Damien 40 - Omar 2
Mon anus était douloureux et je devais garder les jambes écartées pour pouvoir marcher, mon mec me dit "Alors petite salope ton cul est bien rempli de jute, alors maintenant tu sais ce que tu vas faire, tu vas nettoyer ma bite avec ta langue".
Je me mis à genoux et surmontant mon écurement je portai quelques coups de langue sur le gland maculé d'Omar puis je me mis à lécher le membre sur toute sa longueur.
Au bout d'environ un quart d'heure le pénis était propre, j'avais la nausée et je dus faire appel à toutes mes forces pour ne pas vomir.
Abdou arriva et Omar lui dit "C'est vrai qu'elle a un bon cul cette salope".
Abdou sourit et répondit "Je te lavais dit, cest une vraie pute, son cul est insatiable, bien je vous laisse les amoureux, amuse-toi bien avec ta petite femme mon ami".
Omar ouvrit une boite et en sortit une chaîne métallique avec un collier étrangleur, il me dit "Voilà un beau cadeau pour toi ma petite chienne, comme ça je vais pouvoir te promener sans que tu te sauves, allez approche ta tête".
La peur au ventre je fis ce que mon tourmenteur avait dit.
Il me mit le collier autour du cou et partant d'un grand éclat de rire me dit "AH AH AH !! Voilà ma petite chienne en laisse, tu sais que tu es très belle comme ça".
Omar me fit marcher à quatre pattes dans la pièce puis d'un coup de pied il me fit tomber sur le côté.
Il me mit sur le dos, prit mes jambes et les replia vers mon torse.
A l'aide de la chaîne il attacha mes mollets, il prit des menottes et emprisonna mes mains dedans puis agrafa le tout au collier.
Je me retrouvai complètement immobilisé jambes relevées et écartées et les bras derrière la tête.
A ce moment on frappa à la porte, me délaissant Omar alla ouvrir, un homme entra et Omar lui dit "Bouba, j'ai un cadeau pour nous".
Lhomme avait une trentaine d'années, il avait un visage lugubre, il était balafré et ses dents étaient toutes jaunes.
Omar lui dit "Regarde un peu ce cadeau mon frère, une superbe salope.
- Merci grand frère.
- Ne te gène pas pour moi, j'ai déjà pris mon compte, vas-y vide toi les couilles dans ce cul de pute.
- Avec plaisir".
Dans cette position mon intimité ressortait au maximum et j'étais totalement offert, Omar vérifia la solidité de mes liens et me dit "Alors petite tapette, il te plait ce plan cul, qu'est-ce que tu penses de ça, comme ça Bouba va pouvoir bien t'enculer sans que tu le gênes".
L'homme me prit dans ses bras et me déposa sur une table, puis se déshabilla, son phallus était aussi volumineux que celui de Omar et était déjà dressé, j'étais juste à la hauteur de son pénis érigé.
Sans ménagement Bouba m'enfonça son majeur dans l'anus.
La soudaine intromission me fit pousser un petit cri, ce qui provoqua l'hilarité de mon amant qui me dit "AH AH AH !! Bien je vois que ton cul s'est bien refermé car si simplement mon doigt te fait crier ça veut dire que quand je vais te mettre ma bite là je vais t'entendre. Hein salope ?
- Je t'en supplie fais doucement.
- Je fais comme je veux salope et comme j'ai pas envie de faire doucement, je vais bien aimer t'entendre gueuler quand je vais t'enfoncer ma grosse bite dans le cul".
Bouba marcha vers moi, son regard brillant me faisait peur.
Arrivé près de moi il posa ses mains sur mes cuisses me regarda et me dit "Alors comme ça tu veux que je fasse doucement mais comment veux-tu que je fasse doucement quand je vois ce trou du cul qui ne veut qu'une chose c'est que ma bite le casse entièrement".
Il positionna son énorme gland à l'orée de mon orifice et me dit en rigolant "Regarde petite pédale ce que je vais mettre d'un coup dans ton beau petit trou du cul tout chaud de salope".
Je retins ma respiration sachant ce qui allait arriver mais mon bourreau attendit, qu'au bord de l', je rejette l'air contenu dans mes poumons pour m'enculer.
D'un violent coup de reins il enfonça son monstrueux priape dans mon cul jusqu'à la garde, ce que je ressentis fut abominable.
J'avais l'impression qu'on m'ouvrait en deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le rectum, un horrible hurlement de souffrance jaillit de ma gorge et je me mis à sangloter.
Sans prêter gare à moi Bouba commença à se ruer dans mon tunnel à une vitesse folle m'arrachant à chaque poussée des hurlements de douleur.
Agrippé à mes cuisses mon tortionnaire me besognait de toute la longueur de son fabuleux membre, son ventre musclé claquait contre mes fesses à me faire mal.
Jamais au cours d'une enculade je n'avais eu aussi mal, j'avais l'impression qu'on m'arrachait tout l'intérieur.
Je ne cessais de geindre sous les brutaux assauts que Bouba m'assénait, celui ci le regard dément et la bouche grande ouverte bougeait frénétiquement en moi.
Je ne sais combien de temps dura cette , submergé par la douleur je subissais ce martyre sans aucune réaction.
Soudain se plaquant contre moi Bouba éjacula en grognant, je sentis son flot de sperme m'inonder le fondement puis il se retira continuant à se déverser sur mes fesses.
Il se recula puis revint vers moi en disant "Ah c'est un bon coup que je viens de tirer, tu sais salope si tu voyais ton cul tu aurais peur il est tout ouvert mais ne t'inquiète pas comme tu peux voir ma bite est encore bien dure et je vais bien t'enculer encore beaucoup de fois".
Mon bestial amant se posta face à mon postérieur et guida son énorme hampe contre mon illet distendu puis me pénétra d'une rude poussée qui me fit crier.
Posant ses mains contre mes flancs mon homme se remit à me besogner avec rudesse.
Mon anus complètement dilaté laissait coulisser le monstrueux phallus en moi sans gène aucune mais je ne ressentais aucun plaisir.
J'endurais sans réaction les vigoureux assauts que Bouba me portait, il me baisait si fort que j'avançais sur la table chaque fois que son fabuleux sexe se plantait au plus profond de mon cul éclaté.
Le visage de celui qui me pilonnait l'arrière-train était couvert de sueur, chaque fois qu'il enfonçait sa queue démesurée dans mon antre maltraitée il disait "Tiens pédale prends ça dans ton petit cul".
Bouba me prit de la sorte 3 fois sans jamais sortir de mon canal endolori.
Il avait tellement joui en moi que mon sphincter rejetait le trop plein de foutre et me trempait les fesses.
Les chaînes commençaient à rentrer dans ma peau me faisant souffrir.
J'avais la voix enrouée tellement j'avais crié et les yeux gonflé tant j'avais pleuré.
Quand enfin, après une dernière saillie qui m'avait inondé une fois de plus le fondement de sperme chaud, Bouba s'écarta de moi je crus que mon calvaire était terminé.
Mon brutal amant me détacha.
Complètement exténué je tombais à même le sol et je restais en chien de fusil essayant de faire revenir ma circulation sanguine dans mes membres moulus.
Me prenant par les cheveux Omar me releva et me dit "Alors petite pédale ton cul a bien été défoncé, tu voulais de la bite eh bien on t'en a donné".
Comme je restais silencieux il me gifla et me dit "Parle pédé.
- Oui Omar, Bouba et toi vous m'avez bien baisé.
Omar me mit une grande claque sur les fesses et dit "Je t'aime bien avec ce collier. Qu'en penses-tu ?
- Oui Omar.
- Bien, bon maintenant que tu t'es reposé un peu allez on recommence.
- Mais...
- Quoi mais, tu ne crois pas que c'est fini, mais Malik ne t'est pas encore passé dessus, regarde sa bite elle a envie de ton trou du cul".
Je vis avec horreur qu'un troisième homme était dans la pièce, c'était un type très grand et très gros, il était nu et malgré son ventre imposant une énorme verge pointait vers le plafond.
En voyant mon expression terrorisée Omar éclata de rire "AH AH AH !!, pauvre petite tapette, on dirait que tu as peur de cette grosse bite, mais non il va rentrer dans ton cul et tu sais dans l'état où est ton cul il ne risque rien, il pourrait prendre deux bites comme la mienne, allez mets-toi à quatre pattes que Malik t'encule".
Complètement passif j'obéis, Malik s'agenouilla derrière moi et je sentis son gland turgescent glisser dans la raie de mon cul.
L'homme se positionna à l'orée de ma fente béante, il posa ses mains sur mes épaules et d'un coup de reins d'une violence inouïe Malik me pénétra jusqu'à la garde.
Bien que mon anneau complètement éclaté soit grand ouvert, je ne pus empêcher, sous la violence de l'intromission, un cri de douleur de pulser de ma gorge et les larmes d'envahir mes yeux.
Mon amant se mit à me posséder en de brusques coups de boutoirs redoublés, son ventre claquait contre mes miches à me faire mal.
J'avais tout l'intérieur qui me brûlait et ma pastille démolie me faisait de plus en plus mal.
Je ne sais combien de temps mon bourreau me pilonna l'arrière-train.
J'avais atteint le stade où la douleur ne se sent plus et je recevais les coups de bite en couinant légèrement.
Dans la pièce, où régnait une odeur de foutre mélangée à de la merde, on entendait les bruits de succion que faisait mon trou de balles chaque fois qu'il avalait le monstrueux pénis érigé.
Au bout de quelques instants de ce traitement Malik s'enfonçant au plus profond de mes entrailles éjacula en râlant.
Ses abondants jets de sperme fusant contre mes parois surchauffées me firent un peu de bien, je sentis le phallus rétrécir en moi et sortir de ma corolle ravagée.
Je restais quelque temps dans la même position n'osant pas bouger de peur des représailles quand j'entendis la voix d'Omar qui disait "Ca y est petit pédé, lève-toi un peu pour te décontracter".
Je fis quelques pas dans la pièce puis Omar me dis "Allez salope, mets-toi à quatre pattes, tu vas encaisser".
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