L'Ange Gabriel

France-Pologne de hand. Pas assez de fric pour me payer une place numérotée. Donc, je rentre dans le palais des sports et je cherche une place. Je repère alors un visage magnifique, une des plus belles gueules de mec que j’ai pu voir. C’était un ado. Je ne fais pas dans les petits garçons, mais quand je vois quelque chose de beau, je regarde. Il avait des cheveux blonds raides avec des mèches qui lui tombaient dans le cou. Sa peau couleur miel, parsemée de taches de rousseur sur les pommettes et deux yeux dorés à l’air rieur, faisaient que j’avais du mal à détourner mon regard. Une seule place était libre dans ce secteur, au dessus de lui. J’allai donc m’installer. De temps en temps, il se retournait et je pouvais admirer son image. Pendant le match, il se leva. Nous étions en été. Je fus époustouflé. Il portait un short blanc très court et très moulant. Une partie de ses fesses débordait du short. Je n’avais pas vu de si beau cul depuis longtemps. Vêtu comme ça, on était obligé de penser qu’il s’exhibait. Mais, comme c’était un gamin, je n’ai pas eu de velléité. Pendant le match, il se leva encore plusieurs fois. Seulement ces fois-là, il se retourna pour regarder derrière lui.
A la mi-temps, j’ai quitté ma place pour aller chercher un sandwich et à boire. Je me suis retrouvé à côté de lui. J’ai tourné la tête pour ne pas être tenté. J’ai senti qu’on me palpait les couilles. J’ai attrapé la main, c’était la sienne.
- Alors, il te plaît pas mon cul ? Dit-il.
- Je ne donne pas dans les gamins.
- Vingt quatre ans, c’est être gamin ?
- Vingt quatre ans, toi ! Tu te fous de ma gueule ?
- Je savais que tu dirais ça, ajouta-t-il en me tendant sa carte d’identité. Tout le monde dit que je ne fais pas mon âge.
- Tu t’appelles Gabriel ! Avec la gueule que t’as, on comprend tes parents !
- T’as toujours pas répondu à ma question !
- J’ai vraiment besoin d’y répondre ?
- Alors suis-moi !
Il m’a conduit aux toilettes, m’a tourné le dos et a baissé son short.

Une de ses mains est venue vérifier l’état dans lequel j’étais. Il s’est retourné, m’a sucé et m’a prié de l’accompagner chez lui après le match.
- Pourquoi pas maintenant ?
- Si tu veux…
Arrivé chez lui, j’ai demandé à le dévêtir. Je lui ai juste laissé le t-shirt et ses chaussettes blanches. Son cul ressortait merveilleusement. J’ai pris ses fesses dans mes mains et les ai caressées longuement. Je les ai embrassées, léchées. Puis, n’y tenant plus, je me suis introduit dans son anus et l’ai baisé avec douceur.
J’ai pris des photos de sa belle gueule en gros plan et des photos de lui, vu de dos, la tête tournée derrière lui. Il m’arrive encore fréquemment de me branler devant ses images. Ah quel cul !

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