Jusqu'où Irons Nous
Jétais une femme réservée, et mon mari s'efforçait depuis quelques années de me dévergonder. Issue d'un milieu bourgeois très pudique, je n'avais à notre mariage que peu de connaissances en amour. Noël, mon mari, à force de patience, est arrivé, dit-il, à de bons résultats. Il m'a tout appris et désire m'en apprendre encore. Monsieur me trouvait belle et voulait me montrer aux autres. Je dois avouer que j'ai commencé par refuser, mais il est revenu à la charge plusieurs fois et j'ai cédé à ses désirs. Il m'a demandé de faire l'amour dans la voiture, sur un parking, dans un lieu fréquenté par des voyeurs. Cette expérience n'a rien d'exceptionnel comparée à celles que jai eue le plaisir de vivre depuis, elle a été un moment très fort de notre vie sexuelle. Javais 26 ans.
Un soir, nous partons en voiture pour le parking et, pour la circonstance, j'ai dû accepter de porter bas, porte-jarretelles et string noirs. C'est le cur battant que nous pénétrons dans les allées à demi éclairées et malgré tout très fréquentées. Après quelques minutes, nous nous enfonçons dans les sous-bois. Noël arrête le moteur, éteint les phares mais laisse les veilleuses. Nous sommes garés sur une petite place où visiblement il n'y a personne. Seul un lampadaire éclaire faiblement les lieux. Pour me rassurer, mon mari verrouille les portières et m'adresse quelques mots. Puis il me prend dans ses bras et commence à m'embrasser. Je lui rends un baiser ardent. Après quelques instants, je tiens le sexe de mon mari tandis qu'il me retire mon string. Noël me demande de le sucer. Je plonge vers le pénis dressé et l'engloutis dans ma bouche. J'adore cette caresse et m'y donne de tout mon cur. Je suis allongée sur mon siège, les jambes repliées, en chien de fusil ; ma tête monte et descend le long de son membre.
Quelques minutes plus tard, mon mari me signale que quelqu'un s'approche discrètement de notre voiture. Mes battements de cur redoublent et mes lèvres s'entrouvrent pour libérer le sexe de Noël.
La présence de l'inconnu me gêne mais je sens en moi quelque chose de nouveau, un plaisir que je ne connaissais pas. Noël glisse sa main dans ma raie et atteint ma chatte qui est toute mouillée. « Tu vois, salope, tu aimes que l'on te regarde. » Chaque fois qu'il me parle ainsi, je sens un spasme me parcourir le corps. Ma tête tourne mais je continue à sucer son sexe avidement. Mon mari m'annonce que l'homme s'est maintenant installé derrière la vitre et qu'il me contemple en se masturbant. Puis il me demande de me relever et de baisser le dossier de mon siège. Je me redresse et actionne la manette tout en regardant devant moi, feignant de ne pas savoir que quelqu'un nous regarde. Je m'allonge et Noël m'écarte les jambes pour y enfouir sa tête. Sa langue fouille ma vulve et titille mon clitoris. Un pied sur le tableau de bord, l'autre sur le dos de mon mari, je deviens folle. Ma tête se balance de droite à gauche et je gémis de plus en plus fort. Noël arrête sa caresse un instant et me demande de regarder l'homme qui nous observe. A cet instant, je ferais n'importe quoi je ne me maîtrise plus.
J'ouvre les paupières et mes yeux se posent sur l'inconnu qui, penché sur la vitre, se masturbe de plus en plus vite. Noël reprend ses activités et c'est les yeux fixés sur l'homme que j'éprouve un premier orgasme foudroyant. Pendant que je me tords de plaisir, Noël se présente entre mes cuisses et s'enfonce en moi. Je repars dans le bonheur quand je m'aperçois qu'il y a maintenant trois hommes autour de la voiture, le sexe à la main ; tous se branlent en nous regardant.
Au bord de l'orgasme, je crie : « Oh, c'est bon, que j'aime ça. Oui, je jouis. » Lexplosion se produit quand je vois un jet de sperme s'écraser sur la glace de la portière. J'éprouve alors une jouissance comme je n'en ai jamais connu. Noël, surexcité, lâche sa semence en gémissant.
Nous sommes repartis rapidement, après nous être rajustés. A la maison, nous avons à nouveau fait l'amour. Ensuite, nous avons bavardé. J'ai été obligée d'avouer que j'avais aimé cela et mon mari, sur sa lancée, m'a annoncé que la prochaine fois nous irions plus loin. Je suis un peu inquiète mais je crois que je lui obéirai, car je n'ai jamais été déçue. Je me demande quand même jusqu'où nous irons.
Hélène, 46 ans.
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