La Contorsionniste
Avez-vous déjà baisé une contorsionniste ? J'ai rencontré par hasard une jolie fille qui n'a pas voulu de moi le premier soir. Le lendemain c'était oui. Enfin je j'emmène chez moi. C'est une jeune femme de 18 ans, Allure très sportive les seins assez petits pas plus de 80 b, une taille très mince : 55 au maximum et pour relever le tout un tour de hanches de 85, l'ensemble monté sur de longues jambes. Je l'embrasse enfin sans trop attendre je lui caresse les seins. Elle aime bien : elle ferme les yeux. Je descends ma main pour arriver à ses fesses. Elle me laisse faire et vient se coller à moi. Je commence à bander. Je lui soulève le bas de sa robe et monte jusqu'à rien. Elle est nue dessous. Je lui demande avec malice si elle n'aime pas les dessous : si mais pas toujours et aujourd'hui est un jour qu'elle consacre au plaisir. Que dire sinon de l'aider à enlever sa robe.
Elle est bien proportionnée et surtout bien musclée, pas comme certaine qui en deviennent laide, mais comme une bonne gymnaste. Sans faire de chichi, elle me prend une main, et la dirige vers son sexe. La suite mappartient : je ne cherche pas longtemps son bouton et je le branle. Elle me prend la queue à travers le pantalon. J'arrête ce que je lui faisais et je me déshabille. Je retourne vers son con et elle prend ma bite dans sa main et me branle également. Tout en nous branlant elle me dit qu'elle aime bien baiser mais dans les positions qu'elle aime. Je lui donne raison. Je pense qu'elle va me demander de la lui mettre d'une autre façon que les autres.
Elle me dit qu'elle et contorsionniste de métier : pour me le prouver elle se plie en deux dans un premier temps et en trois dans le deuxième: elle a posé ses avant bras sur le sol, s'est relevée jambes en l'air, pliée au niveau des reins, et les jambes vers sa tête.
Nue comme elle est je lui vois d'un seul coup d'il la fente du con, le clitoris et le cul. Ses seins sont sous elle. Il ne pendouille pas du tout, ils sont très fermes.
Je sens ma queue se redresser.
Elle me demande de reste couché sur le dos et cette fois encore, j'assiste à un numéro de contorsion plus "civilisé". Elle fait le grand écart et elle se met elle même sa vulve sur ma queue. Elle l'enfonce à fond. Elle pose ses mains sur moi pour se relever un peu et se laisser tomber encore. Cette fois je jouis normalement presque en même temps qu'elle. Elle se relève et vient se blottir dans mes bras. Nous reprenons nous baisers. Je lui remets la main au panier et je la branle encore. Cette fois je ne la branle qu'avec un doigt sur le clitoris et je rentre les autres dans le cul. Elle ferme les yeux et elle jouit encore. Il lui faut me rendre la pareille: elle se retourne et vient prendre ma bite en bouche pour ma sucer.
Elle me lèche le gland et rentre le reste dans sa bouche: je vois ma bite le long de ses joues. Elle m'enjambe et pose son con sur ma bouche. Je lui reprends le clitoris sur ma langue et la lèche sans arrêt. Elle me rentre deux doigts dans le cul. Je lui rends la pareille. Je sens son cul avoir des spasmes de jouissance. Je n'arrête pas ma langue, ni mes doigts. Elle jouit sans arrêt. Pour ma part je lui ai jouis dans la bouche et elle na rien fait pour éviter le sperme.
Enfin nous cessons, au moins pour le moment, de baiser. Passe un moment de pure tendresse. Nous échangeons des bisous et des simples caresses.
Passé peut être une demi heure elle a de nouveau envie d'avoir un orgasme.
Elle ne me demande rien: elle écarte un peu les jambes et passe juste deux doigts en haut de ses lèvres, juste pour se masturber. C'est bien la première fois que je vois une fille se branler ainsi. Elle m'explique que cette façon vient du lycée. Quand un cours ne lui plaisait pas, elle se branlait toujours elle mettait une main dans son jean et sans que personne ne le remarque. Elle se faisait jouir. Depuis elle a gardé cette habitude.
Elle travaille dans un cabaret et m'invite pour voir son numéro. C'est à peu près ce qu'elle faisait devant moi pour baiser. Je ne peux m'empêcher de bander. Je l'attends à la sortie: je bande toujours. Pour me faire patienter, elle me colle contre une porte, sort ma bite et me suce. Des gens passent: elles n'en a cure. De toute façon elle revient chez moi pour me faire goûter à d'autres délices.
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