Olga, Elodie Et Philippe 7- Réveil Du Samedi

AVERTISSEMENT

Ce texte, écrit à quatre mains par ElodieParis et OlgaT, est la suite de ceux parus les 14, 22 octobre, les 6 et 20 novembre ainsi que les 4 et 17 décembre 2020 sur HDS.

Ce récit érotique est fictif, mais s’inspire du vécu des protagonistes. Voici un nouvel épisode de ce travail en commun. D’autres suivront. Bonne lecture et merci pour vos commentaires!


RESUME DES EPISODES PRECEDENTS

Une jeune doctorante timide de 25 ans, Elodie, est invitée à venir s’entraîner à présenter son mémoire par Philippe, haut-fonctionnaire, qui est un des spécialistes du sujet de la thèse. Une fois sur place, Olga, la maîtresse de maison, hypersexuelle en manque, prend la jeune étudiante en charge, sous les yeux de son mari candauliste expérimenté.

Olga réussit de main de maître à faire surmonter à Elodie ses peurs et ses complexes. Le couple découvre sa connaissance surprenante des choses du sexe. L’étudiante qui se laissait faire comme une jeune inexpérimentée dévoile son vrai visage de petite salope.

Olga invite la gamine à rester le week-end où s’enchainent des parties de plaisir de plus en plus intenses. Olga n’autorise pas Elodie à faire l’amour avec SON mari Philippe mais leurs désirs respectifs montent inexorablement.

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Au matin, Olga s’étira en baillant.

- C’est bizarre j’ai l’impression d’avoir fait l’amour en dormant cette nuit

- Tiens j’ai fait le même rêve, renchérit Philippe

Elodie se fit toute petite, se roulant un peu plus en boule au milieu d’eux, ne sachant quoi dire ni comment se comporter naturellement.

- Pas toi Elodie?

Elle fit non de la tête, visage dans l’oreiller, cachant son sourire de joie. Elodie adorait passer inaperçue, chose à laquelle elle excellait depuis toute petite.

Son frère et sa sœur étaient souvent accusés pour des actes qu’elle commettait. Normal que sa fratrie ne lui parle presque plus. Avec sa gueule d’Ange on lui donnait le bon Dieu sans confession. Mais elle était très loin d’être innocente; Elodie avait profité de la nuit pour sublimer à sa façon les rêves érotiques du sommeil profond de ce couple d’intellectuels qui lui était désormais si cher. Olga poursuivit:

- Viens te serrer dans mes bras, Bébé.

Elodie ne demandait que cela, des bras pour un grand câlin. La déesse brune avait la peau chaude, Elodie était frigorifiée. Elle se blottit dans les bras de la superbe Grecque, avec la fébrilité des filles qui ont un grand besoin d’amour et un grand manque d’attention. Elle se colla tout contre Olga, comme un petit oiseau blessé et, une fois lovée peau contre peau, ne put s’empêcher de sangloter. Olga ressentit cette émotion sincère et la cajola pour l'apaiser. Cette petite était terriblement touchante et sa fragilité à fleur de peau était emplie de désespoir.

Seins contre seins, cuisses en ciseaux Elodie se serra encore plus fort tout contre Olga tandis qu’elle lui caressait les cheveux et son cou qu’elle savait si sensible. Les suçons de la veille étaient rouges et très marqués sur cette peau blonde et fragile. Olga s’en voulut un peu d’avoir exagéré. Elle laissa passer un long moment, jusqu’à ce qu’elle sente l’étudiante plus calme, puis chercha son regard.

- Tu sais, ma chérie, tous les matins, je vide les couilles de mon mari pour que ce coquin ne soit pas tenté de me tromper, mais aussi pour assouvir mon hypersexualité.

Olga avait lâché cette info en caressant tendrement le visage d’Elodie. Celle-ci se tétanisait toujours autant en entendant les mots crus qu’Olga se faisait un plaisir de lâcher.

- Ce matin je te laisse l’honneur de faire cela à ma place.

L’offre qu’Olga venait de lui faire était un signe de confiance absolue. Des larmes coulèrent de ses yeux, leurs regards restant calés l’un en face de l’autre.
Olga caressa les yeux mouillés et posa un doux baiser sur ses lèvres.

- Je te prête MON mari, je sais que tu as besoin de ses bras aussi, mais juste un petit peu

Olga se leva sans dire rien de plus, enfila la robe de chambre classe de Philippe et alla s’asseoir sur le fauteuil de son mari, en mode candauliste, cuisses grandes ouvertes, prête pour se caresser. A voir la surprise sur le visage de Philippe, Elodie comprit l’importance du prêt qu’elle venait de lui faire. Cet honneur la fit rayonner de joie et en même temps repartir en sanglots.

Philippe caressa doucement les cheveux d’Elodie qui poursuivit ses sanglots dans ses bras. Sincèrement touché par la fragilité de cette petite Birkin qu’il savait ta perverse, Philippe était tout aussi surpris de la décision de son épouse qui n’était absolument pas partageuse. Probablement avait elle été attendrie par l’émotion de cette petite. Mais bon, quand Olga prenait une décision, c’était toujours clair et net. Voir son épouse portant sa robe de chambre à lui sur son fauteuil à lui, en train de se caresser, était un peu le monde à l’envers. Il posa ses lèvres sur celles d’Elodie et sentit la salinité des larmes qui coulaient sur ses joues roses. L’étudiante était un peu perdue, pour ne pas dire totalement. Leur baiser, timide au début, s’intensifia délicatement.

- Assez. Vide-lui les couilles!

Elodie se figea. Visiblement Olga ne voulait pas trop d’échanges de câlins ni de baisers avec son mari.

- Allez petite salope, au boulot ! Montre-toi telle que tu es. Je suis sûre que tu as dû bouffer des dizaines de bites, petite garce!.

Elodie essaya de cacher son sourire car parler en centaine aurait été plus approprié. Philippe desserra leur douce étreinte et se mit bien au milieu du grand lit. Elodie, avec malignité, se positionna face à Olga pour qu’elle puisse bien profiter du spectacle. Philippe entretenait ses poils avec une tondeuse, le rendant encore plus respectueux et classe.


- Oui, mets-toi bien en face de moi avec tes yeux qui puent le cul. D’ailleurs, il va te le prendre bientôt si tu es sage. Avoue que tu es excitée par Philippe depuis le début.

Elodie frissonna. Oui son regard trahissait ses envies. Oui le mystérieux Philippe avec son élégance et ses brillantes neurones lui donnait envie. Pourquoi cacher son côté sapio sexuelle? Oui elle aimerait qu’il la possède, qu’il l’inonde dans ses plus profondes intimités, à commencer ce matin par sa petite gorge toute chaude.

Philippe se faisait vider les couilles tous les matins par l’avidité d’une hypersexuelle en manque dès le réveil. Son épouse le gobait avec une envie entrainante. Mais avec Elodie, c’était une petite chatte timide qui lapait son gland, comme si elle buvait du petit lait. Ces légers coups de langues, agiles, étaient mignons tout plein, empreints de fraîcheur et de fragilité, de douceur adolescente. Les petits doigts rendaient hommage à ses bourses, les effleurant, les soupesant avec effroi. Les petits tétons dressés se frottaient par magie au torse et au ventre de Philippe qui adorait ce contact de petite chatte séductrice et tentatrice.

Philippe envoya une main caresser le dos électrique d’Elodie, l’autre son petit cul d’étudiante avant de s’aventurer vers le grand écartement entre ses cuisses. Tandis qu’elle lapait sa verge et ses bourses Philippe laissa un doigt faire le tour de l’anus serré de la petite. Elle se tendit à cette promesse et se cambra même pour le lui offrir en lâchant un petit râle d’envie. Le non dit est parfois plus puissant en émotion que ce qui est dit à haute voix. Olga était vocale et parlait beaucoup là ou Elodie était toute en suggestion.

- Tu lui fais le coup de la douceur, petite salope, tu es maline

Avec son petit râle, Elodie avait fait cet aveu émouvant des filles qui ne savent pas mentir: elle voulait que Philippe déflore son anus. Cela le fit bander un peu plus.
Elodie en profita pour prendre sa verge en bouche et la faire glisser entre ses douces lèvres. Sa bouche était chaude et accueillante. Sa douceur hésitante contrastait avec les gestes fermes et sûrs d’Olga. Sa fragilité d’étudiante si timide en apparence était à l’opposé de l’assurance et de la fermeté d’Olga.

Philippe chargea de la mouille sur son majeur et alla titiller l’entrée de l’anus. Un nouveau râle sincère d’abandon résonna dans la chambre. Elodie qui avait offert à Philippe ses lèvres, sa langue et sa bouche, lui offrit sa gorge. Empalée sur sa verge, dégoulinante d’envie et fondant sur place, Elodie sentit ce doigt écarter ses chairs et glisser en elle. Olga se masturbait, ses doigts fouillaient sa chatte profondément. Dans une petite danse diabolique à trois, électricité dans l’air, les plaisirs montèrent en flèche.

- Tu es une sacrée petite salope, Elodie.

Tout en prenant le gland de Philippe entre ses lèvres, Elodie caressait ses couilles, les soupesant, jouant avec, les malaxant. Son gland coulissait entre ses lèvres, tandis qu’elle tendait de son autre main la peau de son sexe au maximum. Sa langue descendait le long de sa bite, revenait plus haut, redescendait. Elle fit couler un filet de salive sur son gland, qu’elle s’empressa de nettoyer consciencieusement, en avalant la verge sur toute sa longueur, son nez venant alors jouer avec les poils rasés du pubis de Philippe.

Le doigt de Philippe avait pris possession de son petit cul avec assurance et Elodie ne pouvait pas s'empêcher d’imaginer la belle queue entre ses lèvres venir bientôt la sodomiser. L’air se chargea en électricité. Elle ondula des hanches, favorisant la sodomie de ce doigt ferme entre ses petites fesses.

- Bouffe les couilles de MON Mari !

Elodie se mit à sucer Philippe à un rythme toujours plus soutenu. Elle sentait qu’il allait venir mais voulait que ça dure. Elle marqua un temps d’arrêt, puis replongea entre ses jambes, elle accéléra, espérant que bientôt il se viderait en elle dans l’intimité de sa gorge . Elle voulait se donner totalement à cet homme dans la plus pure des abnégations.

- Ce que tu es belle, Princesse, avec ma bite dans ta bouche.

Elodie bavait beaucoup en faisant de nombreux bruits de succion pour bien la faire glisser. Philippe pressait sa tête contre sa verge pour qu’elle prenne sa queue entièrement, puis la relâchait pour la laisser reprendre de l'air.

Philippe et Olga la regardaient pendant de longues minutes en train de prodiguer cette fantastique fellation avec ce doigt qui lui prenait le cul. Olga était partagée, jalouse qu’une autre femme vienne en quelque sorte sur son terrain et avec son homme. Mais en même temps elle était surprise par le talent fellatoire d’Elodie, loin de l’image de l’étudiante sans expérience et réservée. Les yeux d’Elodie ne lui avaient donc pas menti sur ce qu’elle était. Et c’est au final c’est l’excitation qui l’emportait chez Olga, qui se branlait frénétiquement le clito.

- Petite garce, fais-le gicler et avale tout ce qu’il va te donner.

Elodie donnait désormais des coups de mentons d’une fille assoiffée de sperme. Elle voulait donner à ce couple un maximum de plaisir.

Philippe résistait autant qu’il pouvait afin de profiter au mieux du bien être que la blondinette lui procurait. Il était fier de sa résistance, tout en sachant qu’au bout d'un moment, elle finirait par s'effondrer.

Il était si bien dans la bouche d’Elodie. Et le summum pour lui est que cela s’est fait avec l’assentiment d’Olga et en sa présence, elle qui avait été si longtemps comme une tigresse quand une autre femme osait s’approcher de son homme.

Philippe n’était pas peu fier de voir son épouse face à lui, yeux brouillés et voix rauque, prête à jouir. Quant à lui, son majeur possédait l‘anus de la petite, son pouce son clito et sa queue sa gorge chaude. Il était suffisamment expérimenté pour savoir que son épouse allait jouir et que la grande vague allait emporter Elodie. Alors il attrapa l’étudiante par les cheveux et lui dicta le rythme.

- Oui bouffe mes couilles, petite! Avale ma bite, comme te l’a demandé MA femme

Olga donna le ton de la jouissance. Et quand l’anus et le clito d’Elodie se tendirent en spasme, Philippe sentit son jus grimper le long de sa tige avant d'exploser dans la gorge de la petite.

- Aaaaah ! Oui ! Allez ! Bois-moi ! Bois-moi, Princesse !

Elodie se mit à cheval au dessus de Philippe et éjacula à son tour sur le torse et le ventre du mari. Sa bouche était restée empalée à sa queue. Elle buvait son jus comme si c'était du nectar sans jamais déglutir. Philippe criait de plaisir. Ils se vidaient tous les deux en harmonie, l’un sur l’autre et l’un dans l’autre, tout ce qu’ils pouvaient donner, Elodie continua de le lécher sans faiblir, jusqu’à la dernière goutte, nettoyant son gland de la moindre trace de sperme.

Philippe grogna de bonheur, heureux et repu, étalant les sécrétions liquides et chaudes de la petite sur son corps. Lorsqu’Elodie eut fini, elle ouvrit grand la bouche pour leur prouver qu'elle avait tout avalé. Le regard qu'elle adressa au couple témoigna de la fierté d’Elodie et du bonheur qu’elle venait de connaître. Elle se demanda alors quelle serait la réaction d’Olga. Certes elle avait été très excitée par la scène torride qu’elle avait elle-même imposée. Elodie n'ignorait pas qu’elle n’est guère partageuse.

Olga rejoignit son mari et leur amante dans le grand lit. Elle embrassa Philippe puis Elodie.

Elle reprenait en quelque sorte le contrôle de son terrain de jeu, qu’elle avait laissé provisoirement à Elodie et Philippe, se contentant, pour une fois, du rôle de spectatrice.

- Mon chéri, si tu préparais pour ta Basilissa et ta princesse un copieux petit déjeuner. J’ai faim de beaucoup de choses à nouveau.

Répondre aux demandes de sa chérie était une évidence pour Philippe. Il alla récupérer sa robe de chambre, qu’Olga avait laissée sur le fauteuil candauliste. Il apporta des coussins supplémentaires pour le confort des deux femmes nues et repues d’amour.

Olga fit signe à Elodie de venir contre elle. Elle voulait que la petite se sente bien et elle commença par prévenir les larmes qui suivaient souvent les orgasmes fulgurants d’Elodie.

- Je n’imaginais pas que tu puisses être aussi douée pour les pipes, ma chérie. Tu as aimé?

Elodie, à nouveau rougissante, baissant les yeux, émit un faible oui, n’osant exprimer combien elle avait adoré ce qu’elle venait de faire.

- Comment as-tu trouvé son sperme? Tu as tout avalé comme une vraie petite salope. Il a bon goût, n’est-ce pas? Moi, je ne m’en lasse pas. C’est notre rituel du matin, mais, quand j’en ai l’occasion, je suce mon homme à d’autres moments de la journée.

Elodie n’osa pas avouer que la semence de cet homme, elle en avait envie depuis la veille.

Timidement, elle s’approcha de la belle brune et, après avoir déposé un baiser tendre sur les lèvres, Elodie prononça un imperceptible “merci”

- J’ai envie de te voir heureuse et je lis dans tes yeux tous tes désirs. Tu sais qu’à part Agun, et encore il y a quelques mois, aucune femme n’a eu le privilège de tailler une pipe à mon homme. Mais je sais que tu as envie de plus.

Oui Elodie voulait plus, mais elle ne voulait pas le dire, même si elle savait qu’Olga n’ignorait rien de ses désirs.

- Tu as envie qu’il te baise, petite salope? Je le sais.

Elodie n’osait dire qu’elle voudrait faire l’amour avec Philippe, se donner totalement à lui, qu’il la prenne par ses deux trous, qu’il la remplisse, qu’il la fasse jouir encore et encore. Ses pensées créaient chez elle une nouvelle excitation, qui n’échappa pas à Olga, qui ne se priva pas d’aller le vérifier en mettant deux doigts dans le vagin de l’étudiante.

- Tu es terrible! Rien que d’y penser, ça te fait mouiller!

La fin de la discussion n’avait pas échappé à Philippe qui entrait dans la chambre avec un généreux plateau de petit déjeuner, avec café, tartine, beurre, confiture et oranges pressées.

- Cette demoiselle meurt d’envie que tu la baises, mon amour.

Elodie ne disait rien, rouge de honte.

- Il faut qu’elle apprenne la patience et que ce moment qu’elle attend si fort soit l’aboutissement de ce week-end, une récompense en quelque sorte. Ce sera donc quand je l’aurais décidé, ma petite. Tu as compris?

Elodie hocha la tête, pour manifester son accord. Elle ne voulait surtout pas rompre la complicité qui l’unissait à ce couple depuis leur rencontre. Malgré ses envies si fortes, elle savait que la patience était son alliée.

Les trois protagonistes prirent ensemble leur petit déjeuner, confortablement installés sur le grand lit. Ce fut un moment d’accalmie, dans ce week-end où la libido de chacun d’entre eux était tant sollicitée.

C’est naturellement Olga qui annonça la suite du programme:

- D’abord un passage nécessaire à la salle de bains, mais sage cette fois-ci, ajouta-t-elle avec un sourire destiné à Elodie. En attendant, mon chéri, je suis désolée, mais il faut à nouveau refaire le lit. Avec les orgasmes de cette petite fontaine, heureusement nous avons ce qu’il faut. Ce matin, nous restons à la maison, car il faut faire travailler un peu cette demoiselle en vue de sa soutenance de thèse. Sinon, nous nous sentirons coupables.

Elodie frissonna. Tout à ce bonheur irréel, elle avait oublié l’épreuve qui l’attendait. Olga n’oubliait rien, même si cette matinée était une simple pause dans d’autres découvertes.

- Tu as raison, chérie, je vais tout préparer. Et après, quel est ensuite notre programme?

- Je te l’ai dit, nous allons en ville déjeuner et faire les boutiques. Tu vas te promener à nos bras et nous gâter!

Malgré son envie si forte de moments chauds avec Elodie, Olga s’en tint à son programme.

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