L'Ete Indien
LETE INDIEN
Je mappelle Alice. Permettez-moi une brève description de ma personne. Célibataire, vingt deux ans, brune (souche italienne oblige) aux cheveux longs. Yeux vert (certes, ca fait très cliché, mais je ny peux rien), un mètre soixante douze, 90b. Et... un joli petit sexe rasé de près.
Que dire dautre
?
Outre un très léger strabisme je suis plutôt bien foutue, fine et élancée.
Ha oui ! Jai une passion.
Jadore allumer les hommes. Oui, oui, je suis belle et bien ce quon appelle une allumeuse.
Je ne peux pas passer une journée sans rendre un homme fou de désir pour moi et disparaitre en douce au premier tournant.
Je nhésite pas à utiliser des stratagèmes machiavéliques pour les faire tomber dans ma toile. Pour moi ca aurait presque plus dintérêt quun acte sexuel.
Voir des bosses dans des pantalons, esquiver des caresses ou des baisers après les avoir cherchés ou encore se régaler des regards brillant denvies sont autant de petites choses qui mexcitent et réchauffent mon ventre.
Mais parfois le jeu dé. Une claque peut tomber ou une situation peut méchapper.
Et cest ce qui cest produit aujourdhui.
Laissez-moi plutôt vous raconter.
Nous sommes le quinze septembre. Depuis trois jours il fait chaud. Trop chaud pour la saison parait til.
Personne ne sen plaint et surtout pas moi.
Je déambule au bois de Vincennes, mon grand sac de paille en bandoulières et mes lunettes de soleil rivées sur mon nez.
Mise en valeur par une toute petite jupe en jeans, jexhibe mes jambes nues.
Mon regard dissimulé derrière les verres teintés, je peux tout à mon aise observer ceux des promeneurs.
Certains matent discrètement, dautre sont insistant. Il y en a même qui se sentent obligés de siffler ou de faire des bruits ridicules avec leur bouche.
Mais ceux que je préfère, ce sont les hommes accompagnés de leurs épouses ou de leurs maitresses.
Certains se font prendre. Jadore entendre leurs explications.
« Mais non chérie ! Je nai pas regardé ! Je men fou de cette greluche ! »
Mais oui, bien sur !
Je mapproche du bord du lac et je maccroupie. Je sais que dans cette posture mes cuisses sont encore plus visibles et que ma jupe qui se tend, dessine avec précision les courbes de mon fessier.
Je pose mon sac près de moi et fouille dedans à la recherche du pain rassis que jai apporté à mes amis canards.
Jaime les regarder sébattre dans leau.
Ils sont drôles.
« Ils sont drôles. »
Un homme vient de sarrêter près de moi. Il reste debout et je dois lever la tête pour voir à quoi il ressemble.
La quarantaine avancée, pas mal fait et bien habillé.
Le fait quil ait engagé la conversation me conforte dans lidée quil pourrait faire une bonne victime.
A moi de le séduire.
« Oui, très drôles. Cest ce que je me disais. »
Je jette deux ou trois bouts de pain et jessuie mes mains sur mes cuisses.
Ce geste pourrait sembler anodin, mais pour un homme qui a des vus sur moi, il est forcement excitant.
Autre technique, jécarte le col de ma chemise et dégage mon épaule pour la masser ou la gratouiller.
Cinq centimètres de peau nus le rend dingue et leffet ne se fait pas attendre.
Je vois une bosse gonfler dans son pantalon. Mieux, je vois son sexe le long de sa cuisse.
Cet homme porte un caleçon, ou peut être même, rien du tout.
Il a les mains dans ses poches. Pensant que je ne le vois pas, il se caresse un peu et essaye de la placer confortablement.
Il se rapproche un peu et saccroupi aussi.
Je le regarde et lui fais mon plus beau sourire. Je le sais déjà à ma merci.
« Je mappelle Emilio. »
Il me tend la main. Je lui donne la mienne.
Pendant une seconde il a plongé sont regard dans mon décolleté.
Cest bon signe.
« Enchantée, moi cest Alice. »
Je porte une chemise blanche. Une chemise dhomme. Une chemise deux fois trop grande. Une chemise que mon grand père aurait pu porter.
Vous ne voyez pas pourquoi ?
Lavantage de ce style de vêtement, cest que mes seins sont à leurs aises. Imaginons que je défasse un bouton de plus à mon décolleté. Que se passe-t-il ?
Il suffit de se pencher un tout petit peu pour pouvoir les contempler. Et voilà !
Je vous avais prévenu, je peux être machiavélique.
A quelque mètre derrière lui, un trébuche et tombe.
« Ho ! Le pauvre ! »
Il se retourne et mon bouton saute, ni vu, ni connu.
Je pose mon sac devant mes genoux et je me penche un peu pour le fouiller.
Ce que jespérais fonctionne.
Le tissu sécarte de ma poitrine. Il peut maintenant la contempler à loisir.
Derrière mes lunettes je lobserve discrètement.
Ses yeux ne quittent plus mes seins. Il se tord les doigts et semble très nerveux.
Jaime ca.
« Vous venez souvent, ici ? »
Question bateau qui prouve son trouble. Il ne sait pas comment maborder.
« Ho ! À chaque fois que jai du pain dur et que le ciel est bleu. »
Je tends mon bras en direction des canards ce qui ouvre encore plus ma chemise. Il doit apercevoir le haut de mon ventre en plus de mes seins.
Je lentrevois toucher sa queue en douce.
Il est à létroit.
Humm ! Quel bonheur.
« Mariée ? Des s ? »
Dommage quil nait pas plus de conversation que ca.
Il va commencer à être pénible. Je vais lui faire penser à autre chose.
« Mariée ? Surement pas. Ni petit ami. Je suis une célibataire endurcie. Jaime trop ma
Oups ! »
Rappelez-vous, je suis accroupie.
Je fais mine de perdre léquilibre. Je tourne sur mes pieds, me jette en arrière et je maitrise ma chute en posant une main par terre.
Dans cette position, jai les jambes écartées et mon sexe lisse, bien visible, lui explose au visage, à quelque centimètres de ses yeux.
Son cur doit battre la chamade.
Derrière mes verres fumés je mamuse de le voir troublé, gêné mais terriblement excité.
Il ne pense même pas à maider à me relever.
Je lui tends la main. Il me tire doucement et à regret me regarde resserrer mes cuisses.
Cest trop dur pour lui. Il tente une approche et pose sa main sur mon genou.
« Ca vas ? Vous ne vous êtes pas fait mal ? »
« Non, cest bon ! »
Je le casse un peu en lui retirant la main. Il va bientôt être temps de lui porter lestocade.
Mais pour linstant, je laisse monter la pression. Il contemple mes seins avec de plus en plus dassurance.
« Je ne comprend pas quune jolie fille comme vous, soit encore seule ! »
Je lance du pain et messuie de nouveau sur mes cuisses. Petite variante, je les frotte également sur mes fesses.
Il craque.
« Vous êtes ravissante. »
« Merci, cest gentil. »
Je dois faire vite avant quil ne sorte une nouvelle bêtise.
Je ramasse mon sac et je me lève en me penchant au maximum une dernière fois.
« Bonne journée ! »
Je tourne les talons et méloigne, le laissant seul comme un con, accroupi au bord de leau.
Je jubile de plaisir.
Jai été très bonne.
Jentame un nouveau tour de lac. Jadore marcher. Surtout lorsque je sens mon coquillage humide. Et cest le cas. Ce type ma bien excitée tout de même.
Le regard des hommes que je croise à changé. Je ne comprends pas. Pour le coup ils me détaillent avec une incroyable insistance. Ils me font de grands et larges sourires. Je sens même quils se retournent sur moi.
Je passe ma main sur mes fesses pour vérifier que ma jupe ne soit pas relevée. Ce nest pas le cas.
Il faudra un vent léger pour que je comprenne. Je suis très surprise de le sentir souffler sur mon ventre.
Houlàlà ! Non seulement jai oublié de remettre le bouton que javais ôté, mais deux autres ont également sautés. Surement quand jai fais ma fausse chute.
En fait, je suis quasiment les seins à lair.
Bravo ! Moi qui aime aguicher, je fais fort.
Je me reboutonne discrètement et reprend ma promenade.
La honte ! Jai tout de même fais plus de la moitié du tour du lac ainsi.
Bof ! Je men remettrais.
Au bout dune heure, je termine ma promenade et me voilà revenue à mon point de départ.
Je minstalle sur un banc. De mon sac, jextirpe un livre de poche, puis je le cale ensuite entre mes jambes. Je les laisse légèrement écartées pour exposer lintérieur de mes cuisses.
Lecture des plus coquines. « Les onze mille verges » de Guillaume Apollinaire.
« Si je ne fais pas vingt fois l'amour de suite, que les onze mille vierges ou onze mille verges me châtient. Il n'avait pas baisé vingt fois de suite, ... »
Je suis toute à la vie et aux amours de cet hospodar lorsque je suis dérangée.
« Intéressant ? »
Cest lhomme de tout à lheure. Il sassoit près de moi.
Je ferme mon livre et le retourne sur mes cuisses et pose mes mains dessus. Il ne verra pas de quoi il sagit.
« Ho ! ca ? Non, pas du tout. Un roman à leau de rose. »
« Vous êtes partie tellement vite tout à lheure que je nai pas eu le temps de vous dire au revoir. »
« Vraiment ? Je suis partie si vite que ca ? »
Je lui remettrais bien la pression. Il ma lair
chaud, bouillant ce pauvre homme.
Mince, je regrette davoir fermé mes boutons. Il ne va pas mêtre aisé den ouvrir ne serrait ce quun seul.
Mon portable sonne. Voilà peut être une opportunité intéressante.
Je prends mon sac et le pose près de moi. Je pars à la recherche de mon téléphone. Et oui ! Cest un sac de femme ! Cest le bazar.
Comme je tourne le dos au type, je peux ouvrir ma chemise sans quil puisse voir que cest volontaire.
Jentends un bruit. Je ny porte pas attention. Pourtant, je devrais.
Voilà mon téléphone. Trop tard. Pas grave cest une amie. Elle rappellera.
Fière de mon embrouille, je replace mon sac entre mes jambes.
Merde ! Merde ! Et re merde !
Il a mon livre entre les mains. Il le frotte. Voilà ce quétait ce bruit. Mon livre a glissé et il est tombé.
Ce nest pas dans ma nature, mais je deviens rouge comme une pivoine.
« Tiensss ! Ce bon vieux « Apo » ! Voilà longtemps que je ne lai pas relu. »
Honteuse, je lui arrache presque des mains et le balance dans mon sac.
« Vous appelez ca de leau de rose, vous ? Cest plutôt de la grosse pornographie, bien caustique et perverse ! Non ? »
Je ne réponds pas. Mince ! Je suis totalement déstabilisée.
Il faut absolument que je reprenne le contrôle. Mais comment.
« Vous arrivez encore à voir quelque chose avec vos lunettes de soleil ? Le soleil se couche ! »
« Ho ! Oui ! Vous avez raison. »
Je les retire et tente de profiter de cette perche tendue.
Je me penche et prend mon temps pour les ranger dans mon sac.
Regarde-t-il ? Je nen sais rien. Il faut que je sache.
Alors, avant de me relever, je tourne la tête brusquement vers lui.
Oui, oui, il regardait. Je me redresse en lui adressant un large sourire.
« Vous aviez raison ! Je vois mieux ainsi. Hihi ! »
« Humm ! Vous avez des yeux magnifiques ! »
Aille ! Raté ! Je nai pas repris le contrôle.
Il se glisse presque contre moi et pose son bras derrière mon dos, sur le dossier du banc. Puis, de son autre main, il tourne un peu plus mon visage vers lui en appuyant doucement sur ma joue.
Ce nest pas possible ! Je suis troublée !
Merde, je suis à sa merci.
« Deux magnifiques émeraudes ! »
« Pff ! Vous voulez rire, je louche ! Cest affreux ! »
« Si peu ! Presque pas ! Ca vous donne un air fripon, cest mignon comme tout. »
Une fois de plus, je rougie.
Cest foutu, je ne ferais pas grand-chose de plus avec ce type. Il a gagné.
« Bon ! Je vais y aller. Il commence à se faire tard. »
« Mais non, il est à peine dix neuf heure trente et personne qui ne vous attend à la maison ! »
Il devient entreprenant. Ce nest pas fait pour me déplaire.
Sa main dans mon dos, viens sur mon épaule. Il mattire à lui, tout en posant son autre main à plat sur mon ventre. Je trésaille.
Jexpire rapidement et ma respiration se bloque.
Comment a-t-il deviné que mon ventre était la zone la plus érogène de mon corps ?
« On est pas bien, là ? »
Je deviens une fille de coton, sans force, molle. Cest une impression étrange.
Un couple qui passe nous salut en souriant.
Ma différence dâge avec cet homme, ses gestes ambigus, tout peut laisser penser que je suis sa maitresse. Je sourirais aussi, cest sur.
Ca me gêne et du coup je resserre mes jambes. Je ne sais pas trop pourquoi, car le bois cest vidé de ses promeneurs. Outre ce petit couple qui séloigne, il ne reste que quelques hommes de ci de là.
Il commence à faire très sombre.
Son pouce glisse entre deux boutons et touche mon nombril. Je sursaute.
« Et bien ! Vous êtes très sensible ! »
Je chavire. Je me sens perdue.
« Peut être vaudrait til mieux que je men aille, maintenant. »
« Hum ! Après le cirque que tu mas fait cet après midi, moi je trouve que ta place est ici ! Avec moi ! Non ? »
Ce tutoiement soudain me glace le sang.
Il a fait sauter un bouton et cest maintenant sa main entière qui palpe et caresse mon ventre sous ma chemise.
Je sens mon antre couler comme une fontaine et anéantie par une envie incontrôlable de jouir, je ferme les yeux pour me calmer.
Sa main qui était sur mon épaule, attire mon visage au sien.
Ses lèvres frôlent les miennes et sa langue naura aucune peine à les ouvrir et à pénétrer ma bouche.
Je ne parviendrais plus à me calmer. Jen ai pour preuve ma main qui vient de se poser sur sa cuisse et mes doigts qui sy crispent.
Il sait quil a gagné. Tout en membrassant fougueusement, sa main fouille et glisse dans ma chevelure tandis que de lautre, dans ma chemise, il métreint, caresse mon flan, puis mes seins et encore mon ventre. Elle est partout à la fois.
Posant son front contre le mien, noyant son regard dans mes « émeraudes », il réitère sa question.
« On est pas bien, là ? »
De plus en plus perturbée, incapable de répondre, je tourne la tête vers le lac. Un ciel orangé sy reflète. Le soleil a déjà disparut derrière les grands arbres. Dans dix minutes à peine, la nuit sinstallera sur le bois.
Cest évident, je suis bien !
Je remonte ma main le long de sa cuisse et caresse doucement le renflement dans son pantalon.
Sa main quitte ma chemise et glisse sous ma jupe.
Inutile de chercher à résister. Jécarte mes cuisses, je lui ouvre le passage. Lheure nest plus à la provoque. Je me donne
Son doigt glisse sur ma fente lisse.
« Tu baignes dans ton jus, salope ! »
La grossièreté ne me dérange pas, bien au contraire, elle mexcite.
Mes doigts trouvent la languette de sa fermeture éclair. Je la fais glisser, doucement.
Ses doigts plongent entre mes grandes lèvres, ma main dans sa braguette ouverte.
Il fouille ma chatte bouillante et gluante, je me démène pour trouver louverture de son caleçon. Il titille mon bouton rose, je sors son membre puissant, tendu.
Mais soudain, je me raidie.
« Quy a-t-il ? ca ne vas pas ? »
« Là bas ! Derrière larbre ! Il y a quelqu'un qui nous regarde. »
Un type à moitié caché, se masturbe en nous observant.
« Oui, en effet, je le vois. Tinquiète pas, ce nest pas grave. Embrasse-moi.»
Je suis une allumeuse, pas une exhibitionniste. Déjà me faire peloter sur un banc nest pas dans mes habitudes, mais devant un vicelard
jai du mal.
« Je peux pas ! Pas devant lui ! »
« Bien sur que si ! On va même lui en donner plus. Laisse faire. »
Il défait les boutons de ma chemise. Je larrête.
« Putain ! Arrête de faire ta sainte nitouche ! Ouvre ca ! »
Il tire sur le tissu et voilà mes seins à lair.
« Branle moi, salope ! »
Même si je reste peu rassurée, jessais de faire abstraction de ce gêneur.
Sa queue est belle, chaude. Je la presse et la tire. Mon pouce passe sur son gland et étale une goutte de sirop de plaisir. Hum ! Jy gouterais volontiers.
Il doit lire dans mes pensées.
« Humm ! Suce-moi, putain ! »
Un coup dil au voyeur. Il na pas bougé.
Je me penche et laisse sa queue prendre possession de ma bouche.
Jaime son gout, elle est divinement bonne.
« Hummm ! Ouiii ! Prend la bien à fond ! »
Ne pouvant plus atteindre ma chatte, il tire sur ma jupe. Le tissu tendu se relâche et roule sur lui-même. Je me retrouve le cul à lair avec une ceinture de jeans.
Il a beau faire nuit, je nai pas lhabitude dêtre nue, en plein air, devant tout le monde.
Enfin ! Au moins un. A ce propos.
Je me tourne pour voir si le type est toujours aussi discret.
Je frémies.
Il nest plus derrière sont arbre et cest rapproché. Bien quil soit encore à bonne distance, je veux faire part de mes craintes et me redresse. Je rabats ma chemise sur moi et serre les cuisses.
« Quest ce que tu fou ? »
« Le type, là ! Il cest rapproché ! Quest ce qui veut ? Il ne peut pas sen aller et nous laisser tranquille ! »
« Pourquoi ferait-il ca ? Ce nest pas tout les jours quon tombe sur une salope qui montre son cul ! Hahaha ! »
« Peut être, mais moi ca membarrasse. »
« Quest ce que tu veux ! Il ne va pas laisser sa place aux autres, non plus ! »
« Aux autres ? Quels autres ? »
« Ben, eux ! »
Il mindique deux autres hommes, plus ou moins cachés dans les sous bois. Je nen crois pas mes yeux.
« Ta rien à craindre. Ils ne vont pas te manger ! Quoi que
»
Etrangement, la surprise passée, je trouve ca, plutôt excitant et je décide de jouer le jeu à fond.
Je me lève et me penche pour reprendre ma fellation, le cul bien haut, exposé à mes nouveaux amis.
Je nattendrais pas longtemps avant de sentir une chose chaude toucher mes fesses.
Des bruits de pas et des mains qui se posent sur moi, mindiquent quils sont là tout les trois.
Alors quun membre puissant prend place dans mon ventre. Des mains caressent, mes fesses, mes seins qui ballotent.
Ils me prennent tour à tour coté pile et coté face.
Emilio ma fait don de sa semence et me regarde satisfaire ses collègues.
Javoue quil y avait longtemps que je navais pas jouie si fort.
Les types sont partis et Emilio me laisse reprendre mes esprits tout en me caressant.
« Tu es venue comment ? »
« En métro. »
« À cette heure ci, ce nest plus très prudent, surtout habillée ainsi. Je te ramène. Ne crains rien, je ne vais pas tenlever. Haha ! »
« Humm ! Je nai pas peur ! »
Nous remontons une allée qui ramène à un petit parking. Il est désert. Seul, le 4X4 dEmilio.
Cest un monstre impressionnant.
Je grimpe.
Lintérieur est immense. Je naurais jamais pensé ca.
Evidement, Emilio profite de la situation.
Nous nous embrassons. Il me caresse les seins, puis les cuisses et enfin le sexe.
Il saperçoit que je déborde.
« Beurck ! Cest dégueulasse ! Merde ! Je voulais te la bouffer ! »
« Désolée ! Je ny peux rien ! Hihihi ! »
« Cesse de rire, idiote ! Dis moi plutôt ce que tu penses de mon levier de vitesse. »
« Il est énorme ! »
Cest vrai quil est énorme et surmonté dune belle et grosse boule.
« Tu la veux ? »
« Comment ca ? »
« Empale-toi ! »
Je pose ma main dessus. Je le caresse, je le jauge.
Lidée me plait bien.
Je passe par-dessus, jambes grandes ouvertes. Je fais glisser ma vulve sur la boulle chromée. Elle est énorme, presque trop. Jhésite.
Emilio me présente sa queue une fois de plus. Je me penche pour latteindre de ma bouche.
Je nai pas le choix. Si je veux le sucer, il me faut gagner du terrain en mempalant.
Je frotte pour bien lubrifier du foutre des autres hommes et je retente la pénétration en écartant bien mes grandes lèvres.
Jy suis arrivée. Jai gobé la boule et me laisse glisser sur le manche.
Cest trop bon et je délaisse Emilio pour être tout à mon plaisir. Cest fantastique. Je ferme les yeux.
Mais tout à coup je me sens traversée par la foudre mêlée au tonnerre.
Cest Emilio qui vient de mettre le contact. Tout le véhicule cest mis à vibrer et bien sur, le levier avec.
Je suis secouée par un orgasme violent.
Emilio en veut plus et appui sur laccélérateur.
Le gode géant cogne mes parois vaginal. Je suis secouée de lintérieur et je jouie encore et encore. Jamais plus, je pense, je ne ressentirais ce genre de chose.
Finalement, une journée qui dé, ca peut avoir du bon.
Non ?
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