Seule À Barcelone : La Suite Des Aventures D'Éva (2° Partie)
Laprès-midi était bien avancé, une fois ma douche prise, je mhabillais un peu plus chaudement et choisis pour cela une petite robe rouge en laine et mis des bas. Je me photographiais et envoyais un nouveau message à Paul pour le tenir informé de mes aventures.
Au moment douvrir la porte, je découvris un message qui avait été glissé dessous. « Mi querida putita de amor ¿ Nos que veremos esta noche ? » (Ma chère petite pute damour, est-ce quon va voir ce soir ?)
Ah les coquins, ils avaient de la suite dans les idées. Je retournai le mot et répondis : « ¿Por qué no ? Pero necesito que me sorprende de este ¿ Qué me sugiere ? » (Pourquoi pas? Mais jai besoin que tu me surprennes. Que me proposes-tu ?). Je montai ensuite au cinquième étage glisser le mot sur leur porte.
Les ramblas étaient toujours aussi animées. Je décidais de remonter vers la place de la Catalogne. La proximité de la mer donnait une sensation de fraicheur pas désagréable, mais javais bien fait de me couvrir
Je pris du bon temps à me promener et à dépenser mes euros si chèrement gagnés. Je profitais de chaque essayage pour envoyer une photo à Paul pour quil maide à choisir et pour le récompenser de son amour.
La nuit était tombée, je rentrais à lhôtel chargée de sacs. Lhomme de la réception minterpella et me remit deux enveloppes. La première émanait du couple de français qui minvitait à leur table ce soir si jétais disponible. La seconde venait de mon coquin du matin qui revenait déjà à la charge pour me dire quil passerait me prendre demain midi. Oh la la jétais sollicitée !!!! Je ne sais pas si jallais pouvoir assurer.
En ouvrant ma chambre, je découvris un nouveau message. Mes amants me proposaient plusieurs programmes. A moi de choisir si jen trouvais un à mon goût.
Je pris mon temps avant de détailler les propositions :
« ¿ un paseo en la noche en Barcelona ? »
« ¿ una sorpresa en nuestra habitación ? »
« ¿ una noche íntima en la piscina después de su cierre ? »
« ¿ una sorpresa con amigos ? »
« Y en cada caso un regalo para ti, putita francesa !!! Dos hombres esperando por ti.
(Une promenade nocturne à Barcelone ?
Une surprise dans notre chambre ?
Une nuit intime dans la piscine après sa fermeture ?
Une surprise entre amis ?
Et dans chaque cas un cadeau pour toi, la petite pute française !!! Deux hommes qui tattendent.)
Avais-je envie de les revoir ? Avais-je envie de leurs sexes puissants ? Mon ventre en se contractant répondit à ma place : oui !!! Pour quel programme allais-je opter ? Chacun était attractif
Je décidais de ne pas choisir maintenant. Jallais dabord passer une soirée « tranquille » avec le couple de français.
Je téléphonais aux français. Cest la femme qui me répondit. Elle fut ravie de ma réponse et me proposa de nous retrouver au bar à 21 heures.
Je montais au cinquième pour glisser ma réponse sous la porte de mes amants :
« Sí, quiero dar la bienvenida a ambos. Todavía no he elegido a programa.».
(Oui, je veux vous accueillir tous les deux. Je nai pas encore choisi de programme).
Je pris mon iPad et écrivis plus en détail ma journée à Paul. Lécriture mexcita tellement que je ne pus mempêcher de me caresser jusquà la jouissance
Le temps passait vite. Il était déjà presque lheure de rejoindre le couple de français. Je décidais de choisir une des robes offertes ce matin et mis des bas noirs. Un maquillage léger. Un rouge à lèvres, rouge vif et me voilà dans lascenseur où je pus prendre à la volée une photo pour Paul avant que la porte ne souvre.
Le couple était déjà arrivé. La femme me prit dans ses bras et membrassa comme si nous étions de vieilles connaissances. Son mari fit de même, tout en appuyant ses mains sur mes hanches. Un grand sourire illumina son visage pour me faire comprendre quil avait bien senti que je ne portais pas de sous-vêtement.
Émilie me prit par la main pour me conduire à la table qui nous avait été réservée. Nous nous assîmes de part et dautre de Vincent. Émilie était ravissante.
Notre complicité bien installée, je posais à mon tour ma main sur la cuisse de Vincent pour vérifier son excitation. Émilie me fixait. Cest alors que je compris quelle aussi avait entrepris la même caresse. Nous nous sourîmes. En remontant vers sa braguette, je fus néanmoins surprise de découvrir la main dÉmilie qui branlait délicatement la queue de Vincent sortie de son pantalon. Une bite de belle taille. Je joignis mes doigts à ceux de mon amie pour mieux caresser Vincent qui soupirait daise.
Cest alors que, la tension retombant, nous nous mimes à rire tous les trois ravis par lérotisme de la situation.
Nous pouvions commencer à manger
Tandis que nous faisions davantage connaissance, un garçon mapporta un pli sur un plateau que je mempressai douvrir. « Entonces, mi putita. Parece bueno divertido ¿Has elegido para esta noche? » (Et alors, ma petite salope. Tu as l'air de bien t'amuser. Qu'as-tu décidé pour ce soir ?).
Je dus expliquer à mes nouveaux amis ce dont il sagissait et comment jen étais arrivée là
Je terminais en présentant les différents programmes proposés à mes deux amants. Jai dû avouer quaprès une journée aussi mouvementée, je ne me voyais pas ressortir de lhôtel et que finalement jallais choisir loption piscine. Après avoir écrit ma réponse « 23 horas en la piscina » (23 heures à la piscine), je fis signe au serveur de rapporter celle-ci. Émilie et Vincent me firent promettre de leur raconter la soirée ultérieurement.
Le temps passant, je dus quitter mes coquins pour retourner dans ma chambre me préparer.
Il me restait quinze minutes. Je ne devais pas traîner. Après mêtre lavé les dents, et envoyé un message à Paul, jenfilais une simple nuisette sous mon manteau et je descendis directement au sous-sol avec une simple serviette dans mon sac.
Malgré lheure tardive, le sous-sol était éclairé. La porte de la piscine était fermée. Après avoir tapé à la porte, celle-ci souvrit et je me trouvais face à face avec un de mes amants déjà entièrement nu.
« Buenas noches mis adorable francésa putita.
Après avoir refermé la porte, il membrassa à pleine bouche pendant que son compagnon se pressait derrière moi. Je pouvais sentir son souffle saccadé près de mon oreille. Mes deux amants semblaient bien excités !!!
Jenlevai mon manteau pour me glisser dans leau avec ma nuisette comme simple vêtement. Jétais persuadée que leffet de transparence les exciterait encore davantage que si jétais totalement nue
Mes deux amants sétaient assis au bord de la piscine, là où leau nest pas trop profonde. Leurs sexes dressés mattendaient. Je mapprochais deux. Je pris une queue dans chaque main et commençais à les branler doucement. « ¿Entonces mi amantes ? ¿Estabais ansiosos por encontrar de nuevo a su putita francesa? » (Alors mes amants ? Etiez-vous si impatients de retrouver votre petite pute française ?). Puis je commençais à les décalotter délicatement pour lécher leur gland gonflé de désir. Les coquins étaient tendus, prêts à exploser. Javais leur destin dans mes mains. Quelle sensation de puissance pour une femme !!! Je mappliquais à bien lécher leur queue tendue, à descendre jusquà leurs couilles gonflées et à remonter pour bien les prendre en bouche. Lun après lautre et avec quelques tentatives, les deux à la fois. Aucun bruit ne venait perturber notre relation. Lun des deux ne put se retenir et me gicla au fond de la gorge. Il menvoya plusieurs jets de son nectar épais. Une fois ma surprise passée, jentrepris de le finir délicatement, lentement, avec ma bouche et ma langue, je nettoyais sa queue, lembrassais pour la remercier de mavoir donné sa crème. Le second choisit de plonger dans la piscine pour me rejoindre avant dexploser. Tandis que je continuais à vénérer le sexe du premier qui ne voulait pas débander, le second se colla à moi et membrassa dans le cou pendant que ses mains pétrissaient mes mamelles et pinçaient mes tétons durcis dexcitation. Je pouvais sentir son sexe gonflé contre mes fesses. « Me vuelves loco, putita ! » (Tu me rends folle, petite pute !). Toujours aussi surprise par lérection qui ne semblait pas saffaiblir, je continuais à me régaler de la queue dressée qui me rendait aussi sublimement hommage. Les mains de mon amant endiablé me pétrissaient totalement. Jécartais les jambes pour lui faciliter laccès à ma vulve. Ses doigts me fouillaient. Je me laissais emporter par les vagues de plaisir, léchant la queue de lun pendant que lautre branlait énergiquement mon clitoris. Un premier orgasme me transperça. Je posais ma tête sur la cuisse de mon amant, sa queue toujours dans ma bouche pour profiter pleinement de cette onde de plaisir qui menvahissait.
Satisfait, mon amant enfonça brutalement sa queue et marracha un cri qui déclencha un second orgasme
. Sans me laisser de répit, alors que derrière mon amant me pilonnait, le second plongea dans leau et vint se placer face à moi. Il prit ma tête entre ses mains et membrassa fougueusement pendant que son acolyte continuait de me pilonner. Il me prit aux hanches et me souleva pour que je vienne mempaler sur lui. Son sexe large et bien dur me remplit la chatte. Allégée par la pression de leau, il me soulevait et me laisser retomber sur sa queue. Le second, toujours excité membrassait dans le cou en me disant des mots crus « ¿Y así, putita, quieres nuestras dos pollas para ti solo? » (Alors, salope, tu veux nos deux bites pour toi toute seule ?). Et je me surpris à répondre sur le même ton. « Cállate y venga con tu polla en mi culo » (Tais-toi et viens mettre ta bite dans mon cul). Le cochon ne se fit pas répéter deux fois, sauf que cette fois, à ma grande surprise, il vint sinviter dans mon vagin. Les deux queues me défonçaient ensemble dans une double impensable et qui pourtant me transportait littéralement dans un plaisir indescriptible entre la douleur et la jouissance. Je bougeais la tête de droite à gauche en encourageant mes amants à me pilonner « mas fuerte, mas y mas ! » (plus fort, de plus en plus !). Excités par la situation, nous jouirent simultanément. Emportée dans ma jouissance, je sentis de longs jets de foutre chaud dans mon vagin. Les deux cochons se retirèrent. Des fils de sperme nous entourèrent. Mes amants samusèrent à les attr pour me les donner à avaler
Ensuite, ils samusèrent à membrasser à pleine bouche à tour de rôle, ravis du plaisir intense que nous venions de vivre tous les trois. Nous sortîmes de la piscine épuisés mais heureux. Je portais toujours ma nuisette trempée qui me collait érotiquement à la peau. Ils sefforcèrent de me lenlever et de me sécher avec ma serviette. Aucune partie de mon corps ne semblait oubliée. Je prenais beaucoup de plaisir à être ainsi lobjet de leur attention. « Eres muy guapa, putita de amour ! » (Tu es très jolie, petite pute d'amour !). Je remis mon manteau à même la peau et nous nous séparâmes pour rejoindre nos chambres.
Une fois la porte fermée, je mallongeais sur le lit, épuisée. Jeus juste le temps denvoyer un sms à Paul avant de fermer les yeux et de mendormir
Le lendemain, matin, je fus réveillée par le soleil qui inondait la chambre. Javais oublié de fermer les rideaux en rentrant hier soir. Il était assez tôt pour moi, mais je ne trainais pas au lit.
Je sortis ma serviette encore mouillée qui était restée dans mon sac. Cest alors que je découvris au milieu de ma nuisette également trempée une enveloppe avec un mot « Mucha gracias putita francesa » (Merci beaucoup la petite pute française) et deux nouveaux billets de 500 euros. Ils étaient fous ! Dire que je navais pas encore dépensé ma première prime !!!
Je pris une bonne douche et me séchais les cheveux quand jentendis frapper à la porte. Cétait Émilie qui venait aux nouvelles. Vincent et moi tattendons au restaurant pour le petit déjeuner. Nous sommes impatients de savoir comment sest déroulée ta soirée. Elle sassit et me regarda finir de me préparer. Nullement gênée, je me promenais nue devant elle. Jeus une idée. Tiens, Émilie, prends mon téléphone et tu vas me photographier. Je vais envoyer les photos à Paul. Il sera ravi. Je lui dirai que c'est Émilie qui les a prises.
Jenfilais une petite robe légère et descendis avec Émilie rejoindre Vincent. Un grand et large sourire maccueillit. Une bosse déformait déjà son pantalon
Pendant notre collation, je dus raconter à force détails ma première rencontre avec mes espagnols, ainsi que ma soirée à la piscine. Je les voyais attentifs, les yeux brillants, les mains sous la table
Cela me faisait rire et mexcitait en même temps.
Alors, dis Vincent, quel est ton programme aujourdhui ? Oui, ajouta Émilie, jaimerais bien faire les boutiques avec toi cet après-midi. Vincent doit aller faire un tour au port. Nous convînmes de nous retrouver à 17h30 à la réception de lhôtel.
Je ne leur avais rien dit de mon histoire avec Juan hier. Il était temps de me préparer. Ainsi je pourrai retrouver Juan après un petit café sur les ramblas. Je choisis la troisième robe en soie naturelle que Juan mavait choisie hier. Un peu courtette, un peu transparente, mais je me sentais vraiment bien et je décidais de la garder pour faire plaisir à Juan. Javais un peu de temps pour écrire un long mail à Paul car jétais un peu en retard dans la transcription de mes aventures et je savais Paul impatient de me lire. Croira-t-il à ce que jai vécu depuis mon arrivée à Barcelone ? Jen doute
Moi-même, jai du mal à tout réaliser.
Sur les ramblas, derrière mes lunettes noires, jobservais le regard des hommes qui me regardaient. Je me sentais femme, tout à fait bien et totalement épanouie. Je pensais aussi à mes copines qui ne savaient rien de ma double vie et qui étaient étriquées, enfermées dans leur « petite vie » de femme. Quelle désolation !!! Je dois avouer que jai moi-même évolué que très récemment grâce à mon Paul et je ne le remercierai jamais assez
Quel bonheur. Il me manque.
Mon « cafe con leche » dégusté, je revins vers lhôtel car Juan ne devrait pas tarder. Quelle voiture aura-t-il ?? Une Porsche ? Une Audi ? Une BMW ? Une Mercedes ? Un petit air frais soufflait, je sentais mes tétons gonflés qui frottaient contre la soie de ma robe
Jen mouillais dexcitation. Quel enivrement.
Je mapprochais de lhôtel quand jentendis un avertisseur. Je me retournais pour apercevoir Juan qui me faisait signe de la main, au volant dun superbe coupé Porsche. Il se pencha pour mouvrir la porte. Je me glissai comme je pus dans sa voiture basse au siège baquet étroit. Il membrassa délicatement et me frôla la poitrine en prenant soin dattacher ma ceinture de sécurité. Il abaissa la capote et démarra vivement. Le bruit du moteur de la Porsche me transperça le ventre. Jadore toutes ces sensations quoffre une « belle » voiture de sport : le bruit, laccélération, la vitesse, lodeur du cuir
.
Juan me complimenta « Hola guapa. ¿como estas? Veo que te pones el vestido que había elegido ayer » (Bonjour, ma belle. Comment vas-tu? Je vois que tu portes la robe que javais choisie hier).
« Eres sublime » (Tu es magnifique) ajouta-t-il en posant sa main sur ma cuisse découverte. Je rougis au contact de sa main chaude. La robe courte qui était remontée jusquau pubis en masseyant et la transparence de la soie ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Satisfait, Juan remonta sa main pour écarter les lèvres de mon sexe. Il prit plaisir à découvrir une vulve trempée de désir. « Yo os llevaré en un lugar encantador frente al mar. ¿Te apetece mi guapa francésa? » (Je temmène dans un bel endroit sur le front de mer. Est-ce que cela te plait ma jolie française ? Je ne pus que me soumettre à ses désirs
« Todo lo que quieras Juan. Yo estoy sometida a tu voluntad. Te deseo » (Tout ce que tu veux Juan. Je suis soumise à ta volonté. Je te désire).
« Quiero que ames larga e intensamente ! » (Je veux que tu me fasses l'amour longuement et intensément !) ajoutais-je en posant ma main sur sa braguette
.
Nous roulâmes une vingtaine de minutes. Nous caressant mutuellement. Javais dégagé le sexe de Juan de sa braguette afin de lui donner une liberté bien méritée. Jaurais bien aimé le prendre dans ma bouche, mais cela nétait pas possible dans la Porsche. Je crois que cest le seul inconvénient, si il y en avait un, à trouver. Son gland était gonflé et violet. Je ne pouvais mempêcher de revenir sur ce qui sétait passé dans la cabine dessayage et le plaisir que javais eu de le prendre dans ma bouche et à boire son nectar, ce qui narrangeait rien à mon excitation et à mon humidité intime, au grand plaisir de Juan qui se léchait régulièrement les doigts trempés de ma mouille.
La Porsche était collée à la route dans les virages de la corniche qui surplombait la mer. Enfin, Juan sarrêta devant une grille magnifique. « Aqui, llegamos ! » (Voilà, nous sommes arrivés).
Il se présenta et la grille souvrit. Nous traversâmes un magnifique parc planté de plantes méditerranéennes, puis, au détour dun virage, nous tombâmes sur une magnifique construction moderne qui surplombait la mer. Cétait comme dans un rêve. Juan se rhabilla, fit le tour de la voiture et vint maider à sortir. Une fois débout, il me plaqua contre la Porsche t membrassa fougueusement. Je sentais son pieu contre mon ventre, un liquide chaud coulait le long de mes cuisses. Nos respirations étaient courtes. Je pense que Juan était prêt à me prendre là, débout et je ne my serais pas opposée
.
Nous nous décollâmes et me prit la main pour mentrainer vers la demeure. « Aquí es la casa del amor ! » (Ici, se trouve la maison de l'amour).
Nous accédâmes à une suite par un escalier extérieur indépendant. Une magnifique terrasse dominait le petit golfe méditerranéen situé plus bas. Jétais subjuguée !!! Comment cela pouvait-il exister ? « Tienes razón, es un paraíso, el paraíso del amor ! » (Tu as raison, c'est un paradis. Le paradis de l'amour). Deux verres et une bouteille de champagne nous attendaient. Juan nous servit « salud » (Santé). « Salud mi ángel francés » (Santé mon ange français) répondit Juan.
Après nous être désaltérés, Juan membrassa à pleine bouche. Il était endiablé. Ses mains me palpaient. Ses doigts possédaient profondément tous mes trous. Jétais trempée et javais envie quil me fasse lamour, là maintenant. Lexcitation et lempressement de Juan étaient contagieux. Il le sentit bien. Dun mouvement, il fit passer ma robe au-dessus de ma tête. Je me trouvais nue face à lui. Il me fit tourner sur moi-même pour apprécier mes appâts et me complimenta « mi angel frances. Hay una y tuve la oportunidad de encontrarlo. Gracias Dios » (Mon ange français. Tu es unique et jai eu la chance de te trouver. Dieu merci). Je rougis du compliment. Quelle chance javais de tomber sur un homme aussi séduisant et si délicat. Toujours nue sur la terrasse, je me mis en quête de défaire la braguette de Juan pour prendre en main sa belle queue tendue qui me désirait. Je maccroupis et commençais à le caresser doucement de mes deux mains. Ma langue jouait avec ses couilles, que je finissais par gober toutes entières dans ma bouche. Juan était tendu comme la corde dun arc. Délicatement, je le décalottais pour découvrir un gland énorme et violacé. Une goutte de sperme perlait à son extrémité. Tout en le fixant dans ses yeux, Je la léchais avec plaisir et excitation. Sa bite grossit encore gorgée de sang
Juan me releva et me tourna contre la rambarde. Il écarta mes jambes et me pénétra dun coup. Instantanément, jeus mon premier orgasme
. Juan attendit quelques secondes avant de ressortir. Jétais anéantie, je voulais quil me baise, quil me défonce, quil me pilonne
- « Soy tu tema, Hacer conmigo lo que quieras, pero fóllame, fóllame muy fuerte !!! Venga con tu polla en mi culo » (Je suis tienne. Fais de moi ce que tu veux, mais aime-moi, aime-moi très fort !!! Viens mettre ta bite dans mon cul).
- « Dame tu esperma, dame tu crema para beber » (Donne-moi ton sperme, donne-moi ta crème à boire).
Juan me rendait folle. Il lavait bien compris. Il me retourna et mobligea à le prendre en bouche, ce que je fis à men faire vomir tellement il enfonçait sa bite au plus profond de ma gorge. Il me releva et me retourna, et à nouveau, me pénétra dun coup, ce qui eut leffet instantané de me donner un nouvel orgasme
Mes jambes ne me soutenaient plus. Je criais grâce, mais rien ny faisait. Juan resta cette fois, mais prit un malin plaisir à me malaxer les mamelles et à me triturer le clitoris à men faire mal et à men faire jouir encore une fois
Je nétais plus quun sexe entre ses mains. Je ruisselais de mouille. Il se retira pour venir contre ma rondelle. « Si !!! Venga en mi culo » (Oui !!! Viens dans mon cul). Ce quil fit, en fait, cest moi qui, dune poussée, fit passer son gland pour mempaler sur sa queue et qui, après une brève période de répit, sagita pour venir dans mes entrailles « venga, Juan, venga !!! » (Viens, Juan, viens). Et Juan prenait un malin plaisir à se retenir. Il ressortit à nouveau pour menfoncer sa queue dans ma bouche. Je lavalais, le mangeais, le mordillait. Juan me retourna pour aller et venir alternativement dans mon vagin et dans mon cul. Je ne savais plus ou jétais, où il était et cétait intensément bon. Je ruisselais de plaisir, jhurlais ma jouissance, jagitais ma tête dans tous les sens jusquau moment où je sentis des jets chauds minonder le cul, où jentendis Juan crier son plaisir et où je lâchais mon dernier orgasme
. Nous reprîmes nos esprits lentement. Juan restait gros et dur dans mon cul. Je le fis délicatement sortir et je maccroupis pour lécher les dernières coulées de sperme et de secrétions qui recouvraient sa queue que je voulais rendre toute propre et prête à me rebaiser
Je fixais Juan dans les yeux tandis quil reprenait vie. Son regard pétillait de malice et il prenait plaisir à rester dans ma gorge. Son sexe ne débandait pas
Avec regret, il sortit de ma gorge, me releva et memporta dans ses bras pour me déposer sur le lit dans la chambre
Il nous resservit du champagne. Sa queue était toujours vigoureuse. Il me retourna sur le ventre et revint senfoncer dans mon cul encore rempli de sa crème. Ses coups de butoir marrachaient des cris de plaisir. Il rayonnait. Il sortit de mon cul, sa queue toujours dressée, quil trempa dans le champagne avant de reconquérir ma bouche. Jen avais mal aux mâchoires à force de le pomper !!! Mais je finis par lui faire lâcher à nouveau sa crème que je gardais dans ma bouche avant de la recracher dans ma flute. Des filaments de sperme flottaient. « salud » (salud) et javalais ma mixture avec un large sourire devant un Juan incrédule
. « Gracias, Juan, Muchas Gracias
Hoy, puedo morir
» (Merci, Juan, Merci beaucoup... Aujourdhui, je peux mourir...). Il vint sur moi et pesa de tout son corps en membrassant. Nous finîmes la bouteille de champagne tranquillement et après une douche rafraichissante, Juan me ramena à lhôtel. Sa main toujours posée sur le haut de ma cuisse. Je me laissais caresser en somnolant. Juan me secoua quand nous arrivâmes à lhôtel. Il fit le tour de la voiture pour maider à sortir. Il me remit une enveloppe " Para tí mi ángel francés " (Pour toi, mon ange français). Il membrassa une dernière fois et je franchis la porte de mon hôtel sans me retourner. Je pensais que je ne reverrais plus Juan et je ne préférais pas y penser
« Éva !! » Quelquun mappelait : Emilie. Je lavais complètement oubliée. Jétais trop fatiguée pour aller faire les magasins et aussi un peu triste. Le contrecoup du bon temps que je venais de prendre
Je bégayais des excuses à Émilie qui comprit que je nétais pas disponible et qui maccompagna dans ma chambre. « Vincent ma laissée pour aller sur le port. Si cela ne te dérange pas, je viens te tenir compagnie ». Arrivée dans la chambre, jôtais ma robe et, nue, mallongeais sur mon lit et mendormis rapidement, épuisée. Émilie sallongea à mon côté, me couvrit et maccompagna dans mon sommeil.
Un peu plus tard, je fus délicatement tirée de mon sommeil par des caresses légères. Émilie, nue également, parcourait délicatement ma peau avec ses mains douces. Cet exercice mi-caresse, mi-massage, me redonnèrent de lénergie. Je pris du temps pour sortir progressivement de mon ensommeillement
Tandis que je pivotais pour me lever, Émilie me rattrapa et membrassa. Son baiser était doux et impérieux à la fois. Jétais troublée. Face à mon étonnement et mes interrogations, Émilie membrassa à nouveau davantage passionnément cette fois. Je me surpris à mouiller excitée par les caresses et les baisers dEmilie. Ne voulant pas aller plus loin pour cette fois, Émilie maida à me lever du lit et me choisit une robe. Tiens, je suis sûre quelle tira parfaitement. Vincent ne me contredira pas. Cétait une robe que Paul mavait achetée et que je navais pas encore osée mettre car elle était composée de parties en dentelles qui me dénudaient trop à mon goût
Mais, après tout, après ce que je venais de vivre
Je ne pus me résoudre à mopposer à Émilie et jenfilais la robe et pris une paire de bas dim-up noirs. Devant le miroir, je faillis la retirer car les dentelles ne laissaient planer aucun doute sur labsence de sous-vêtements, même si on ne voyait rien. Comme une bande transparente descendait de chaque côté du vêtement, la dentelle de mes bas était bien visible. Emilie me demanda mon téléphone pour faire quelques clichés pour Paul. Émilie enfila sa robe également et sortit aussi une paire de dim-up de son sac main. Voilà. Nous sommes à égalité dit-elle en soulevant le bas de sa robe et en me montrant ses fesses. Au moment de partir, Émilie me montra l'enveloppe qui était restée sur la table de chevet sur laquelle on pouvait lire " Para mi ángel francés" (Pour toi, mon ange français). Je l'avais complètement oubliée. A l'intérieur, je trouvais un gentil mot de Juan qui me demandait de l'excuser de n'avoir pas eu le temps de repasser à la boutique pour me faire un cadeau comme il l'avait prévu. Il m'encourageait donc à y aller et que le patron était prévenu. Je montrais le carton à Émilie à qui je dus traduire le message. Elle me réclama également des explications.
- Je t'en parlerai en chemin.
Je pris un léger manteau car la température baissait en fin daprès-midi. Émilie choisit un gilet dans ma garde-robe et me prit la main. Nous voilà parties errer dans Barcelone. Émilie me tenait par le bras. Nous primes un chocolat « con churos », et requinqués, nous allâmes faire quelques boutiques « entre filles ». Émilie me changeait les idées et cest ce dont javais besoin maintenant. Mon vague-à-lâme sévacuait progressivement grâce à sa bonne humeur.
Nous navions pas didée précise de ce que nous recherchions : des chaussures, des robes, un petit haut,
Émilie jouait à mexhiber. Elle ouvrait volontiers le rideau de la cabine quand jétais dénudée, elle soulevait ma robe pour me caresser les fesses. Je ne sais pas pourquoi, mais jétais moins réactive que lorsque mon Paul faisait de même. Nous nous amusions comme des petites folles. Émilie est entrée dans un magasin de chaussures uniquement par ce que cétait un vendeur qui le tenait. Elle voulait essayer plusieurs modèles dans le but de lui exposer son sexe pour étudier son trouble
Jaimais son insouciance. Cest étonnant car je ne sais pas si jaurais osé et pourtant
Nous finîmes quand même par acheter des petites choses toujours utiles. Émilie tomba amoureuse dune petite robe-nuisette noire avec de le dentelle. Elle me demanda de laccompagner dans la cabine. Elle avait pris 2 tailles. La première lui tombait parfaitement bien. Sa poitrine était superbe. Elle entreprit denlever ma robe. Elle tenait absolument à ce que je lessaye aussi car elle était persuadée quelle irait mieux sur moi que sur elle. Selon moi, elle avait tort. Elle affirmait le contraire. Je me sentais trop dénudée. Une nuisette, oui, une robe
Émilie se plaça derrière moi face au miroir. Nous étions très belles toutes les deux. Finalement elle avait raison, même si ma morale (???) mempêchait dimaginer de pouvoir mettre cette robe en public.
Elle se colla contre moi. Je pouvais sentir ses seins généreux peser contre mon dos. Son souffle devenait court. Elle membrassa dans le cou
Tous mes repères seffondraient
Entre mes cuisses, un liquide chaud coulait. Émilie compris bien le changement qui sopérait en moi. Ses doigts experts me firent atteindre un orgasme en quelques secondes
Les robes étaient affichées à 180 euros pièce. Émilie hésitait. Elle navait jamais mis autant dargent dans un vêtement. Nous nous rhabillâmes. Je décidais de lui offrir. Je navais presque pas touché aux « indemnités » dont mavaient généreusement gratifié mes coquins despagnols. Surprise, Émilie me sauta au cou et membrassa à) pleine bouche. Je me sentais rougir comme jamais
.
Nous trouvâmes dautres petites folies. Émilie moffrit quelques pièces en retour de mon cadeau.
- Au fait Éva, ne devrais-tu pas passer à la boutique de ton ami Juan ?
- Oui, tu as raison. J'avais totalement oublié. Ce n'est pas très loin.
Je trouvais rapidement le magasin. Émilie était émerveillée par les modèles qui étaient exposés en vitrine. A peine entrées, le patron me reconnut.
- Hola guapa, ¿cómo estás? Hoy me llevaste una mujer muy hermosa. (Bonjour ma jolie, comment vas-tu ? Tu mas amenée une très belle femme aujourdhui.
- Muchas gracias mi amigo (Merci beaucoup mon ami).
Le patron m'expliqua que Juan l'avait prévenu de ma venue et que je pouvais choisir ce que je voulais. Émilie était folle.
- Quelle chance tu as !!!!
Nous fîmes le tour du magasin accompagné de son propriétaire. Je tombais amoureuse d'une robe rouge en soie. Elle était décolletée et boutonnée au dos. Par chance, elle était disponible en 40 et 42.
- Elle te plairait ?
- Oui, elle est magnifique, mais il est hors de question que je craque, Vincent me ait !!!!
- Viens, nous allons l'essayer.
Nous entrâmes toutes les deux dans la cabine d'essayage et nous nous retrouvâmes nues face à face. Émilie me prit dans ses bras et m'embrassa. Sa langue impérieuse prit possession de ma bouche et s'enroula autour de ma langue. Nos salives abondantes s'emmêlaient. Alors que nos lèvres se séparèrent avec un léger bruit de succion et qu'un mince fil de salive nous unissait encore, j'aperçus la queue du patron qui pointait entre les rideaux de la cabine.
Je montrais l'engin dressé à Émilie qui éclata de rire. Je lui fis "chut" avec mon doigt et me mis à genoux pour honorer ce cadeau impromptu. Je gardais le souvenir de cette belle longue queue. Mes mains attrapèrent ses couilles pour les caresser pendant que ma langue s'occupait du gland. Je le léchais comme je le ferais avec une glace. Je prenais plaisir à le sucer, à le gober, à le mordiller. Émilie, son visage tout près du mien, m'observait, comme hypnotisée par le spectacle que je lui offrais. Je lui souriais, puis lui tendis la queue pour qu'elle en profite elle aussi. Toutes les deux nous nous échangeâmes la verge tendue dont le gland était devenu violacé. Soumis à cet exercice, notre homme ne put se retenir longtemps. Nous le sentîmes se crisper "Ahhhh Puta madre
" (Ahhhh putain de sa mère), puis jouir. De puissants jets de sperme giclèrent sur nos visages. Après avoir méticuleusement nettoyé notre hôte, nous primes un moment pour nous lécher mutuellement et recueillir sa semence. Émilie prit des kleenex de son sac et nous nous nettoyâmes. Nous nous redressâmes et Émilie m'embrassa avec ferveur puis me sourit pour sceller notre complicité. Nous prîmes quelques photos avant de terminer notre essayage. Nous étions superbes. Deux jumelles, même si Émilie était un peu plus jeune et un peu plus mince.
Nous sortîmes de la cabine pour faire quelques pas dans le magasin. Que la soie était agréable à porter à même la peau.
Nous retournâmes nous changer. Émilie était toute affolée.
- Tu te rends compte, 450 euros la robe. C'est pas possible.
- T'inquiète. Mes amants m'ont gâtée.
- Tomo los dos (je prends les deux).
Me préparant à payer, le patron m'arrêta.
- No, no. juan paga uno, ofrezco el otro (Non, non, Juan en paie une et moi, j'offre la seconde).
Trop contente, Émilie embrassa le patron sur la bouche pour le remercier.
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