Gisèle 9

IX - oooOOOooo
Si vous vous souvenez le dernier épisode m'avait laissé un peu tristounette et esseulée. Mais aussi avec de beaux souvenirs et de terribles démangeaisons….
L'embellie revint non pas annoncée par un ange, mais plus prosaïquement par le téléphone. Roger… l'infernal Roger… fascinant et terrifiant à la fois. Il dégageait une autorité et une rouerie qui me laissait pantelante bien qu'il ne m'ait jamais touchée. Je le regrettais… pour tout dire j'avais envie de lui et je maudissais son penchant très net pour le voyeurisme. Quoiqu'il en soit, il téléphona pour nous inviter à dîner. Tout de suite je lui narrais en quelques mots les tribulations qui avaient fait de moi une célibataire. Il s'en amusa et me prévint qu'il serait aussi seul. Il promit de me raconter. Unir ma solitude à la sienne… mouais !
Je résolus et cela ne vous étonnera pas, d'être à mon avantage. Donc, c'est bien coiffée, finement maquillée, vêtue d'un chemisier léger sur mes seins nus sans oublier la fameuse minijupe exigée sur des bas auto fixant et un string minimum. Je fus accueille avec enthousiasme. Regardant mes cuisses découvertes pas le court vêtement il remarqua :
"Ah Gisèle, je vois que tu n'as pas oublié !"
Je ne risquais pas effectivement…. A l'apéritif, il me conta leur aventure. Dès leur arrivée, il présenta Nadine à ses nouveaux patrons qui "la testèrent" sur le champ. Satisfait de "cet entretien d'embauche" elle commença à "travailler" le soir même.
Le bouche à oreille fonctionna et il ne fut pas rare qu'elle dût satisfaire jusqu'à vingt clients par soir. Elle y prenait vraiment goût selon les dires de Roger surtout quand on lui imposait des séances de groupe. Un dimanche, ses patrons l'emmenèrent dans une grande exploitation agricole. Tout le personnel, et ils étaient nombreux, lui passa dessus. Certain même plusieurs fois à tel point que ses maîtres lui accordèrent un jour de congé le lendemain pour soulager ses orifices meurtris.

La fin de séjour approchait. Mais Nadine se semblait pas pressée de revenir tellement elle était adulée par ses admirateurs qui s'installaient entre ses jambes, ses fesses ou se lèvres. Elle était paraît-il heureuse et radieuse. Roger lui accorda un délai d'une semaine supplémentaire. Puis ses affaires (plus ou moins louche à mon avis) le rappelèrent. Il voulu brusquer un peu les choses. Mal lui en prit. Il se retrouva entouré par les employeurs de Nadine, un couteau sur la gorge. Si je puis dire, ils ne souhaitaient pas le départ de la poule aux œufs d'or qui rapportait si bien. Il fut donc prié de quitter au plus vite le pays. On disparaissait aisément dans ce pays…. Nadine lui serait (peut-être) réexpédiée plus tard, quand elle aurait été "amortie". Ses propriétaires prévoyaient outre quelques soirées chaudes de nouvelle séance d'abatage au port et dans l'arrière pays désertique. A priori elle était d'accord sur le programme.
Dès son retour, il avait tenté de la faire exfiltrer par ses "amis". Mais ceux-ci n'avaient pas voulu intervenir dans ce pays. Il était donc seul regrettait un peu d'avoir joué avec le feu. Mais après tout Nadine y trouvait son compte alors… finalement il convint que si tout était à refaire… il prendrait encore plus de bon temps en la pervertissant davantage. Il me faisait froid dans le dos. Froid dans le dos et… chaud ailleurs. Il me proposa à la fin de nos récits réciproques de passer à table. D'un ton sans réplique il exigea que je quitte mon chemisier et que je dîne "nichons à l'air". Pourquoi ai-je accepté ? Je n'en sais rien mais ce fut le point de départ de tout !
L'impression était étrange. Dîner seins nus avec un homme dont ont avait pu admirer les attributs (forts intéressants par ailleurs), qui de surcroît vous avait vu dans des ébats sulfureux, mais qui n'était même pas votre amant (ou du moins pas encore). Oui, cette sensation était curieuse, oppressante et trouble à la fois comme si quelque chose devait arriver, c'était imminent mais retardé à chaque fois.
Je crus à un moment que tout allait basculer. Après avoir apporté le plat suivant, Roger passa derrière moi. Il posa ses mains sur mes épaules. Je fermais les yeux, attendant…. Ses mains glissèrent sur mon torse et se placèrent en coupe sous mes seins. Des ses pouces il agaça mes tétons qui se raidirent immédiatement. Sa voix me rappela à l'ordre :
"Tu as vraiment de beau seins ! Ils sont plus gros que ceux de Nadine ! J'adore…".
Il vint se remettre à sa place me laissant la bouche sèche. Tout au long du repas il ne fut question que de sexe. Il me posa beaucoup de question sur moi et mes réduites et récentes aventures. Ils me par la aussi des sienne enfin plutôt de celle de Nadine qu'il soumettait à ses inclinaisons et ses bas instincts les plus débridées. Comment avait-elle put accepter tant de choses….
Il apporta le dessert. Comme j'allais l'entamer, une voix sèche retentit à mes oreilles :
"Retires ta jupe et viens me sucer !"
La voix de Roger avait claquée. Estomaquée je regardais mon assiette.
"Tu le finira… après…."
Comme une automate, je me levais et fit glisse la fermeture de ma courte jupe.
"Le string aussi !"
Voilà !... j'étais nue (si l'on excepte les bas). Il se tourna vers moi. Son pantalon était déjà ouvert. Il bandait…. Je m'agenouillais entre ses jambes et déposais un baiser sur le bout de sa queue. Lentement, ma langue tournicota autour de son gland. Avant que je ne le pompe, je lui demandais d'ôter son pantalon, pour plus de commodité. En fait, et jusqu'ici je n'y avais pas trop fait attention, mais Roger n'était pas mal pourvu du tout. Peut être plus qu'Hassan en longueur et aussi en épaisseur. C'est pour cela que je me retrouvais la bouche emplie d'un gros chibre frémissant. J'y mis tout mon savoir faire léchant, suçant, aspirant cette imposante trique sans oublier les deux belles couilles que je gratifiais d'un traitement raffiné. Il m'encourageais en terme crus et de temps à autre m'appuyais sur la tête, signe qu'il désirait que sa pine passe ma luette.
Je fus avertie :
"Vas-y mon chou, Vas-y Gisèle je vais tout te verser dans le bec ! Je vais te gicler au fond de la gorge !"
Bien que prévenue le flot me surprit un peu. Malgré l'abondance, je mis un point d'honneur à ne pas en perdre une goutte. En fait je ne le lâchais que vide, débandé et propre. Il m'invita à finir mon dessert non sans m'avoir fait part de sa satisfaction pour ma prestation. Pensivement il dit :
"Pas mal, pas mal… on fera peut être quelque chose de toi !"
Nous prîmes le café au salon et il me demanda :
"Tu as envie ?"
Nous y étions… enfin ! J'allais connaître le plaisir avec Roger. Il allait me prendre !
Aïe, aïe… aïe… pas du tout ! Je fus médusée….
"Alors branles-toi devant moi !"
Comme je ne réagissais pas assez vite, il me fit presser et de plus me demanda de passer mes jambes par-dessus les bras du fauteuil. Heureusement que celui-ci n'était pas trop gros. Il fallut néanmoins que je force un peu sur les articulations de mes cuisses. Mon embarras devait être palpable. Je n'avais jamais fait cela ainsi. Il me fit ouvrir mon sexe et put constater qu'il était luisant de mouille. Il m'y fit mettre un doigt, puis deux, puis trois. De mon autre main je dus câliner mon petit bouton. Je ne le fis pas très longtemps car il voulu que je "me mette un doigt dans le cul". Après l'avoir enduit de salive je me l'introduisis dans l'oignon. Il fallut que je lui adjoigne un puis deux compagnons. Trois devant, trois derrière….
J'étais en train de lui offrir une véritable exhibition que je n'avais jamais octroyée même à mon ex. Elle fut interrompue par une douche froide… non !... glacée plutôt !
Roger sembla pensif puis son regard s'alluma.
"Bien, bien… bien tout ça ! Je pense que tu vas pouvoir prendre la place de Nadine !"
Je dus avoir un hoquet de surprise. Je ne pus que bafouiller :
"Mais… mais…mais enfin…."
"Allons, allons…. Tu verras… Au fonds, tu es aussi salope qu'elle ! Tu vas te régaler !"
"Mais il y a des choses que….
"
"Des choses que tu ne veux pas faire ? Est-ce tu crois une seconde que tu as le choix ?"
"Je… je ne comprends pas !"
"Sois sans inquiétude, tu vas vite comprendre !"
Il prit une télécommande l'écran de son téléviseur s'alluma sur… sur une image de moi en train d'embrasser Nadine…. Une seconde pression sur la télécommande, le film continua. Ce n'était pas moins que la vidéo qui avait été tournée chez Fabrice. Roger se fit ironique :
"Bon, bon d'accord… je ne vous avais pas tout dit quand nous nous sommes revus après. Je m'étais toujours dit que cela pouvait servir. Je ne me suis pas trompé. Tu vas voir comme tu vas être docile désormais. Tu ne veux quand même pas que de telles images circulent dans ton lycée, par exemple ?"
Piteusement je répondis que non.
"Alors, c'est bien clair ! Tu vas être ma salope ?"
"…oui…"
"Oui qui ?…. Oui quoi ?"
"Oui Roger… je … je serais ta salope…."
"Bien soumise ?"
"Oui Roger… je serais soumise…."
"Fort bien !"
"Et… et si Nadine revient ?"
"Où est le problème ? Si Nadine revient tu nous seras soumise à tous les deux. Je pense qu'elle a toujours envisagé de dominer une autre femme et de lui faire vivre ses fantasmes. Ne soit pas trop inquiète, je pense qu'elle n'est pas prêt de revenir. A moins que… à moins que ce soit toi qui aille la rejoindre…."
Il était clair qu'il allait me dépraver jusqu'à…. Oh mon dieu ! Que j'avais peur… peur mais en même temps….
Il continua :
"Tu verras comme dans certaines circonstances tu vas jouir… à t'en péter les cordes vocales…. Maintenant j'ai l'expérience de Nadine et de ce que peut accepter une gentille petite femme comme toi. Tu n'as pas finit de faire des découvertes érotiques…. Pour commencer tu vas pouvoir regarder un petit morceau du film. Pendant ce temps là je vais t'enculer. J'ai assez envie de ton petit cul !"
J'étais muette…. Il me fit lever et tourna le canapé dos au téléviseur. Il voulut que je grimpe dessus et que je pose mes genoux sur chaque accoudoir et que je m'accoude sur le dossier. Je pense que vous imaginez sans peine la vulgarité de la situation. Je m'installais tant bien que mal.
"Plus haut les fesses !"
Je me cambrais un peu plus pour les faire saillir…. Des doigts m'ouvrirent la raie. D'autres se glissèrent dans mon sexe pour y recueillir de quoi m'en enduire le début du rectum sans doute. Oui c'était bien cela ! Deux doigts entreprirent de m'évaser la rondelle. Je sentis comme un liquide, je supposais de la salive. Le film démarra… et mon enculage aussi. Pour l'avoir eu en bouche, je savais… mais pourtant l'importante circonférence du membre eu un peu de mal à entrer. Malgré mon envie d'être prise, je n'étais peu être pas assez chaude. Où bien c'est la perspective de devenir une esclave sexuelle qui m'avait refroidie. Il fallait que je m'habitue, et à ma nouvelle condition et à la pine de Roger. Bon sang qu'il était long ! Il m'avait mise tellement à fond que s'en était presque douloureux. Malgré tout c'est avec délicatesse qu'il se mit en mouvement cependant que sur l'écran je voyais mes ébats libidineux ainsi que ce que je partageais avec Nadine. J'en avais trop envie… je me relâchais pour lui permettre de bien coulisser et de me faire jouir. Le plaisir fut tel que je faillis chuter du canapé. Heureusement il me retint et dans les mouvements qu'il fit je fut si ouverte qu'il ne put se retenir et se vida dans les boyaux en me traitant de tous les noms. Il se retira de moi et me demanda de rester dans même position pourtant inconfortable. Il arrêta la vidéo et alla ouvrir une porte.
Pour une surprise elle fut de taille…. Il revint de la pièce d'à coté en disant
"Tiens regardes !
Il revint avec un ordinateur portable et ô malheur !... mes yeux purent "admirer" tout ce qui c'était passé depuis le début de la soirée y compris ma masturbation filmée par une webcam particulièrement bien placée.
"Tu vois bien chérie que tu vas être bien obéissante !" me dit Roger avant de poursuivre :
"Tout ce que tu m'a raconté ce soir est enregistré. Nous, je dis Nous, car je ne serais pas seul, on me donnera un coup de main pour faire ton éducation ! Il va falloir te mettre à plaire !"
En plus du PC, il avait ramené au vibromasseur de bonne taille mais pas monstrueux. Je me gardais bien de demander des explications, d'abord parce que j'avais peur que cela me retombe sur le nez et ensuite parce qu'il m'avait enfourné son jouet dans la bouche. Il changea assez vite d'idée et d'endroit. Sortant de ma bouche, il le pointa contre mon anus distendu. Sentant la tige plastique peser sur l'ouverture de mes reins j'émis une plainte.
"Oh oui, quoi ?"
"Oh oui… mets le moi Roger !"
"Ah que tu es bonne, salope ! Qu'est ce tu es encore étroite, on dirait presque un cul de vierge. Pourtant, je sais que ces petits crétins t'ont enfilée à deux. Tu te refermes diablement bien ! Notes bien, avec ce que tu vas prendre dans le futur, ça risque de changer ! Bientôt on pourra y mettre un extincteur ! Allez C’est maintenant que les choses sérieuses vont commencer ! "
Il poussa alors sa queue factice un peu plus dans mon anus. Je pousse le plus possible afin de bien le sentir persuadée qu'il va me l’enfoncer le plus loin possible. Il me le mit graduellement…. Une fois enfoncé d’un seul trait, il m’écarta les globes pour tenter de rentrer encore un ou deux centimètres
Il ressortit presque entièrement de mon cul et l'enfonça à nouveau à fond dans ce conduit. Il me fourra comme un forcené et me traite de petite pute...de jolie cochonne...de belle salope...Je me mis à gémir de plus belle, toujours sous le regard de Roger qui s'exclama :
- Tu aimes ça grosse salope...t’aimes te faire défoncer la rondelle hein... prends le bien ! Tu vas gueuler que c’est bon !"
Je tournais la tête, regarde en arrière et dit :
"Défonces-moi bien ! Vas y, prends moi, encuuuules moi à fond salaud....Prends-moi bien fort ! Vas-y bien à fond ! N'arrête paaaas ! Lime bien mon cul de pute avec ton gros gode ! Oui, vas-y ! Encore ! Encore ! Je suis à toi ! Dilate-moi le bien le pot !!! Possèdes-moi ! Baises-moi plus loin ! Plus fort ! Oh Roger ...ouiiiiii ...ouiiiiiiiii ...ouiiiiiiiiiiii ....
Il continu à me prendre sans réserves. Il devait en plus regarder ce phallus entrer et sortir de mes fesses et cela devait l’exciter encore plus, comme tous les hommes. Il se mit à me masser la motte avec son autre main. Je deviens folle sous cette caresse qui me fait mouiller infernalement. Ses doigts habiles me firent gonfler le clitoris. Je me mit à trembler et commençais ce à pousser des râles inarticulés. Je délirais, en imaginant ce spectacle de fornication, en réalisant sur tout ce qui m’arrive en matière de sexe depuis peu... je suis devenue une vraie salope soumise qui veut être prise, possédée, enfilée, mise à fond… et allez, pourquoi pas la pute de Roger et consorts… Et...je crie à n’en plus finir... pendant qu'il me secoue.
Assez vite, il le retira et m'aida à descendre de mon perchoir. Je titubais un peu et il me soutint tout en me paluchant bien sûr. Il me suça la pomme goulûment. Je répondais fiévreusement à ses baisers goinfres et baveux. Il édicta la suite du programme :
"Bon ! Maintenant on sort ! Il est temps que tu ailles baiser ma chère Gisèle ! Va t'arranger un peu !"
Je passais à sa salle de bain essuyer mon derrière qui suintait petit à petit le sperme de mon nouvel amants et aussi me remaquiller un peu. Toujours uniquement vêtue de mes bas je revins dans la pièce principale.
"Non mais tu plaisantes ! Qu'est ce que c'est que ça ! Tu penses que tu donnes envie de baiser …? Files vite à salle de bain…. Tu dois faire salope ! Compris ?" Fit Roger.
Je disparus et revint de nouveau cette fois nettement plus maquillée.
"Ouais c'est mieux ! Pour cette fois ça ira. Mais tiens-toi le pour dit, je te veux pute…. Comme tu étais la première fois quand on c'est rencontré dans le petit bar. Il est de ton intérêt d'être bien obéissante, n'est ce pas ?" ironisa-t-il.
Je me souvins… le film, là le maquillage était effectivement plus outrancier, comme le voulait Fabrice qui me faisait également chanter. Je promis… que faire d'autre ?
Il ouvrit une penderie et en sortit l'imperméable que j'avais justement vu à Nadine lors de cette rencontre.
"Si ma mémoire est bonne tu en as un du même style ?"
"Oui Roger."
"Bien ! A partir de maintenant ce sera ton unique vêtement lorsque tu viendras à mes… à nos rendez-vous. Je ne compte ni bas, ni porte-jarretelles qui sont obligatoires. Quand tu auras besoin d'êtres un peu habillée, tu viendras ici. Puisque tu vas prendre la place de Nadine, tu vas avoir aussi ses fringues."
"Mais, mais Nadine est toute menue et …"
"Ce n'est pas grave, ses vêtements te moulerons davantage, ce n'est pas grave… bien au contraire et puis, comme tu as de plus gros nibards, tu seras beaucoup plus provocante, ce ne seras pas plus mal ! Tu as compris ? OK ?"
"Je… je crois que n'ai pas beaucoup le choix…."
"Effectivement ma petite Gisèle. Avec nous, ce n'est pas chanter que tu vas faire, c'est roucouler… tu n'as pas finir de faire des gammes et des vocalises…. Allez on y va !"
Nous partîmes donc. Un peu assommée par tout ce qui venait de se passe en quelques heures, je n'eus même pas l'idée de demander ou nous allions, ni la présence d'esprit d'essayer de m'enfuir. J'avais déjà abdiqué toute idée de rébellion. Roger se mit au volant. Immanquablement, je dus ouvrir l'imper de Nadine jusqu'au nombril et révéler mon sexe à tous ceux qui le voudraient.
"Nous allons faire une petit tour ! Je suis sûr que tu ne connais pas bien ta ville."
Nous commençâmes à nous éloigner du centre pour gagner le vaste parking d'un supermarché qui donnait directement sur la forêt toute proche. Nous stoppâmes près des pompes à essence. Mon compagnon me fit remarquer au loin en limite du parking quelques voitures.
"Tu vois là-bas ? Tu sais ce que c'est ?
"Pas vraiment !"
Là-bas c'est le rendez vous des voyeurs. Regarde bien ils sont tous autour d'une voiture. Effectivement, je distinguais un attroupement. Il m'expliqua que l'endroit était connus pour des exhibitions et plus si affinité. Et plus si affinité… cela voulait dire qu'un homme pouvait ouvrir ses vitres pour que des mains puissent palper une compagne ou que des sexes en quêtes de fellations s'y présentent. Cela voulait dire aussi qu'un voyeur puisse venir, par la portière saillir une passagère ou quelle descende pour se faire prendre sur le capot de l'automobile. Le must, parait-il était que la passagère se rende dans la camionnette près du groupe. Un matelas était installé à l'arrière et l'infortunée qui y était envoyé pouvait se préparer à satisfaire le groupe de voyeur. Il paraissait que parfois l'orgie était mobile et qu'ils faisaient des tours de quartiers.
"Oui, oui… bien sûr… évidemment !"
"…."
"C'est pour répondre à ta question muette. Naturellement qu'un jour tu feras un tour de camionnette !"
Immanquablement j'avais deviné cette conclusion dès le départ… dès le début de ses explications. Mais ouf, ce ne serait pas pour ce soir. La voiture redémarra et nous regagnâmes le centre ville, enfin plus exactement l'ancien centre ville aux petites rues étroites et à la réputation crapuleuse. Nous circulâmes un peu dans ces rues ou de prostituées attendaient sous des portes cochères et s'avançaient pour montrer leurs appâts à la lueur des réverbères dès qu'une voiture ou qu'un passant s'annonçait. Je remarquais que certaines étaient très belles. Est-ce que Roger remarqua mon intérêt ? Toujours est-il qu'il me précisa que toutes n'étaient pas des professionnelles. Je me tins silencieuse, surtout ne rien provoquer… je me souvenais parfaitement qu'il nous avait raconté les expériences de Nadine astreinte à vendre ses charmes. Il me fit aussi voir de petits bars à hôtesses, quelques petits night-clubs, lieux de strip-tease plus ou moins clubs échangistes ou lieux d'exhibition et de relations plurielles. Je dus convenir d'une chose : c'est que ne connaissait pas ma ville sous cet aspect. Finalement Roger gara la voiture. Mon angoisse me reprit. J'allais payer de ma personne. Je fus presque (je dis bien presque) soulagée de voir que nous nous dirigions vers le magasin d'Hassan. Chemin faisant ordre me fut donné d'ouvrir complètement mon vêtement. C'est ainsi que j'entrais dans le sex-shop. Il n'y avait qu'un seul client dans le magasin. Nous allâmes directement à la caisse ou Hassan fut ravi de notre visite. Roger lui expliqua que j'étais là pour qu'il me baise. Il fut encore plus ravi. Le client matait dans ma direction. Aisément il pouvait apprécier que lui révélait mon imper ouvert. Roger eut une dernière inspiration. Il prit l'imperméable par le col et le fit glisser au long de mes épaules. Je me retrouvais nue dans le sex-shop.
"Va proposer au mec de lui faire une pipe pendant qu'Hassan va te baiser !"
Voilà aussi simple que cela… voilà les demandes que ce porc de Roger allait formuler… et auxquelles j'allais me conformer contrainte, certes, mais aussi avec vice et envie. Un peu gauchement (à l'époque) je me dirigeais vers l'homme. Ces yeux s'agrandirent…. Arrivée près de lui, je lui proposais :
"Mon ami voudrait que je vous suce pendant que le patron va me faire l'amour. Êtes vous tenté ?
Sa réaction première me surprit un peu. Il me demanda si c'était gratuit…. J'acquiesçais. Il accepta… à la condition que "j'avale et qu'il me jute sur la figure". J'acquiesçais derechef. Je retournais vers mes amis qui n'avaient rien perdu de la scène. Je sentais l'homme derrière moi les yeux rivés sur mes fesses. Tout le monde descendit le petit escalier pour se retrouver dans la salle que je vous ais déjà décrite. Hassan me fit appuyer les fesses contre l'espèce de table et sortit son sexe. Il me demanda de lui caresser un peu pour qu'il atteigne la taille optimum. Ce fut vite fait. Le chibre majestueux était prêt. Il me repoussa en arrière pour je m'allonge sur dos et me fit relever les jambes. Il frotta son gland contre ma vulve et l'enfila dans marquer un seul temps d'arrêt. J'en eus le souffle coupé. Il se mis doucement en mouvement et me décala pour que ma tête s trouve plus prêt du bord et que mon "invité" puisse goûter à mes lèvres, sou si vous préférez, que ce soit mes lèvres qui goûtent le sexe de mon "invité. Je me mit à le sucer et le prit par les testicules pour lui imprimer le mouvement correspondant à celui d'Hassan qui m'enfilait méthodiquement. J'en prenait plein la craquette, jambes repliées et cuisses écartées, j'avais l'impression d'être épinglée sur une table. Roger, lui, avait ouvert son pantalon et se masturbait devait la scène d'Hassan qui me baisait et l'autre qui me caressait les seins pendant que je le pompais. Je satisfaisais ainsi ses envies de voyeurismes et je crois que je me pris à aimer cela. Avec mon ex, j'avais déjà eu ce sentiment pervers. Dans ce cas là nous étions obligé de nous y conformer. Avec Roger, c'était différent, j'étais complice et certaine d'une chose… il n'avait pas fini de me trouver ou de m'imposer des partenaires pour que je comble vicieusement ses attentes. En fait j'aurais bien voulu refaire l'épisode Fabrice devant lui étant persuadée que lui, aurait peut être participé et de toute façon m'aurait honorée les jours suivants en évoquant cette situation. Bref, un pincement du téton me rappela au bon souvenir du membre qui s'insinuait dans ma bouche. Je recommençais à m'activer tout en participant par mes ondulations du bassin aux grandes manœuvres déclanchée par Hassan. Dans ma bouche un vit soubresauta. Mon invité sans doute gagné par l'ambiance et les soins dispensés par mon accorte personne arrivait à l'extrême limite de sa résistance. Comme prévu des saccades du meilleur de lui-même vinrent me couler sur la figure. Il visa mes yeux et ma bouche qui tendit une langue gourmette pour y recevoir sa pitance tiède et poisseuse…Mmmmmmm ! L'homme fila sans demander son reste. Juste un tout petit merci à la cantonade. Hassan sûr de son savoir faire attendit les prémices de mon plaisir pour se lâcher. Nous fûmes réunis dans un superbe orgasme ou je ne me rendis même pas compte que Roger avait catapulté sa semence dans mes cheveux. Je m'essuyais tant bien que mal pendant que ces messieurs remisaient leurs outils. Nous remontâmes à l'étage avec un Roger plus goguenard que jamais.
Hassan me fit savoir que je m'étais rachetée. Roger lui demanda des explications :
"Elle devait venir me voir avec son mari pour faire un pipe à un client devant des voyeurs ! Ils m'ont fait faux bond tous les trois. J'ai du dédommager les types qui étaient venus… j'en voulais une peu à Gisèle, mais tout est effacé!"
D'un ton faussement courroucé, Roger reprit :
"Mais comment, comment, tout est effacé… Pas du tout !... Gisèle te doit une contrepartie…. Nous allons arranger cela…et en un peu plus hard qu'un simple pipe, n'est ce pas chérie ?"
Tout se jouait ici….
"Comme tu voudras Roger !"
"Bien !... mais et toi est-ce que tu le veux ?"
"Oui… oui Roger…tout ce que tu auras envie !"
Tout était joué, tout était dit….
Roger me reconduisit jusqu'à ma voiture. Avant de nous quitter Roger me rappela qu'il détenait toujours des photos compromettantes. Je n'avais pas oublié. Il souligna que contre, disons, sa discrétion, je lui appartenais… corps et âme. Roger appuya pour que je comprenne bien :
"Plutôt corps que âme… pas vrai !"
Je fus obligé de corroborer.

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