Le Jouet (2)

Depuis que j’étais tombé sous le charme de Jessica, j’étais prêt à tout pour lui faire plaisir, je ne sortais plus sans mettre des bas auto-fixant comme elle me l’avait demandée. De son coté elle m’exhibait ses dessous, me laissant voir ses bas, strings, soutien-gorge. En plus elle prenait un malin plaisir à coucher avec la plupart des hommes de la société et elle me racontait tout ce qu’elle faisait avec elle, n’omettant aucun détail, grosseur de leur queue, gout de leur sperme, habileté à la faire jouir. Moi je n’avais que le droit de me branler en l’imaginant prise par tout ses males.
Je reçu de nouveau une lettre de sa part :
« Cher pervers, il va falloir passer à une autre étape si tu veux continuer à jouir de la vue de mes dessous. Tu vas aller voir ma copine Virginie, elle tient un magasin de lingerie, rue ****, tu lui diras que tu viens de ma part. Ta petite vicieuse adorée. »
Un magasin de lingerie, qu’avait elle imaginé encore ?
Nous étions vendredi, il faisait nuit, le magasin n’étant pas trop loin je décidais d’y aller de suite, je serais fixé comme ça. Arrivé devant celui-ci, je poussais la porte et pénétrais à l’intérieur. Une magnifique brune me reçu.
-Bonjour je cherche Virginie.
-C’est moi, que puis-je pour vous ?
-Je viens de la part de Jessica.
-Ah oui, je vous attendez.
Elle alla à la porte du magasin, la ferma à clé et baissa les stores.
-Suivez-moi.
Nous passâmes dans l’arrière boutique.
-C’est donc vous le vieux pervers dont ma parler Jessy.
Je rougis.
-Jessy m’a dit que vous aimez mater ?
-Oui c’est vrai.
Elle dégrafa alors sa robe, elle portait une guêpière seins nus qui mettaient ses seins magnifiques en valeur, avec un très joli string. Elle tourna pour que je puisse mater son cul.
-Alors ?
-Magnifique.
-Bien, passons aux choses sérieuses, déshabillez vous.
-Comment ?
-Allons, si vous voulez continuer à mater ma copine il faut obéir, maintenant libre à vous de partir, c’est comme vous vous voulez.

Je pensais au cul de Jessica et je me dévêtis. J’étais entièrement nu avec une érection terrible.
-Humm belle queue.
-Merci.
Elle alla dans la boutique et j’eus tout le loisir de mater son beau cul. Elle revint avec des shorty.
-Essayez ça.
J’en enfilais un, il me moulait bien, je matais mon cul dans la glace, je le trouvai très bandant.
-Cela vous va très bien.
A nouveau elle alla dans la boutique et revint avec des porte-jarretelles et des bas.
-Nous allons essayer cela maintenant.
Elle m’attacha le porte-jarretelles et me fixa les bas, j’eu tout le loisir d’admirer sa poitrine, ma queue me faisait mal tellement elle était grosse. Une fois fini je me regardé à nouveau dans la glace, je pensai que je pourrais faire bander un homme vêtu ainsi.
-Voila comment Jessica veut vous voir vêtu dorénavant.
- Tout les jours ?
-Oui sans exception, je vais vous donner assez de shortys et de porte-jarretelles pour que vous puisez faire un roulement. D’ailleurs cela commence à partir de maintenant. Il manque une dernière chose.
Elle reparti dans la boutique et en revint avec des escarpins.
-Mettez cette paire. Ils ne font que 13cm pour commencer. Vous ne les mettrez que chez vous pour vous habi, dans un mois vous viendrez chercher des 14cms et ce jusqu’à ce que vous sachiez marcher sur des 18cm. Regarder dans la glace comme cela cambre bien votre cul.
Je du en convenir.
-Maintenant vous allez vous branler devant moi.
Elle me tendit un mouchoir. Je sortis ma queue du shorty et me branla, je ne tardai pas à jouir en expulsant une forte quantité de foutre.
-C’est bien, allé rentrait chez vous sale pervers et n’oubliez pas dans un mois pour les chaussures.
Je me rhabillai en gardant mon shorty et mes bas et rentra chez moi. La sensation des bas et le frottement des jarretelles sur mes cuisses me procurèrent une forte bandaison. Arrivé chez moi j’ôtais mes vêtements, remis mes escarpins et me branla encore une fois. Je passai le week-end ainsi m’habituant à marcher avec des talons. J’avais hâte d’être à lundi pour montrer mes dessous à Jessica.
A suivre…..