Rencontre Dans Un Magasin
Rencontre dans un Magasin
Aujourdhui jai décide de me balader en ville, flâner, bref passer une après-midi agréable. Je marrête devant une boutique de vêtements, et je décide dy entrer. Une vendeuse sapproche de moi et me demande ce que je recherche.
- Rien de bien précis, je suis entré car vous venez douvrir votre magasin et je suis un peu curieux.
- Regardez, bien faite le tour et si vous avez besoin de moi, appelez-moi.
Je la regarde regagner la caisse, elle est très mignonne, de jolies petites fesses. Je fouille les présentoirs pour voir si quelque chose pourrait mintéresser, mais ne trouve rien.
- Mademoiselle sil vous plaît, pourriez-vous me conseiller.
Elle arrive, de suite pour linstant, il ny que moi dans le magasin, je remarque seulement maintenant sa grosse poitrine. Elle feint de ne pas voir mes yeux posés sur ses seins.
- Que souhaitez-vous ?
- Quelque chose de classique, classe, tout en restant décontracté.
Elle passe en revue les différents pantalons et vestes pour finalement me proposer un ensemble qui me plaît beaucoup.
- Allez lessayer, ce devrait être ce que vous cherchez.
Je me rends dans une cabine, ferme le rideau, me change et je ressors ! Cest vrai que ça me plaît bien. La vendeuse arrive pour voir si cela me va bien.
- Très joli, vous être très mignon et très classe, cela vous vas très bien, me complimente t-elle, un petit sourire au coin de ses lèvres.
- Bon, vu quon est daccord tout les deux je le prends.
Je retourne me changer, je rentre dans la cabine mais je mets le rideau entrouvert, de façon à ce quelle puisse me voir me changer. Je quitte la veste et le pantalon, je suis en mini slip. Je remarque, par le reflet du miroir, son regard posé sur mes fesses. Je prends mon temps pour me rhabiller, ses yeux toujours sur moi.
- Vous avez lair émue, que vous arrive t-il lui dis-je innocemment.
- Heu rien, bafouille t-elle.
Elle rejoint sa caisse, les mains sur ses joues. Je la rejoins rapidement et constate quelles on virées au rouge.
- Quest ce qui vous met dans un état pareil ?
- Rien, rien, me répond t-elle sans grande conviction.
- A quelle heure vous finissez ?
- Dans 30 minutes, me dit-elle avec empressement.
- Très bien, je vous attendrais dans le petit café du coin en haut de votre rue, chez Marcel.
Elle ne dit rien, mais je constate à ses joues quelle est plutôt daccord. Chez Marcel, cest un petit bistrot sympa, il a une particularité, son arrière salle, est aménagées de petits box, intimes, fermés par des mini cloisons, sauf un, qui lui est occulté par des rideaux blancs. Je rentre chez moi et dépose ce nouvel ensemble. Je me reviens au café et la vois qui sort. Jai failli la rater.
- Excusez-moi, mais je suis passé chez moi pour poser mon achat.
- Ne vous excusez pas cest moi qui suis partie en avance.
En effet, elle a 5 minutes davance. Nous entrons dans le bistrot. Je la fais aller vers le fond, ce sera plus pratique pour séclipser, au cas où cela devienne trop chaud. Nous parlons de choses et dautres, du magasin, de son travail, de fil en aiguille, la conversation prend une tournure plus personnelle. Je sais quelle vit seule dans un petit appartement, elle a 25 ans et na pas de petit copain pour linstant. Je décide donc daccen mes avances.
- Cest vraiment dommage quune si jolie femme comme vous soit seule.
- Oui, comme vous dites, mais je ne recherche pas le grand amour enfin pour linstant, comme on dit, chat échaudé craint leau froide, alors même si je coiffe Sainte Catherine, je profite un peu de la vie.
- Ah oui ? Et comment profitez-vous de la vie ?
- En faisant des rencontres, et des sorties, le plus souvent dun soir, ou juste un week-end, des fois cest un peu plus long.
Je passe alors directement au tutoiement :
- Que dirais-tu de passer dans larrière salle ?
- La salle arrière ! Comment ça ?
- Dans larrière salle, il y a des box privatifs. On pourrait y aller et faire plus ample connaissance. Elle me regarde avec ses superbes yeux verts, interrogative.
- Je connais le patron, il ne verra pas dinconvénient à ce quon y aille.
Elle passe sa main au niveau de mon entre-jambe, une bosse se dessine et elle madresse un sourire enjôleur.
- Daccord, me répond t-elle, allons-y.
Nous nous glissons dans larrière-salle, elle passe devant moi et choisis elle même un box, avec des rideaux en organeaux blancs. Cest le seul à être équipé de cette façon. Une table basse, une banquette. Nous prenons place sur la banquette, nous échangeons quelques baisers, nos mains cherchent nos corps.
Elle me défait la chemise avec dextérité, mon torse nu est à la merci de ses doigts. Jen frissonne de plaisir. Je lui enlève son haut et constate quelle ne porte pas de soutien-gorge. Ses gros seins sont encore plus beaux que ce que javais deviné. Ses tétons, dressés, surmontent des auréoles parfaites. Je passe une main sur ses pointes, elle se penche en arrière et se laisse faire. Je passe ma langue sur ses globes, ils sont fermes. Elle commence a gémir, doucement. Elle me repousse et se lève. Elle fait glisser son pantalon, laissant apparaître un triangle de dentelle noire. Elle se retourne et me présente ses fesses.
- Est-ce que tu sais te servir de ta langue ? Jaime quon me fasse jouir ainsi.
Sans répondre, je dégage de son entre-fesse la ficelle du string, je le fait glisser sur le côté. Je vois son puits damour, très joliment dessiné. Je prends mon temps pour ladmirer.
- Alors ! Quattends-tu pour me faire plaisir ? dit-elle en remuant son arrière train.
Je glisse ma langue sur cette cavité, passant de ses lèvres à son anus.
Mon sexe est tout raide, elle passe une main par-dessus mon caleçon, mexcitant davantage. Elle le sort enfin, le libérant de son entrave. Elle se met à quatre pattes pour aller le chercher gonflé de désir. Le contact de ses lèvres sur mon gland, le fait grossir encore plus.
- Quelle belle bite que voila, jespère que tu sais ten servir.
- Ne tinquiète pas pour cela, cest toi qui jettera léponge avant moi, lui répondis-je avec malice.
- Cest ce quon verra.
Elle continue cette fellation avec une certaine expérience. Je me penche pour lui caresser ses fesses, je sens de lhumidité sur mes doigts, elle mouille, jen suis ravi, sa bouche quitte mon sexe, elle ouvre son sac et prends un préservatif, ouvre lemballage et le mets dans sa bouche. Elle redescend et le place sur ma verge toute durcie.
- Baise-moi sans retenue, me dit-elle en se retournant. Ses fesses sont à la bonne hauteur, je présente mon gland entre ses lèvres, elle donne un petit coup de rein pour me faire entrer sans attendre.
Ne me faisant pas prier, je fais des allées-venues rapides. Elle pousse des gémissements, ce qui a pour effet daccélérer le mouvement. Elle se laisse glisser, se laissant tomber au fur et a mesure de mes coups de reins. La voila complètement couchée, elle a les yeux clos, la bouche légèrement entre-ouverte. Je lui relève le bassin et ralenti mes mouvements. Elle me regarde, les yeux trahissant sa jouissance. Je lembrasse, ma langue fouillant sa bouche.
- Allonge-toi, jai envie de te chevaucher.
Je mexécute, quittant par la même occasion mes affaires. Elle se mets en place et se laisse tomber violemment sur mon pieu de chair. Je lui att ses gros seins et les malaxes, ses tétons sont dur que jai du mal à les faire rouler. Ses mouvements sont très rapides, elle reste un instant en bas et décrit des cercles avec son bassin. Sentant le désir monter en moi, je me crispe sur ses seins, les pressants, ce qui a pour effet de lui arracher un petit cri de douleur. Elle me regarde, recommence son manège. Plus lentement cette fois, prenant appui sur mon torse. Ses doigts jouant avec mes tétons, elle les pinces, les tords dans tous les sens. Je ne dis rien, continuant a presser les siens. Elle se couche sur moi, et me murmure :
- Que cest bon, tu es le meilleur amant que je nai jamais eu.
- Merci du compliment, je fais de mon mieux pour que mes partenaires prennent du plaisir.
Elle se relève et dégage mon sexe de son puits damour. Elle le prend entre ses lèvres et me le lèche comme une glace. Ses coups de langue sont délicieusement lents et appuyés. Elle me regarde, je sens quelle a envie dautre chose.
- Que désires-tu faire maintenant ?
- Jai envie que lon aille chez moi, poursuivre cet échange de plaisir.
- Soit, cest toi qui décide.
On se relève et nous nous rhabillons. Je passe à la caisse pour payer nos consommations. Le patron me fait un clin dil discret. Nous nous dirigeons vers son appartement. Un fois arrivé je constate quil est situé dans le même immeuble que le mien.
- Comme cest curieux, jhabite aussi ici, lui fis-je remarquer.
- Ah bon, pourtant, je ne tai jamais vu. Et à quel étage tu es ?
- Au dernier étage, mon appartement a un accès privatif à la terrasse.
- Intéressant ça, je sens que je viendrai te voir souvent.
- Mais ce sera avec plaisir.
Nous arrivons devant sa porte, je passe une main sur ses fesses, fait glisser mon majeur entre, en redescendant vers son sexe. Elle se cambre pour me faciliter la tâche. Mon geste est de plus en plus appuyé. Je marrête, me colle a elle et défait son pantalon. Elle soccupe maintenant du mien, le laissant tomber sur mes chevilles. Elle ressort mon sexe et imprime une lente et douce masturbation. Le sien est lui aussi a terre a présent, elle place mon sexe entre ses cuisses, je mapplique a le faire glisser contre ses lèvres.
Elle plonge une main dans son sac et ressort un autre préservatif. Elle me le donne pour que je le mette en place. Une fois fait, en la prenant brutalement, ses fesses cognant contre mes cuisses bruyamment. Elle se penche en avant pour profiter pleinement de mon sexe qui la brutalise avec volupté. Mon index passe sur sa rosette, elle ne dis rien. Je continue le massage de son anus, délicatement je linsère, sans forcer. A présent, jen insère un autre, continuant mes coups de reins, elle saccroche à sa poignée de porte.
- Met toi a quatre pattes, jai envie de changer de trou.
- Oui vas-y prend moi comme ça, jai envie de te sentir plus fort encore.
Elle se place de façon à ce que son petit trou me soit bien présenté. Je lui pose la question :
- Cest la première fois ?
- Oui, mais jai trop envie de la sentir. Même si je sais que ça me fera mal.
-Je te rassure, jai déjà pratiqué cela avant et je peux te dire quelles nont toutes, ressenties aucunes douleurs.
-Je te fais confiance.
Je lui passe ma langue, jouant avec son anus, je le sens suffisamment détendu maintenant. Je pose mon gland contre cet anus encore vierge, il glisse lentement en elle. Elle est très détendue, cest même agréable. Je continue la progression, ma hampe entre à son tour, je la regarde et vois un sourire se dessiner sur son visage.
- Voila, je suis en toi maintenant, est-ce que tu as eu mal ?
- Non pas du tout, continue, prend moi de plus en plus fort.
Sachant ce que je sais, mes allées-venues lentes au début. Elle gémi, la bouche entre-ouverte. Tout a coup on entend la porte principale souvrir, elle essaie de se dégager mais je len empêche.
- Jai pas envie que lon me voit comme ça, entrain de me faire sodomiser sur le palier.
En guise de réponse je donne un violent coup de rein, accélérant de plus en plus. Elle fouille son sac pour trouver ses clefs. Elle trouve difficilement le trou de la serrure. La porte est maintenant ouverte, les pas se rapprochent. Elle se glisse lentement dans son appartement, mes coups de reins imprimant la cadence de ses mouvements. Nous sommes a lintérieur maintenant, je pousse la porte sans la refermer complètement. Je lui écarte les fesses, avec pour but daller un peu plus profond encore. Ses gémissements sont de plus en plus forts, sa respiration haletante. Je marrête brusquement, mon sexe planté en elle. Je lui murmure :
- Déshabillons nous complètement, et allons sur la terrasse.
- Tous les deux nus, comme Adam et Eve ?
Oui, il ny a quun étage à grimper et nous serons chez moi.
- Jhésite, si on croisait quelquun dans lescalier ?
- Ça ne risque pas, on pourrait continuer sur mon palier jusquà ce que la nuit tombe sans voir personne.
- Comment ça dit-elle intriguée.
- Tout simplement, je suis le seul à occuper le dernier étage.
Elle comprend alors qui je suis, le propriétaire de limmeuble. Je vois à ses yeux son étonnement. Je sors de chez elle, mon sexe encore sous son charme, elle me suit avec réticences. Je lui att la main et la fait passer devant moi.
- Mets-toi comme tout a lheure, que lon puisse continuer. Jai très envie de toi, de te faire lamour le reste de la journée et toute la nuit. Elle esquisse un sourire, membrasse tendrement et me dit :
- Si tu tiens jusquà laube, tu pourras venir me posséder quand bon te semblera, ma porte te sera toujours ouverte. De jour comme de nuit, je serai à toi.
- Et si je ne tiens pas ? Simple supposition.
- Et bien, je ny ai même pas songé à vrai dire. Mais jy réfléchirai.
Au moment où elle reprend la position, je larrête.
- Non, reste debout, comme ça tu naura pas mal aux genoux.
Elle me tend sa croupe, je la pénètre sans ménagement. Un râle sort de sa gorge, long et sourd. Elle sagrippe à la rampe de lescalier, a chacun de mes coups de reins on monte dune marche. Arrivé à mi-chemin, sa voisine de palier sort de chez elle. A ce moment là elle se met la main devant la bouche pour ses gémissements. Etant donné que lescalier na pas besoin de lumière, elle peut nous voir sans problème. Je lui att ses poignets et les lui bloques dans le dos. Jentre en elle de façon plus brutale encore, jusquà entendre un autre râle.
A ce moment là, la voisine nous regarde stupéfaite. Ma partenaire plaquée conte la rambarde de lescalier et moi qui la sodomise sans ménagement pour son petit cul. Elle grimpe quelques marches, nous regarde un petit moment, puis elle sen va, un sourire envahissant son visage.
- Quas tu fais, elle va me poser des questions maintenant, on mange souvent ensemble. Tu mas mise dans une position inconfortable.
- Que raconte tu là, elle avait même certainement très envie de nous rejoindre, crois-moi.
Nous continuons cette montée, sure a présent de ne plus être dérangés par personne. Arrivés a létage, je sors mon sexe, enlève le préservatif et lui demande de me sucer. Elle sapplique à sa tâche, me faisant monter en moi ce trop plein de jouissance, sarrêtant à chaque fois au dernier moment. Jai mis la main sur une femme qui sait faire plaisir à un mec. Je suis aux anges. Je la fait se relever, je la suis dans mon appartement. On arrive dans le salon, elle sallonge dans le canapé, langoureusement. Elle me fait signe de la rejoindre et arrivé à sa hauteur elle me murmure :
- Je viens de trouver ton gage, au cas où tu échouerais.
- Dis-moi le, pour voir si il nest pas trop difficile à relever et quil me plaît, je risque déchouer.
- Cest très simple, si tu narrive pas à me faire lamour jusquà laube, jemménage chez toi.
- Définitivement ?
- Non, mais la durée sera a mon libre choix, une semaine, un mois ou même plus, nous serons exclusif lun envers lautre.
- Comment ça exclusif ? Je ne saisis pas.
- Cest pourtant clair, nous ne ferons lamour que tous les deux et rien que tous les deux.
- Cela me convient, il ne me plaît pas trop pour linstant que tu viennes ici tinstaller, mais je laccepte.
Sur ces mots, elle reprend mon sexe en bouche et continue cette pipe. Je sens sa langue jouer avec mon gland, lui passant dessus, dessous, ne mépargnant rien. Une main me caresse les testicules, lautre fait des vas et viens rapides.
- Si tu continue ainsi, je vais te jouir dans la bouche.
Sans un mot, elle me jette un regard des plus déroutants. Accélère le mouvement, elle garde juste le gland entre ses lèvres. Je ne peux tenir cette douce . Mon foutre arrive en jets dans sa bouche, tout ne reste pas et coule sur ses gros seins. Mes jambes flageolent, je crois défaillir tant le plaisir était intense. Je la regarde et lui dit :
- Je crois que tu as gagné ton pari, vas chercher tes affaires, tu aménage de suite.
Sans même prendre le temps dessuyer ma semence, elle cour vers son appartement et reviens avec un seul sac. Mon foutre a glissé vers son ventre.
Cétait il y a trois ans, elle ne ma plus quitté, on sest marié six mois plus tard et maintenant elle attend notre premier .
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