac il prit une boite de pattée pour chien et
une gamelle. Il vida le contenu de la boite dans le récipient quil posa par terre :
- Tu es une chienne qui mange de la nourriture de chienne, comme une chienne.
Je me mis donc à quatre pattes et entrepris difficilement de manger ma pattée. Cela les fit beaucoup rire.
Le reste de la journée se passa calmement. Ils devaient être fatigués par leur soirée passée, et je létais également.
Je dus leur préparer leurs repas de midi et du soir, et le reste du temps je restais debout à leurs côtés, prête à obéir au moindre de leurs ordres. Ce qui métait très difficile, cétait de les voir se faire des papouilles, se dire des mots doux, toutes ces petites attentions que javais longtemps attendues sans jamais y avoir droit.
Cette nuit-là fut plus calme que la précédente, et je pus mieux dormir.
Le lendemain, lundi, fut identique, je me levai le matin tôt pour préparer le petit déjeuner, et me tenait disponible toute la journée.
Après le déjeuner, une fois que la table fut rangée, la vaisselle faite etc
Pendant le café, je me tenais debout près de la table à mon habitude, lorsquEmeric rompit le silence :
- Sonya, mon amour, jai un cadeau pour toi.
Mon amour ? Un cadeau ? Ca allait trop loin ! Il Laimait et LUI offrait des cadeaux, alors quil ne men avait plus fait depuis au moins deux ans. Je voulais crier « JE suis ta copine, tu Maime, fais MOI des cadeaux !!! ».
- Quest-ce que tu en penses ma chérie ?
- Il est magnifique ! Merci mon cur, tu sais toujours comment me faire plaisir !
- Magaly, viens donc lui mettre ce bijou ! Et fait bien attention, cest précieux ! Et fais aussi attention à Sonya, elle est encore plus précieuse !
Rouge de colère, je dus obéir, je saisis le collier sertis de diamants et le portait au cou de Sonya, un cou fin et délicat, qui porterait bien mieux que moi un tel bijou.
Sous un ordre dEmeric, jallais chercher un miroir pour quelle puisse sadmirer.
- Il est vraiment superbe ! Il a dû te coûter une fortune ! Tu es un ange !
Et elle se leva pour lembrasser. Il la prit sur ses genoux, une main derrière sa nuque, lautre descendant le long de son dos, jusquà ses fesses quil caressa au travers du tissus de sa robe, puis sa main alla de la nuque à la poitrine, quil caressa également. Cela commençait à devenir érotique, et je savais comment ça allait se finir. Effectivement, il ne tarda pas à la soulever et la pencher sur la table, il souleva juste sa robe : elle ne portait pas de sous-vêtements, il pu donc directement atteindre son vagin déjà humide pour aller vers le clitoris quil caressa attentivement. Elle gémit.
Jétais face à eux et ne pouvait donc voir que leurs expressions, mais ça ne suffisait pas à Emeric : il minvita à venir derrière afin de ne pouvoir rater aucun détail.
Il caressait toujours le clitoris de Sonya, et parfois son majeur retournait dans sa grotte humide pour revenir de plus belle tourner autour de son bouton de plaisir. Son autre main, pendant ce temps, avait baissé son décolleté pour pouvoir caresser ses seins, titiller ses tétons. Sonya gémissait, soupirait. Elle était étonnante de sensualité, prise ainsi, dans le moindre de ses soupirs, le moindre de ses mouvements
Pour ne pas avoir à cesser de soccuper delle, Emeric me demanda de sortir sa queue de son pantalon, ce que je fis.
- Je viens !!!
Il mordonna de rentrer sa bite dans cette chatte trempée. Quand je pensais être arrivée à un extrême dhumiliation, Emeric poussait les limites encore plus loin : aider mon copain à pénétrer sa maîtresse ! Bien sûr, jobéis rapidement et alors que je faisais rentrer son sexe tout raide dans le vagin de Sonya, celle-ci hurla de plaisir en jouissant dessus. Je ne manquais rien du spectacle : je pouvais voir son vagin se contracter et décontracter autour de cette grosse queue, tandis quelle continuait de crier son plaisir. Rien quen voyant ça, en entendant ces cris, je failli jouir sur place. La mouille coulait à flots le long de mes cuisses, ce quEmeric remarqua, et ramonant sa maîtresse, il commentait mon comportement :
- Espèce de chienne, ça texcite de voir ton copain faire lamour à une autre femme devant toi hein ? Un super canon, tu narriveras jamais à sa cheville, toi qui es une petite putain, qui mouille devant un tel spectacle, qui se plait à se faire humilier, hein salope ? Ca te plait ça !
Alors quil prononçait toutes ces insanités, son rythme sétait accéléré. Je ne lexcitais pas. Ce qui lexcitait, cétait de me dégrader, de minsulter, de me rabaisser au plus bas niveau. Il se délectait. Et ma mouille nen coulait que plus. Javais du mal à tenir debout tellement jétais excitée.
Soudain, il sortit et, dirigeant son sexe tendu vers moi, il sécria :
- Tiens, prends ça, salope !
Et il éjacula de longs jets de sperme sur ma tenue en poussant de puissants râles de plaisir.
Il redressa Sonya et lembrassa tendrement, puis sadressa à moi :
- Tu laisseras ta tenue telle quelle est, ça te va bien. Et tu ne te doucheras pas aujourdhui, tu vas assumer ton comportement en gardant tes saletés sur toi, ça tapprendra !
Ils allèrent se doucher, et je meffondrai sur le sol. Je nen pouvais plus.
Le reste de laprès-midi il ne se passa rien, ils sétaient tous les deux installés devant la télé, enlacés. Javais envie moi aussi, de recevoir un peu daffection. Javais aussi besoin de me soulager ! Mais je devais rester à les regarder, comme toujours.
Après le dîner, ils allèrent se coucher et mordonnèrent de faire de même. Je mallongeais donc, priant pour quil ne leur prenne aucune envie sexuelle. Mais comme je my attendais, ce ne fut pas le cas, et encore une fois je dus supporter leurs cris, leurs gémissements, leur plaisir, leur jouissance
Jentendais tout, et encore mouillée et excitée par la scène de cet après-midi, cela ne maidait en rien. Ils jouirent, jétais en sueur, je métais dénudée tellement javais chaud et jétais à nouveau en train de me caresser la poitrine. Je me forçais à attendre, jusquà ce que je nentende plus un bruit afin dêtre sûre quils dormaient, pour enfin, me masturber.
Cétait la première fois, mais Dieu que cétait bon ! Ma main droite faisait des allers-retours entre mon vagin et mon clitoris, pendant que ma main gauche tâtait mes seins, avant de rejoindre sa sur pour laider dans sa tâche. Je ne pouvais retenir mes soupirs, mes gémissements, et lorsque jarrivai à lorgasme, cest un cri qui séchappait de mes lèvres, à peine étouffé. Il y avait longtemps que jen avais besoin. Enfin jétais soulagée.
Je restai là, transpirante et essoufflée, exténuée, vidée.
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