Enfin ! Les Vacances

Enfin les vacances !

Cette année, pour les vacances, j’avais décidé de répondre favorablement à une invitation que m’avais faite des amis. Ils partaient pour l’Espagne, dans une villa avec piscine. L’idée me parut bonne, en plus je ne connaissais pas cette région. Nous étions quatre au départ de Paris et on rejoignait d’autres personnes sur place que je ne connaissais absolument pas.

C’était Christophe et son amies Corinne qui m’avaient invité pour ses vacances. Ils passaient me prendre vers 5h du matin, en bas de chez moi. Je n’avais pas idée de la quatrième personne qui nous accompagnait pour le trajet, mais espérais bien quelqu’un de sympas, étant donner que nous allions passer beaucoup d’heures côte à côte à l’arrière de la voiture.

La sonnerie retentie ! C’est drôle aujourd’hui c’est beaucoup plus facile de me lever que pour aller au boulot. Je prends ma veste et ma valise et rejoint mes compagnons de route en bas. Christophe et Corinne sont sur le trottoir et m’accueillent avec sourire et bises. Je me dirige vers la voiture et aperçois une silhouette assise à l’arrière, je regarde mon copain Christophe, tout en mettant mes bagages dans son coffre, et fait un signe de tête en direction de la personne assise à l’arrière. Christophe jette un œil dans la direction indiqué et me dit :

- C’est Emilie, une amie de Corinne, jolie, pas très bavarde, même plutôt timide.

Je monte à l’arrière de la voiture et prends place au côté d’Emilie :

- Bonjour, moi c’est Guillaume, un ami de travail de Christophe, lui dis-je en avançant pour lui faire la bise.

- Bonjour, moi c’est Emilie, dit-elle.

Il faisait déjà chaud, malgré l’heure matinale. Corinne, la copine de Christian, était une jolie, blonde, bien en chair, des seins assez gros et des yeux bleu. Emilie, avais l’air jeune, 25 ans pas plus, elle portait une robe d’été blanche à fleurs avec un petit col droit, ses seins avaient l’air très beau, son décolleté laissait libre la naissance de ses seins qui se rejoignaient pour former comme une petite paire de fesses bien ronde et lisse, j’étais assis derrière le chauffeur, et le voyage commençait.



Corinne parla de chose et d’autres. Elle nous raconta que le petit ami d’Emilie nous rejoindrait sur place, nous dit comment elle et Christian avait loué cette villa qui, avec ses nombreuses descriptions, semblait magnifique. Corinne enchaina aussi sur les amis que nous allions rencontrer là bas, il n’y avait que des couples, j’en conclus que j’étais le seul célibataire, donc peut-être que certaines soirées risquaient d’être longues.

Elle fit un descriptif de chacun des convives qui étaient déjà dans la villa. Il y avait un couple français, un couple italien et un couple suédois, et le fameux ami d’Emilie, que personne ne connaissait. Au bout d’une heure de voyage, Emilie c’était assoupie, la tête posée sur le rebord de la vitre, les jambes croisées. Elle avait de très belles jambes. Sa robe s’arrêtait à quelques centimètres au dessus du genou.

Corinne, qui avait terminé son monologue, mit ses pieds sur le tableau de bord, ce qui me laissait une vue assez dégagée sur ses cuisses, elle avait mis une jupe très courte. Il faisait très chaud dans la voiture, car pas de climatisation, aussi ne me fallut que quelques minutes supplémentaires pour m’assoupir à mon tour.

Ma tête avait basculée sur l’appuie-tête et mes yeux se fermaient, je ne dormais pourtant que d’un œil. Je ne m’endors presque jamais en voiture, peut-être est-ce le stress qui fait que je surveille la route les yeux mis clos. Au bout de quelques minutes, j’entends Corinne chuchoter doucement à Christian :

- Je crois qu’ils dorment tout les deux ?

Sans dire un mot je continue à observer ce qui se passe, les yeux presque clos. Je vois Corinne se pencher doucement vers son copain, poser sa main sur sa cuisse et lui faire un bisous sur la joue. Elle regagne ensuite sa place et pose de nouveau ses pieds sur le tableau de bord.

J’observe que sa jupe glisse doucement sur ces cuisses, elle tourne la tête vers notre chauffeur puis jette un œil à l’arrière.
Elle n’a pas vue que je l’observe et me crois endormie. En regardant son copain, je la vois glisser sa main entre ses cuisses, et retirer sa jupe de chaque côté, puis se glisser plus profondément dans le siège et poser sa main entre ses jambes.

Elle est en train de se caresser doucement. A ma grande surprise, elle ne porte pas de culotte, je peux voir sa main masser doucement sa chatte. De ma place je ne vois que son pubis avec sa toison blonde. Je peux voir la tête de Christian se tourner vers l’entre-jambe de Corinne et je devine à ses mouvements de tête rapide que l’excitation le gagne.

Excité, je l’étais aussi ! Le corps de Corinne, je l’avais déjà vue et revue, au bord de la piscine ou à la plage, c’est une grande adepte des seins nues. Elle se caressait doucement la chatte, devant Christian, jetant par moment un coup œil derrière pour voir si nous dormions toujours, j’espérais aussi que Christian regarde aussi bien la route que son entre-jambe.

Les jambes de Corinne commençaient à bouger et son corps onduler sous ses caresses qui devenaient plus précisent. Sa main tournaient rapidement sur le haut de sa chatte, elle était bien en train de stimuler son clitoris, je ne pouvais voir qu’une partie de son doigt entrer et sortir pleins de mouille, sa main tapait vigoureusement sur son pubis, elle se doigtait franchement.

Son autre main vins saisir un sein, elle le caressait de son torse vers son tétons pour finir en pinçant légèrement celui-ci, elle le sortie de son haut à bretelle et continuait à le masser.

Tout cela en silence, la radio couvrait à peine ses quelques bruit de mouille et ses petits gémissements. Elle prit la main de Christian pour la plonger sur sa chatte humide, elle se frotta quelques secondes à sa main et pencha la tête en arrière en ouvrant la bouche, elle jouissait.

Christian toujours en regardant bien la route, porta sa main à sa bouche, certainement pour sucer la mouille de Corinne qui venait de jouir sur sa main.
Moi lorsque j’observais Corinne, je n’ai pas pu m’empêcher de glisser ma main sur mon pantalon au niveau de mon sexe et de me masser la queue discrètement.

Les deux tourtereau se remettaient, je continuais, de mon côté, à masser mon sexe en érection par dessus mon pantalon, les yeux fermés cette fois, j’avais mon sac à dos entre les jambes qui me cachait mon entre-jambe de la vue de Corinne. Je continuais à me masser la queue, passant même de temps en temps un doigt dans le trou de ma braguette pour toucher délicatement mon gland qui dépassait de mon boxer tellement mon érection était grande.

Je sens quelqu’un bouger ! J’ouvre légèrement une paupière afin d’observer ce qui se passait mais sans que l’on me voit. Quel ne fut pas ma surprise de voir Emilie qui avait changé de position, elle s’était adossé à la portière et avait ramené sa jambe gauche, plié, sur la banquette.

Je ne savais pas trop si elle m’observait mais son bras était posé sur sa cuisse gauche et son index caressait doucement sa chatte par dessus sa robe ! Cette scène redoubla mon excitation et ma main pressait de plus en plus fort mon sexe que j’avais bien envie de sortir complètement afin de bien me masturber.

Plus ma main appuyait fermement sur ma queue et plus les doigts d’Emilie devenaient précis, passant du haut en bas de sa chatte. C’était maintenant sur, nous nous observions dans une discrétion des plus totale. Je me repositionnais très discrètement afin de poser mon dos un peu plus sur la portière pour offrir un meilleur spectacle à ma voisine.

J’avais déboutonné quelques boutons de ma braguettes et mon sexe sortit de lui même tellement je bandais dur. Pendant que je m’appliquais à faire glisser mes doigts du haut en bas de ma verge en décalottant doucement mon gland, Emilie remontait doucement sa robe du côté gauche.

Sa robe était remonté d’un côté mais un petit carré de tissus cachait toujours sa chatte, elle ne portait pas non plus de sous culotte, sa main se glissa doucement sous le tissus pour caresser sa chatte, je distinguer sa main, à travers le tissus, qui fessait des petits mouvements de rotation redoubla mon excitation.


En quelques minutes j’accélérais le mouvement sur ma queue. Emilie avait glissé un doigt dans sa chatte, le tissu sur sa main se soulevait de quelques centimètres de façon régulière et rapide.

Nos visage ne bougeaient pas, aucune trace ne transpirait de se que nous vivions en l’instant présent, mais je ne pu me retenir bien longtemps et éjacula dans ma main, offrant se spectacle à Emilie qui joui tout de suite après, son ventre gonflé avait trahi sa jouissance ainsi que son pied qui s’était recroquevillé en même temps que le spasme.

Tant bien que mal et aussi discrètement que possible, j’essuyai ma main sur un mouchoir trouvé dans ma poche, nos deux corps tombèrent dans un sommeil de jouissance. Après quelques arrêts et beaucoup de kilomètres, nous arrivons enfin à la frontière Espagnole. Le jour pointe son nez, Christian n’étant pas trop fatigué, il décide de continuer pour arriver à la villa au petit matin.

Emilie et moi n’avons pas échangé un seul mot durant tout le trajet, ne prenant même pas la peine de nous regarder dans les yeux et évitant tout contact.

- Pfft ! Je n’arrive pas à me mettre bien, soupira t’elle en se retournant de nouveau.

- Tu peux poser ta tête sur mes genoux si tu veux, comme ça tu pourra t’allonger sur la banquette, lui dis-je d’un ton tout à fait neutre.

Je n’avais pas fini ma phrase qu’elle s’installa confortablement. Elle disposa son manteau en boule, le positionna sur mes genoux, fit un demi tour et posa sa tête sur son manteau. Elle s’était mise face à moi, son visage vers le bas de mon ventre. Cette vue ne me laissa pas indifférent en quelques secondes des milliers d’images cochonnes traversèrent mon esprit, se qui ne me laissa pas indifférent.

Mon sexe raidissait au fur et à mesure que les images passaient dans ma tête, c’était très agréable et très excitant. Emilie posa discrètement sa main gauche sur ma cuisse, repliant légèrement son manteau sous sa joue. J’avais peur qu’elle sente mon sexe durcir, et qu’elle sente cette odeur excitation qui se dégage de ma queue. Par reflexe, je posais ma main droite sur sa hanche. Elle ne dit rien. Elle avait les yeux fermés et semblait dormir.

Je basculais ma tête en arrière pour en faire de même quand je sentis ses doigts se poser sur la bosse dur de mon pantalon. Mon corps s’enflamma et les affuts de sang dans ma verge la faisaient gonfler. Les doigts d’Emilie commençaient à appliquer de douce caresse à mon sexe, doucement, comme pour le soulager, et a mesure que mon sexe poussait sous mon pantalon, les doigts d’Emilie se faisaient de plus en plus présent pour finir par enserrer ma verge toute entière, j’ouvris les alors yeux pour regarder son visage.

Il restait de marbre, ne laissant aucune marque excitation transparaitre. Je repositionnais ma tête en arrière et me laissais masser. Emilie finit par passer quelque uns de ces doigts dans le braguette de mon pantalon. Elle touchait ma verge, dur comme du bois. Je sentais ses petits doigts frotter mon sexe, je n’avais qu’une envie. Sortir ma queue et lui enfourner dans la bouche. En quelques secondes elle enleva chacun des boutons qui retenaient prisonnier ma verge, sans bruit et en douceur.

Elle passa la main dans mon boxer pour en sortir ma queue, je bandais comme jamais. Sans dire un mot et dans un silence total, elle prit ma queue dans sa bouche, d’abord mon gland qu’elle suça délicatement, je sentais sa langue parcourir mon gland chaud et ses doigts monter et descendirent tout doucement le long de ma verge.

Elle n’avait toujours pas ouvert les yeux et son corps ne bougeait pas d’un centimètre, seule sa bouche mangeait mon sexe. La situation était des plus excitantes et jamais je n’aurai pensé un jour la vivre. Emilie suçait doucement le bout de mon sexe, j’avais l’impression qu’elle voulait ne plus jamais s’arrêter, ma queue gonflait de plus en plus et mon gland chauffait, elle masturbait ma queue entre son pouce, son index et son majeur, doucement, la prenant en bouche comme on suce une sucette bien ronde.

Ma main qui était sur sa hanche passa dans ses cheveux puis glissa sur sa cuisse pour arriver sur son pubis, je relevai doucement sa robe, elle souleva légèrement sa jambe gauche pour me laisser toucher sa toison et glisser ma main entre ses cuisses. Un de mes doigts se dirigea sur son intimité ! Elle était trempée. Sa chatte était inondée d’excitation. Mon doigt inspecta plus profondément sa chatte et pénétra dans son vagin.

A la pénétration de mon doigt j’ai senti sa bouche se resserrer sur mon gland en signe de jouissance. Je tournai mon doigt a l’entrée de son vagin au même rythme que le bout de sa langue tournait sur mon gland.

L’excitation était tellement grande que je sentais que j’allais bientôt jouir. Mon doigt enfonça complètement dans son vagin, il était chaud et très humide, ses doigts écrasèrent ma verge au moment ou le mien atteint le fond de son vagin. Elle passa toujours très délicatement sa langue sur les contours de mon gland et ses doigts me masturbaient lentement.

Pendant que mon doigt inspectait très largement son vagin, sa langue passait doucement sur la jointure de mon gland pour atteindre délicatement son orifice. Je sentais que j’allais jouir, ma verge se gonflait au rythme des doigts Emilie qui montaient et descendaient le long de ma verge, mon doigt tournoyait dans son vagin de plus en plus rapidement, sa mouille coulait dans le creux de ma main, l’excitation était trop forte, sa bouche pris une dernière fois mon sexe entièrement en bouche puis se détacha de mon gland, il ne fallut que deux vas et viens des petits doigts d’Émilie pour que mon sperme inonde son visage, l’orgasme se répéta deux ou trois fois pour enfin se calmer.

Emilie donnait de très légers coups de reins à chaque fois que mon doigt faisait un tour dans son vagin. J’ai senti son corps se bloquer d’un coup suite à un de ses petits coups de reins et j’avais compris qu’elle avait joui aussi, elle avait certainement eue un orgasme car ma main entière et ses cuisses étaient trempées de mouille.

Elle n’avait toujours pas ouvert les yeux et son visage était, reposé et figé. J’essuyai tant bien que mal tout le foutre qui inondait son visage, elle remit ma verge dans mon pantalon et je m’endormis paisiblement.

La voiture se stoppa. J’ouvrai les yeux, nous étions arrivés et le soleil pointait son nez à l’horizon. Les vacances promettent pleins de surprissent cette année.

Il était environs 7h du matin quand la voiture pénétra dans l’allée. Christian stoppa la voiture sous un porche qui donnait sur l’entrée de la villa. Il était quand même un peu fatigué, c’était le seul à pouvoir conduire la voiture. Tout le monde descend de la voiture, s’étirent et chacun s’occupe à ramasser ses petites affaires.

Tous les occupants de la villa dormaient encore à notre arrivée. Je posais mes affaires à côté de la porte pour faire le tour de la villa, qui paraissait immense, de plein pied, située à quelques kilomètres de la ville et de la plage. Un grand jardin, parfaitement entretenue, des baies vitrées donnaient sur la piscine, surement les chambres, une piscine de rêve, arrondit, avec un bar immergé en son centre. L’eau était turquoise, j’avais tout de suite envie de piquet une tête.

Je regardais toutes ses baies vitrées alignées et fermées par des volets roulants en pvc, toute fermer sauf une, je m’approchai de cette seule baie vitrée dont le volet était restée ouvert pour essayer de distinguer l’intérieur. Je me mis sur le côté sur la pointe des pieds et pencha ma tête afin d’observer l’intérieur de la pièce sans être vue, au cas où quelqu’un serait là, c’était une chambre, comme je l’avais deviné, une chambre classique, avec un lit deux places.

D’un coup une porte s’ouvrit et j’ai eu peur de me faire surprendre à jouer les mateurs, une charmante jeune femme blonde cheveux longs, entra, dans la chambre, entourée d’une serviette de bain qui allait du haut de ses seins jusqu’au dessus de ses genoux, elle semblait assez fine avec une poitrine assez volumineuse, c’étais sans aucun doute la Suédoise.

J’essayai de ne pas me faire remarquer afin de pas l’effrayer et aussi un peut dans l’espoir ou sa serviette tomberai à terre. Elle s’assit au bord du lit, juste en face de moi, dégagea la serviette qui compressait ses seins, sa poitrine était grosse, elle avait de gros seins, lourds, ses aréoles étaient aussi assez prédominantes et ses tétons pointaient.

Elle était complètement épilée. Elle passa un string blanc orné d’une fleur rose, elle se leva et se contempla dans le miroir, elle se tournait et se retournait, admirant ses fesses, ses jambes, ses mollets, sa poitrine qu’elle saisie pour la remonter.

Ses mains commençaient à caresser son corps en passant de son fessier qu’elle tendait vers le miroir pour remonter sur son ventre puis sur ses seins qu’elle massa, elle s’attarda quelques secondes sur ses tétons en les examinant de près, plus elle les titillait avec ses doigts, plus ils gonflaient et rougissaient.

J’adorais jouer au voyeur et la vision de se corps nue et de ses seins énormes me mirent immédiatement en érection, après un bref coup œil aux alentours, je saisi ma queue en érection par dessus mon pantalon pour la masser, mes yeux fixaient le corps qui se donnait en spectacle devant moi.

Elle continuait d’observer ses seins quand d’un coup ses mains se posaient sur ses cuisses de chaque côté de son intimité, elle écarta ses cuisses tout en se contemplant dans le miroir, elle passa un doigt sur son string et l’écarta.

A ce moment là, les caresses que je prodiguais à mon sexe étaient ferme et insistante, j’avais envie de sortir mon membre et de me masturber derrière cette vitre, jouant pleinement mon rôle de voyeur. Malheureusement mon bonheur s’arrêta en quelques secondes, la belle arrêta ses caresses et s’habilla rapidement.

Je restais sur ma faim et ma verge me démangeait, je me serai bien réfugié au toilette pour soulager mon envie. Mon érection fut vitre calmée quand mes oreilles entendirent la voix de Christian qui me cherchait. Chacun de nous pris une chambre et rangea ses affaires. Ma chambre était comme les autres, avec un lit double et une petite salle d’eau avec douche te toilettes, de quoi passer d’agréable vacances. Il y avait un joli bouquet de fleur posé sur la commode qui diffusait un parfum très agréable dans toute la chambre.

Je pris le nécessaire et m’enferma dans la salle de bain, une bonne douche me ferait le plus grand bien. Je me déshabillais et glissais sous la douche, l’eau qui frappait mon visage était chaude et me détendait, je fermais les yeux et revoyais Emilie gravée dans ma mémoire, des images de sa bouche sur le bout de mon sexe, de sa chatte inondée de plaisir, de son visage remplit de mon sperme, mon excitation montait en même temps que ma verge se dressait, je revoyais aussi Corinne en train de se caresser dans la voiture.

Toute en fermant les yeux pour mieux imprégner des images qui défilaient dans mon esprit, je saisis mon sexe en main et commence un doux vas et viens de mes testicules à mon gland, ma verge était raide et dur comme de la pierre, ma masturbation accéléra, j’avais envie de jouir vite, j’avais envie de sentir mon sperme couler entre mes doigts, de sentir mon gland gonfler et éjaculer sous la pression de la paume de ma main.

D’un seul coup on cogna à la porte de la salle de bain. Je me stoppais, mon sexe en main, et cria

- Qui est là ?

- C’est Corinne, il faut que tu viennes.

Un peu râleur, je coupe l’eau, prends une serviette et me la passe autour de la taille. J’entre-ouvre la porte et vois Corinne.

- Il faut que tu viennes aider Christian, il y a un problème, et elle interrompt son explication, les yeux fixé sur ma serviette qui c’était entrebâillé et laissait apparaitre la moitié de ma verge encore à demi en érection et un peu rouge. Le temps que je m’aperçoive de la situation gênante, il était trop tard.

- Humm ! Tu faisais quoi sous ta douche coquin ? me dit-elle avec un petit sourire au bord des lèvres. Tu te faisais plaisir tout seul ! Hein ? Rajouta t’elle en passant une main derrière la porte pour saisir mon sexe.

- Mais ! Qu’est ce que tu fais ? Lui dis-je alors.

Elle avait déjà la porte de ma salle de bain en me poussant à l’intérieur. Elle claqua la porte derrière elle et saisie mon sexe à pleine main en commençant à me masturber :

- Tu n’as pas fini j’espère ? me dit-elle avec le sourire aux lèvres.

- Euh ! Bah non ! Je n’ai pas eu le temps lui dis-je.

Je n’avais pas fini ma phrase qu’elle enleva ma serviette en s’agenouillant pour saisir mon sexe dans sa bouche :

- Humm, je peux t’aider si tu veux, mais il ne faudra rien dire à Christian, hein promis, en plus ta queue est si dure, dit-elle en l’enfournant au fond de sa bouche.

Dans un premier temps je me cru encore sous ma douche en train de rêvasser et de me masturber, mais quand ma main vins se poser sur ses cheveux pour les saisir je compris ce qui m’arrivais. Corinne me suçait divinement bien, sa langue faisait des miracles sur mon gland et sur le long de ma verge. Elle suçait avec envie :

- Alors ? Tu aimes ? me dit-elle en me regardant et en massant mon sexe avec une rapidité extrême.

- Hum ! ohhh oui, continue ! Oui ! Fait moi jouir.

Elle continua de me sucer, ses mains passaient de mon sexe à mes couilles, sa bouche dévorait mon gland, elle enfourna une dernière fois ma queue tout entière et sentit que j’allais jouir, elle continua de me branler de plus en plus énergiquement et rapidement à quelques centimètres de ses yeux et de sa bouche en répétant :

- Vas-y jouiiiii ... jouie !

Mon sperme s’étala sur son visage, plusieurs saccades inondèrent ses lèvres et ses joues, ma tête basculé en arrière, mon orgasme avait été violent. Elle se releva, se lava le visage et les mains et me dis en quittant la pièce :

- Alors ! Laquelle des deux suce le mieux ?

Je restais ébahi, nue et le sexe encore coulant de ma jouissance. Douché et habillé, je rejoignis Christian qui me demanda de l’aider à déplacer quelques meubles qui trainaient dans le garage afin qu’il puisse rentrer sa voiture. Corinne entra dans le garage :

- Je viens d’avoir Brigitte au tel les garçons, et elle va nous rejoindre pour passer quelques jours avec nous, c’est cool hein ! Brigitte est une collègue de bureau très mignonne. Christian acquiesça d’un signe de tête sans regarder Corinne, moi, je levai les yeux pour répondre à Corinne alors que celle ci me dévisagea, porta un doigt à sa bouche et le lécha tendrement sans que Christian ne s’en aperçoive. Je souris et rougis.

Je n’avais toujours vu personne des autres colocataires, j’étais impatient. Cette idée de les rejoindre tous me plaisait bien. Ca faisait longtemps que je n’avais pas pris de vacances et un peu de bon temps ne pouvait me faire que du bien, j’appréhender le fait d’être le seul célibataire, mais au contraire tout commençais bien.

J’arrivais dans ma chambre qui était simple mais agréable et le soleil qui passait au travers des doubles rideaux me donnèrent envie de passer mon maillot de bain pour piquer une tète a la piscine. Je les verrais surement bien assez tôt. D’ailleurs je savais déjà que tout le monde était pas encore arrivé.

Mais une chose était sure, ma tendance animal était bien la et je mourrais d’envie de revoir Brigitte. Je jetais un coup d’œil au reflet que me renvoyait le miroir, satisfait, je mis une serviette autour de ma taille et je sortis de ma chambre pour rejoindre les autres. Il était déjà 11h30, Corinne vient de nouveau nous voir :

- Vous venez les garçons, on prend tous l’apéritif dans la piscine. Dépêchez on attend plus que vous.

Apéro au bar, dans la piscine, moi qui en rêvais depuis très longtemps. Après avoir enfilé mon plus beau maillot de bain, et oui il faut quand même faire bonne impression le premier jour, je m’empressais d’aller prendre mon apéritif dans cette piscine. L’eau était bonne, le soleil tapait dessus depuis déjà plusieurs heures. Tout le monde était dans l’eau, autour du bar. Christian et Corinne avaient pris place au centre du bar et servaient l’apéritif.

- Bonjour à tous ! Dis-je d’une voix assez forte.

Je fis le tour pour dire bonjour à tout le monde et les présentations étaient maintenant établies. Emilie n’était pas des notre pour cet apéritif, je me retournais vers Corinne en lui demandant pourquoi Emilie n’était pas là ! Elle me répondit qu’elle avait due aller chercher son copain à la gare qui avait débarqué plus tôt que prévue, il était militaire et il ne pouvait pas rester longtemps. Comme à son habitude Corinne en rajoutait toujours beaucoup pour ne pas dire grand chose mais elle fit quand même une remarque tout en mettant sa main, sous l’eau, sur mon caleçon de bain :

- Pourquoi tu la cherche ? Elle te manque déjà, me dit elle en pressant mon sexe fortement.

Mes yeux lui firent comprendre que nous n’étions pas seuls, mais elle ne lâchait pas mon sexe qui commençait à grossir sous la pression de ses doigts. De plus en plus gêné, je m’écartais d’elle pour aller de l’autre côté du bar. Ils étaient déjà tous installés, je leur faisais un petit signe de la main et j’avançais dans l’eau pour dire bonjour à tout le monde. Christian et Corinne me firent de grands sourires et me demandèrent devant tout le monde comment c’était passe mon voyage, si j’avais bien dormi. Je répondais poliment et je me retournais.

Le reflet de l’eau rendait le visage de Corinne angélique et ses yeux translucide, elle avait l’air tout à fait épanouie et semblait heureux. Sa peau encore un peu blanche appelait les caresses et un frisson traversa mon dos jusqu’a ma nuque quand elle se pencha sur moi pour me faire les bises. Pourtant souvent objet de mes fantasmes le plus crus, Corinne allait trop vite en besogne, surtout vis a vis de Christian, mon ami. La situation était très gênante pour moi, peut-être était-ce ça qui l’excitait ?

Les colocataires étaient tous en couples, je reconnues tout de suite ma belle blonde de se matin. Elle était seins nue, preuve que l’exhibition dont j’avais été le témoin ce matin, n’en était pas tout à fait une. Ses seins lourds semblaient flotter sur l’eau. Son compagnon, était grand et mince, il passa derrière elle et posa chacune de ses mains sur ses seins, il les malaxait paisiblement, devant nous tous.

Au vue de ses tétons qui se durcissaient, elle semblait contente de se ploter les seins une sorte exhibition qui ne laissa personne insensible, surtout les hommes, car chacun d’entre nous avaient le regard fixé sur les seins de cette fille. Nos regards se portèrent tous sur Brigitte qui venait de nous rejoindre. Je sirotais une dernière goutte de mon apéritif quand mes yeux se bloquèrent sur elle, elle était toujours la même, toujours aussi rayonnante et aussi belle, son maillot mettait parfaitement ses formes en valeur et sa démarche féline envoutait tout sur son passage, elle fit la bise à tout le monde pour, enfin, venir vers moi. J’avais remarqué la petite grimace qu’avait fait Corinne après que Brigitte lui eut fait la bise, grimace remplit de jalousie, je ne pu m’empêcher de sortir mon sourire le plus charmeur à la vue de Brigitte, elle aussi avait souvent fait l’objet de mes fantasmes les plus inavouables.

Pendant se temps là, nous avions tous au moins 3 ou 4 apéritifs dans le corps. La chaleur commençait à monter au sein du groupe, les hommes avaient enlacés leur conjointes. L’eau, les corps à moitiés nues, l’alcool, tout amenait l’excitation et ébullition dans nos maillots de bain. Corinne qui avait repris place dans le bar avec Christian s’était positionnée devant lui et commençait à frotter ses fesses contre son mari en passant ses mains dans les cheveux, l’embrassait dans le cou en remontant légèrement ses mains sous sa poitrine.

Christian n’aimait pas trop se genre de spectacle devant tout le monde et restait discret malgré les pulsions qui animaient son corps et celui de Corinne qui me fixait du regard tout en ondulant son corps sur celui de Christian, ses seins commençaient à pointer et ses yeux commençaient à se fermer par intermittence. Je la regardai se donner en spectacle et le bas de mon ventre commençait à me chatouiller.

- Aller, tous le monde à poil ! lança Corinne en enlevant le haut puis le bas de son maillot de bain pour le jeter dans ma direction.

La bas de son maillot vins me gifler la figure pour atterrir sur l’eau, je le saisi discrètement et caressa le tissus au niveau de l’entre-jambe, il était enduit de mouille, je pris un peu de cette mouille et me léchas le doigt, comme c’était bon. En fait, je détestais Corinne, je la trouvais beaucoup trop exubérante, provocante et exhibitionniste. Christian était sympa, je me demandais d’ailleurs ce qui pouvait bien l’attirer chez elle.

Christian m’attirait plus comme copain et depuis toujours, il était le genre d’homme que j’aurais aimé être. Il était surement un de mes fantasmes mais je ne suis pas du tout PD, je me trouvais la, installée à cote de lui, en train de siroter un verre dans cet endroit merveilleux. Je m’approche de Brigitte et lui dit :

- Alors Brigitte, qu’est ce que tu penses faire pendant ses vacances ?

le contact de mes doigts la fit frémir et la chair de poule me gagna malgré la chaleur qui régnait, ses seins semblaient vouloir percer son maillot de bain et un étrange sentiment de douceur lui parcourut, et elle me répond :

- Cela dépend ce que tu me proposes.

Je continuais mes douces caresses sur sa cuisse droite sans que personne s’en aperçoive, et remontait de plus en plus vers le bas de son maillot et je commençais à ne plus pouvoir tenir en place, j’attrapais sa main. Alors que Brigitte commençais à ce laisser tripoter Christian lui fait signe de venir le rejoindre. Elle quitte la piscine pour aller je ne sais où, l’ambiance commençait à tourner d’une façon plus torride. Je restais, seul et toujours en caleçon de bain, accoudé au bar dans la piscine, alors que tous étaient nues et a moitiés saouls et bataillaient dans l’eau pour enlever le caleçon d’un des colocataires qui ne l’entendait pas de la même façon.

Tant mieux ! au moins j’étais seul mais tranquille ! Mon regard se porta d’un coup sur Emilie qui approchait de la piscine accompagné de son ami.

- Venez vite dans la piscine tous les deux on s’éclate, dit Corinne en direction des deux tourtereaux qui se tenaient par la taille.

D’un signe de la main, Emilie refusa l’invitation et tourna les talons pour rentrer dans la villa. J’avais suivi Emilie du regard, espérant un regard ou un signe quelconque de sa part, rien, elle quitta mon champs de vision sans acquiescer le moindre sourire. Je suivais toujours Emilie du regard jusque dans la villa, puis jusque dans sa chambre qui donnait, elle aussi sur la piscine. Je finis mon vers et nagea jusqu’au bord le plus près de la fenêtre de la chambre d’Emilie. Je les voyais. Je suis vraiment jaloux.

Elle referma la porte derrière eux, se posta devant lui, le prit dans ses bras et l’embrassa tendrement. Elle vint vers la fenêtre et en tira les rideaux. Elle m’avait vu la regarder, elle stoppa à quelques centimètres l’un de l’autre, et les laissa entre-ouvert.

Je distinguais très bien leur deux silhouettes, elle était revenue devant lui et avait passé ses bras autour de son coup en l’embrassant fougueusement, je la regardais toujours, mes yeux ne pouvaient se détacher d’elle. Elle détacha doucement chaque bouton de la chemise de son ami pour enfin la faire glisser à terre, elle lui embrassa le torse.

Je pouvais facilement voir qu’une bosse commençait à se former sur son short, elle passa sa langue sur ses tétons et en suça délicatement le bout. D’un coup, il la saisit par les cheveux, baissa son short de son autre main pour faire sortir sa verge en érection et obligea violemment à le sucer.

Elle était à genoux à terre et gloutonnait son membre en érection alors que lui la tenait fermement par les cheveux, j’assistai à la scène et me remémorais la bouche d’Emilie sur mon sexe, dans la voiture, ses caresses buccales sur ma verge, si douces, si précises qui m’ont fait jouir.

Ma queue se dressa aussitôt dans mon caleçon de bain, elle était tendue comme un pic et dure comme de la roche. Je m’appuyais contre la paroi de la piscine en faisant des petits vas et viens discret dans l’eau, je sentais bien ma verge dure se coller et se décoller de la paroi, j’insistais à chaque passage pour que mon maillot de bain masse ma verge.

Se mouvement me masturbait tranquillement alors que j’assistais devant moi à une scène entre Emilie et son copain. Emilie suçait toujours son homme, donnant des coups de langue sur son membre et sur ses couilles, reprenant son gland en bouche pour le lécher divinement. Lui, il la jeta à terre, elle se mit à quatre pattes, dirigeant son regard vers moi alors que son homme se positionna derrière elle et enfonça son sexe en elle avec force et vigueur.

Son regard me transperça, je pouvais y voir la satisfaction qu’elle prenait à me montrer ses ébats sexuels, à me faire comprendre qu’elle m’imaginait, moi, à la place de son homme, lui donnant du plaisir. Ses seins balançaient dans ma direction au rythme des assauts qui lui défonçait l’arrière train.

Profitant de chaque minute du spectacle, je sentis une paire de seins se coller sur mon dos et une main venir prendre mon sexe dans mon caleçon. Je n’eu pas le temps de me retourner que j’entendais une voix, que je ne connaissais pas, me dire :

- Humm.. Oui tu aimes les regarder faire l’amour hein, je t’observe moi aussi depuis tout à l’heure te voir te masturber sur le mur, tu m’a fais mouiller mon cochon, comme se matin quand tu me regardais.

J’ai tout de suite compris que c’était la blonde le belle Suédoise que j’avais observé se matin en me masturbant, elle tenait fermement ma queue dans sa main et l’agitait très rapidement.

Voyant Emilie prendre son pied je ne pu résister longtemps à la masturbation de ma jolie blonde et jouis dans sa main. Elle sortit sa main et lécha mon sperme qui dégoulinait d’entre ses doigts, sans la toucher, je m’écartais doucement d’elle en nageant.

Les autres n’avaient rien vue de se spectacle, bien trop occupés avec leur concours du meilleurs saut dans l’eau et s’amuser de celui qui éclabousserait le plus possible ses voisins. L’après midi se passa calmement, la villa était presque déserte et chacun vaquait à ses occupations. Après un repas et une sieste bien méritée, je me dirigeais vers la cuisine à la recherche d’un dessert.

Corinne se leva de son transat installé sur le bord de la piscine pour me rejoindre. Nous étions seuls et je m’attendais un peu au pire étend donné qu’elle ne portait rien d’autre qu’un maillot de bain-string orange sur les fesses. Mais cette fois elle resta sage, elle me demanda si je voulais bien l’accompagner en ville afin de faire quelques courses. Pour une fois elle ne me fit aucun signe qui pouvait laisser croire qu’elle voulait autre chose que, simplement, faire quelques courses.

Je lui demandais si Christian nous accompagnerais, mais elle répondit qu’il était vraiment fatigué du voyage et que l’apéritif de ce midi l’avait complètement achevé !

Le village était à quelques kilomètres de la villa et il valait mieux s’y rendre en voiture. Corinne me tant les clefs de la voiture de Christian et bien que je n’ai pas de permis de conduire nous partons, tous les deux. Corinne avait passée une jupette rose avec une bande blanche sur le côté, une de ses jupettes moderne dont la texture faisait penser à un survêtement de sport, et c’était contenté de remettre que son haut de maillot de bain pour cacher ses seins.

C’est vrai qu’elle était très sexy habillé de cette façon. Le soleil de la journée lui avait déjà donné deux petites pommettes roses sur le visage et quelques taches de rousseurs étaient apparues de chaque côté de son nez, elle était vraiment charmante. En voiture déjà depuis quelques minutes, Corinne se tourne vers moi et me dit :

- Alors, tu n’as pas répondu à ma question ?

- Qu’elle question ?

- Laquelle de nous deux suce le mieux ?

- Euh ... je ne sais pas ! Lui dis-je d’une voix très hésitante et un peu gêné.

Elle posa aussitôt une main entre mes cuisse et saisie mon sexe par dessus mon short de bain, elle passa directement sa main dans mon short pour saisir mon sexe à pleine main qui commençait à grossir sous les caresses, elle commença à me masturber tant bien que mal étant donné la position et la gêne de l’élastique de mon short, elle positionna sa jambe droite sur le tableau de bord, releva sa jupe, et caressa sa chatte par dessus son string pendant que ses doigts manipulaient délicatement ma verge qui avait durcit et grandit.

Corinne regardait mon sexe et décalotta mon gland avec deux doigts, elle continua de me masturber en caressant le bout avec son majeur. J’étais en ébullition mais me concentrais sur la route en jetant de rapide coup d’œil vers les cuisses de Corinne qui écarta son string pour faire pénétrer un de ses doigts au fond de son vagin, d’un coup sec et rapide, son corps se cambra et un léger gémissement sortit de sa bouche, les deux doigts qui tenaient ma verge se crispèrent pour descendirent tout en bas de ma verge et découvrir mon gland au maximum.

Comme si cette seule pénétration l’avait fait jouir. Ses seins pointaient sous maillot de bain et commençaient à gonfler et se tendre, j’avais envie de les prendre dans mes mains, les masser vigoureusement et les lécher comme un fou. Corinne avait vue que mes yeux étaient fixés sur sa poitrine et que ma queue commençait à avoir des montée de sang généreuses à la vue de ses tétons, elle découvrit son seins gauche et le prit dans sa main, elle le massait comme pour en extraire du lait :

- Tu as envie de les lécher ? Moi j’ai envie que tu me les lèches.

Je stoppa la voiture sur le bord de la route et colla ma bouche sur l’aréole qui pointait vers moi, je suçais se sein que Corinne m’avait tendu.

- Oui ! Continu ! J’adore." me dit elle.

En plongeant de nouveau son doigt au plus profond de sa chatte, il ne lui fallut que quelques va et vient avec son doigt pour jouir alors que ma langue tournoyait sur son téton déformé par la succion que j’avais exercé sur l’aréole. Sa main continua de me masturber plus franchement car j’avais fais glisser mon short sous mes fesses pour laisser ma queue entièrement libre, en quelques coups de poignets ma verge se libera de son sperme pour inonder la main de Corinne, elle passa quelques doigts enduits de sperme sur mon gland découvert, ce qui me donna quelques spasmes de jouissance supplémentaires.

Nos deux têtes avaient basculées en arrières et se laissaient aller, nos yeux encore remplis de la jouissance éprouvé il y a quelques minutes, s’ouvraient et se fermaient pour encore mieux apprécier ce moment. Après s’être arrangé tous les deux, je repris le volant et la direction du village sans dire un mot. Corinne se remettait doucement de sa jouissance en massant doucement l’intérieur de ses cuisses, elle me dit :

- Hummm, c’était bon, j’ai adoré, ne dit rien à Christian.

Quelques minutes après, je stoppais la voiture sur un parking de mini-supermarché. Les allées n’étaient pas bien large et Corinne en profitait pour se coller à moi, ses fesses moulées par le tissus extensible venaient se frotter à mon short de tout les côtés, elle en profitait aussi pour plaquer ses seins sur moi, dans mon dos ou sur mon bras.

Un moment, elle s’approcha de moi et posa délicatement son intimité sur ma main, comme un pétale de rose, elle avait bien pris soin que sa jupe se retrousse légèrement pour que le dos de ma main caresse sa toison, j’avais peur d’être surpris par un client, je ne savais vraiment pas comment elle avait pu retirer son string sans que je la vois faire, cette question m’intrigua pendant tous le reste de nos courses.

Ses avances commençaient à me laisser un peu froid, un peu échauder par toutes ses scènes érotiques provocatrices jusqu’au moment ou, voyant que je restais, plus ou moins, insensible à ses avances, elle se pencha devant moi en remontant très légèrement sa jupe qui moulait ses hanches et en cambrant ses reins au maximum.

La vue de cette croupe si parfaite et se tissus qui cachait la moitié de ses fesses me donna une érection à faire pâlir un taureau, elle avait gagné. Je ne pu résister à cet assaut de chaleur qui envahissait progressivement mon corps et faisait gonfler ma verge, je fis un pas en avant et me trouva, le sexe collé aux fesses de Corinne.

Je saisie ses hanches et simula une pénétration en faisant tourner mon bassin et frotter mon sexe entre ses fesses, elle passa immédiatement ses mains de chaque côté de mon corps et me saisie les fesses pour me tirer encore plus sur son cul, ce moment ne dura que quelques secondes mais fut divin, tellement excitant que j’ai failli jouir immédiatement.

- Je savais que j’arriverai à te faire bander, rajouta Corinne en me regardant.

Le retour à la villa fut moins érotique. Corinne et moi n’avons pas décrochés un mot durant le voyage. Pourtant milles questions me brulaient les lèvres et milles images traversaient mon esprit. Arrivé à la villa tout le monde mis du sien et les courses étaient rangées en moins de temps qu’il ne faut.

Je rejoignais ma chambre pour me reposer un peu, tous ses événements m’avaient chamboulé et surtout fatigués. En me réveillant, j’avais l’impression de ne mettre assoupis que quelques minutes, en réalités j’avais dormis environs 4 heures. Je me levai et parcourue la villa à la recherche d’un signe de vie, personne. Ils étaient tous parties je ne sais ou et je me retrouvais seul, après un bref passage à la cuisine, et oui il faut reprendre des forces quand même je me dirigeais vers la piscine. Les projecteurs illuminaient le fond de l’eau.

Alors que je finissais ma sieste tardive sur un transat, une ravissante jeune femme et son ami se dirigeaient vers la piscine. C’étaient les italiens. Lui, Roberto, était plutôt petit, trapu et poilu. Elle, Isabella, ses yeux étaient noirs tout comme ses cheveux qui formaient de très large boucles. Sa peau était matte et sa poitrine assez généreuse.

Ils se mirent tous les deux nues, à quelques mètres de moi et plongèrent dans la piscine. Après quelques brasses, ils s’approchèrent de moi en me faisant signe de venir les rejoindre. Je ne fit pas prier plus longtemps et plongea dans le bassin illuminé. Isabella se dirigea vers moi, plongea sous l’eau et m’arracha mon maillot de bain pour le jeter sur le bord, qu’elle douce sensation de nager nue, mon sexe se baladant de gauche et de droite, complètement libre.

- On est mieux comme ça ! non ! dit Isabella dont les seins flottaient devant moi.

-Oui tu as raison, on est bien, lui dis-je.

Son ami c’était positionné sur les quelques marches recouvertes d’eau qui donnaient dans la piscine Il avait les pieds dans l’eau et était étendu sur le dos, ses avant bras sur la première marche. Son sexe affleurant l’eau de la piscine se soulevait au rythme des petites vagues de la piscine.

Comparer au mien, son sexe était plus petit mais bien plus large. Isabella s’approcha de lui en se lovant sur les marches de la piscine tel un serpent s’approchant de sa proie, elle posa ses mains sur ses jambes et remonta doucement jusqu’à son sexe pour le saisir et lui donner des caresses. Roberto commençait à peine à bander quand Isabella enfouie son sexe dans sa bouche :

- j’aime te sentir bander dans ma bouche, lui dit-elle en gobant entièrement son sexe.

J’étais à quelques mètres la bouche d’Isabella sur le sexe de Roberto ne me laisse pas de marbre, je sentais mon sexe grossir dans l’eau, cette sensation me fit frissonner. Roberto me regarda et me fit signe de le rejoindre sur les marches. L’invitation ne pouvait se refuser et me mit à côté de lui comme indiqué par Isabella qui saisie de suite ma queue en érection, elle agitait maintenant nos deux sexe dans ses mains, agenouillé entre nous. Ses seins balançaient au rythme des va et vient qu’elle administrait à nos membres, elle prenait bien soin de découvrir nos gland et se mordillait la lèvre en regardant nos deux queues bander entre ses mains.

Sa bouche prit d’abord le sexe de son mari pendant que ses mains continuaient à masser nos verges en érection, elle suçait son gland méthodiquement, du haut vers le bas en exerçant une pression à chaque remontée. Elle le suça quelques minutes comme ça, juste son gland large et brun tout en le masturbant, ensuite elle délivra sa bouche de son sexe pour sucer le mien de la même façon, c’était divin, sa bouche était chaude et humide.

Pendant que sa bouche dégustait mon sexe, Roberto passa derrière elle, lui souleva les fesses et la pénétra en douceur, sa bouche se détacha de mon sexe pour pousser un léger cri de jouissance au moment ou Roberto plaqua son pubis contre ses fesses, signe que son sexe était arrivé au bout et avait envahit son vagin.

Roberto, appliquait méticuleusement dans une série de va et vient plus ou moins rapide alors que la bouche d’Isabella continuait à masser le bout de mon gland, l’excitation très forte, voir Roberto pénétrer Isabella devant moi me fit jouir sans prévenir, Isabella régurgita le sperme avalé sur mon gland sans dire un mot et continua doucement à masser ma queue. Ce qui excita terriblement, Roberto il défonça tendrement les fesses d’Isabella qui prit son pied devant moi. Isabella lâcha mon sexe, se pencha vers moi pour me glisser un baiser sur la joue et tout les deux s’éloignèrent en me saluant d’un signe de la main.

Je restai là, assis nue sur les marches de la piscine. Je me réveillai vers 3h du matin, est-ce quelqu’un m’avait vue comme ça ? Peut importe, je me levai et termina ma nuit dans mon lit complètement exténué. Le jour se leva et les rayons du soleil traversaient les lattes de plastiques des volets pour venir s’écraser sur les draps de mon lit .

Quelqu’un frappa à la porte de ma chambre et entra, c’était Emilie. J’eu juste le temps de remonter le drap pour couvrir ma nudité. Elle m’apportait le petit-déjeuner (et oui, c’est ça qui est bien dans les contes, c’est que les femmes nous apportent le p’tit de au lit. Elle était en chemise de nuit mauve mais elle semblait être réveillé depuis des heures, teint était frais et ses yeux grands ouverts, elle posa le plateau sur le lit et s’assit devant moi, les jambes en tailleur et les mains croisées entre ses jambes.

Le temps de me réveiller et de comprendre que c’était Emilie qui venait de m’apporter le déjeuner au lit, elle avait pris un croissant qu’elle trempait dans le bol de café. Je frottais mes yeux, me releva un peu et la regarda :

- Bonjour ! Merci pour le plateau, lui dis-je.

- Elle me regardait, continuait de manger son croissant et ne disait rien, elle finit son croisant et se coucha sur le lit, devant moi. Sa chemise de nuit remonta au dessus de ses genoux et laissait apparaitre son intimité, elle ne portait rien sous sa chemise de nuit. C’était la première fois que je voyais sa chatte. elle était rasée et finement dessinée. Emilie très belle, me laissa tout le temps de l’observer.

- Tu l’a trouve jolie ? me dit-elle.

- Quoi ? Dis-je d’un ton étonné.

- Ma chatte ! me répondit-elle.

- Oui ! Très jolie lui dis-je.

Tu veux la toucher ? me demanda-t-elle.

- Je veux bien, oui lui dis-je

Elle souleva délicatement sa chemise de nuit et resta dans cette position sans me regarder. Je posai la main sur son pubis, le caressant doucement, je sentais alors en moi une érection fulgurante arriver qui forma un pic sur le drap. Je continuai à la caresser, le pubis avec mes doigts, puis un de mes doigts parcouru le long de sa petite fente pour aller jusqu’à son anus, mon toucher était délicat et fragile, se qui ne manqua pas de lui soutirer un très léger soupir quand mon doigt effleura son clitoris puis son vagin.

Alors que mon doigt caressait doucement l’entrée de son vagin, Emilie empoigna les draps avec ses deux mains et fit glisser son corps vers moi d’un coup sec et brusque, mon doigt entra directement au fond de sa chatte, elle poussa un léger cri et continua de faire glisser son corps sur mon doigt, je n’osais plus bouger, elle fermait les yeux et ses bras poussaient pour faire glisser mon doigt en elle, sa bouche s’ouvrait puis se refermait, son souffle s’accélérait en même temps que les va et vient qu’elle dirigeaient d’une main de maitre.

Mes yeux étaient fixés sur mon doigt qui entrait puis sortait de sa chatte, sa mouille inondait mes autres doigts qui tapaient sur ses fesses, mon sexe était dure comme du béton et j’avais la mettre dans sa petite chatte mais je n’osais dire un mot ni faire un geste pour ne pas troubler se rituel sexuel dont j’étais l’objet.

Elle continua quelques minutes a faire des va et vient sur mon doigt, allant de plus en plus loin pour que mon doigt s’enfonce encore plus profondément, elle stoppa les aller et venues et commença à se tortiller sur mon doigt, je positionnai mon pouce sur son clitoris qui était raide et dur de jouissance, il ne lui fallut que quelques secondes dans cette position pour jouir, sa tête se renversa vers l’arrière, elle jouie en silence, mais un jet de mouille inonda ma main et les draps, elle garda la position quelques secondes, mon doigt dans son vagin, je retirai mon doigt et ma main et porta mon doigt à ma bouche, elle se releva brusquement, pris mon bras et lécha mon doigt plein de mouille, elle le suça jusqu’à ce qu’il n’y eu plus rien dessus, j’étais un peu déçu de ne pas avoir goutté se nectar mais mon excitation était à son comble.

Emilie quitta ma chambre, sans un autre mot, sans un regard.

Franchement Quelles vacances formidables.

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