Heidi Au Boulot ! Les Hommes Sont Loins D'Être Au Repos...

Chaque année, à l’approche du salon international Stéphane faisait appel à une agence intérim pour recruter des hôtesses d’accueil pour tenir son stand. Il avait des critères de sélection bien précis. Il choisissait des jeunes femmes blondes souriantes mais surtout ravissantes pour attirer la clientèle essentiellement masculine. Ses commerciaux prenaient ensuite la relève. C’est une période qu’il attendait avec impatience car chaque fois cela lui permettait de s’offrir une parenthèse d’un mois dans son mariage. Il portait son dévolu sur la plus ravissante de ses recrues et il passait ainsi un mois de rêve grâce aux produits qu’il versait dans leurs boissons et qui lui permettaient d’assouvir les fantasmes que sa femme lui refusait.
Mais cette année était particulière. Son meilleur ami lui avait demandé d’engager son épouse pour la tenue du salon et Stéphane vivait un conte de fée. Cela faisait des années qu’il fantasmait sur la superbe épouse de son ami et elle allait être à lui pour un mois.
D’ailleurs tout avait d’ailleurs remarquablement commencé.
Au moment où elle s’était installée en face de lui dans son bureau pour signer son contrat le visage d’ange et les lèvres incroyablement sensuelles d’Heidi avaient eu raison de ses dernières réticences à s’offrir la femme de son meilleur ami. Heidi n’était pas assise depuis cinq minutes qu’il lui avait proposé un café dans lequel il avait versé le produit qui lui avait si bien réussi jusqu’à présent.
Quand la secrétaire de Stéphane était venue lui apporter un courrier et qu’elle s’était approchée pour le lui faire signer elle avait souri en voyant la chevelure blonde penchée sur le bas ventre de son patron. Elle lui avait aussitôt dit :

- Comme çà au moins j’aurai moins de crampes à la mâchoire pendant quelques temps !

Stéphane lui avait répondu :

- C’est la femme de Michel et crois-moi y a pas qu’à la mâchoire qu’elle va avoir des crampes !

Sa secrétaire en était restée bouché bée.



- Ben si c’est çà attention, il est en bas à l’accueil. Il sera là d’une minute à l’autre.

Stéphane n’avait pas eu le temps de réagir. Michel était entré dans son bureau et il avait trouvé étrange que son ami ne se lève pas pour l’embrasser comme d’habitude.

- Excuses Michel, des courriers importants à signer. Installe-toi. Ma secrétaire va te servir un café pendant que je termine de lire ce document.

En fait ce que Stéphane avait essayé de terminer c’était de jouir le plus vite possible entre les lèvres de Heidi. Il avait eu du mal à se concentrer mais les lèvres d’Heidi avaient été si douces et si habiles qu’il avait eu toutes les peines du monde à sourire à son ami pendant qu’il se vidait de son sperme entre les lèvres de sa ravissante épouse agenouillée sous son bureau.
Il avait pris soin de se répandre à petits jets pour permettre à Heidi de déglutir son sperme à chaque gorgée sans faire de bruit. Il s’était demandé comment il allait bien pouvoir se sortir de cette situation quand le salut était arrivé en même temps que le café de Michel et un de ses collaborateurs que sa secrétaire était allée chercher en renfort. Après avoir discrètement refermé son pantalon il avait cédé sa place à son collaborateur qui ayant été mis au parfum par sa secrétaire s’était assis prestement dans le fauteuil de son patron pour ne pas laisser le temps à Heidi de changer d’activité.
Stéphane n’avait pas encore embrassé son ami qu’Heidi avait refermé ses lèvres sur ce nouveau sexe qui se présentait devant elle.
Stéphane avait expliqué à Michel :

- Je lui laisse ma place pour quelques instants. Il va prendre ma relève pour finir ce document. Je profite de ta venue pour faire une pause.

Michel lui avait répondu :

- Au fait, où est Heidi ? Bavarde comme elle est elle doit être encore en train de discuter dans les couloirs non ?

Stéphane avait souri. Il se voyait mal expliquer à son meilleur ami que sa ravissante épouse était en ce moment même sous son bureau et qu’elle ne risquait pas de parler avec ce qu’elle avait dans la bouche en ce moment.


- Elle visite les locaux pour faire connaissance avec ses futurs collègues et pour se familiariser avec son nouveau boulot.

Le moins qu’on puisse dire c’est que Heidi faisait effectivement connaissance avec un de ses futures collègues et qu’elle s’était vite familiarisée avec ce qui allait être son boulot pour les semaines à venir !
A peine étaient-ils sortis du bureau que Stéphane avait grimacé en voyant trois autres de ses collaborateurs entrer dans son bureau. Celui qui profitait des superbes lèvres de Heidi confortablement installé dans son propre fauteuil avait certainement dû appeler ses collègues pour leur faire profiter de l’aubaine…
Stéphane avait emmené son ami un peu plus loin. Il avait envoyé un texto et cinq minutes plus tard Heidi les avait rejoint toute souriante. Michel avait embrassé sa femme et avait remercié son ami.

- Merci Stéphane. Cà va lui changer les idées pendant un mois et çà lui fera une expérience.

Stéphane avait sourit en pensant à l’expérience que Heidi allait effectivement retirer de son séjour ici. Mais son sourire s’était estompé en voyant que les trois hommes qui sortaient de son bureau avec de larges sourires aux lèvres n’étaient pas les mêmes qu’il avait vu entrer tout à l’heure. Il avait été contrarié, pas à cause du fait que Heidi avait dû soulager au moins sept de ses collaborateurs en plus de lui car après tout avec de telles lèvres elle n’avait que ce qu’elle méritait. Il avait été contrarié en pensant que la jeune femme devait effectivement commencer à avoir des crampes à la mâchoire et que son mari risquait de s’en rendre compte ce soir. Il avait pesté contre ses collaborateurs qui risquaient de faire échouer ses plans.
Dès le départ de son ami il avait convoqué les sept hommes concernés dans la salle de réunion pour les avertir.

- Je vois que certains d’entre vous ont voulu se montrer prévenants avec la femme de mon pote en lui proposant de la crème pour agrémenter son café mais blague à part je vous préviens.
C’est chasse gardée !

Un de ses collaborateurs avait répondu :

- Faut pas nous en vouloir patron. Non seulement elle est splendide avec son regard d’ange et ses lèvres sexy mais en plus elle suce comme une reine….Et puis bon honnêtement quand vous avez envoyé le texto à Gérard on n’a pas réfléchi. On s’est fait sucer à la chaîne ! Elle nous a épongé tous les six en moins de cinq minutes. Une vraie bombe cette Heidi !

Stéphane avait souri.

- C’est justement parce que c’est une vraie bombe qu’il ne faut pas l’abîmer. Je me la garde mais je promets une chose à celui qui fera le plus gros chiffre sur le salon : il aura droit à plus qu’une pipe express…

Les jours suivants avaient été agréables. Heidi s’était tellement agenouillée sous le bureau de Stéphane qu’il avait dû augmenter ses prises de produit pour suivre le rythme infernal des lèvres de la jeune femme qui se nourrissait de son sperme comme s’il s’était agi d’une perfusion. Au bout de trois jours il avait décidé d’empêcher Heidi de se glisser sous son bureau. Les produits qu’il lui faisait prendre la rendait si accroc au sexe qu’elle en avait presque pleuré. Elle avait retrouvé le sourire quand Stéphane s’était mis à la prendre sur son bureau et lui-même avait esquissé un large sourire quand deux de ses collaborateurs l’avaient surpris en train de prendre Heidi par derrière sur son bureau. Il venait de leur fournir la meilleure des motivations à quelques jours du salon.
Stéphane souriait en pensant aux cornes qui poussaient sur la tête de son meilleur ami à chaque fois qu’il embrochait sa femme au bureau. De savoir qu’elle rentrait chez elle chaque soir sans autres souvenirs de ses activités au bureau que les douleurs qu’elle ressentait à la mâchoire, dans le bas du ventre ou dans les reins rendait le jeune chef d’entreprise mélancolique.
Du coup il avait demandé et obtenu que la jeune femme l’accompagne en repérages pour le salon. Son meilleur ami lui avait donné son accord.

La perspective de passer toute une nuit et même plusieurs avec Heidi dans son lit avait tellement excité Stéphane qu’il avait décidé de se montrer généreux avec les membres de son personnel qu’il appréciait le plus. Il leur avait offert Heidi.
Le premier à bénéficier de cette générosité avait été son coursier. Le jeune homme avait été si excité par la beauté de la jeune femme qu’il n’avait même pas fermé la porte du local à courrier tandis qu’il besognait Heidi en levrette à quatre pattes. Du coup la jeune femme avait tellement avancé sous ses coups de boutoirs qu’ils s’étaient retrouvés au milieu du couloir.
Le deuxième à en profiter avait été le chauffeur de Stéphane. Un jour en sortant d’une réunion d’affaires Stéphane avait fait monter Heidi à la place du passager tout en restant à l’arrière.
Jamais le trajet du retour au bureau ne lui avait si long. C’était normal puisque Heidi s’était penchée sur le chauffeur. Stéphane avait suivi l’évolution de la fellation d’Heidi dans l’expression du visage du chauffeur qui se reflétait dans le rétroviseur intérieur.
Stéphane avait félicité son chauffeur en arrivant car il avait bien dû se vider au moins trois fois dans la bouche de Heidi et ce sans produits…
Le troisième à en avoir profité était en fait un binôme. Mais ce n’était pas prévu par Stéphane.
Il avait besogné Heidi si longtemps sur son bureau qu’il n’avait pas vu passer l’heure. Michel attendait sa femme et du coup Stéphane avait décidé de la raccompagner car elle était incapable de conduire, encore sous les effets du produit qu’il lui avait fait prendre pour la culbuter en toute sérénité Il avait laissé Heidi à l’accueil le temps de chercher la voiture mais c’était sans compter sur les deux gardes de sécurité qui en faisant leur ronde dans le hall n’en n’avaient pas cru leurs yeux en voyant cette superbe blonde seule à cette heure ci.
En rentrant dans le hall Stéphane n’avait pas vu la jeune femme. Il était passé derrière le comptoir d’accueil pour la chercher sur les écrans de contrôle et là il l’avait retrouvé. Elle était dans l’ascenseur. Avec les deux gardes de sécurité. Les deux hommes avaient neutralisé le système d’appel et l’ouverture de la porte. Heidi était agenouillée entre eux et avait ses mains occupées par les deux imposantes colonnes de chair noire qui se dressaient comme des pics. Les deux hommes originaires du Gabon n’avaient pas résisté à la beauté de cette superbe blonde. En plus la jeune femme ne s’était pas montrée farouche quand ils l’avaient pelotée dans le hall. Avec sa tenue trop bcbg pour être honnête ils avaient pensé qu’il s’agissait d’une escort girl d’un des riches clients de leur patron.
Stéphane ne quittait pas des yeux l’écran de contrôle. Heidi avait les lèvres distendues au maximum pour faire entrer les membres trop épais et trop longs pour sa bouche. Les deux hommes se relayaient entre ses lèvres pour déformer ses joues et en voyant leurs visages se crisper Stéphane s’était mis à redouter le pire. Et c’est effectivement ce qui était arrivé. Les deux gardes s’étaient répandus ensemble sur le visage d’Heidi. Et leurs éjaculations étaient proportionnelles à leurs tailles. Stéphane regardait avec regret les jets abondants et bien fournis mais surtout interminables des deux hommes qui recouvraient le superbe visage de Heidi d’épais filaments blancs. Ils s’étaient ensuite essuyés dans ses cheveux. Mais surtout ils n’avaient rien perdus de leur consistance. Sans laisser de répit à la jeune femme ils avaient relevé sa robe et écarté son slip pour l’embrocher debout. Cette fois-ci c’était le visage d’Heidi qui se crispait sous la violence du double assaut des deux membres imposants qui besognaient en cadence son ventre et ses reins sans lui faire toucher terre. La jeune femme avait calé ses mains contre le plafond de l’ascenseur pour ne pas trop gigoter sous les coups de boutoirs des deux gardes qui la besognaient avec la fougue et la puissance de deux étalons en rut. Heidi s’était mordu les lèvres tandis que les deux hommes s’étaient répandus dans son ventre et ses reins, l’inondant au plus profond d’elle-même.
Quelques instants plus tard les deux hommes avaient croisé Stéphane en sortant de l’ascenseur et lui avaient souri.

- On ne sait pas avec qui elle cette poule de luxe mais patron si vous voulez y aller n’hésitez pas ! Elle est chaude comme pas permis !

Stéphane avait eu la plus grande peine du monde à nettoyer le visage et les cheveux d’Heidi avant que les effets du produit ne se dissipent. Mais il avait souri en pensant que le soir même Michel aurait eu la voie bien écartée avant de combler sa femme.
Puis enfin cela avait été le grand jour !
Stéphane avait emmené Heidi en déplacement avec lui. Ils avaient pris le train en première classe. Pour trouver le temps moins long il s’était rendu plusieurs fois aux toilettes avec Heidi pour se soulager entre ses lèvres. Quand un des contrôleurs les avait sermonné en les voyant sortir ensemble des toilettes Stéphane avait chuchoté des instructions si précises à l’oreille de Heidi que cinq minutes plus tard il avait souri en voyant l’homme à la casquette se rajuster en sortant à son tour des toilettes en compagnie de la jeune femme qui passait ses mains sur ses lèvres pour s’essuyer.
En arrivant à l’hôtel ils avaient bien pris deux chambres pour donner le change mais Stéphane avait rapidement rejoint Heidi dans la sienne. Tant et si bien que quand Michel avait appelé Heidi au téléphone, Stéphane avait du ralentir sa cavalcade, toujours fiché dans les reins de la jeune femme. Stéphane avait passé la plus belle nuit de sa vie. Et aussi la plus longue. Il avait besogné Heidi dans toutes les positions, avec une nette préférence pour les reins de la jeune femme qu’il avait sodomisée à de nombreuses reprises. Il faut dire que Heidi avait une chute de reins superbement cambrée et que si ses lèvres étaient incroyablement sensuelles, l’arrière valait l’avant ! Au petit matin Stéphane avait posé ses mains dans les cheveux de Heidi qui avait déjà englouti son sexe à peine réveillée. Se sentant durcir à nouveau Stéphane avait écarté les jambes d’Heidi pour l’ouvrir au maximum, se ruant dans son ventre avec la fougue d’un étalon en rut. Les produits qu’il prenait de son côté semblaient le doter d’une vigueur et d’une endurance à toute épreuve. Il l’avait clouée au lit si nerveusement que la jeune femme en avait hurlé d’extase quand il s’était vidé à grands jets, collant le fonds de son ventre avec son sperme épais et gluant.
Le lendemain soir il avait laissé Heidi en compagnie de ses deux meilleurs clients. Il avait donné suffisamment de produit à Heidi pour que les deux hommes puissent la besogner toute la nuit. Ils avaient tellement fait crier la jeune femme que le service d’étage les avait rappelé à davantage de retenue. Ils avaient surtout manqué de prudence après avoir abondement arrosé le visage de Heidi au petit matin. Ils avaient bien nettoyé son visage mais pas ses cheveux. Quand elle avait retrouvé ses esprits, la jeune femme avait été intriguée car elle ne pensait pas avoir mis autant de laque pour avoir les cheveux si collés.
Elle ne s’était pas attardée sur ce problème car le salon ouvrait ses portes le jour même.
Elle avait passé deux heures à se pomponner et à se maquiller. Michel venait de l’appeler pour lui annoncer sa présence sur le salon en fin de journée. Une heure plus tard elle était derrière le stand en compagnie d’une jeune intérimaire. Stéphane avait senti son pouls s’accélérer en voyant Heidi maquillée et vêtue de la sorte. D’ordinaire splendide, la jeune femme était tout simplement incroyable de beauté ce matin avec ses superbes cheveux blonds relevés en chignon avec une mèche sur le côté gauche qui faisait ressortir ses grandes boucles d’oreille noires en cerceau. Sa robe noire au décolleté ras des seins mettait en valeur la peau douce de son cou. Mais surtout Stéphane avait cru défaillir en passant à son tour derrière le stand. La robe noire stricte n’avait de strict que le nom car elle épousait somptueusement les courbes de la croupe de rêve de la jeune femme qu’il connaissait pourtant par cœur à force de l’avoir prise en levrette depuis trois semaines. Il mourait d’envie de la courber en avant et de lui faire payer l’insolente beauté de ses reins cambrés même devant plusieurs dizaines de témoins !
Il avait félicité la jeune femme pour son look ravageur qui allait certainement contribuer à faire signer quelques contrats. Heidi lui avait répondu.

- C’est pour le salon mais c’est surtout pour Michel. Il m’a appelé pour me dire qu’il passerait ce soir.

- En voilà une surprise ! avait répondu Stéphane d’un sourire crispé.

Il avait compté mentalement le nombre d’heures que cela lui laissait pour profiter de Heidi avant l’arrivée de son mari. Il avait beau avoir profité de son superbe corps depuis trois semaines la jeune femme n’avait jamais été aussi éblouissante de beauté qu’aujourd’hui.
Il fallait absolument qu’il utilise quelques doses de son produit avant la fin de l’après-midi. Mais il y avait le salon. Avec les risques que cela représentait de laisser Heidi sous l’emprise des produits ne serait-ce qu’une minute sans la surveiller.
Mais ce matin le sourire éblouissant d’Heidi et ses dents blanches écarlates semblaient briller de mille feux sous son maquillage. Stéphane avait cédé à ses pulsions. Il avait déposé sur la banque du stand le gobelet destiné à lui faire procurer par Heidi les sensations les plus intenses suggérées par les lèvres sensuelles incroyablement mises en valeur ce matin.
Hélas pour lui ce n’était pas Heidi qui avait pris le gobelet mais la jeune intérimaire.

- Tant pis pour elle, avait pensé mentalement Stéphane. Elle fera le bonheur de mes commerciaux et avec un peu de chance de quelques futurs clients
Il avait rapidement posé un deuxième gobelet et avait souri en voyant Heidi cette fois-ci ingurgiter le produit. Dix minutes plus tard les deux jeunes femmes s’étaient retrouvées agenouillées sous le comptoir du stand derrière lequel se trouvait Stéphane. La jeune intérimaire léchait ses boules pendant qu’Heidi faisait monter et descendre ses lèvres superbement maquillées le long du sexe qui durcissait sous la double caresse exquise.
Devant l’étonnement du premier de ses commerciaux à ne pas voir les deux intérimaires derrière le stand Stéphane avait souri.

- Les cherche pas derrière. Elles sont dessous…Allez viens prendre de quoi te remonter pour la journée.

Une minute plus tard la jeune intérimaire avait cessé de lécher ses boules pour refermer ses lèvres autour du sexe qui sortait du pantalon du nouvel arrivant. Stéphane pouvait se concentrer sur ce qui coulissait de plus en plus vite entre les lèvres d’Heidi.
Son commercial avait manifestement beaucoup plus de mal à se maîtriser. Il n’avait mis que quelques secondes avant de remplir la bouche de la jeune intérimaire, trop excité par la situation incroyable. Stéphane s’était tourné vers lui en souriant.

- Ben dis-donc ! Si tu vas aussi vite pour faire signer des contrats tu vas avoir une sacré prime ce soir…

Vexé, le commercial s’était rué une seconde fois dans la bouche de la jeune femme et s’était concentré à son tour, allant et venant entre les lèvres en calquant son rythme sur celui de son patron entre lèvres d’Heidi. Stéphane ne pouvait s’empêcher de jeter de temps à autres un coup d’œil sous le comptoir pour contempler les lèvres roses superbement maquillées entre lesquelles il faisait coulisser son sexe. Il s’était mordu les lèvres pour ne pas crier au moment où il s’était enfin libéré, envahissant la bouche d’Heidi avec son sperme qu’il répandait à grands jets saccadés. La jeune femme avait dégluti lentement le liquide épais et chaud, levant ensuite la tête vers Stéphane pour lui offrir son visage radieux et son sourie envoûtant. Le jeune chef d’entreprise ne regrettait absolument pas son investissement pour le salon de cette année. Il avait déjà été largement récompensé depuis trois semaines qu’il pouvait disposer d’Heidi comme bon lui semblait au bureau. Mais son plus beau cadeau avait été la nuit qu’il avait passé à besogner Heidi entièrement à sa disposition rien que pour lui. Il avait enfin pu assouvir tous les fantasmes que lui refusait sa femme et qu’aucune jeune intérimaire ne lui avait accordé avec autant de talent et de fougue que Heidi. Sachant que son meilleur ami lui avait toujours fait part de ses regrets du refus de sa femme pour le facial ou la sodomie Stéphane jubilait d’avoir pu arroser le superbe visage de Heidi et perforer ses fesses sans retenue. Et ce depuis trois semaines ! Son seul regret avait été de ne pas avoir pu assister aux ébats d’Heidi aux prises avec ses deux meilleurs clients. Les deux hommes avaient tellement besogné Heidi toute la nuit que quand ils avaient appelé ce matin Stéphane avait craint qu’ils aient changé d’avis. Ils l’avaient prévenu qu’ils seraient un peu en retard car ils récupéraient de la folle nuit que Heidi leur avait fait passer à tel point d’ailleurs qu’ils en avaient mal au sexe tellement la jeune femme les avait somptueusement sucés au réveil. Ils n’avaient plus de jus mais il leur restait suffisamment d’encre pour venir signer les contrats ce matin.
Le sourire d’Heidi redonna de la vigueur à Stéphane et il avait fallu l’arrivée sur le stand des deux clients en question pour le détourner de son irrésistible envie de se ruer de nouveau entre les superbes lèvres d’Heidi.
Il s’était rajusté et s’était déplacé devant le stand pour accueillir les deux hommes. Pendant qu’il discutait avec eux le commercial avait compris qu’il n’aurait certainement jamais une autre occasion de s’offrir les lèvres de la superbe femme du meilleur ami de son patron. Même les mises en garde de Stéphane sur la chasse gardée n’avaient pas pu l’empêcher de se retirer de la bouche de la jeune intérimaire pour investir celle d’Heidi.
Quand Stéphane s’était retourné il avait changé de couleur en voyant que son commercial avait changé de place derrière le stand. Le jeune homme le narguait fier qu’il était de se ruer entre les plus belles lèvres qu’il ait jamais vu. Et ces plus belles lèvres étaient justement en train de coulisser le long de son sexe. Il avait placé son téléphone portable de manière à filmer la scène sous son meilleur angle. Il attendait avec impatience de revoir le moment où Heidi collait ses lèvres sur ses boules pour y déposer des traces roses au moment où elle l’avait englouti de toute sa longueur. Il avait continué de narguer son patron même au moment de se libérer à grands traits entre les lèvres habiles. Heidi avait reçu les jets de sperme brûlant et gluant avec une docilité qui avait excité encore plus le jeune homme. Manifestement il avait une éjaculation plus abondante que celle de son patron et la jeune femme avait eu du mal à déglutir tout son sperme.
Mais un problème se posait. Les deux jeunes femmes étaient toujours sous l’emprise du produit et Stéphane et son commercial devaient s’occuper des clients. Les deux premiers clients ne pouvaient pas leur venir en aide car Heidi les avait épuisés la nuit précédente et essorés au petit matin. Il fallait absolument trouver rapidement trouver une solution car la présence des deux jeunes femmes sous le comptoir n’était pas restée inaperçue et deux jeunes manutentionnaires qui venaient de terminer de monter le stand voisin s’étaient installés devant elles.
Stéphane n’avait pu qu’imaginer ce qui se passait derrière son stand. Il n’avait aucun moyen de l’empêcher sans provoquer d’esclandre. Les deux jeunes avaient manifestement envie de faire une pause et quoi de plus reposant en effet que des lèvres si douces et si accueillantes !
Tout ce que souhaitait Stéphane c’était qu’ils n’éjaculent pas sur le visage d’Heidi car son mari arrivait dans la journée. Ils avaient dû l’entendre intérieurement car celui qui avait coulissé entre les lèvres d’Heidi s’était déversé comme une fontaine dans sa bouche, se secouant même pour y vider ses dernières gouttes.
Stéphane avait enfin trouvé la parade. Dès les deux jeunes partis il avait laissé deux de ses commerciaux arrivés entre temps s’installer derrière le stand mais en prenant bien soin d’emmener Heidi avec lui. Le seul endroit où il pouvait s’occuper tranquillement de Heidi étant les toilettes il s’y était enfermé avec la jeune femme. Malgré la fellation explosive qu’elle lui avait prodigué tout à l’heure il ne pouvait pas détacher son regard de la croupe qu’elle n’avait jamais autant mis en valeur qu’avec cette robe aujourd’hui. Il savait qu’elle s’était faite belle pour son mari. Il avait besogné ses lèvres superbement maquillées et il s’apprêtait maintenant à besogner ses fesses somptueuses. Mais avant il lui fallait assouvir un fantasme. Celui du mari d’Heidi. Puisque c’était pour lui qu’elle s’était maquillée et habillée de la sorte Stéphane voulait prendre la place de son meilleur ami et infliger à la jeune femme ce qu’elle refusait à son propre mari. Il avait Heidi à s’agenouiller devant lui et s’était rué une nouvelle fois entre ses lèvres. Mais cette fois-ci il avait décidé d’offrir à la jeune femme le facial qu’elle refusait à son mari et que pourtant elle méritait plus que jamais aujourd’hui avec ce maquillage. Au dernier moment Stéphane s’était retiré du doux fourreau des lèvres roses et s’était empoigné pour diriger ses jets sur le visage superbement mis en valeur avec ce maquillage. Tant pis pour Heidi ! Elle aurait à refaire ce superbe maquillage qu’il était en train de maculer avec ses puissants jets qui se perdaient sur son visage et ses cheveux, la recouvrant des filaments les plus épais et les plus abondants qu’il s’était jamais connu. La vision du visage d’ange qui se blanchissait sous ses salves l’avait excité au plus haut point. Sans douceur il avait immédiatement plaqué Heidi contre le lavabo et l’avait courbée en avant. Il avait relevé sa robe noire sur son dos et avait écarté son slip pour placer son sexe le plus rapidement possible contre l’entrée de ses reins. Il contemplait dans le miroir le visage et les cheveux englués par son sperme pendant qu’il forçait ses reins d’un sec. Il la besognait nerveusement et avait offert à Heidi ce que sa croupe méritait réellement mais qu’elle refusait désespérément à son mari. Il sodomisait Heidi avec une violence qu’il ne s’était encore jamais connu. Cela faisait trois semaines qu’il profitait de Heidi dans toutes les positions au boulot mais ce n’est que ce matin qu’il assouvissait avec autant de furie ses fantasmes les plus fous. Il avait ressenti une jouissance extrême au moment de recouvrir le visage qu’Heidi avait si merveilleusement maquillé en l’honneur de son mari. Il était en train de ressentir quelque chose d’encore plus puissant en ce moment. Il sodomisait la jeune avec la régularité d’un piston et surtout il avait la sensation de la déchirer à chaque fois qu’il butait en fin de course contre le fond de ses reins. Mais le mieux était encore à venir !
Son organisme ayant manifestement commencé à s’habi les effets duraient moins longtemps et Heidi avait retrouvé ses esprits au moment où Stéphane se lançait furieusement dans sa cavalcade finale, prêt à libérer un véritable geyser au fond des reins de la jeune femme. Heidi avait poussé un cri en voyant son visage et ses cheveux recouverts d’épais filaments blancs et gluants. Elle en avait poussé un deuxième en sentant ses reins pilonnés sans ménagement par un sexe qui la heurtait au plus profond d’elle-même à chaque fin de course. Mais c’est au moment où elle avait écarté sa tête pour voir celle de celui qui la besognait par derrière qu’Heidi avait poussé le troisième cri. L’homme qui la sodomisait avec l’acharnement d’un étalon en rut avait un visage familier. Il lui était même très familier.
L’homme qui la plaquait contre le lavabo à grands coups de boutoirs était le meilleur ami de son mari : Stéphane !

- Stéphane ! Nooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !

Trop tard ! Heidi avait tenté d’arrêter la progression du sexe dans ses reins en les resserrant mais cela avait eu l’effet inverse. La résistance soudaine de la jeune femme lui avait permis d’assouvir son fantasme le plus fou. Il avait percé sa résistance d’un coup de reins si violent qu’ils avaient failli basculer tous les deux dans le lavabo.

- Prends çà Heidiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!

En forçant la résistance de Heidi Stéphane s’était enfoncé en entier sans pouvoir se retenir et il avait heurté violemment le fond de ses reins. Heidi avait alors poussé son quatrième cri. Le dernier et le plus fort. Elle sentait les flots brûlants et épais envahir son intimité. Stéphane semblait inépuisable et il avait souri en croisant le regard d’Heidi dans le miroir. Des filaments blancs s’étaient détachés de son visage pour aller se perdre sur le miroir sous la violence de ses assauts en levrette. Mais Heidi avait fermé les yeux en recueillant ses derniers jets au plus profond de ses reins et surtout ! Sa grimace avait laissé place à une expression d’extase. Sous la violence de ses assauts Heidi avait joui en même temps que lui…
Il s’était collé contre Heidi et en lâchant sa dernière salve de sperme lui avait murmuré à l’oreille :

- Le sexe au boulot…C’est bon non ?

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