Crème Solaire....

Journée à la plage dans les Landes, mi naturiste mi "textile".
Ma femme s'endort doucement (elle est résolument textile ;-) tandis que je m'excite petit à petit à voir hommes et femmes non seulement nus mais qui pour la plupart "font la parade" : les dames écartant complaisamment les jambes pour les voyeurs potentiels postés en contrebas sur leur serviette, les messieurs tirant négligemment sur leur petit serpent pour le faire devenir semi boa !
Au bout d'un moment je décide d'aller faire un tour dans ces dunes réputées afin de voir si d'aventure un petit couple ne s'y ébattrait pas tendrement.
Peine perdue, il n'y a que des mecs qui rôdent, rentrent et sortent des fourrés (sans jeu de mots !), seuls ou accompagnés...
Excité par ces visions répétitives, je finis par m'aventurer dans un de ces petits bosquets, la peur au ventre mais l'excitation étant si forte...qu'il ne se passe rien, en effet, c'est vide...
Dépité je ressors, et alors que je m'apprête à tracer ma route, suis sifflé sur ma gauche.
Regard discret, il y a là un mec d'âge mûr comme on dit (dans les 50 révolus) qui se tient juste à l'entrée d'un petit bosquet, très ajouré celui-ci me semble-t-il.
Caressant négligemment ce qui me semble être une belle bête, celui-ci me regarde franco, du style "faut pas me la faire, je sais que t'en as envie !"
Troublé par son aisance, je tente de résister à cette invit’, en le regardant faire d'un air que je veux détaché.
Au bout d'un temps qui me parait s'allonger, comme d'autres choses d'ailleurs, son sourire s'agrandit substantiellement : et là je me rends compte que, feignant de n'être que peu intéressé, j'ai une gaule monstrueuse qui n'a pas échappé à mon "interlocuteur" !
Comme un signal d'abandon, je m'avance alors vers lui tandis qu'il rentre un peu plus avant dans le bosquet.
"Alors ma salope, on fait sa timide ?" !!
On m'a jamais parlé comme ça, et je me suis même battu pour moins que ça, pourtant, yeux rivés dans ses yeux, je ne sais pas quoi lui répondre, ni même si j'ai vraiment envie de lui répondre.

..
"Allez, à genoux, fais toi plaisir !"
Toujours ces yeux dominateurs, je suis bloqué dedans, et me retrouve soudain genoux à terre, face à son œil de cyclope...
Alors, timidement, je m'approche et admire la bête : un bon 18 cm bien tendu, gland semblant juteux à souhait, j'en peux plus, je croque dedans...enfin manière de parler : délicatement j'enfourne ce gland entre mes lèvres gourmandes et fais tourner ma langue tout autour, prenant tout autant plaisir à la consistance qu'au goût, un bon goût de mec, propre mais excité...
J'approche ma main pour l'attr (j'ai des projets), mais il m'en empêche :
"Ta bouche, c'est tout"
Ces ordres sont autant de coups de fouet, et puisqu'il ne veut pas ma main il aura ma gorge !
Je m'applique à l'avaler du plus que je peux, jusqu'à quasiment m'.
"C’est ça ma p'tite pute, t'as compris", et étonnamment, je suis fier d'être sa p'tite pute qui a compris.
Je m'active de plus en plus sur son beau chibre et il commence à moins faire le malin, bientôt ce ne sont plus des mots mais des râles qui sortent de sa bouche.
En bon petit soldat je m'active consciencieusement, ravi de lui donner du plaisir, quand soudain mon regard est attiré par un léger mouvement derrière moi sur ma droite.
Horreur : un autre type est là, la queue à la main, qui se branle en profitant du spectacle, et ce n'est pas tout, un peu derrière lui une autre approche...
Pris de flip, je vais pour me relever, mais ça n'est pas du goût de mon partenaire; posant les mains sur mes épaules :
"À genoux, rien de grave, ils font la même chose que tu aurais fait si t'étais arrivé au même moment, continue ton travail petite salope"
Complètement soumis, pensant à ma femme qui pionce sur la plage, je reprends son mandrin en bouche et continue mon ouvrage.
Et cette fois c'est lui qui m'att la tête à demain et commence à me pilonner la bouche.
Je rêve : je me fais baiser la bouche comme dans un film X...qui semble du reste du goût des 2 autres énergumènes qui ne se cachent plus maintenant et se sont rapprochés pour bien profiter du spectacle, la queue toujours à la main.
"Eh, puisque t'as rien à faire de tes mains...." me fait-il en me désignant les deux intrus qui ont compris le plan, se plaçant chacun d'un côté de moi...
Alors, résolument soumis, j'att ces deux membres, même s'ils ne me plaisent pas particulièrement et commence à faire des allers retours dessus, en rythme du pistonnage que je reçois dans la bouche.
Tout ce beau monde est bien en rut, ça sent le mâle en folie partout, quand tout d'un coup mon tyran bien aimé se retire de ma bouche et commence à se pignoler devant moi :
" z'êtes prêts les gars ?", demande-t-il aux deux comparses avec un grand sourire....
Et, alors qu'ils récupèrent l'usage de leur bite respective, je le regarde se branler devant moi, sachant très bien ce qui va se passer : cela prend moins d'une minute, la dernière chose que je vois c'est son méat s'entrouvrir alors que le premier jet me vient direct dans les yeux...
Les collègues sont en fête aussi, ils me tartinent respectivement l'épaule gauche et la droite pendant que j'essaie éperdument de retrouver la vue.
Avec un grand sourire, le mâle dominant me donne une petite tape sur la tête :
"Tu vois, ce n’était pas si compliqué que ça...", avant de tourner les talons et de partir vers de nouvelles aventures...
Les deux autres ont lamentablement fui, quant à moi, ben faut que je retraverse toute la plage pour aller me rincer !
Comme un sioux j'y parviens sans me faire repérer et rejoins ma femme
"Qu’est ce que tu faisais ?" me demande-t-elle
"Je suis allé me rincer, trop de sel sur le visage..."

Eh ben vous savez quoi : cet été là je n’ai pas chopé de coup de soleil sur le visage...ni sur les épaules d'ailleurs !