Na Leslie Tr 41

Leslie à Paris – P41 - Les confidences de Laure, la tante Hélène.

Laure un soir, après que nous ayons fait l’amour et s’être blottie dans mes bras m’a racontée un passage de sa vie avec Hélène et Roger.
Hélène est la tante de Laure, elle est mariée à Roger, ils vivent à Paris, elle à 42 ans et son homme 45 ans.
Une année après ses vacances et ses aventures avec Corinne et Pierre, le couple l’a emmenée en vacances avec eux.

Laure en vacances.
C’était l’année de mes dix neuf ans et je suis partie en vacances avec mon oncle et ma tante dans le sud où ils louaient une villa, souvent j’étais réveillée la nuit par des gémissements et des cris étouffés venant de la chambre à côté de la mienne, celle qu’occupaient mon oncle et ma tante, je me doutais qu’ils faisaient l’amour et cela m’excitait et sous les gémissements de ma tante je me caressais les seins et je me doigtais la chatte, me donnant du plaisir jusqu’au bord de l’évanouissement.
Souvent lors de mes masturbations je repensais à Corinne et Pierre et cela décuplait mon plaisir et je m’imaginais mon oncle faisant l’amour à ma tante, parfois même j’aurais aimée me mêler à leurs ébats.
Un soir alors que j’allais me coucher après avoir regardée un film à la télé en passant devant la porte de mon oncle et de ma tante j’ai vue la porte entrebâillée d’où sortaient les habituels soupirs de plaisir. Curieuse j’ai risquée un œil dans l’entrebâillement de la porte pour voir ce qui se passe et je découvre ma tante chevauchant mon oncle le dos tournée à lui face à la porte. Elle est fichée sur le sexe de mon oncle qui me parait énorme et prenant appui des deux mains sur les cuisses de mon oncle elle monte te descend sur le pieu dressé. Cela dure un long moment pendant lequel je passe ma main dans ma culotte pour me caresser la vulve et trouvant mon clitoris du bout de mon doigt je commence à l’agacer, me procurant des frissons de plaisir.
Ma tante se détache du pieu enfoncée en elle et se positionne sur le lit en levrette en disant à mon oncle :
- Prends-moi Roger, prends-moi.

Mon oncle Roger se redresse pour se positionner derrière ma tante et je m’aperçois que ma première impression est la bonne, l’oncle Roger est doté d’un sexe énorme, large et long, les veines qui apparaissent sur la hampe le rendent encore plus agressif. Il prend son sexe dans une main et le guide dans la vulve de ma tante qui se redressant lui dis :
- Non, encules moi, encules la chienne que je suis et qui s’offre sans pudeur.
- Hélène, dis moi que tu as envie de ma grosse queue dans ton cul !
- Oui j’en ai envie !
- Dis-le !
- Roger, j’ai envie de ta grosse queue dans mon cul, dis ma tante Hélène.
L’oncle Roger remonte son membre d’un cran et pousse sur la rondelle de ma tante qui s’écrie :
- Ohhh, jamais je ne m’habiais à la première introduction, tu es si gros.
L’oncle Roger continue sa poussée et je vois son sexe disparaître lentement dans le fondement de ma tante qui ajoute :
- Ohhh, comme je suis distendue et comme je sens que tu me remplie bien !
Ma main s’active sur mon clitoris qui envoie des ondes électriques dans tout mon corps, et je serre les lèvres pour ne pas crier et me faire découvrir entrain de mater en me masturbant.
Mon oncle s’active dans le cul de ma tante qui grogne et crie à chaque poussée, elle halète et tremble de tout son corps et part dans un cri de jouissance, puis je vois mon oncle s’arquer en tenant ma tante par les hanches et je comprends qu’il jouit dans les entrailles des ma tante.
- Ohhh, tu m’as remplit le cul, dit ma tante, entre deux halètements.
Puis elle s’écroule sur le lit épuisée.
Sans perdre de temps je rentre dans ma chambre et me couche, je me suis masturber un long moment en pensant à un sexe en moi, je me suis fait jouir en serrant les dents, un peu énervée de ne pas encore avoir de godemiché.

Le lendemain après le voyeurisme de Laure.
Le lendemain matin, alors que je repose nue sur mon lit je commence à me masturber en repensant à la veille au soir, très vite le plaisir est monté et c’est ainsi que mon oncle ma trouvée en rentrant dans ma chambre en disant :
- Bonjour Laure tu veux un coup de main ?
Je me suis aussitôt couverte du drap plus par reflex que par pudeur, mais oncle Roger rajouta en s’approchant de mon lit :
- Alors tu le veux ce coup de main ?
- Laisse moi mon oncle je vais me débrouiller toute seule.
- Oui je m'en doute, comme hier soir en nous regardant faire l’amour avec ta tante.
- Mais…
- Ne craint rien ta tante ne t’as pas vue hier soir et ce matin elle est partie faire des courses, nous sommes que tous les deux.
En disant cela mon oncle à tirer le drap me laissant nue à son regard, sans me laisser le temps de réagir il pose sa main sur mon pubis et commence à me caresser. Pui il écarte mes cuisses et pose sa tête sur mon ventre, l’embrasse et descend vers le pubis et commence à me lécher le minou.
- Non arrêtes, lui dis-je, tu es mon oncle.
- Seulement par alliance, me dit-il, et dis moi que tu n’en as pas envie.
Laissant sa question sans réponse, il continue à me lécher le vagin, rentre sa langue dans ma fente, et se met à taquiner mon clitoris qui sous ma masturbation était sortit de son capuchon

Le plaisir monte en moi et je ne peux plus me défendre, je suis anéantie car je n'ai jamais ressentis un désir aussi fort. Sans m’en apercevoir en me laissant aller à la caresse j’ai largement écartée mes cuisses, mon oncle en a profité pour enfoncer sa langue encore plus profondément en moi et en même temps me pénétrer avec un doigt dans ma chatte.
Sans comprendre ce qui m’arrivait je jouis instantanément comme une folle.
Il se releva pour se mettre debout près de mon lit et se mettre nu, puis il s’allongea près de moi pour m’embrasser à pleine bouche et me branler d’une main.
- Non, mon oncle arrêtes ce n'est pas bien. Mais ohhh, oui c’est bon, dis-je emportée par le plaisir.
Puis peu de temps après j’ajoute :
- Ohh oui, continue, ahh je jouis encore.
Mon oncle Roger quitte ma bouche pour poser ses lèvres sur mon pubis et recommencer à me sucer, il prit mon clito entre ses dents et le mordilla, tout en enfonçant sa langue dans ma fente.
Le feu dans le corps je gémissais de plaisir, je mouillais au grand plaisir de mon oncle qui me quitta pour se relever et me présenter sa grosse bite en me disant :
- Tu vas me sucer, allez ouvre la bouche.
Je pris son gland dans ma bouche pour commencer à le sucer comme je l’aurais fait avec une glace.
Mon oncle se mit à soupirer et prit ma tête dans ses mains pour m’appuyer dessus pour que sa verge rentre plus profondément dans ma bouche. J'étouffais et je bavais. C'était la première fois pour moi que je faisais une fellation mais je faisais de mon mieux afin de procurer du plaisir à mon oncle.
Au bout d’un moment il me dit :
- Arrêtes et mets-toi à quatre pattes.

Je m'exécutais, et lui présentais ma croupe, il caressa ma chatte avec sa main et peu de temps après je sentis sa bite pénétrer à l’orée de mon vagin, il alla doucement par petites poussées de son membre en moi, ayant fait très jeune de la danse je savais que mon hymen ne serais pas un problème pour mon oncle, ne voyant aucune résistance il s'enfonça d'un coup me procurant un plaisir fou, j’avais un homme au fond de moi.
Je me sentais remplie de la grosse verge de mon oncle, doucement il s'enfonçait de tout son long et je commençais à ressentir un immense plaisir.
- Ohh oui c'est bon, j'aime ça, encore.
Il accéléra la cadence, prise à quatre pattes comme une chienne par mon oncle. Maintenant ses vas et viens étaient puissants et ses couilles cognaient contre mes fesses. La grosse bite de mon oncle me remplissait et me distendait la chatte, je délirais en poussant des soupirs sous les coups de boutoirs mais j'aimais cette sensation.
Le plaisir m’envahit et l'orgasme arriva d'un coup, fort et puissant, mon premier orgasme de ma vie, c’est à ce moment que oncle Roger éjacula en moi me remplissant les entrailles de sa jouissance.

- Tu as aimée ma petite Laure chérie ?
- Ohh oui, j’ai même adorée.
- Ce n’est pas fini ma chérie, laisses toi aller.
Pendant qu'il me parlait, il caressait mes fesses et je sentis son doigt aller de ma petite chatte remplie de mouille et de sa jouissance vers mon anus, et doucement mon oncle enfonça son doigt dans ma corolle serrée.
- Mon oncle, dis-je, non par là.
- Laisses toi faire, me dit-il.
Il posa son gland sur ma corolle et commença à pousser pour rentrer son gland pour me pénétrer doucement, je sentais ma petite corolle s'ouvrir, se dilater sous l'effet de la poussée de la verge de mon oncle en moi, mais maintenant je souffrais et la douleur était intolérable.
- Ahhh, arrêtes, ça fait trop mal, elle est trop grosse pour mon petit cul, tu vas me déchirer.
- Je vais t’enculer ma chérie et tu vas adorer.
- Non arrêtes, dis-je à mon oncle les larmes dans les yeux.
Mon oncle continuait sa poussée me tenant fermement par les hanches pour que je puisse lui échapper.
- Masturbes-toi le bouton, me dit-il, ça te soulagera un peu.
Je me mis à taquiner mon clitoris tandis que mon oncle continuait à s'enfoncer en moi.

Une fois complètement rentré il resta un long moment au fond de mon cul dilaté, et petit à petit la douleur s’estompa, puis il sortit de mon cul et je sentis comme un vide. Il recommença plusieurs fois le mouvement et je m’aperçue que je ne ressentais plus de douleur mais un plaisir de plus en plus intense qui montait en moi.
Mon anus s'ouvrait à chaque passage, oncle Roger me pilonnait le cul avec un plaisir non dissimulé, j’avais sa grosse bite en moi et je sentis les soubresauts de son braquemart quand il éjacula dans mon cul m’emportant dans un nouvel orgasme.
Quand mon oncle me quitta pour me laisser reposer dans ma chambre, mon sexe et mon cul étaient brûlants et je me sentais très fatiguée, je ne bougeais pas de ma chambre et m’endormit sur le ventre allongée sur le lit.

Ma tante s’en mêle.
A midi ma tante me rejoignit dans ma chambre pour voir si je n’étais pas malade, mais en rentrant elle me découvrit allongée sur le ventre le cul en l’air et l’anus entrouvert, elle me réveilla en me disant :
- Dis-moi petite dévergondée j’ai l’impression que ton oncle à bien profiter de ton petit cul ?
- Ohh ma tante…
- Oui je sais ton oncle en as une grosse et ton anus doit te bruler mais ne t’inquiètes pas je vais m’en occuper.
Ma tante s’éclipsa un instant et revint avec un pot de crème, elle me passa de la crème sur mon petit trou, en s’attardant sur le pourtour et en m’enfilant un doigt dedans prétextant que cela me ferait de bien, mais le pire c’est que ma tante me dit :
- Laure, l’oncle Roger t’as bien ouvert l’anus, nous allons avec ton oncle nous occupés de te préparer pour ton avenir amoureux.
Puis ma tante m’emmena pour déjeuner.
C’est à table que ma tante dit à mon oncle :
- Il va falloir terminer ce que tu as commencé mon ami et donner à Laure les premiers cours pratiques.
C’est ainsi que je me suis retrouvée être l’objet du plaisir de mon oncle et de ma tante durant le restant des vacances, me retrouvant souvent dans leur lit pour faire l’amour dans toutes les positions.
La position préférée de ma tante étant celle ou se faisant sodomiser par son homme et harnachée d’un gode ceinture elle me sodomisait en me disant que j’étais une belle petite vicieuse mais qu’après ces vacances je serais accroc à la sodomie.
Fin de Laure se raconte.

A suivre……