De Ma Vie Étudiante...
Cela fait maintenant plus de trois ans que je suis avec Adeline. La belle jeune fille, qui au début de notre relation était joueuse et ouverte côté jeux coquins, a fait place à une jeune femme assez rigide et ne voulant surtout pas sortir du train-train habituel. Fellations sur le lit ou debout, branlettes, cunnis, missionnaire et levrette. Après, cest tout. Etant très endurant, la plupart du temps je dois me finir tout seul car elle a déjà bien jouis et elle ne supporte plus ma pénétration ni mon rythme car elle est toute irritée. En bref, ce nétait plus ça. Que de belles promesses à lorigine
Et très peu de fantaisies : string uniquement les « jours de fête » (sorties, réceptions chez des copains), jamais en jupe ni courtement vêtue, sous-vêtements style Petit Bateau.
Malgré tout, je lui restais fidèle car notre relation ne sarrêtait pas uniquement à cela. Nous partagions tant et cela valait ces petites brimades. Des copines très jolies mavaient déjà fait des avances, mais je les avais déclinées poliment, expliquant ma fidélité à Adeline.
Progressivement, cela empira. Plus une semaine sans deux ou trois prises de tête ou engueulades. Puis encore plus souvent. Quelques trêves adoucissaient le climat tendu, mais la reprise était rapide. Nous partagions tant de choses pourtant
Etant dun naturel franc, je lui dis tout ce que javais sur le cur
mais le plus souvent elle acquiesçait sans vraiment écouter ni vouloir comprendre
Enfin, un jour je me décidais à tout lui dire, de A à Z et de faire un break entre nous. Evidemment, elle sexclama que cétait nimporte quoi, que nous nous entendions très bien et pris le tout très mal. Elle partit de chez moi en pleurs sous le regard attristé de mes parents qui étaient dans le salon au rez-de-chaussée.
Jétais moi-même bien triste par tout ça, mais cela me semblait nécessaire. Deux jours plus tard, jeu lagréable surprise davoir un coup de fil de Laure sur mon portable me proposant de me faire une journée avec elle sur Paris pour me changer les idées.
Laure était une copine de boulot quAdeline mavait présentée et avec laquelle je mentendais très bien. Trop bien même peut-être comme me le fit remarquer mon frère et ma sur quand elle venait à la maison.
Je reconnais que jétais très attiré par elle, car elle me correspondait tout à fait pour le caractère, les activités, les centres dintérêts. Elle était très différente de Adeline, mais beaucoup plus proche de moi. 1,70m environ, les cheveux bruns coupés au carré, un superbe sourire et un regard joyeux. Je craquais vraiment sur ces expressions de visage.
Notre relation était tout à fait normale jusquau jour où je lui proposais une journée ensemble lors dune conversation MSN. Adeline était partie au ski. Laure était en vacances et un peu désuvré, et moi-même ayant un peu besoin de sortir, nétant pas parti avec Adeline pour cause de préparation à des concours. Mais une journée de détente na jamais tué personne. Et jen avais bien besoin. Donc, pour en revenir à MSN, je lui proposais une folle journée parisienne : Big Fish, puis ensuite expo au Museum dHN et balade dans le parc. Elle me dit que cela la gênait par rapport à Adeline
je lui répondis que cela serait notre petit secret
je continuai à ce petit jeu ambigu
pour finalement être lattur attrapé ! Elle finit notre discussion sur deux trois phrases plus quambiguës et me laissa sur ma faim jusquau jeudi prévu. Le mercredi soir, javais un mail mexpliquant quune réunion de boulot lui tombait dessus et quelle devait y aller absolument. Et voilà ! Histoire à leau et pas moyen de remettre ça
Que jétais énervé. Je la menaçais de toute sorte de sévices à notre prochaine rencontre, mais elle mexpliqua alors calmement que ce style de jeu ne la branchait pas du tout. Dommage, me disais-je, moi jaime bien un peu de temps en temps
Puis plus rien
Un autre plan pour se faire un ciné moi, elle et Adeline pris leau lamentablement
Décidément
Grrr
.
Et finalement ce coup de fil inespéré !
Je navais pas trop envie de me lancer dans quoique ce soit avec elle
du moins pas en ce moment
Mes oraux approchaient rapidement, ma préparation stagnait, javais pas mal de problèmes à gérer. Pas besoin den rajouter en sortant avec une des meilleurs amies de mon ex.
Le jour venu, je me préparais, et arriva au rendez-vous 5 minutes en avance comme dhabitude. Mince ! Cest vrai quelle est toujours en retard
Tant pis, jendurais alors le quart dheure en retard réglementaire de la miss. Quand je la vis sortir de la bouche du métro, mon attente valait bien cette peine ! Lunettes de soleil dans les cheveux détachés, superbe sourire, pull légèrement décolleté mauve et pantalon moulant noir mettant en valeur ses belles jambes.
Bises de rigueur et hop ! Cétait parti. Ciné dans le quartier de St Michel pour voir un Burton quelle navait pas encore vu, restaurant japonais, puis cap sur le Museum dhistoire naturelle. Lexposition sur les Mammouth visitée, nous nous dirigeâmes vers le pars pour profiter du beau temps. Nous discutâmes de tout et de rien, de ma récente rupture, des études, delle, de moi
Il commençait à faire un peu froid, et nous nous dirigeâmes vers un café proche pour nous réchauffer et boire un coup. Un café, puis deux bières pour moi et un petit whisky, offert par le patron qui était un ami. Un café et un Monaco pour Laure qui disait ne pas tenir du tout lalcool. Lalcool, justement, me détendait un peu et me faisait partir dans un peu tous les sens dans la conversation. Je lui parlais des superbes salles de cours dans lesquelles jétudiais à la Sorbonne, du Grand Amphi, de lamphi Richelieu
Elle me dit quelle adorerait les visiter, mais quelle ne pouvait certainement pas.
« -Pas de problème, lui dis-je, tu as bien une carte détudiante pour cette année ? »
-« Oui, évidemment ! »
-« Bon, bah ça suffit amplement ! Allez viens !
Je la pris par la main et régla la note puis on se dirigea vers la Sorbonne.
Enfin, nous trouvâmes un petit coin tranquille au chaud où nous échouâmes, un café à la main.
On discuta alors de ma nouvelle condition de célibataire. Elle aussi létait et je lui demandais en riant depuis combien de temps pour elle et ce qui était le plus difficile.
Cela faisait deux ans quelle était célibataire. Je la coupais en lui disant que je nétais pas prêt à endurer deux ans dabstinence ! (ça cétait vrai, mais leffet de lalcool y était pour quelque chose à mon avis pour que je le dise à haute voix). Elle fit une moue dubitative et mexpliqua quon faisait comme on pouvait et quand on ne trouvait que des abrutis
-« Mais enfin Laure ! Tu es belle et jolie à croquer, intelligente, cultivée ! Comment cela se fait-ce ? (expression que jaime bien car parfaitement française, mais provoquant souvent des réactions
) » avec un grand sourire.
-« Bah, pas trop le temps à ça tu vois
mes amis sont partis à droite à gauche
et je vois peu de garçons mintéressant, et quand cest le cas, ils ont une copine. » me dit-elle avec un petit regard en coin.
Je lui caressais et pris son visage de ma main droite.
-« Et si la copine nest plus là
» et je me pencha vers elle pour lembrasser tendrement.
Elle eut un petit réflexe de recul, puis se laissa faire. Sa bouche souvrit et nos langues sentremêlèrent, dabord doucement, puis avec de plus en plus dintensité.
Après quelques minutes je me dégageais alors et la regarda dans les yeux. Ceux-ci semblaient être un peu embué par un début de larmes.
-« Et alors ? Que cela fait-il après deux ans sans un tendre baiser ? »
-« Pour ça, ça ne fait pas deux ans. Je parlais alors de sexe ! » Avec un grand sourire et elle me tira la langue avec un clin dil.
-« Ah bon mademoiselle ! Et bien, je vais
et ne finissant pas la phrase, je glissais ma main dans son pantalon, puis directement sous sa culotte pour commencer à lui caresser le pubis
voir cela ! »
Aucune réaction négative, mais plutôt un petit soupir encourageant des plus prometteurs.
Sentant sa jouissance venir, je lui prodiguais avec toute mon attention un final dont elle se souviendrait longtemps.
Et en effet, sa main magrippa avec force la cuisse, plantant ses ongles dans mon pantalon, ses yeux se révulsèrent et elle émit un long gémissement. Heureusement que javais eu le réflexe de la bâillonner en lembrassant à pleine bouche. On était pendant les vacances et dans un coin tranquille, mais tout de même des élèves et des profs pouvaient passer dans le coin et nous entendre !
Je sortis alors ma main de son pantalon et la porta à mes narines pour sentir ses effluves qui étaient
hum
délicieuses. Puis je suçais alors mes doigts tout en la regardant revenir à elle. Je lui fis un petit clin dil !
-« Et là, ça fait bien deux ans ?!? » et en profita pour lui tirer la langue.
-« Oui en effet, ça fait deux ans. Ca faisait longtemps. Mais je ne me souvenais pas que ce fût aussi bon ! Mais il ny a pas que ça depuis deux ans » avec un grand sourire et un petit clin dil.
Dun coup nous nous retournâmes car la porte à battant venait de souvrir brutalement. Cétait un de mes profs qui me jeta un coup dil et vit deux jeunes lun à côté de lautre tendrement enlacés.
-« Et bien cher monsieur Lyat ! Même si vous semblez en charmante compagnie, je préférerais que vous soyez en bibliothèque pour travailler vos oraux dagrégation ! »
-« Oui monsieur, jy pense, soyez en assuré, mais là cest mon quart dheure de pause. »
-« Fort bien ! Le voici fini, ajouta-t-il en me regardant. Mademoiselle, ne men veuillez pas, mais ce beau jeune homme a du pain sur la planche si je puis dire ! Ca tombe bien, je vais préparer en bibliothèque mon prochain TD. Venez avec moi, vous allez maider et cela ne pourra quêtre bon pour ce que vous avez ! »
-« Bon, Ok monsieur. Jembrassais ardemment Laure, lair un peu dépité par la tuile qui venait de me tomber dessus
Jarrive de suite. »
Je partis à sa suite, laissant Laure seule dans les couloirs de la Sorbonne
Pfff, quel manque de pot décidément ! ! . . .
Après avoir laissé lamentablement Laure, contre mon grès, dans les couloirs de la Sorbonne, je ne savais trop comment allait continuer cette si nouvelle relation
Les débuts étaient prometteurs, mais jaurai compris quelle me tienne rigueur de la conclusion un peu
bâclée de notre première journée.
Je lui téléphonais donc le soir même pour mexcuser et linviter par la même occasion à boire un verre quand elle serait disponible.
Elle me dit de passer la prendre à la sortie de sa salle de cours, à son école, à 17h30 mardi.
-« Mais, si je viens te chercher à la porte, Adeline me verra et se demandera la raison de ma présence. Je préférerais un peu éviter ça si possible. »
-« Cest à prendre ou à laisser. »
-« OK, cest bon, tu as gagné. Mais tu ne sais pas encore quoi
» Avec un petit rire et je racrochais.
Pffff bravo, pensais-je, quest ce quelle peut bien mijoter ? Je verrai bien
Déjà, je pensais lui offrir un petit cadeau que jadore : une chaîne de pied. Je trouve ça si sensuel
et si un des premiers cadeaux que joffre à mes copines
Pour le reste du programme, cétait plutôt un flou très artistique
impro certainement
jaime bien ça.
Le jour même jallais à un de mes magasins préférés où jachète tous mes bijoux et ceux de mes copines. Jy vais souvent accompagné, et ça fait toujours sourire malicieusement la vendeuse de me voir arriver avec une nouvelle amie
Jai choisi une jolie chaîne en argent, assez simple, mais très fine et sensuelle. Largent allait bien avec son teint de porcelaine. Paquet-cadeau et zou !
Cinq minutes avant la sortie, jattendis devant la porte, et je vis un petit renflement où je pourrai me dissimuler si par hasard Adeline venait à passer. Je ne tenais pas du tout à ce quelle me voit. Et puis mince, cétait bien Laure, sa meilleure copine, qui mavait dit de lattendre, au risque de voir Adeline. Elle se débrouillera si besoin, jallais lattendre devant la porte !
17:30. Bizarre. Aucun bruit ne provenait de la salle
Je tendis davantage loreille
Rien. La petite garce mavait bien eu ! Ca commençait bien !
A cet instant une main me tapota lépaule. Je me retournais alors et une bouche métreignit sauvagement et furieusement avant même que jeus le temps de déterminer la personne. Laure ! Nous nous embrassâmes alors fougueusement. Mes mains parcourent ses doux cheveux et passèrent dans son dos pour la caresser tendrement. Hum
quel délice
Elle relâcha son étreinte et me dit : - «Que voilà un courageux chevalier, qui était prêt à braver de graves dangers ! » en riant aux éclats « je ne savais vraiment pas si tu allais oser ! »
-« Je ne fuis jamais devant mes responsabilités. Je ne suis plus avec elle. Cétait plus pour toi que je ne voulais pas trop faire de vagues. Cest ta meilleure amie quand même. Je ne veux pas être la pomme de discorde entre vous. »
-« Cest pas grave. » Elle me prit la main et voulu monter lescalier proche.
- « Viens donc ! » me dit-elle avec un petit sourire espiègle.
Nous grimpâmes les marches quatre à quatre, sans trop savoir où elle memmenait. Au dernier étage, elle se dirigea vers le fond du couloir, lair sûre delle. Arrivé au fond du couloir, un petit renflement nous permettrait de ne pas être vu
Elle me prit par les épaules, me déséquilibra et me jeta presque au fond, et, avant même que je nai pu réagir, elle déboutonna mon jean.
-« Laure, jadore ce genre de trip, mais là, nous sommes dans ton école, à une heure où pas mal de gens peuvent passer
»
Je ne pus finir la phrase car elle avait déjà baissé mon pantalon et jouais avec mon caleçon.
-« Tu vois, moi aussi je peux faire ça où jai cours » me dit-elle avec un grand sourire et en commençant à agiter un peu le contenu de mon caleçon.
La voir ainsi
hum quelle était belle et désirable
Javais à peine eu le temps de la regarder. Elle sétait habillé de toute beauté ! ! Petit cache-cur noir bien décolleté qui me permettait dadmirer un superbe paysage, jupe noire et
des collants ou des bas ! Argg ! Ma deuxième marotte
Elle me regarda avec un petit air suppliant de petite fille sachant quelle va faire une bêtise ; ce qui ne lempêchera pas de la faire
Sa main pénétra mon caleçon et son contact avec mon sexe me fit frissonner. Enfin, elle baissa le sous-vêtement la gênant dans son entreprise et commença à me branler doucement, puis plus vivement.
-« Alors ? Monsieur ne semble pas aussi gêné que cela ? »
Je neus encore pas le temps de répondre quelle approcha ses lèvres de ma verge et les passa sur toute la longueur, sortant la langue une fois arrivée au gland. Que cétait bon.
Elle continua consciencieusement et en sappliquant sa fellation qui était véritablement divine. Elle modulait son ardeur, ses coups de langue et ses jeux de lèvres, quelle avait pulpeuses et très belles. A cela, elle ajouta pour me mettre vraiment à bout tout un jeu de mimiques, dexpressions de visage totalement
chavirantes !
Lesprit vraiment ailleurs, je réussi à mettre mes mains sur ses épaules pour la prévenir de limminence de ma jouissance. Elle continua de plus belle. Le monde aurait pu sécrouler autour de moi, je naurai même pas fait attention tant jétais aux anges ! Finalement, après avoir essayé de retarder pour en profiter au maximum, ma résistance fut anéantie et vaincue et mon orgasme me parut durer une éternité. Le temps sétait ralenti autour de moi. Laure de son côté essayait davaler tout sans rien perdre ce quelle arriva presque exceptée une goutte coulant à la commissure droite de ses lèvres.
Terrassé par un tel orgasme, comme je nen avais jamais eu jusque là, je meffondrais presque par terre. Je me rhabillais assez vite. Elle, de son côté, était grand sourire et apparemment semblait très contente de son effet !
-« Alors ? A ton avis, jai perdu depuis 2 ans sans pratique ? » En riant aux éclats « Je nen suis pas tout à fait sûre. Quen penses-tu, comme ça, rapidement ? Mon petit échauffement est-il convenable à ton goût ? Suis-je meilleure quAdeline pour les jeux de langue ? »
Moi, un brin moqueur, et gros menteur, en rigolant : -« Pas mal pour un début, mais jespère que ça va saméliorer !! Bon potentiel ne demandant quà être améliorer et développer. »
Elle se jette sur moi pour me chatouiller en me traitant de gros mufle ! On continue de bien rigoler et de samuser comme des gamins encore quelques minutes, en sembrassant.
-« Jai un petit truc pour toi, et tu me sembles têtre vêtue pour la circonstance. » Je lui pris la main et nous retournâmes dans le couloir où un long banc semblait nous attendre.
-« Assis-toi ici sil te plaît. Voilà, comme ça, et ne croise pas tes jambes. »
Elle me regarde, lair un peu intrigué. Je magenouille devant elle et lui tendis mon petit paquet, quelle déchire tout de suite.
-« Oh merci beaucoup ! Cest quoi au fait ? »
Je lui prends la main et lembrasse, puis att la chaîne. Ma main commence à descendre le long de sa jupe, doucement. Je la sens frissonner un peu. Mes doigts continuent leur descente et courent maintenant sur ses collants (ou est-ce des bas, je ne le sais encore). Mes lèvres ont suivi de peu mes doigts et parcourent ses jambes. Jarrive à sa cheville gauche, que je masse doucement, lentement, en prenant le temps. Puis je lui attache enfin sa chaîne. Je continue dembrasser ses jambes gainées.
Je la regarde alors droit dans les yeux. Quelle est belle, pleine de charmes et de vie. Resplendissante.
Mes mains remontent un peu le long de ses jambes. Je remonte également afin de lembrasser et de la prendre dans mes bras. Heureux. Je crois que nous le sommes vraiment. Mes mains redescendent et se glissent sous sa jupe.
Wooah ! Des bas ! Hum
jadore vraiment trop et son petit air malicieux me fait penser quelle devait le savoir
Je joue sous sa jupe à effleurer son entrejambe, le haut des cuisses, à bien la caresser sur sa culotte qui devient de plus en plus humide. Joueur, je la lui retire en la regardant droit dans les yeux. Elle ne semble pas trop chaude à vrai dire
mais elle avait allumé un feu qui semblait lui échapper...
Je la porte à mon visage pour la sentir
hum, quel délice
Puis, je me recule un peu. Là, son visage prend une drôle dexpression, mélange de curiosité, de mécontentement, de frustration
-« Vas-y, abandonne toi à mon regard. Donne-moi du plaisir en ten donnant. »
-« Non, tu es là pour ça. Finis ce que tu as si bien commencé sil te plait. »
Le regard que je lui lance lui fait comprendre que cest moi qui dirige là. Elle commence à sexécuter, doucement. Ses mains détachent son cache-cur, me laissant découvrir un soutif noir en dentelle très joli. Elle se caresse lentement, faisant descendre ses mains. Avec le bout des doigts, elle effleure ses bas en remontant doucement vers son entrejambe et relevant sa jupe. Je peux voir alors son joli fruit, presque défendu, bien taillé avec une pilosité de brune peu fournie, mais pas épilé. Très joli ! Puis, elle passe légèrement sur son pubis, ses grandes lèvres. Je la vois un peu tressaillir alors. Elle glisse son index entre ses petites lèvres et commence à gémir. Ses yeux se ferment pour apprécier davantage. Moi, je suis aux anges : voir Laure, à demi-nue au milieu dun couloir, se donnant du plaisir, en bas et avec une chaîne de pied
Quel dommage de navoir rien pour immortaliser cette image
De sa main droite elle écarte largement ses grandes lèvres pour que sa main gauche joue avec ses petites lèvres, son clitoris et lentrée de son vagin. Son minou est maintenant tout trempé. Décidant que je lavais suffisamment laissé jouer toute seule, je me rapprochais en silence. Je crois que de toute façon elle nétait plus là. Doucement à quatre pattes, jarrivais à quelques dizaines de centimètres de son abricot.
Elle remonta sa main gauche vers sa bouche quelle ouvrit alors pour goûter à son nectar. Profitant de loccasion, ma bouche prit la place de sa main absente. Elle grogna quand ma langue à plat remonta alors tout le long, en tournoyant par moment. Arrivé à son clitoris, je lagaçais du bout de la langue, jouant avec, laspirant un peu, le suçotant. Mes mains ne restèrent pas inactives et lui caressèrent les jambes, le ventre, sa poitrine toujours prisonnière.
Comme jadore le faire, je pris tout mon temps, pour la faire languir, la faire doucement, mais sûrement, monter petit à petit, pour la faire me supplier de la terminer. Par moment, je remontais lembrasser, lui faisant partager son nectar si précieux et bon.
Enfin, je décidais de la finir en beauté. Je pénétrais son intimité de mon index droit, tandis que javais libéré sa poitrine de ses entraves et entreprenait de lui caresser avec ma main gauche. Ma langue continua à être joueuse, mais se fit plus précise, plus adroite, plus régulière et plus appuyée, tandis que mon index prenant un rythme proche de celui de ma langue.
Quelques secondes suffirent alors pour la voir se redresser, les yeux révulsés, gémir de plus en plus fort et crier un bon coup, en se laissant retomber.
Son cri ayant peut-être alerté quelquun, je me rassis vite à côté delle et lembrassa fougueusement, sans trop la laisser se remettre de ses émotions, et lenveloppant de mes bras pour ne pas trop exposer sa poitrine au cas où
Enfin remise, elle me dit :
-« Du potentiel, sans aucun doute, mais qui demande encore un peu de pratique pour sexprimer pleinement. Mention honorable. » En riant.
Quelle était belle quand elle riait. Encore plus belle que quand elle jouissant. Jétais sous le charme. Elle se rhabilla, pris ses affaires puis nous nous dirigeâmes vers lescalier.
Arrivés à la porte vitrée qui sépare le couloir du palier, nous rencontrâmes Marie, une copine dAdeline et Laure très jolie avec des traits de visages très fins, qui nous regarda marcher bras dessus bras dessous en souriant, tout heureux que nous étions. On discuta un peu, puis partîmes chacun de son côté.
Cest alors que je crus entrapercevoir un clin dil de Marie adressé à Laure
Nous avait-elle observée ? Mystère. . .
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