La Belle Soumise
Stéphanie 24 ans, blonde aux cheveux longs (jusqu'aux fesses) et yeux bleus. Je suis une fille qui attire beaucoup les mecs, surtout grâce à ma grosse poitrine, 95D, à ma fine taille... En gros, grâce à mon corps. D'ailleurs, j'ai beaucoup baisé de mec et la majorité m'on félicité pour mon corps de rêve. Mais un jour, je me rendis compte, grâce à une certaine personne, que les mecs, eux, n'étaient pas si attirants que ça. Laissez-moi vous raconter.
Je rentrai crevée du boulot que j'avais trouvé sur la 14ème rue, un petit travail de serveuse dans un bar. J'étais exténuée et j'avais mal partout. Mais je me souvins que j'avais rendez-vous avec Gina, une amie de longue date que je n'avais pas vue depuis plus de cinq ans. Et qui revenais emménager ici. Je me préparais donc pour ce dîner si attendu. Une mini jupe blanche et un top rouge bordeaux suffiraient pour ce petit repas. Je me retrouvais donc à 22h pile devant le restaurant où nous avions rendez-vous. Je venais d'arriver quand une petite voix fluette me fit me retourner :
- Stéphanie !
- Gina ! Comment tu vas ?
Elle était magnifique, cheveux noirs, mi-longs, remontés sur sa tête grâce à une barrette, yeux verts émeraude, elle était à croquer dans sa mini robe rouge. A 25 ans, Gina était vraiment sublime.
Environ 90D, grande, mince, élancée, elle devait en faire fondre plus d'un... Et d'une car dans l'état où j'étais...
- Super ! Tu m'as énormément manqué ! Heureusement qu'on est restée en contact.
- Oui. On entre ?
- Oh ! Non, je t'invite à ma nouvelle maison. Je t'ai donné rendez-vous ici pour venir te chercher.
Tu viens ?
- Laisses-moi le temps de prendre ma voiture et j'arrive.
- Mais non, viens dans la mienne. Je te ramènerai plus tard.
Au bout d'une demi-heure, nous avions traversé Paris et étions arrivées devant chez elle. Sa maison était très spacieuse pour une femme seule.
- Tu as trouvé quelqu'un ?
- Ah oui ! Il faudra que je te présente Marc.
Nous entrâmes dans sa maison, ou devrais-je dire villa, puis elle me fit visiter. Seule sa chambre, la salle de bain et la cuisine étaient parfaitement rangées. Sinon, les deux autres chambres étaient vides et des tas de cartons étaient éparpillés dans le salon et les deux autres salles de bain. Mon amie m'invita à prendre un apéro avant le dîner. Je ne tenais pas bien l'alcool mais je ne voulais pas le lui montrer. J'acceptais donc un verre de champagne (qui se renouvellera beaucoup par la suite) et nous nous assîmes sur les chaises de la cuisine.
- Alors. Parles-moi un peu de ta vie amoureuse. Tu as un copain? Ou une copine, ajouta-t-elle après une pause.
- Je ne suis pas lesbienne!
- Mais ne me dis pas que tu ne voudrais pas essayer au moins une fois...
Je ne su que répondre. C'est vrai que je m'étais imaginée plus d'une fois dans les bras d'une femme.
Mais sa question était un peu... Bizarre venant d'elle. Je décidais de ne pas répondre.
- Et toi ? Avec... Euh... Marc ?
- C'est super. A chaque fois qu'Emeline n'est pas à la maison (elle vit malheureusement avec nous car ses parents sont morts), nous baisons comme des malades. Et une fois, on a fait un plan à trois.
Avec la voisine. C'était vraiment super! C'était une femme très appétissante... Un peu comme toi.
Mais beaucoup moins.
Sur ces mots, je sursautais. D'abord, je cru que j'avais mal entendu. Puis quand mon amie se leva pour venir pauser ses lèvres sur les miennes, je cru rêver. Une main se posa sur ma cuisse alors qu'elle introduisit sa langue dans la bouche.
- Mmmh! Tu as un goût délicieux. J'ai hâte de goûter ta petite chatte.
Sur ces mots, sa main glissa entre mes cuisses jusqu'à mon sexe. Bien sur, il était trempé à cause de mon excitation subite.
- Mmmh! Tu es toute mouillée. Il faut nettoyer tous ça.
- Non, s'il te plaît... ça ne se fait pas !
- Tais-toi !
Je m'exécutais.
- Tu aimes ça ?
- Oui..., soufflais-je alors que je sentais le désir monter en moi. Oui j'aime ça.
- Tant mieux, tu ne vas plus beaucoup aimer plus tard... Quoi que...
Elle se sortit de la pièce et revint avec deux grosses cordes et une barre. Elle m'attacha les mains à la chaise et les chevilles à la barre qu'elle passa derrière ma tête.
- Waouh! Toujours aussi souple, s'extasia-t-elle.
A présent, ma chatte et mon trou de cul étaient offerts. Elle commença à lécher ma chatte goulument, absorbant ma mouille avec appétit. Et avant d'avaler, elle se leva un peu pour m'embrasser et la partager avec moi. C'était la première fois que je goûtais à de la mouille, même la mienne. Et mélangée avec la salive de Gina, elle était délicieuse : chaude et salée. La tête de mon amie replongea entre mes jambe et elle enfonça sa langue aussi loin qu'elle le put, avant de la tourner dans mon vagin pour en nettoyer les parois dégoulinant de mouille. En même temps, un de ses doigts titillait mon clito. Un gémissement s'échappa du fond de ma gorge. Je n'avais jamais ressenti autant de plaisir. Elle sortit sa langue, remonta le long de ma chatte lisse, sur mon ventre, et englouti un de mes téton dans sa bouche. Et le mordit si fort que j'en sursautais. Elle le suça ensuite pour soulager la morsure et remordit de nouveau. Sa langue tourna autour du mamelon, ce qui provoqua quelque chose d'intense en moi. Elle continua jusqu'à ce que je jouisse intensément. Elle releva encore sa tête pour venir prendre mes lèvres. Puis ce fut à mon tour de lui procurer du plaisir. Elle ne me détacha pas. Elle s'assit sur la table et attira ma tête entre ses jambes. Je la léchais, la suçais, l'absorbais jusqu'à ce quelle aussi elle jouisse dans ma bouche. Puis elle me força à tout avaler..
- Tu vas prendre ma chérie. Je te le promets.
- Oh oui! Fais-moi mal ! Fais-moi ta chienne !
Elle posa sur mes tétons deux cloches aspirantes. Sitôt posée sur moi, je sentis mes tétons monter et être aspirés, presque arrachés par l'objet. Un cri de douleur mêlé au plaisir sortit de ma bouche. Puis elle prit trois glaçons, les suça, me les fit sucer, et les enfonça un par un dans mon sexe. A chaque intrusion, je sursautais. Quand les glaçons furent fondus, elle glissa dans ma chatte un uf vibrant et le mit en route. Aussitôt, une vague de plaisir déferla sur moi.
- Je vais enfin m'occuper de ton petit cul.
- Oh oui! Défonce-le moi! Défonce mon petit cul!
Elle s'arma d'un gode ceinture qu'elle me fit sucer longtemps et m'embrocha par derrière avec. Les assauts étaient violents et sans tendresse. Mon amie m'enculait avec plaisir. Puis, quand j'eus joui cinq fois, ce fut à moi. Elle me détacha, m'aida à enfiler le gode ceinture et je commençais à l'enculer. Et toute la soirée, toute la nuit, nous nous donnâmes du plaisir comme jamais. Quand elle m'eut ramenée à ma voiture le lendemain, avant que je ne parte, elle m'embrassa longuement et me dit :
- Revient demain. Il y aura Marc, et il en a vraiment une grosse. Sans parler de la petite Emeline qui n'a que 18 ans mais lèche vraiment comme une pro.
Mais ça, je vous le raconterai une autre fois...
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