La Noce De Ma Soeur

Je suis garçon d'honneur au mariage de ma sœur. Il est temps qu'elle se marie depuis les années qu'elle vit avec son mec. La noce s'annonce belle et joyeuse. J'en suis satisfait: j'ai rompu avec ma petite amie depuis peu: je pourrai prendre du bon temps. La cérémonie se passe fort bien, le repas également. J'ai même droit à une cavalière, joli brin de fille, avec qui je passerai bien plusieurs heures en tête à tête. Nous ne faisons que bavarder depuis le début de notre rencontre. Que peuvent bien se raconter deux jeunes en pleine santé, sinon des fadaises. Sauf que notre conversation ne tourne pas depuis un moment sur le temps ou la politique. Nous envions simplement les jeunes mariés qui vont passer une nuit d'amour tumultueuse. A force de bavarder, nous nous trouvons dans une bulle: rien à part nous n'existe. Je la sens fébrile, comme à coté. De notre conversation. Je lui demande ce qu'elle a:
- Pas grand-chose, nous parlons depuis tout à l'heure avec envie du couple, sans penser à nous qui….
- Qui ?
- Qui n'avons aucun projet même proche.
- Oh, on peut en avoir des projets proches, par exemple partir pour…………
- Pour ?
- Je ne sais pas, nous promener par exemple.
- Nous promener ? Qu'elle idée. Pourquoi ne pas flirter par exemple.
- Par exemple, oui, d'accord.
C'est le monde à l'envers, c'est une fille qui me demande de la lever. Elle est belle, me plait beaucoup pour plus qu'un flirt. J'aimerai me la farcir. Je ne peux tout de même pas le lui dire si crûment.
Nous nous levons et partons à l'aventure, qui se termine pour le moment sur un banc. Je passe un bras sur ses épaules, elle se tourne vers moi. Je n'ai qu'à cueillir un baiser sur sa bouche. Sa langue a bon goût et elle s'accorde fort bien avec la mienne. Nous restons bouche à bouche un long moment. Elle sait que j'ai envie d'elle. Je sais qu'elle a envie de moi. Nous avons envie de baiser ensemble tout simplement. Nous n'en disons rien et pourtant quand je lui caresse un sein elle me laisse faire.

Je lui prends la taille pour être plus proche encore. Elle se blottie contre moi. Sa tête vient sur mon épaule et s'y abandonne. Je pose une main sut son genou: elle ne réagit pas. Comme sa robe est longue je ne peux pas la relever pour aller toucher son sexe. Je ne me décourage pas, par-dessus je pose une main sur son pubis. Elle prend ma main et l'y appuie. Elle accepte que nous allions plus loin, surtout quand je sens sa main se poser sur ma pine déjà grossie. Je connais assez mal la ville. Elle est d'ici. Je lui demande où nous pourrions aller. Elle ne répond pas, me prend par la main et me mène comme un écolier là où elle veut: son studio. Personne ne viendra nous chercher là, d'autant plus que la noce doit encore battre son plein. Elle me fait rentrer chez elle. Intérieur bien agréable, petit, bien meublé, ben au soleil. Il fait assez chaud chez elle. Elle ouvre les vitres: nous nous retrouvons l'un contre l'autre, nos bouches unies. Je recommence là où j'en étais: je lui mets la main sur le pubis et lentement je monte sa robe. J'arrive à la mettre si haut que je peux enfin lui caresser l'entrejambe. Elle me laisse faire. Elle repart à l'assaut de ma queue qu'elle arrive péniblement à sortir de mon pantalon. Je ne l'ai pas encore caressée, pourtant elle prend ma bite à pleine main et me branle lentement en femme sachant qu'il ne faut pas aller vite au début avec un homme. Enfin j'arrive sur son string, petit string facile à écarter pour lui passer la main dans la fente. Je suis enfin en mesure de lui caresser le clitoris. Je la branle avec douceur. Elle me laisse faire un moment avant de me demander d'aller plus vite; je ne suis pas contrariant: du moment qu'il faut faire jouir une fille. En effet elle se cambre et gémit légèrement juste avant de jouir. Elle a toujours ma pine en main, commence à accélérer sa cadence. Je l'arrête, sinon elle me fera jouir trop vite.
Nous nous séparons le temps de nous déshabiller. Nous nous détaillons: je regarde ses seins, sa toison, sa taille.
Elle regarde vaguement mon corps sauf ma queue bien bandée. Nous nous trouvons ainsi devant la fenêtre ouverte sans nous soucier des voisins. Pourtant une jeune femme nous regarde depuis le début. Je suis le seul à la voir. Je vois qu'elle agite son bras droit: elle doit se branler. Elle n'a encore rien vu.
Je suis attiré par le con de ma cavalière: je m'accroupi pour lui passer la langue sur tout son con. Elle écarte les jambes. Je peux ainsi aller où je veux. Ce que je veux lui rentrer ma langue dans le vagin pour trouver son point magique. C'est rapidement fait. Je la lèche lentement: elle se tend plusieurs avant de jouir encore une fois. Je sors ma langue de cet endroit, la met sur son clitoris où je lèche sans arrêt jusqu'à une autre jouissance. Maintenant il est temps de la baiser. Je la mets sur le lit en jetant un œil sur la voisine: la jeune femme est toujours là à nous épier et se branler. Elle va trouver maintenant une autre raison de se donner du plaisir. Elle écarte les jambes, me tend les bras, me demande de la baiser vite elle en a trop envie. J'en meurs d'envie aussi. Je vais entre ses cuisses ouvertes. Je ne me couche pas sur elle: je veux voir ma pine quand elle rentrera. Elle aussi a posé un coussin sous sa tête pur voir, comme moi. Elle prend ma bite, ma dirige vers son con. Elle la lâche juste au moment où je rentre en elle. Elle ferme les yeux, gémit pas mal: elle se laisse aller vers son plaisir. J'arrive au col de la matrice: je ne peux pas aller plus loin. Je la lime, en fermant moi aussi les yeux tellement son con est agréable. Elle jouit bien avant moi qui en meurt d'envie: il parait que plus une femme joui, plus elle joui vite. C'est son cas.
Elle se retourne et me donne ses fesses. J'aime les filles qui offrent ainsi leur cul. Ou elles sont de sacrées salopes ou elles aiment se faire mettre par derrière. Elle se mouille la rondelle pour faciliter le passage, écarte ses fesses avec ses mains. Je viens sur elle.
- Vite mets moi la au cul.

- Si vite, pourquoi ?
- J'en meurs d'envie, ta queue doit bien m'aller dans le cul.
Nous arrêtons de parler inutilement. Je me mets sur elle, pose ma pine sur son anus et très lentement pur la faire languir je la lui rentre doucement. Pour elle ce n'est pas assez rapide: elle donne un grand coup de rein. Nous limons tous les deux en cadence. Elle jouit je ne sais combien de fois. Enfin pour moi arrive la délivrance: je jouis tout ce que j'ai dans les couilles, il me semble. Je sorts d'elle la bute ramollie.
Elle est en pleine forme et voudrait encore baiser. Je lui demande un armistice de quelque instant, juste le temps de bander encore. Impatiente, elle veut me faire bander plus vite. Nous nous levons, nous passons au cabinet de toilette. Elle se lave les fesses d'abord en me montrant bien toute sa fente, se relève, prend ma bite et la lave à l'eau chaude. Elle me savonne en faisant des aller et retour sur mon mandrin qui du coup bande à nouveau. De retour dans la chambre elle me couche sur le dos. Je pense qu'elle veut se mettre elle-même la bite au con. Pas du tout: elle m'enjambe pour pendre ma queue dans la bouche et me donne tout son con à bouffer. Je la lèche partout où c'est possible; et Éros sait qu'il y a beaucoup d'endroits sur une femme. Elle n'a pas ces problèmes: elle avale presque toute ma pine, la suce pour bien faire durer mon plaisir. Je l'avertis juste avant de jouir: elle s'en fout: elle garde mon sperme dans la bouche. Nous nous quittons heureux d'avoir bien jouit.

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