Auto Stoppeur : Fantasme Réalisé !!

Il y a plusieurs années de cela, une époque où la pratique de l’auto stop était courante et sans danger, une journée de fin juillet, Georges, artisan ces années là, me dit :
- cet après midi, je dois aller chercher du matériel chez des fournisseurs, mais après, j ai pensé que nous pourrions finir l’après midi a ‘ l ombre ‘ …. si tu veux m’accompagner….-
Tu parles, si je veux l’accompagner !! Je sais très bien que ‘ finir l’après midi à l’ombre ‘ signifie en clair, j ai très envie de te baiser !!
- mais avec plaisir chéri, je vais me préparer -
Lorsque je réapparais, il est sur le cul !!
– qui a-t-il ??-
- qui a-t-il ?? Tu a vus comment tu es habillée ?? -
- et bien quoi ? Tu m’as dit qu’on irait à l’ombre après…. –
- peut être ! Mais il n est pas question que tu descendes de la voiture chez mes fournisseurs !! Tu va mettre le feu !!-
Bon, il est vrais que ma tenue est plutôt légère, j ai mis un petit corsage, noué simplement sous les seins, deux boutons pattés sans soutient gorge, il fait trop chaud !!Une mini jupe ample, c est l’époque, un mini string rouge, et encore j ai hésité à en mettre un !! Mais il y a un peu de vent !et des petits talons !! Il ronchonne mais je suis sure qu’il n est pas loin de bander à ce moment là !!
Nous voilà donc partis, la preuve que çà ne le laisse pas indifférent car sa main caresse l’intérieur de mes cuisses - non, non, chéri plus tard !! - - oh, juste un peu ! –
En réalité c est qu’il veut voir ce qui ‘protège ‘ ma chatte ! alors, carrément, je finis de relever ma jupette !
– ah, oui quand même !! - dit-il !
Ah oui ! Une lèvre s’est échappée sur le coté ! Il en profite pour la caresser !
Le début d après midi ce passe, les courses sont faites, le coffre est plein, la banquette arrière est encombrée elle aussi, ce n est pas un voyage pour rien !! Nous prenons la sortie de ville direction la campagne….


A la sortie de la ville nous nous regardons…..en pensant surement la même chose, notre phantasme commun est de ‘ piéger ‘ un auto stoppeur, et, justement, il y a un jeune homme qui fait des signes…Georges ne dit rien, mais plus loin il fait demi tour, passe au ralentit pour mieux dévisager le jeune, il est vrais qu’il n est pas mal ce petit ! grand, brun, mat de peau, comme je les aimes quoi !!
- tu veux qu’on essaie ??- me dit mon chéri ….
- je ne sais pas ….si tu veux… - mais au fond de moi, devant le fait accomplis, j ai un peu la trouille !!
- tu va voir çà va bien se passer, et puis qu’est ce qu’on risque, il n a rien d un voyou...
Demi tour, et le jeune fait effectivement signe le pouce en l’air, George ralentie et s’arrête
Il accourt a ma portière, dont la vitre est ouverte, il fait très chaud, et là j ai le feu au visage !!
- bonjours, vous allez sur BX ??- - euh, non, pas jusque là mais nous pouvons vous faire faire un bout de route … -
Il y a un silence, il réfléchie ? Ou il est scotché sur mes seins et mes cuisses ??Les deux sans doute !!
…..bon d’accord, mais je monte où ? !!
Très bonne question !il faut dire que notre voiture, comme certaine autrefois, est équipée d’une banquette a l’avant comme a l’arrière
- Pose ton sac sur les colis derrière, et monte a l’avant -
Ce qui était toléré aussi avant ; la voiture est assez large, mais malgré tout, je sens la chaleur de sa cuisse nue, avec le short qu’il porte, en contact avec la mienne qui est nue aussi, vus que la jupe a bien remonté lorsqu’ il s est assis ! Il a passé son bras gauche sur le dossier, dans mon dos pour ne pas me bousculer avec son épaule, moi j ai ma main droite sur ma cuisse pour essayer de cacher la fourche ouverte, car ma jambe gauche est montée sur le ‘ tunnel ‘ du plancher et la vue est osée !!...., ma main gauche est également passée derrière le dos de Georges, qui lui a négligemment posé sa main droite sur ma cuisse dont il caresse doucement l intérieur
La tension est palpable dans l’habitacle !mon mari rompt le silence pesant, et demande au jeune son prénom :
– nous c’est Annie et Georges -
- moi c’est Christian, je suis étudiant, j’ai dix neuf ans, je vais rejoindre une colonie de vacances, comme animateur et je vous remercie de m avoir pris -
- Il n y a pas de quoi, c est normal !-
La glace est rompue !notre étudiant laisse trainer ses yeux sur mes cuisses, je le sens, il fixe la main de mon chéri qui remonte de plus en plus haut vers ma fourche, il lui suffirait d avancer un peu la tête pour apercevoir mon string, sa cuisse se relâche et fait pression sur la mienne, sa tête se tourne aussi plus souvent vers moi, je devine ses yeux sur mes seins apparents je crois qu’ il est a point !
Les choses s accélèrent, lorsque mon chéri me met carrément la main sur la chatte, il bande, je vois sa queue qui sort par la jambière et repose sur le siège, je la cueille, et je la branle doucement, je me jette à l’eau et pose mon autre main sur le genou de notre passager ,qui se tourne vers moi , sa main libre défait les deux boutons qui cachent encore mes seins, écarte le tissu , et me fait subir un pelotage en règle, il cherche mes lèvres , j aime sa langue qui tourne dans ma bouche ma main remonte vers la braguette gonflée, le zip ouvert, j arrive a extraire la queue raide, le gland suinte de désir, je me sert de ce lubrifiant pour le branler, il gémit le petit !!
La situation devient scabreuse en voiture, j ai les seins a l’air, les cuisses écartées au maximum, deux mains ont refoulés le string et me fouillent le minou, je sens des perles de mouille accrochées a mes poils, et mes mains masturbent les queues raides .
Georges trouve la solution et prend rapidement un petit chemin de terre
Un pré entouré de buissons est le bienvenu, nous débarquons de la voiture, mon chéri prend au passage une couverture, qu’il avait prévue pour nous deux ….
La couverture à peine étalée au sol, a l’ombre d un chêne, que je suis déjà allongée, le corsage défait, les genoux repliés, les cuisses ouvertes, le string qui ne cache plus rien, impudique offerte aux regards lubriques de mes deux amants
Christian ne perd pas de temps et vient s’allonger entre mes jambes pour me brouter la chatte, Georges lui vient me faire sucer son épée de chair
Je plaque de mes mains la tête de mon lécheur, qui fait des merveilles avec sa langue sur mon clitoris, pendant que ses doigts fouillent le fond de mon intimité
Je retire la bite de mon chéri de ma bouche pour lui murmurer – j ai envie de le sucer, tu veux bien chéri ? -
- bien sur chérie, assouvie ‘ notre fantasme ‘! –
- Donne-moi ta queue Christian, mais lèche-moi encore ! –
Nous sommes couchés sur le coté, en soixante neuf, sa queue est dure comme du béton, d’une grosseur raisonnable … elle devrait me faire du bien tout a l’heure !!
Bientôt, je sens la verge se raidir, des soubresauts annoncent l’éjaculation, je ne la lâche pas et me laisse envahir de ce liquide chaud et onctueux, ce qui déclenche de ma part des jets de mouille qu’il ne recrache pas non plus.
A peine apaisés, sa bitte que je nettoie consciencieusement reprend vite de la vigueur, je me positionne sur le dos, et lui dit - fait moi l’amour, j ai envie de te sentir en moi … -
Il ne se fait pas prier, à peine allongé sur moi, sa queue trouve toute seule le chemin de mon vagin ouvert par le désir, je le ceinture de mes jambes pour le sentir au plus profond de mon utérus.
Georges, patient et compréhensif, me laisse prendre du plaisir avec mon jeune amant, il nous regarde en se masturbant
Notre étudiant ne me ménage pas pour autant ! Il me défonce à grands coups, nous sommes en pleine nature, et je laisse éclater mon plaisir,
Après une chevauchée fantastique, il me comble encore de son foutre bienfaisant, des jets puissants percutent le fond de mon conduit étroit, ce qui libère ma deuxième jouissance.

Georges qui a faim de moi m’attire sur lui, je m’empale sur cette verge qui me donne tant de plaisirs au quotidien, ma moule se vide sur ses couilles,
Mais très vite notre auto stoppeur se rappelle a nous, ses doigts jouent avec mon anneau plissé, sa langue lèche nos sécrétions, mon anus se détend doucement, et ce n est plus des doigts, mais une queue a nouveau raide qui appuis sur mes reins
Georges qui l’a senti, arrête de bouger pour lui permettre de s introduire, lentement, le gland est entré, il me laisse m’habi a sa présence, avant d aller plus avant dans mon fondement
J ai en moi maintenant les deux queues, je suis pleine a craquer, ils commencent à me besogner alternativement, j espère qu’il ne passera personne car mes cris doivent s entendre très loin !! – hooooo, ouiiiii, baisez moi, défoncez moi, remplissez mes trous !! –
J’en deviens hystérique !! Enfin ! Pour eux aussi le moment de la jouissance éclate, simultanément les deux bittes giclent en moi, trois hurlements fantastiques et nous retombons repus et satisfaits.
Après avoir récupérés un peu, nous avons reconduit notre étudiant sur la bonne route, en nous excusant de ne pas lui avoir fait faire plus de trajet !!
Celui-ci à bien rit, et nous a remerciés de ce voyage au septième ciel !!!
Quoique qu’il en soit ce récit est une aventure authentique !!!!!!!

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