Un Amour De Cousine

Ma cousine et moi sommes très proches, mais nous sommes toutes les deux hétéros. Je n’aurais jamais pensé que le manque d’affection nous en ferait arriver là, mais ça c’est fait et voilà.
Ce jour-là nous étions chez elle, ses parents étant partis pour une semaine au bord de la mer, nous avions la maison de libre. Nous nous étions installées dans sa chambre, nues sur son lit, pour se masser. C’était elle, la première qui devait me masser. J’étais en tailleur, et elle me massait tendrement le ventre, les hanches, le dos. Mais le plus c’était le ventre et mes hanches. C’était tellement bon !! Mais d’un seul coup la situation a vite dérapée. Elle a commencé à me caresser les seins doucement, et à me faire des bisous dans le coup. Le pire c’était que j’adorais ça. Au début, j’ai bien tenté de résister :
- Mais enfin, qu’est-ce que tu fais ?
- Tu vois bien, je te donne du plaisir, ma chérie.
- Mais enfin, on est cousines.
- Je sais, et alors, ça fait tellement longtemps que j’ai envie de m’occuper de tes seins et de tes tétons, ma petite cochonne. On est seule, y’a pas de mal à se faire du bien. Laisse-toi faire ! Je sais très bien que tu n’es pas une puritaine, alors laisse-toi faire, je vais te faire jouir. Ensuite ce sera à toi de me faire du bien, et de me faire crier de bonheur.
Je ne résistais pas davantage et la laissais faire. Elle empoigna mon 85C à pleines mains, et commença à me les malaxer, elle s’occupa de mes tétons qui durcirent très vite les coquins. J’aimais ça. Je gémissais de plaisir. Mes tétons sont très sensibles et j’adore quand je suis toute seule dans ma chambre, me les titiller comme le faisait si bien ma cousine en ce moment. Son regard laissait deviner que j’allais passer un très bon moment. Elle avait son regard d’allumeuse, de vicieuse. Elle tirait, malaxer mes tétons, je me sentais couler, quand elle allait voir ça, elle allait se déchainer. Effectivement, quelques minutes plus tard, elle passa sa main, ses longs doigts fins entre mes cuisses.

Je mouillais tellement !!
- Ouh, mais tu mouilles ma chérie. Tu vas voir je vais te faire du bien…
- Oh ouiii, vas’ y. Doigte-moi s’il te plaît, je suis en feu...

Elle me fit allonger sur le lit, et s’allongea à côté de moi. On s’embrassait, elle me caressait, on se caressait les seins, elle plongea sa main dans mon intimité. Elle me susurrait des mots doux, mais aussi des choses plus hot. Je mouillais de plus en plus. Elle me pénétra doucement de deux doigts, elle était tendre et belle aussi. Ce que j’aime chez ma cousine, ce sont ces lèvres. Elles sont pulpeuses, bien dessinées. Elle a aussi des seins plutôt petits. Ses vas et viens dans mon vagin étaient de plus en plus rapides, je savais qu’elle aussi mouillait beaucoup, et il me tardait de goûter à son petit bonbon. Elle retira ses deux doigts, et me demanda de les lécher, ce que je fis avec délicatesse, elle gémissait d’impatience. Elle se positionna ensuite au niveau de mes jambes, écarta mes petites lèvres et vint titiller mon bouton tout trempé. Elle l’embrassa, et sa langue vint chatouiller mon clito. Il était tout dur le vilain.
- Ton bouton de rose est tout dur, ce petit vilain. Huum, je me régale de t’avoir pour moi. Ça fait tellement longtemps que j’en avais envie. Tu es très belle tu sais…
- Huumm, tu me fais du bien ma belette, dis-je.
A ces mots, elle lécha de plus belle mon bouton de plaisir. Je sentais une vague de chaleur monter en moi, dans mon bas-ventre. Huum, que de plaisir, que de désir ! Je me sentais femme et à la fois cochonne d’aimer les caresses de ma cousine. J’étais à sa merci. Soudain, elle arrêta ses caresses buccales, pour enfiler un gode-ceinture. Le faux pénis était blanc transparent, épais et long. Il était vraiment très épais et je ressentis une légère appréhension malgré mes expériences avec les hommes.
- N’ai pas peur ma petite chérie, dit ma cousine. Je vais te donner un grand plaisir. Et puis, n’oublies pas, tu es à moi cet après-midi.
Tu es tellement bonne, ma belette. J’ai envie de te faire gémir, de t’entendre me supplier te donner encore plus de plaisir. J’ai envie que tu jouisses…

Elle se positionna sur moi, elle me caressait les hanches, tirait sur mes tétons. Huum !! Elle me pénétra au moment où je m’y attendais le moins. Le gode s’enfonça en moi trop facilement, tellement j’étais humide. Elle se déchaina alors comme une vraie dominatrice qui prenait possession de moi. Plus elle me pénétrait plus je jouissais, j’aimais ce qu’elle me faisait.
- Ouiiii, vas y ma chérie, défonce-moi, fais-moi jouir, je t’aime tellement !
- T’aimes ça hein, ma petite cochonne… Ton petit sexe en redemande encore et encore, cochonne, gourmande !! me disait ma cousine en me pénétrant encore et encore.
- Haann, hhuuuummm, hhuuumm, haaann, aahhhh ouuuhh ouiiii, ouuiii, huuuummmm, hhaaaannn, ah ma belette, je suis toute à toi, vas’ y déchaine-toi !! Gémissais-je.
Elle n’arrêtait que pour le plaisir de me voir lécher le gode-ceinture…

Suite dans le prochain post ;-)

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