Un Weekend Chez Mon Maître
Je suis un jeune homme gay de 20 ans, typé européen, brun aux yeux vert, 1 m 70 pour 60kg, totalement imberbe (des pieds à la tête si on peut dire), passif, travesti et soumis. Jhabite encore chez mes parents en région parisienne, et jai trouvé un homme mûr gay, actif et dominateur dans le but quil devienne mon maître (grâce à un site gay spécialisé) dans une relation dite « suivie ». Niveau sexe, jadore sucer (cest vraiment ce que je préfère) sinon jaime me faire doigter, lécher, goder lanus, jaime me faire sodomiser et japprécie de branler une bite. Niveau travestissement, je possède beaucoup de vêtements (et accessoires), mini jupe, robe (courte et longue), pantalon féminin, mini short, débardeur, collant, bas, porte-jarretelle, socquette à volants, talon haut, perruque (blonde et brune), maquillage, string (dailleurs je nai que cela en sous-vêtement) et une tenue coquine de soubrette. Niveau soumission, jaime être humilié, fessée, insulté, les crachats (directement la bouche), attaché, tenu en laisse comme une chienne, esclave (pour le sexe), larbin (pour les tâches ménagères)
bref, faire ce que le maître ordonne tout en restant dans le respect de mes limites préalablement établies, c'est-à-dire, pas de crade (uro, scato
), pas de travail (tétons, couilles
), pas de violence (sauf fessée
si désobéissance évidement).
Aujourdhui cela fait 7 mois et demi que nous nous voyons régulièrement (au moins un weekend sur deux voir tout les weekends) avec mon maître, dans une relation domi soumi et sa nous conviens parfaitement. Un week-end (le samedi), il est venu me chercher chez moi en début daprès-midi pour aller chez lui (comme dhabitude), cest un homme de 46 ans, brun aux yeux marron, 1 m 87 pour environ 85kg, une belle queue de 18cm par 4,5 entièrement rasée (pubis, verge et testicules) et les couilles bien lourdes et pendantes, ce que jadore ! Il habite à environ 20 minutes de chez moi (de chez mes parents plutôt) dans un pavillon de taille moyenne avec un jardin de même dimension.
1er jour : Une fois arrivé dans sa maison, je vais me changer (me travestir) dans sa chambre. Je me mets complètement nu, jenfile ensuite 1 mini short, un débardeur, une paire de talon haut, une perruque (blonde au carrée), je me maquille et je me tamponne à lencre noire le mot « SLAVE » sur la fesse droite pour souligner mon appartenance envers lui. Je reviens vers mon maître, qui était dans le salon à mattendre, pour lui donner, afin quil mette dans un lieu de la maison don je nai pas accès, mes vêtements masculin (pour être sûr que je sois uniquement travesti ou bien complètement nu), et quil me mette autour du cou mon collier de petite chienne docile. Il mindique ensuite les corvées qui doivent être faites (vaisselle et poussière) et qui nattendent que moi. Une fois faite, il mordonnait de lui apporter quelque chose à boire devant la télévision, en noubliant pas de minsulter de salope. Je lui apporte ce quil avait demandé, puis il me donna lordre de rester regarder la télé avec lui, assis à ses pieds et tenu en laisse. Après quelques minutes, il se levait, baissait son jean, se rasseyait, et me dit dun ton ferme « suce moi, chienne ! ». Je mexécutais, soumis que je suis, avec un « oui maître ». Je pris son sexe, encore au repos, entièrement dans la bouche en le caressant de lintérieur avec ma langue, 2 minutes plus tard, il était aussi dur que du béton et je pouvais commencer un long va et viens buccal pendant que lui continuais de regarder la télévision en buvant son verre. Je léchais la verge sur toute sa longueur, je passais ma langue ensuite sur le gland, je suçotais les lourdes testicules que jaspirais une à une entre mes lèvres et je pompais sa bite sur le maximum de longueur que je pouvais (à peu près 16cm), quand il ne me relevait pas par la tête en mordonnant douvrir la bouche pour quil crache sa salive dedans (afin de donner encore plus de lubrification et bien sur de mhumilier).
Il me fit aussi lécher ses doigts afin de me titiller un peu lanus et de me chauffer comme il se doit. Je me retrouvais à sucer sa bite pendant quil me tenait en laisse dun coté, et quil me doigté le cul de lautre. Peu de temps après, il me mit à quatre pattes, me lécha délicatement lanus et mis un peu de gel lubrifiant sur son sexe. Je sentis son membre entrer peu à peu en mois jusquà ce quil y soit entièrement, et que je sente ses couilles coller les miennes. A ce moment là, une heure de ramonage anale commença, en levrette, tenu en laisse, face à lappareil photo numérique qui filmait toute la scène, et moi gémissant comme une vraie petite salope à chaque coup de reins que me donnait mon maître. Au moment de léjaculation, dans le but de mhumilier mais aussi pour le film quil tournait, il se retira de mon cul, me mis a genou par terre et me gicla son sperme en pleine figure. Il me laissa aller me nettoyer pendant que lui regardait si tout avait été bien filmé. Je suis revenue quelques minutes après, il était dans le lit, me montrant la nuisette et lendroit ou je dormirai (un matelas posé à même le sol au pied de son lit). Jenfilais la nuisette et me mis dans le lit dappoint.
2e jour : Je me suis levé en fin de matinée, mon maître était déjà debout, habillé et discutait avec un homme brun denviron 1m78 pour 72kg, les yeux bleus, qui semblait avoir à peu près le même âge que lui, jai pensé quil devait être un de ses amis quil avait vu hier.
3e jour : Je me sui réveillé en fin de matinée, un peu avant mon maître qui sétait couché plus tard que moi la veille. Je mempressai de me lever, daller me laver et mhabiller, afin de lui préparer son petit déjeuner que je lui apporterai par la suite au lit. Il était à moitié en train de séveiller quand jentrais dans la chambre, en tenu de soubrette (avec collier, talon haut, maquillé et perruque) plateau à la main et bien sur un « bonjour maître ». Je déposai son plateau sur un socle adéquat pour quil puisse déjeuner dans le lit, jallumai la télévision qui était en face, et pour lui faire plaisir je passai sous les draps pour lui faire une bonne petite pipe matinale (comme il aime à le dire). Il était très content du fait que jai entrepris tout cela moi-même, mais que bien entendu il me donnera toujours les ordres à suivre et que sa nenlèverai en rien à ce qui cétait passé la veille. Environ 30 min plus tard, le petit déjeuner avalé, la fellation terminée (et le sperme gobé), il se leva pour aller se laver ne manquant pas de me dire de me rechanger parce quon ressortira tout à lheure. Jenlevais ma tenu de soubrette (mais gardais tout le reste) et enfilais une petite robe noir courte (arrivant à mis cuisses) et ajourée (sur les 2 cotés). Mon maître ne tarda pas à sortir de la salle de bain, termina de se préparer et me dit dun ton sec « on y va ! ». Je lui posai la question pour savoir où il voulait memmener cette fois-ci et me répondit « dans un sauna gay, salope ». Là encore je nétais pas très à laise, les plans à plusieurs (3 ou 4 quand on connaît les personnes) ne me dérange pas, ce qui me dérange est de faire ce genre de chose en public devant des inconnus. Encore une fois, je ne dis rien et je mexécutai pour savoir où cela me mènerai dans la relation (très spéciale) que nous vivons. Au vu de la tenue que je portais, je me demandais si même cétait un lieu pour gay, il ny aurait pas de problèmes. Après 40min de routes, nous arrivions dans paris (14e arrondissement). Cétait un sauna gay sur plusieurs étages, à laccueil, lhomme me regardai (de la façon dont jétais habillé et avec le collier que je portais) et compris tout de suite ce qui se passait. Il ne prêta pas plus attention, et nous souhaita un agréable moment. Après avoir payé lentrée, nous nous sommes dirigés vers les vestiaires pour nous changer et prendre nos serviettes. Ensuite nous sommes descendus dun étage pour aller au sauna (sec) où se trouvaient déjà 2 hommes (mûrs) qui discutaient. Avant dy entrer mon maître mordonna de retirer la serviette que javais autour de la taille afin que je mexhibe (sans le montrer directement) devant eux. Jentrais (entièrement nu) dans cette (chaude) pièce suivi de mon maître. Les 2 hommes (plutôt vicieux et pervers) me regardèrent (des pieds à la tête) entrer et aller masseoir devant eux sur un banc (à lextrémité) en bois, pendant que mon maître qui était derrière moi leurs lança un « bonjour messieurs ». Cétait deux hommes à peu près du même style, environ 1m80 pour 85-90kg, cheveux grisonnants, aux yeux marrons et un peu plus vieux que mon maître (surement la cinquantaine passée). Peu de temps après, mon maître discuta avec eux, il leurs expliquai que jétais sa pute (très soumise) et que jobéissais aussi bien quune petite chienne. Etant (apparemment) habitué à ce genre de chose, les 2 hommes (qui me lançaient des regards tantôt furtifs, tantôt soutenus) nétaient pas choqués et comprenaient tout à fait. Mon maître, qui avait apporté mon collier et ma laisse (dans une serviette enroulée) mordonna de venir magenouiller devant lui et ses nouveaux amis. Je mexécutai sans réfléchir car je ne voulais pas le décevoir une nouvelle fois, et quil perde la face devant ces hommes. Cela faisait environ 10min quon était dans le sauna, que jétais déjà à genoux et tenu en laisse par mon maître devant des hommes que je ne connaissais pas du tout. Je nécoutais quà moitié ce quils se disaient mais pour leurs prouver que jétais vraiment soumis, mon maître mordonna douvrir la bouche, me pris la mâchoire entre ses doigts et me cracha sa salive directement dans la bouche, terminant avec un « avale maintenant ! ». Les 2 hommes, excités par la situation, proposèrent un plan (à plusieurs). Mon maître nhésitait pas longtemps, il se dit que se sera une bonne chose pour moi, et quensuite il pourrait peut être me mettre sur le trottoir sans que je rechigne. Ne pouvant pas men aller et ne voulant pas décevoir mon maître, je me résignais (à contre cur cette fois-ci) à ce qui allait se passer. Les deux hommes (dont mon maître) se levèrent dun coup, retirant leurs serviettes, et se rasseyant (mon maître au milieu) me dirent « au travail petite chienne ! ». Mon maître me tira par la laisse en direction des trois queues (encore au repos), lun des deux « inconnus » avait un sexe entièrement rasé (comme celui de mon maître) et lautre avait laissé juste un petit « ticket de métro » sur le pubis. Jallais commencer par prendre mon maître en bouche quand il marrêta et me dit « honneur aux invités ! ». Il garda quand même ma laisse dans les mains, et moi jallais sucer lun deux en commençant par celui qui était entièrement rasé. Je commençais par lécher ses testicules tombants entre ses cuisses, en lespace dune minute j vis sa queue grandir et arriver jusqua mon visage, je remontais doucement avec ma langue le long de ses bourses, puis le long de la verge et jenfournais sa bite au plus profond que je le pouvais. Un va et viens de quelque minute commença (pour ne pas léser lautre « inconnu » et mon maître), puis je senti quon tira sur ma laisse, jentendais quon mordonnait « passe à lautre maintenant ! ». Jallais (en marchant à quatre pattes) jusquà linconnu suivant, il bandait déjà au maximum avec ce quil avait vu, à peine jétais à son niveau quil me tendait sa bite en direction de ma bouche. Je pris sa queue en bouche et commença le va et viens (de quelque minute également) quand je sentais une main (celle de mon maître) se poser sur ma tête et appuyer jusqu'à faire complètement disparaître la verge de lhomme dans ma bouche en entendant un « suce salope ! ». Jallais passer à mon maître quand il se leva, me dit que maintenant je connaissais de nouvelles queues et quil avait envie de voir comment je men sortirais. Il sasseyait sur le coté et regarda la scène se passer. Lun des deux pris deux attache-câbles en plastique, me releva et me les passaient autour des poignets (sur le ventre) et autour des chevilles. Lautre avait attrapé ma laisse, il tira dessus pour me mettre en position levrette et regardai mon maître qui lui dit « amusez-vous bien messieurs ». Celui qui mavait attaché sagenouilla devant moi, sa bite dressée vers ma bouche, me prenait la tête entre ses mains et se mis à faire des va et viens comme si il me baisait par la bouche. Lautre était placé derrière, il enfila une capote, me cracha sur mon petit trou et senfonça complètement en moi. Je retirai la bite que jétais en train de sucer pour laisser échapper un râle de douleur. Sans préparations le début dune sodomie est quelque chose dun peu douloureux. Lautre me repris la tête et me remis sa bite en bouche pendant que jétais en train de me faire pilonner lanus à grands coups de bite et me faire en même temps fessée. Environ une demi-heure plus tard, celui qui était dans mon cul se retira, enleva la capote et méjaculait sur les fesses, pendant que lautre se retira de ma bouche, me tira les cheveux et laissa couler sa semence sur mon visage. Les deux hommes repartirent aussi tôt en félicitant mon maître de sa petite pute et il les en remercia. Mon maître me détacha et memmena jusquaux douches pour me débarbouiller de tout se sperme. Puis nous nous changions et repartions directement chez lui pour y passer la soirée. Arriver chez lui, il me dit que ce quil avait vu lavais bien excité et quil faudrait remettre sa très vite, surtout quil avait pris le numéro de téléphone (pendant que je mhabillais) des deux mecs de la cabine pour un (ou des) futur plan à venir. Ensuite mon maître prépara le diner, me fit enfiler 1 string, ma tenu de soubrette, ma perruque blonde et 1 pair de sandales à talon hauts (le tout en gardant mon collier) pour manger (chose que je trouvais étrange sur le moment), me servi ma gamelle en me disant quil navait pas faim tout de suite. Puis environ un quart dheure après, le dîner était avalé et jentendis frapper à la porte, cétait cinq hommes (à peu près du même âge que mon maître, deux blancs, deux blacks et un algérien) que mon maître avait invité (sans me le dire) pour la soirée. Mon maître allait les accueillir, en me présentant à eux comme étant sa pute soumise quil était en train de dresser (ce qui na pas paru les choqués). Je croyais que mon maître avait organisé une séance de « mis à dispo » ce soir avec ses amis (vu ce quil cétait passé durant laprès-midi et surtout avec le-mail (et la vidéo) quil leurs avait envoyé la veille), mais finalement non. Il les fit asseoir à la table et mordonna de faire la serveuse pour eux durant leur soirée (qui cette fois-ci se déroulait chez mon maître) « poker ». Je mexécutais très vite en partant dans la cuisine préparé des apéritifs et des amuse gueule (car il mange rarement durant ce genre de soirée) tout en essayant de comprendre ce quils se disaient entre deux rires (ce que je ne parvins pas à faire bien sur). Après les avoir servis, mon maître mappela (plutôt me siffla) près de lui, pris ma laisse dans sa main et me tira pour me mettre a genoux (comme une chienne) à coté de lui qui était en train de jouer. Environ une heure plus tard, jétais en train de les regardé jouer et les hommes ne semblaient pas prêter attention à ma présence (comme si jétais un objet faisant partie du décor), et mon maître eut lidée de me mettre en gage comme il navait pas dargent (liquide) pour miser. Il était dans la dernière ligne droite et tout le monde sétait couché sauf lalgérien. Après un temps dhésitation il accepta lenjeu que mon maître moffre à lui sil perdait la manche. Les deux hommes montrèrent leurs cartes et je compris que mon maître avait perdu quand il lui donna ma laisse pour le reste de la soirée. Je magenouillai à coter de lui (comme je lavais fait avec mon maître) et il me dit quil ne mavait pas gagné pour que je reste là sans rien faire, de plus comme il habitait loin, il naurait pas le temps de me tester complètement, alors il mordonna denlever ma tenu (de soubrette) et de passer sous la tables pour « lui faire du bien ». Je lançais un regard à mon maître afin de savoir si il était daccord et il me dit fermement que jusquà nouvel ordre se serait lui mon maître. Alor je passais sous la table, lalgérien avait déjà baissé son pantalon et son caleçon et garda toujours ma laisse à son poignet pendant quil se concentrait sur le jeu. Sa verge était encore au repos, il avait un pubis touffu mais avait pris le soin de se raser complètement les testicules et la verge. Je pris sa verge entièrement dans la bouche et commençais à la téter comme un biberon pour la faire durcir. Une fois toute dur et après avoir commencé quelque vas et viens et ne pensant pas quelle serait devenu aussi longue (environ 20cm), je maperçu que je navais pas assez de place avec la table. Je ne pouvais pas ressortir son gland de ma bouche. Jentendais pendant ces long vas et viens les commentaires quil faisait sur moi à mon maître. Je sentis au bout dun moment que le mec était en train de se crisper, puis jentendais quil réclamait à mon maître sil pouvait se terminer dans ma bouche. Je nentendais pas la réponse de mon maître et senti une main mappuyer sur la tète. Je sentais son jus gicler dans mon palet, sur ma langue et en même temps couler directement dans ma gorge. Je navais pas dautre choix que de tout avaler au fur et à mesure (et il y en avait une grosse quantité). Une fois terminé il me fit sortir de dessous la table, me releva (avec ma laisse), me mis une claque sur le cul et me renvoyait à mon maître en me complimentant de « bonne suceuse ». Il repartait peu de temps après car il avait de la route à faire tandis que les autres (dont mon maître) continuèrent la partie. Le jeu reprenait de plus belle (avec moi de retour à genoux aux cotés de mon maître), cependant il commençait à se faire tard et le dernier tour (de cartes) arrivait. Mon maître refit le coup de tout à lheure, en me mettant en jeu avec un des deux blacks cette fois-ci et comme tout à lheure il perdit le tour. Par contre cette fois-ci, comme il était prévu que cet homme reste « dormir », il aurait surement droit à la totale. Tout le monde se disait « bonne nuit » et lui memmena dans la chambre en me tirant par la laisse. Une fois dans la pièce, il me menottait (avec une pair de menottes quil avait vue sur la table de chevet) les mains dans le dos, me retirait le string et me mis à quatre patte (façon de parler avec les mains dans le dos) sur le lit. Il me léchait lanus et me doigtait en même temps, il me fit dilater assez rapidement, cétait terriblement bon et ce pendant une vingtaine de minutes puis il sarrêtait. Il se déshabillait complètement, me tirait par la laisse pour me mettre à genoux sur le sol à coté du lit et lui sasseyait sur le bord du lit en face de moi. Sans dire un mot, il me tirait par la laisse vers sa queue qui était à moitié dur afin de la prendre en bouche et ainsi lhumidifié comme il se doit. Je suçais son sexe qui était encore un peu plus grand (à peu près 22cm) que celui de lalgérien que javais gouté précédemment dans la soirée, mais le sien était entièrement rasé. Je léchais aussi bien son gland, que sa verge et ses couilles qui me caressaient le visage en même temps. Ensuite je reprenais la verge en bouche pour des vas et viens pendant lesquels il posait sa main sur ma tête afin de me la mettre au plus profond possible de la gorge. Il nhésitait pas non plus de temps à autres à me cracher de la salive en pleine bouche (surement un tuyau de mon maître) afin dencore plus lubrifié la bouche qui accueillait sa queue. Les vas et viens buccaux durèrent près dune demi-heure, ensuite il me tirait par la laisse pour me faire revenir sur le lit et toujours à quatre pattes. Il me mit ensuite le gag ball, que mon maître avait, en me chuchotant à loreille que cétait pour ne pas réveiller mon maître (avec mes gémissements) qui dormait peut-être déjà. Il sinstallait ensuite derrière moi et sétalait un peu de lubrifiant sur sa bite (je nai pas dit « sur la capote quil avait sur sa bite ») toute raide pour sinsérer au mieux dans mon anus. Il forçait un peu lentrée sans prêter attention à ce que moi je ressentais à ce moment là, il fit en même temps quelques commentaires (sympathiques) sur mes fesses et le trou du milieu en y mettant quelques claques et me tirant par à-coups sur la laisse. Il commença un va et viens anal puissant en allant à chaque fois un peu plus profond en moi. Au bout de quelques minutes il réussissait à rentrer sa queue entièrement en moi, je sentais ses couilles taper contre les miennes et son gland frotter à mon intestin (ce qui me fit un peu mal nétant pas habitué à de si grand membre). Il me baisa à quatre pattes comme ça, comme une pute, pendant près dune heure en nomettant pas de minsulté de tout les noms et quune fois que mon maître en aurait assez de moi, je deviendrai son vide couilles personnel. Dun seul coup, il se retira de mon cul et me dit quil aimait se terminer là où il avait commencé. Il me fit redescendre du lit, menlevait le gag ball et mordonnait douvrir la bouche pour y recevoir la queue que javais entre les fesses il ny a même pas 3 minutes ! Etant mon maître (du moins momentanément), jobéissais sans discuter ses ordres, pendant que je reprenais mon travail de suceuse, il me félicitait sur la propreté de mon petit trou tout en me disant (et rigolant en même temps) quil y avait plutôt intérêt à ce quil le soit vu que jétais entrain de pomper la bite qui ma ramoner pendant plus dune heure. Quelques instant après, il me disait quil aimait verser son jus sur une langue de salope, il mappuya sur la tête pour me faire descendre au niveau de ses testicules (afin de les caressés avec ma langue). Il se branlait pour faire monter la sève le plus possible jusquau moment où il me dit « ouvre grand la gueule sale chienne ! ». Je mexécutais très vite en ouvrant en grand la bouche et tirant la langue en même temps. Il y déposa son gland tout en continuant à se masturber pour y déverser une très grosse quantité de jus blanc et épais au goût amère (mais qui me plait bien). Une fois complètement vidé, il mordonnait de tout avaler et de ne pas en laisser un goûte, je mexécutais aussi tôt mais quand il cest un peu reculé pour me laisser gober la décharge, quelques petites goutes tombèrent sur le sol. Il me tira par la laisse pour lui nettoyer (avec ma bouche) sa queue et une fois fait, il me retira par la laisse pour lécher les quelques gouttes au sol. Une fois fait, il me renvoyait avec mon maître pour passer la nuit.
4e jour : Mon maitre me réveillait vers 10h30, il ny avait plus que nous dans la maison, il avait ressorti mes affaires de mec, mordonnait daller me laver et mhabillé car il fallait quil me ramène chez moi. Il noubliait pas de me dire que ceux qui mavait testé hier soir (notamment le deuxième homme) avaient énormément apprécié et quil faudrait très prochainement une mise à dispo. Je partais me préparer et dès ma sortie de salle de bain, mon maître me raccompagnait chez moi dans lattente du weekend prochain.
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