Trop Rebelle Aux Yeux De Mon Maitre Je Suis Préparée Pour Maitresse A.
Le jour était à peine levé
je sortais de ma douche
la sonnette retentie.
Intriguée et agacée je descendais lescalier furieusement prête à bondir sur le facteur, le livreur ou quelquautres malotrus qui osait me déranger à une heure aussi matinale
Comme à mon habitude je lançais par la fenêtre un « qui cest ? » auquel je nobtins pas de réponse. Ma sonnette retentie une seconde fois, je descendais jusquà lentrée et ouvris la porte prudemment.
Devant se tenait deux hommes :
Lun dâge mur dont on imaginait aisément quil avait été fort et beau. Ses cheveux poivre et sel lui donnaient un air serein et une prestance qui sautait au visage à la première seconde.
Le plus jeune, très jeune devrais je dire, navait rien à lui envier il était ce que le plus âgé avait du être. Fort, grand les cheveux châtain parfaitement coiffé il se tenait en retrait en observation
En quelques secondes ils métaient apparus comme des prédateurs et mes craintes savéreraient rapidement fondées.
Alors que je mapprêtais à leur demander ce quils me voulaient, ils sengouffrèrent dans lentrée exiguë de mon appartement, le plus âgé me plaqua contre le mur en posant une main vigoureuse sur la bouche me regardant fixement dans les yeux dans lesquels ils devaient lire la peur et la frayeur. Il approcha ses lèvres de mon oreille et me glissa « si je lâche ma main tu ne crie pas tu ne dis rien tu retrouves ton calme et tu obéis » bien que pétrifiée par la peur je lui signifiais mon accord en hochant doucement la tête.
Je tentais de lui demander le plus calmement possible ce quils voulaient qui ils étaient mais même ces questions simples et légitimes provoquèrent sa colère. Il saisi un foulard quil mappliqua sur la bouche vigoureusement avec une dextérité qui laissait penser quil nen était pas à son coup dessais.
Langoisse menvahissait maintenant jétais au bord des larmes passé la surprise la peur se faisait plus grande.
Cest alors que le plus jeune des deux entama un monologue destiné à me « rassurer » quant à leur présence. Ils avaient été « mandaté » par mon maître qui me trouvant trop rebelle avait choisi de parfaire mon éducation de soumise. Le soulagement fut de courte duré ces mots étaient destinés à me faire comprendre quils nétaient pas la par hasard mais en aucun cas ils ne me rassurèrent sur ce qui mattendais.
Nous étions tous les trois toujours coincés dans lentrée de mon appartement qui se limite à un vestibule de 2m2 peu propices aux ébats mais ils semblaient excités par cette particularité. Le seul espace de mouvement se trouvait être lescalier qui menait à lappartement proprement dit un escalier en bois, très sonore.
Ils se mirent daccord au moyen de signes que je ne comprenais pas pour commencer la séance là, sur lescalier. Toujours bâillonnée je tentais de leur montré que je ne dirais plus rien quils pouvaient me libérer de cette contrainte mais mes efforts furent vains. Pour seule réponse jeu la main viril du plus âgé qui vint se plaquer sur ma nuque, agrippant mes cheveux retenus en chignon, pour me pousser en avant mobligeant à retenir ma chute avec les mains sur les marches.
Cest donc dos à eux, penchée en avant, avec pour seul vêtement une serviette de bain qui par miracle avait tenue autour de moi tout ce temps
Loin de larracher il la souleva lentement laissant ses mains parcourir mes pieds, mes genoux puis mes cuisses exerçant une pression différente selon quil soit à lextérieur ou à lintérieur de celles-ci.
Lautre mordonnant de ne pas tenter de résister de me laisser faire.
Les rôles étaient donc clairs lun était physique lautre cérébral
Lun agissait lautre parlait ou me faisait parler.
Le plus jeune masséna des : « taime ca salope ? Non seulement tu vas aimer mais tu vas le dire et tu vas nous supplier de te baiser, fait moi confiance. »
Les mains tour à tour douces et fermes me claquaient les cuisses pour que je les écarte encore et encore jusquà ce que les murs de lescalier ne me permettent plus décartement.
Il prit ce même doigt pour exercer des mouvements circulaires autour de mon anus cherchant à le détendre croyais je mais cétait pour mieux me surprendre.
Sans aucun signe avant coureur il enfonça son doigt dans mon cul laissant lautre me décrire ce quil voyait, ce quil me faisait.
« Tu vois là ton cul est ouvert et sil ne létait pas ce serait pareil ! Cest nous qui décidons pour toi, nous décidons de tout. Toi tu subis, tu te soumets et tu jouiras quand nous le déciderons, parce que tu jouiras sans aucun doute salope
»
Il me redressa en tirant à nouveau sur mes cheveux et mordonna de monter les marches lentement sans bruit pour ne pas risquer dalerter les voisins qui à cette heure matinale partaient travailler.
On les entendait ouvrir puis fermer leur porte et partir pour la journée ce qui laissait à mes bourreaux une journée complète de tranquillité. En haut de lescalier, je fus libérée de mon bâillon mais je ne pris pas le risque démettre le moindre le son.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!