Un Repas Copieux : La Pause-Café
Ne voulant pas en rester là, Patrick la faisait allonger sur le dos pour la prendre par devant en plaçant ses jambes sur ses épaules. Elle est encore abasourdie par son orgasme : le corps moite, les cheveux collés au visage et ses yeux étaient hagards mais il ne lui laissait pas le temps de se reprendre et la pénétrait à fond d'un seul coup.
- Non... j'en peux plus
arrêêêêtte
- Oh si tu vas voir !
- Oh.... non... pas tout de suite... han
Il se retirait de sa chatte, Virginie, le visage désemparé, le regardait :
- Daccord, tas bien mérité une petite pose. Viens plutôt nous sucer, salope !
Les deux hommes étaient debout au pied du lit et en bonne femme bien docile, Virginie vint sagenouiller entre ses deux amants.
Pendant plus de dix minutes, Virginie suça à tour de rôle les bites de ses deux hommes en rut. Ceux-ci ne restaient pas inactif non plus, ayant chacun un sein en main, ils samusaient à triturer le mamelon, arrachant au passage quelques cris de douleurs de la part de la jeune femme :
- Ouche !!! Pas si fort, gémissait-elle entre deux coups de langue !!!
Patrick sallongea sur le sol, sous la chatte de la brunette, et commençait à la lui brouter.
Elle avait un peu de mal à se concentrer sur la bite de Simon tant elle jouissait à chaque coup de langue que lui donnait Patrick. Il dégustait sa chatte, de temps en temps, elle le regardait faire sous elle, il avait les joues recouvertes de son jus.
Entre deux pressions de sa langue sur le clito, Patrick ordonna à la jeune femme :
- Au tour de ton mari de prendre son pied
fais-le jouir dans ta bouche !
Virginie, qui nétait pas une adepte de la fellation totale, décidait de sappliquer tant pour faire plaisir à son mari quà son amant qui lui procurait tant de plaisir.
- Tu suces comme une pute
ta bouche est délicieuse
, sexclamait Simon profitant de ce bon moment !
- Hum
sluuurrpppp
- Je sens que je ne vais pas tarder à t'arroser les amygdales
ouaiiiiiiiiiiiiiis
continuuuuuuue
c'est bon
Virginie accélère alors ses va et vient sur la hampe tout en triturant les bourses de son homme et après quelques minutes de ce traitement, celui-ci cédait au plaisir :
- Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiis
je viens
aaaaaaaaaaaaaaaah
avale mon jus
.
Il éjaculait longuement dans la bouche de sa salope de femelle qui s'efforce de ne pas perdre une goutte de son jus. Elle le garde en elle jusqu'à ce que la queue ramollisse.
Aux anges, Simon la félicitait :
- Virgi, c'est la première fois que tu m'offres une aussi bonne pipe
tu es réellement douée.
- Merci, répondait-elle presque timidement, avec un regard qui, en réalité, était celui d'une infernale salope qui sommeillait en elle
- A mon tour maintenant
remets-toi à quatre pattes, ordonnait Patrick!
Sur le sol de la chambre, elle reprenait la position demandée et linvité bien décidé cette fois de vider ses couilles l'enfilait d'une longue poussée, accueilli par un cri de bonheur.
Il la baisa longuement, à puissants coups de reins, les mains fermement agrippées à ses hanches. Virginie avait une croupe large, ronde et pleine, qui donne envie de lui planter une bonne queue pour la faire gueuler...Ses gémissements étaient incessants :
- Aaaaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiiii, c'est bon
bourre-moi bien la chaaaaaatte
vas-y !
J'aime ta grosse biiiiiiiiiiiiiiiiiiite
Sous les vigoureuses pénétrations du membre viril dans son vagin brûlant, Virginie sentait ses entrailles se liquéfier.
Pour accen le plaisir mais surtout pour la r de manière sublime, Patrick retirait sa verge gonflée de sang.
Il plaquait son sexe luisant de sécrétion vaginal contre son cul superbe, brillant de sueur. Un instant sa bite coulissait le long de la raie de son cul. La respiration de Virginie saccélérait et sintensifiait. Bientôt son gland heurta létroit passage, massant bientôt la rosette délicieusement ornée dans ses replis dun petit grain de beauté.
Devant ce quelle prit pour de lhésitation la femme de Simon le suppliait :
-Sil te plait encule moi... je veux sentir ta bite dans le trou de mon cul... sil te plait, baise-moi lanus...
Cette fois-ci, Virginie avait perdue toute dignité, jusquà lhumiliation.
Cest sans aucune retenue que Patrick sempalait dans son postérieur, limant avec vigueur sa partie la plus intime, ses couilles claquant au creux du cul en saccades régulières.
Le corps dont il malaxait les seins maintenant dans chaque main, ballotté davant en arrière était secoué de spasmes et de soubresauts.
Tenant toujours fermement sa partenaire par les hanches et le corps en sueur, Patrick se démenait en ondulant des hanches, de manière à sentir son membre naviguer dans cet étroit conduit.
Sous cette vigoureuse pénétration, elle ne tardait pas à pousser des petits cris entrecoupés dencouragements en termes crûs :
- Oh oui !
Vas-y !
Plus fort !
Naie pas peur !
Défonce-moi bien le cul !
Bourre-moi à fond !
Bientôt la pièce résonna des cris langoureux de Virginie et des grognements animales de son baiseur, témoignant de lapproche imminente de leurs jouissances communes.
La gorge nouée, la verge raidie au maximum, Patrick se déchaînait en la pistonnant avec une véritable rage sexuelle, claquant furieusement la croupe tendue de sa compagne de son bas-ventre tandis que ses couilles tapaient contre sa vulve baveuse.
Enfin Patrick sentait le plaisir envahir son bas-ventre et gonfler un peu plus sa virilité, signes avant coureur de son membre que léjaculation libératrice nallait pas tarder.
Sa bite brûlait de jouissance et de douleur en frottant violemment sa gaine de chair, et bientôt il lâchait sa semence dans le boyau fessier de la maitresse de maison, le flot visqueux emplissant ses entrailles. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Virginie jouissait dans une contorsion extraordinaire de son corps :
- Ouiiiiiiii
encooooooooore
rempliiiiiiiiiiiiiiiiis-moi
AAAAhhhhhh
salaud !!!
Aujourdhui, Simon venait de découvrir quil était marié avec une nouvelle femme : une femme esclave de ses sens.
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