Lily-Rose Ii
LILY-ROSE II
Le chantier
Lily-rose court, tourne devant moi au milieu des flocons de neige qui retombent de nouveau sur Paris. Elle rie aux éclats de me voir chargé comme un bourricot de tout ses achats de laprès midi. Si je tenais linventeur des soldes, je lui
Grrr !
Je galère encore un peu pour ouvrir le coffre de la voiture, devant le regard amusé de ma belle.
Ses joues et le bout de son nez sont tout rouge, mordu par le froid polaire de ce mois de janvier.
Elle sautille en se frottant les mains.
« Vous moffrez un chocolat chaud ? »
Comment lui refuser quelque chose ?
Je lui indique une brasserie un peu plus loin. Elle saccroche à mon bras pour ne pas glisser. Elle le sert fort contre elle et je sens son sein gauche sécraser sur mon biceps.
Nous passons devant un chantier. Sur un grand panneau il est indiqué que souvrira prochainement une galerie marchande avec plus de quatre vingt boutiques. En lisant cela le regard de Lily sillumine. Bon ! Message reçu, nous serrons présent pour linauguration.
Cest la fin de la journée et les ouvriers rangent leurs matériels pour le week-end.
Un black, charpenté comme une armoire normande, casque vissé sur la tête, nettoie une pelle sous un robinet.
« Le pauvre, il doit être gelé ! »
« Oui, cest vrais. Ce nest pas un métier facile. Viens, allons lui demander quand seront finis les travaux. »
Cest elle qui lui demande. Il y a encore quelque mois elle naurait pas osé, écrasée quelle était par une timidité maladive. Je suis heureux de la voir ainsi évoluer.
« Bonjour monsieur. Les travaux vont durer encore longtemps ? »
Il lui répond avec un magnifique accent africain :
« Ho oui, mademoiselle. Vous voyez, il va y avoir cinq étages au dessus de ca. »
« Ben vous navez pas fini davoir froid ! »
Lhomme sourit laissant entrevoir une dentition parfaite, dun blanc éclatant.
Je la regarde entamer la discussion avec ce gars. Jaime le contraste de cet homme noir, blanchi par la poussière du ciment et elle, emmitouflée dans son manteau de fourrure.
« Bon courage et dépêchez vous de rentrer chez vous, vous mettre au chaud. »
« Chez moi ? Cest ici, chez moi. »
Il lui indique des baraques de chantier immenses, grandes comme des containers, empilées les unes sur les autres.
Elle semble sidérée et ca amuse beaucoup louvrier.
« Vous savez, nous avons tout le confort. Cuisines, douches et tout le reste. Alors ca vas.»
Elle ne semble pas convaincue.
« Mais vos femmes, vos s, vos famille ? »
« Ils sont au pays. Moi, je leurs envoie de largent. Si tout va bien, jirais les voir lannée prochaine. »
Elle a touché une corde sensible et le visage de lhomme, jusquici souriant et enjoué, se ferme.
Mais il se reprend rapidement et avec un large sourire, il avoue se consoler en cuisinant des plats de chez lui.
« Je nai jamais mangé africain. Ce doit être délicieux. »
« Bien sur que cest bon. Haha ! Je peux vous faire goutter, si vous voulez ? »
« Cest vrais ? »
« Oui, bien sur ! Venez à dix neuf heures trente. Les chefs de chantier seront partis. Je vous ferais rentrer. Je vais vous préparer un plat typique avec du poulet et du choux, ok ? »
Elle se tourne vers moi pour recevoir mon approbation puis elle lui répond :
« Ok, dix neuf heures trente. »
« Si je ne suis pas là, demandez Angolo. Cest mon prénom. En africain ca veut dire, le puissant. »
Bien installée au fond de la brasserie, devant son chocolat chaud, Lily-rose semble rêveuse.
« Ca vas Lily ? Tu semble ailleurs. »
« Hein ? Ha oui, non ! Excusez-moi. Je pensais à cet homme, Angolo. »
« Et ? »
« Et rien. Je me demandais juste combien ils pouvaient être dans chaque baraquement. Pure curiosité. »
Elle finit sa tasse et je la reconduis chez elle.
« Je passe te prendre à dix neuf heures. Sois ponctuelle. »
Je la regarde disparaitre dans le hall de son immeuble, encombrée de ses sacs.
Bien quelle me lait souvent demandé, jai toujours refusé de monter chez elle, afin de préserver son intimité, son jardin secret.
Cette fille est étonnante et imprévisible. Je doute de sa soit disante curiosité. Je pense plutôt quelle se prépare mentalement à passer une bonne soirée avec de nouveaux « amis ».
Bien sur, elle arrive avec cinq minutes de retard.
Sur la route, je la trouve très nerveuse, mais concentrée. Entre son col de fourrure et son bonnet enfoncé jusquaux oreilles, je ne distingue que son nez et ses yeux. Elle fixe droit devant elle, dans le vague. Elle ne cesse denlever ses gants, puis de les remettre.
Je ne veux pas interrompre sa méditation et je ne dis rien.
Il fait maintenant nuit noir. Les baraquement sont éclairés par des projecteurs et se découpent sur le chantier éteint.
Angolo est là, devant la porte principale.
Habillé en civil, cest un autre homme, très élégant. Chaussures blanches, jeans, pull noir qui fait ressortir une grosse chaine en or qui pend autour de son cou.
Son accueil est chaleureux. Il a déposé des cartons jusqu'à la porte de la salle de restauration, pour que Lily ne salisse pas ses bottes dans la boue. Cette attention la touche et elle lui donne un bisou sur la joue pour le remercier.
« Entrez vite, il fait froid. »
Cest une salle tout en longueur avec des placards et une table immense. Une vingtaine dhommes assis sur des chaises pliantes en métal, se lèvent à lentrée de Lily, pour la saluer.
Dans un coin, deux vielles cuisinières à gaz réchauffent de grandes marmites. Une odeur exquise sen dégage.
Lily sen approche.
« Non, non ! Cest une surprise. Vous verrez tout à lheure. Donnez-moi vos manteaux, je vais les accrocher. »
Je trouve que cest une très bonne idée car ici, il fait très chaud.
Je retire mon blouson et le remet à Angolo.
Lily, ôte son bonnet et libère ses longs cheveux bruns. Puis elle défait les boutons de son manteau de fourrure.
Cest étrange, mais dans son regard, je perçois une gêne, une hésitation.
Angolo, en maitre de maison attentionné, laide à quitter son manteau et sa beauté rayonnante nous inonde.
Elle porte un col roulé noir en nylon. Il colle à sa peau et ne cache pas que ses seins sont libres. Sa jupe plissée, noire également, est si courte quelle passe au dessus de la table. Ses bottes se prolonge par des bas qui sarrêtent à mi cuisse, laissant une grande partie de ses cuisses à lair. Sa peau blanche contraste avec le sombre de ses vêtements.
Belle et sexy à souhait, elle ne peut pas laisser de marbre et je comprends maintenant son hésitation. Ainsi vêtue, elle sait que tous les regards vont se porter sur elle et sur ses jambes en particulier.
Elle rougie et saccroche à mon bras.
Angolo nous explique quils se sont cotisés pour nous acheter deux bouteilles de bon vin, car eux, ne boivent pas dalcool. Puis il installe Lily en bout de table, sur une vraie chaise garnie de coussins. Angolo se place face à moi pour faciliter notre conversation.
Tous les yeux sont rivés sur les formes délicieuses que dessine le col roulé. Bien quelle joue sa puritaine, je sais Lily aux anges.
Les types, pour la plupart africains et quelques maghrébins, sont aux petits soins pour nous. Ou pour être plus précis, pour elle. Son verre sitôt vide se rempli, moi, je dois me servir ou demander du pain. Pas elle. Elle sen amuse et se moque de moi discrètement en me regardant à chaque petite attention donnée.
Angolo est très bon cuisinier et son plat est excellent. Mais Lily passe plus de temps à regarder les ouvriers que son assiette.
Alors que celui-ci se lève pour aller chercher le fromage, elle pose sa main sur la mienne.
« Claude, je nen peux plus ! »
« Ben
laisse ton assiette.
« Mais non ! Ce nest pas ca
Cest
»
Je manque de m. Je viens de comprendre.
Elle ne peut pas rester au milieu dun groupe dhommes très longtemps, sans disjoncter. Cest son problème,
si problème il y a.
« Heuu ! Tu as vu, ils sont nombreux !? »
« À peine plus quau sauna. Non ? »
« Tu sais, ce sont des hommes réputés pour être bien montés, de plus ils ne voient pas souvent de femmes, ils vont te détruire ma chérie. »
« Je men sens capable. »
« Je te le déconseille. De plus, imagine que ton attitude leurs déplaisent. »
« Ca, ca métonnerais. Ils me déshabillent du regard depuis notre arrivée. Hihihi ! »
« Quest ce qui vous amuse autant ? »
Cest Angolo qui apporte le plateau de fromage. Lily ne me laisse pas le temps de prendre la parole.
« Jsuis un peu pompette et jai envie de faire la fête, de danser. Mais mon ami dit que ce nest pas bien. »
Aussitôt, un homme dune trentaine dannées, Marocain je pense, se lève et va vers un gros lecteur de cassettes, et sadressant à Lily :
« La musique arabe ! Tu aime la musique arabe ? La danse de chez nous ? »
« Heu, non, hihihi ! Je ne connais pas. »
« Viens, je vais te montrer. »
Elle se lève et vient vers moi. Elle dépose un baiser sur ma joue et me glisse au creux de loreille :
« Cest parti ! »
Je nai rien contre, mais il faut bien avouer que les danses maghrébine sont souvent équivoques.
Il ne faudra pas longtemps à Lily pour assimiler les quelques pas. Elle se trémousse comme une vraie danseuse du ventre. Elle y trouve très vite son intérêt et sapproche du jeune homme le ventre en avant jusquà frôler le sien.
Jignore si elle sen est aperçue, mais le pantalon de celui-ci devient trop étroit pour contenir son émotion. Il contourne Lily et plaque sa protubérance contre ses fesses, tout en continuant de danser.
Ca la fait rire. Elle se dégage et avec la souplesse dun félin, profite dune chaise vide pour grimper sur la table.
Angolo vient me voir.
« Votre amie est très gentille et très belle, mais elle va rendre fou mes compagnons. Ils ne vont pas la respecter encore très longtemps et je ne veux pas de problèmes. »
« Tu nauras pas de problèmes, je te lassure. Elle est heureuse dêtre là pour vous. »
Lily danse toujours.
Des mains se sont agrippées à ses chevilles, ses mollets.
Ayant maintenant une vue dégagée sur lentre jambe de la coquine, les esprits séchauffent.
« Angolo, Angolo ! Viens vite ! Viens voir ! La salope est cul nu ! »
Interrogateur, il me regarde.
« Ne tinquiète pas mon ami, vas y et amuse toi bien. »
Il me sourit et se mêle au groupe qui se presse devant la table.
Lapercevant, elle lui fait signe de la rejoindre sur la table. Encouragé par ses amis, un peu intimidé, il monte et se place face à elle.
Lily danse et ondule, monte et descend en frôlant le corps dathlète.
Puis à moitié accroupie, elle fait glisser lénorme bosse qui déforme le jeans dAngolo, entre ses seins. Tout en continuant à presser sa poitrine contre lui, elle se redresse. Maintenant face à face, il se noie dans son regard bleu turquoise et craque.
Il la ceinture dun bras et empoigne sa poitrine de lautre. Sous les cris dencouragements de ses amis, il pétrit les seins durcit par lenvie à tour de rôle.
Lily monte et descend une jambe contre la cuisse dAngolo. Ca rend fou les types qui peuvent ainsi apercevoir le cul de Lily. Mais, ils veulent plus, beaucoup plus.
Angolo glisse ses mains sous le pull de nylon.
Des applaudissements, des sifflets qui doivent sentendre jusquau coin de la rue, accueillent les seins qui viennent de se libérer de leur carcan. Ils semblent bien frêles entre les mains puissantes de lafricain.
Lily-rose ferme les yeux et se mord la lèvre inferieur. Cest le signal de sa proche transe.
Elle ne danse plus. Ses mains descendent la fermeture éclair du jeans et plongent dans louverture.
Le silence se fait jusquà lextraction du membre.
« ANGOLO ! ANGOLO ! ANGOLO ! »
Dans un état dexcitation inouï, fiévreux, les hommes encouragent leur ami. Mais cest elle qui sy colle.
Elle se laisse tomber à genoux. Elle jauge le pieu débène en le caressant amoureusement. Ses yeux, tout ronds détonnement, découvrent un membre hors norme, tendu, fier et provocateur.
Elle tourne son visage vers moi et me sourit tendrement. Elle vient de comprendre ce que je voulais dire quand je lui disais « bien montés ».
Sa bouche gourmande commence par faire connaissance avec le gland chocolat, tandis que son corps de nouveau accessible, est reprit dassaut par de nombreuses mains. Certaines malaxent ses seins, caressent son ventre et dautre après avoir doucement écarté ses cuisses et remonté sa jupe à la ceinture, fouillent et découvrent lintimité chaude et humide de Lily-rose.
Les doigts, sur et dans son vagin, attise le feu qui brule déjà en elle.
Apres avoir poussé un « Ouiiii ! » feutré, elle laisse la queue prendre possession de sa bouche.
Maladroitement elle tente den prendre le plus possible, jusquà presque en vomir.
Angolo, prévenant, lui maintient la tête et baise sa bouche avec précaution.
Le spectacle est magnifique.
Des dizaines de mains brunes ou mates glissent sur son corps. Sa peau semble encore plus blanche, plus fragile.
Le colosse se raidit et agrippe la chevelure de sa bienfaitrice.
« Oui ! Vas-y ! Continu ! Continu ! Harggg ! »
Sentant la délivrance proche, Lily-rose accélère le mouvement, alternant ses succions avec quelques secondes de masturbation frénétique.
« Prend tout ! Prend tous salope ! Ouiiiii ! »
Je la vois avaler, encore et encore. Il semble que la quantité déversée soit proportionnelle à la taille du membre.
Trop plein oblige, sa bouche laisse échapper, de longs filets de foutre qui viennent glisser sur sa poitrine.
Elle se caresse le visage avec lengin encore baveux, tout en étalant le jus sur ses seins.
« Viens là, putain, que je te baise ! »
Cest le petit danseur, fou de désir et denvie, qui tape du plat de la main sur le bord de la table.
Elle sassoit, se tourne vers lui et tout en passant sa langue sur ses lèvres, sautille sur ses fesses jusquen bordure de table. Là, jambes écartées, elle pose ses pieds sur des chaises et sallonge en restant redressée sur ses avant bras.
« Viens ! Baise-moi ! Prend moi fort ! »
Le jeune arabe ne se le fait pas dire deux fois. Il approche et colle son gland turgescent contre la fente lisse et baveuse.
Lily-rose nen perd pas une miette et regarde le sexe senfoncer et disparaitre en elle.
Apres quelques coups de butoir gentiment donnés, le mouvement saccélère, tout comme la respiration de la belle. Juste à la regarder, on peut observer son plaisir monter. Sa bouche souvre et pousse de petits cris de plaisir. Sa tête se penche en arrière, faisant bouger sa crinière brune à chaque assaut.
Deux types se sont placé de chaque coté delle, à genoux sur la table et se masturbe tout en caressant, le ventre et les seins poisseux de Lily. Un autre debout, juste derrière elle se branle également, au dessus de sa jolie frimousse.
« Rhooo ! Tu la sens ma queue ? Putain ! Tu la sens ? »
« Mouiiii ! Défonce ma chatte ! Tape fort ! Ouiii ! »
« Rhinnnn ! Rhinnnn ! Rhinnnn ! »
Il la pénètre encore trois fois avec de violents coups de reins et simmobilise.
« Donne-moi ton jus ! Donne le moi ! viteee ! »
« Tiens ! Je vais te remplir à ras bord, poufiasse ! »
Il se cramponne aux cuisses de la belle et dans un ultime effort sonne la charge finale.
Ses couilles frappent si fort le cul de Lily quon peut lentendre sans dresser loreille.
Il se rend dans un râle bestial accompagné par les plaintes de bonheur de sa partenaire.
Sitôt écarté, sitôt remplacé.
Cest un grand black fluet qui se présente entre les jambes de la gourmande. Il a le regard sombre et sévère qui a pour effet de flanquer un grand frisson à Lily. Cest avec un accent à couper au couteau et sur un ton agressif quil déclare :
« Moi, cest ton cul quil me faut ! Lève les jambes que je tencule ! »
Joignant le geste à la parole, il lève les jambes et les fait reposer sur ses épaules.
Elle entrevoit son dard effilé, pas trop épais. Il le fait glisser sur sa fente collante. Elle peut ainsi jauger la taille démesurée de lengin. Nullement impressionnée, elle provoque le type.
« Houuuuu ! Ouiiiii ! Encule-moi vite ! Fait moi jouir du cul ! Ouiiii ! Défonce-moi ! »
Je peux voir la queue senfoncer lentement dans lorifice brun, encore et encore. Arrivé au bout du bout, il tente malgré tout de gagner encore quelques millimètre en poussant violement son bassin en avant. Ca a pour effet darracher deux ou trois petit cris à la tendre et douce enculée brune.
Devant tant de luxure et de stupre, un des types à genoux explose et libère son plaisir. La liqueur chaude gicle sur les seins gracieux et sur la main qui les caressait.
Le malheureux compère, contrarié et semble til légèrement dégouté, sempresse de faire disparaitre loutrance en frottant le liquide poisseux sur les lèvres de la bouche entrouverte qui pousse des « Haaaa ! » de satisfaction à chaque fois que le sexe qui la sodomise, vient en buté dans son fondement.
Une main se pose sur le vagin libre. Il le caresse, le frotte, le pénètre de quelques doigts et soccupe ensuite du clito gonflé. Roulé, frotté, étiré, celui ci multiplie le plaisir de Lily qui tombe dans une série dorgasmes à répétition.
Une onde bouillante semble lui remplir les intestins, tandis que lhomme debout déverse sa purée blanche sur le visage de la coquine.
Le rectum dégagé, son coquillage est remplit de nouveau.
Les hommes se succèdent.
Son corps se couvre lentement de liqueurs blanches. Les positions se succèdent. Les coudes, les genoux rougissent. Les yeux souillés piquent et font pleurer le maquillage. Les cheveux deviennent collants et poisseux. Pourtant, elle continue à donner le maximum delle-même. Elle enchaine les jouissances, les orgasmes. Elle soccupe des plus timides, des plus vieux aussi. Personne néchappe à sa soif de sexe.
Le local se vide peu à peu.
Seuls quelques hommes gourmands sont encore là lorsque le jour se lève vers sept heures.
Angolo, « le puissant », lui donnera le coup de grâce en la sodomisant une dernière fois, avec vigueur.
Je rentre la voiture sur le chantier et charge ce quil reste de Lily-rose. Meurtrie, épuisée, elle seffondre dans un profond sommeil à peine assise dans la voiture.
Pour la première fois, jaccepte de monter chez elle.
Je découvre un petit appartement gentiment décoré dans des tons pastel. Il lui ressemble.
Je laide à se déshabiller et la nettoie sous une douche bien chaude. Je fais glisser le savon sur ses courbes que je connais bien maintenant, mais qui continuent à me rendre fou de désir.
Les cheveux propres et séchés, je lallonge dans son lit et la couvre.
Je mapprête à partir.
« Non ! Sil vous plait, restez. Ne me laissez pas seule. »
Nu, je me couche près delle. Elle pose sa tête dans le creux de mon épaule et je caresse avec tendresse sa poitrine douloureuse.
Mon sexe collé à sa cuisse, ne reste pas sage très longtemps. Mais le moins que je puisse faire cest de respecter son repos.
Nous nous endormons paisiblement.
La suite ?
Ca
Cest une autre histoire.
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