Le Jouet

Je voudrais raconter comment je suis devenu le jouet d’une petite vicieuse d’à peine vingt ans, moi qui en ai plus de quarante. J’étais séparé de ma femme depuis six mois et dans ma société venait d’être embauché une jolie blondinette, toujours habillée sexy comme le sont les jeunes d’aujourd’hui. Je passais mon temps à la pister pour la mater, elle me faisait terriblement bander. Un soir lors d’un pot de départ elle vient s’asseoir à coté de moi.
-Alors René, ça va ?
-Oui merci Jessica et toi ?
-Bien. Tu sais je voulais te dire que je vois bien ton manège à toujours vouloir me mater.
-Heu, non tu te trompes, balbutiais je tout en rougissant.
-Allons, je les connais bien les pervers de ton âge, mais j’aime ça tu sais. D’ailleurs je vais te dire un secret.
Sur ce elle remonta le bas de sa robe et je découvris le haut de ses bas fixés à son porte-jarretelles.
-Tu vois je porte exclusivement des bas avec porte-jarretelles ou guêpière, jamais de collants et bien sur des strings. Maintenant lorsque tu me materas tu penseras à ce que je porte sous mes robes ou mes jupes et tu banderas encore plus.
-Pourquoi fais tu ça ?
-Parce que tu me plais bien, mais j’ai envie de jouer avec toi, j’aime faire baver les pervers comme toi, qu’ils me supplient de m’occuper d’eux et puis j’ai le fantasme des hommes soumis donc si tu me veux il va falloir être très obéissant et devenir mon jouet. Tu vois Eric la bas ?
-Oui
-Je vais aller l’allumer et ce soir il va me baiser et crois moi je suis une vraie salope au lit, il va avoir droit à la totale, fellation, baise et mon cul aussi car j’adore sentir une bonne queue dans mon petit cul. Pendant ce temps tu penseras à moi et tu te branleras bien quand sa queue forcera mon petit trou.
Elle se leva, alla droit vers Eric, une demi-heure après je les vis s’en aller, elle me lança un clin d’œil en partant. Je m’en allais aussi et à peine rentrer chez moi je me branlais énergiquement et ce plusieurs fois dans la soirée car dés que je pensais à Jessica une envie de me caresser me tenaillais aussitôt.


Le lendemain au travail je croisais plusieurs fois Jessica qui s’arrangeait pour que je puisse voir ses bas. Un moment nous fûmes seul tout les deux.
-J’ai mal au cul tu sais, Eric en a une vraiment grosse, il m’a éclaté l’anus. Et toi tu t’es bien branlé ?
Je ne répondis pas, gêné.
-Je suis sur que tu l’as fait plusieurs fois, cochon. Vais je vais être gentille, regarde.
Elle remonta sa robe et me fit admirer son string. Son cul était parfait, bien rond et il semblait ferme.
-T’aimerais le toucher ? Il te fait bander mon cul ? Ca te fera une image pour ce soir.
Depuis, tous les jours de travail, Jessica me montre ses dessous et le week-end interminable je les passe à me branler en me remémorant ses seins magnifiques et son cul de rêve.
Un samedi matin, je reçu un paquet avec une lettre, ils venaient de Jessica.
« Mon cher jouet, j’en ai mare de te montrer mes dessous tout les jours sans contrepartie, si tu veux que cela continue lundi matin tu viendras avec ce qu’il y a dans le paquet, gros bisous de ta vicieuse. »
J’ouvris le paquet, il contenait des bas dim-up. Je passais le week-end à cogiter, je n’allais quand même pas aller au travail avec des bas ? En même temps j’étais devenu accro de ces visions de rêve que me distillais Jessica. Le lundi matin j’enfilais mes bas et parti au travail. J’avais l’impression que tout le monde dans la société savait que j’en portais, je n’étais pas à mon aise. Je n’avais pas vu Jessica de la matinée quand elle rentra dans le cagibi ou je photocopiais des documents.
-Alors ?
Je ne dis rien, déboutonnais mon pantalon et lui montrer mes bas.
-Hummm je sens que je vais bien m’amuser avec toi.
Elle se mit dos à la porte et laissa glisser sa robe à ses pieds, elle portait un soutien gorge seins nus, un porte-jarretelle et un string. Elle tourna sur elle-même afin que je puisse admirer tout son corps. Elle était superbe.
-Ce soir tu va pouvoir bien te branler, pervers.
A partir de maintenant tu porteras des bas tout les jours, compris ?
-Oui, tout ce que tu veux.
A suivre…..

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