Les Coeurs De Chienne (Suite Et Fin)
Véronique
La nuit a été courte et je me réveille de bonne heure.
Jenfile mon caleçon et descend à la cuisine pour me faire un café. Mais avant même dy entrer, des bruits men parviennent.
Je pousse la porte doucement. Une femme me tourne le dos et semble faire la vaisselle.
« Bonjour ! »
Elle se retourne. Elle porte des lunettes de soleil.
« Nico ? Ben, vous êtes encore là ? Vous nêtes pas parti hier ?»
« Non, jai passé la nuit ici. »
Cest Véronique, la femme de serge, ou plutôt son souffre douleur. Je suis sur que ses lunettes cache un coquard.
Voilà un an que je ne lai pas vu, depuis le mariage de Laetitia. Elle a maigri, même si elle aborde encore un embonpoint certain, cest une femme mure dune incroyable beauté et qui transpire la gentillesse.
Je mapproche delle pour lui dire bonjour et lembrasser. Le fait que je sois en caleçon semble la gêner un peu.
« Ho ! Excuse-moi ! Ce nest pas une tenue, je suis désolé. »
« Non, cest rien. Vous ne pouviez pas savoir. »
« Ce nest pas la joie, hein ? »
« Non, pas vraiment. Vous navez pas du rigoler hier. »
« Heuu ! Non en effet. Mais grâce à Fleurine jai passé une très bonne soirée quand même. Mais toi, tu en es où ? »
« Ho moi
Je nespère plus grand-chose. Il ma éteinte. Vous savez, plus jeune jétais une sacrée coquine, très jolie et très sexy. Cest ca quil lui avait plus en moi. Mais depuis plusieurs années, il ny a plus rien, ni tendresse, ni amour, rien ! »
« Pars, prend un amant ! »
« Partir, trop compliqué pour moi et pour aller où ? Quen tà prendre un amant, ce nest pas mon style. Je ne saurais pas faire. Il faut savoir gérer ce genre de chose. Et qui voudrait encore de moi. »
« Ho ! Parfois il ne faut pas chercher trop loin. »
« Chuuut ! Vous allez dire des bêtises. »
Je mapproche delle et pose mes mains sur ses hanches. Je sens ses formes sous mes doigts, la douce souplesse de ses légers bourrelets.
« Non, Nico, il ne faut pas ! »
« Laisse-moi te rallumer. Réveiller lamante qui dort en toi. Quand on est coquine, on le reste toute sa vie. »
Elle rougie un peu et sa respiration saccélère.
« Non, il ne faut pas ! Et sil se réveille ? »
Cest une interrogation qui trahie son acceptation. Elle nest pas contre lidée, elle a juste peur.
Je prends ses mains et les pose sur mon torse.
« Ne crains rien. Avec ce quil sest envoyé hier, il va dormir jusquà midi. »
Elle tremble.
Je me colle à elle, écrasant ses fesses contre lévier. Son contact me fait bander comme un âne et mon membre séchappe de la braguette du caleçon. Elle le sent tout contre son ventre, dressé et prometteur de plaisirs intenses.
Elle ferme les yeux et enfonce ses ongles dans ma peau.
Je dépose mes lèvres sur sa bouche. Elle accepte mon baiser et passe ses mains derrière ma nuque.
Tandis que nos baisers sont de plus en plus fougueux, je glisse mes mains sous son pull, les passe dans le soutien gorge et je remonte le tout haut sur sa poitrine.
Surprise de se retrouver les seins à lair, elle a un mouvement de recul. Mais je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et jaspire déjà une de ses grosses pointes roses.
Elle jette ses épaules en arrière et se cambre un peu pour mieux moffrir son opulente poitrine.
Alors que je lèche goulument les mamelles de cette adorable personne, mes mains sengagent sous la jupe. Elles ne prennent pas le temps de caresser les cuisses ou les fesses. Elles saccrochent directement à lélastique de la culotte quelles tirent vers le bas.
Véronique, surement pas très rassurée, essai de men empêcher.
« Ne crains rien ma chérie ! »
Je la tourne sur elle même et la couche sur la table de cuisine. Elle semble sabandonner et saccroche à la nappe à carreaux.
Mon sexe tendu na pas besoin de chercher louverture. Elle est face à lui, humide et béante.
« Ho oui ! Tu as une belle chatte de salope ! Hummm ! »
« Oui ! Ouii ! Insulte-moi ! »
Son tutoiement soudain mexcite.
« Je vais faire de toi ma chose ! Tu vas être ma putain, ma garce ! Je ferais remplir ta vieille chatte de foutre par tout ce qui passera ! »
Je la bourre avec vigueur tout en broyant ses seins de mes mains.
Mais soudain, je suis pris dun puissant frisson.
Dans lentrebâillement de la porte de la cuisine, Fleurine nous observe discrètement.
La surprise passée, mon excitation redouble dêtre ainsi démasqué.
Tout en fixant la jeune femme dans les yeux, je continu à madresser à sa mère.
« Tu laimes ma queue ! Hein ? Trainée ! Je vais faire de toi une bonne salope, une vrais chienne !»
« Ho oui, Nico ! Bourre-moi à fond ! Baise-moi fort ! »
La salope jouit comme une grosse pute. Jen fais de même. Ma jouissance est puissante, boostée par linattendue petite voyeuse.
Je ferme les yeux un court instant. Quand je les ouvre de nouveau, Fleurine nest plus là.
Sept mois plus tard.
Lenterrement de Serge.
Désormais jirais reprendre ma voiture seul dans le parking de ma société.
Je suis un peu surpris de ne pas voir Fleurine au cimetière. Mais finalement, avec la vie qui lui a fait mener, elle a droit à un peu de rancune.
Véronique et Laetitia nont pas lair très affectées non plus. Même Christophe semble soulagé.
Floriane aussi est là, un peu agacé de devoir rester à sennuyer à lenterrement de son grand père.
« Pffff ! Tes pas drôle maman ! Jaurais pu rester tenir compagnie à Fleurine ! »
Elle ma regardé étrangement à léglise. Il faut dire que sa grand mère avait insisté pour que je minstalle près delle et durant toute la messe, elle ma tenu la main, posant de temps à autre sa tête sur mon épaule.
Elle doit se rappeler de moi comme dun type inconnu quelle a croisé au mariage de sa mère. Jaimerais tellement la serrer dans mes bras.
La famille se disperse. Je présente mes condoléances à Véronique. Elle membrasse et me glisse un mot à loreille.
« Arrête de faire ton hypocrite. Jaimerais que tu viennes me voir ce soir. »
La jeune veuve nest pas épleurée du tout.
Je méloigne dans les grandes allées bordées de tombes.
Laetitia me rejoint devant le grand portail.
« Ta perdu mon numéro ? Tu ne mas pas rappelé. »
« Oups ! Cest vrai, mais jallais le faire. Ton numéro est sur ma table de nuit. Jattendais dêtre moins bousculé par mon boulot. Tu sais ce que sait. »
« Pas une soirée de libre en un an et demi ? En effet, tu es très pris. Heureusement que tu as pu te libérer pour lanniversaire de Fleur ! »
« Héé ! Tu me fais une scène de jalousie, ou quoi ? Tient à propos, je suis étonné quelle ne soit pas venue à lenterrement. »
« Bof ! Dans son état, elle est aussi bien chez elle. Et puis le médecin lui a conseillé déviter de rester debout trop longtemps, alors
»
« Mince ! Elle est malade ? Je lignorais. »
« Pffff ! Si faire un bébé cest une maladie, alors oui, elle est très malade. »
« Ho ? Elle est enceinte ? Elle cest trouvée un homme ? »
« Heuu ! Ou tu te fou de moi, ou tu nes vraiment pas au courant. Oui, elle est enceinte ! Non, elle na pas dhomme ! »
« Ben ? Qui est le père ? »
Elle me jette un regard de feu.
« Je croyais que tu étais au courant quil ny avait pas de secret entre moi et ma petite sur ! »
« Ben oui, et alors ? »
« Nico ! Elle est enceinte de sept mois. Sept mois
ca te dis toujours rien ? Tu vas être papa de nouveau ! »
Par chance je suis près dun banc. Je my assois avant que mes jambes ne me lâchent.
« Pourquoi ne ma-t-elle rien dit ? »
« Cest ma sur, non ? Nous sommes pareilles. Elle a toujours cherché à faire comme moi, à me prendre pour modèle. Bon, là, je reconnais quelle a poussé le mimétisme un peu loin. Mais tinquiète pas, on va assumer. »
« Si tu veux assumer commence par dire à ma fille qui est son père. »
« Ho ! Elle le sait, cest juste que ce nest pas facile pour elle.
« Nous pourrions changer ca ? »
« Bien sur que nous pouvons ! Ne tinquiète pas. »
Une semaine après.
Cette derniers jours ont été atroces. Mes nuits sont peuplées de cauchemars. Je suis plein de questions sans réponses. Bourré de remords et dangoisses, je me décide à appeler Laetitia.
« Écoute, je nen peux plus ! Il faut que je te parle. Je crois que jai vraiment déconné avec votre famille. Je voudrais mettre les choses à plat et voir comment je peux réparer mes erreurs. »
« Humm ! Nico ! Je suis si heureuse que tu mappelles enfin. Si tu es libre cet après midi, je le suis aussi. Je tattends à quatorze heures, chez moi. »
« Oui, je peux venir, mais ce que jai à te dire ne regarde pas Christophe. Il ne serra pas là, jespère ? »
Elle raccroche sans un mot de plus.
Laetitia.
Quatorze heures.
Mon doigt qui se pose sur le bouton de la sonnette, tremble un peu. Pauvre idiot que je suis. Et ce bouquet de fleurs. Je le trouve inutile et ringard. Je le jetterais bien, mais il ma quand même couté la peau du cul.
La porte souvre.
« Haa ! Enfin, te voilà ! Merci pour les fleurs, il ne fallait pas. »
Je suis bien daccord.
Elle est
Elle porte un combi-short jaune, moulant et sans manche, fermé sur le devant par une série de bouton. Sa ligne fine est rehaussée par une ceinture argentée très basse et ses jambes sont habillées de cuissardes de cuir noir.
Rien quà la regarder, cette femme ferait bander un impuissant.
« Je vais chercher de leau pour les fleurs. Entre, cest au fond du couloir. Jarrive, mets toi à laise. »
Je longe le couloir, regardant les photos accrochées au mur et jarrive dans un grand salon, garni de deux grands canapés de cuir blanc et dun fauteuil assorti.
Mais quelle nest pas ma surprise dy trouver Christophe, installé confortablement, un verre à la main.
« Tiens ! Nico ! ca vas ? Vous allez bien ? »
Je nai jamais compris pourquoi ce mec me vouvoyait.
« Salut Christophe ! bien, merci. »
Laetitia revient avec mes fleurs dans un gros vase et les pose sur le buffet. Puis sadressant à son mari :
« Ho ! Tu pourrais servir à boire ! Non ! »
Lintonation est sèche, autant que celle de son père quand il sadressait à Fleurine.
« Assis toi Nico ! Alors quoi de neuf ? »
Christophe nous apporte des verres et nous discutons de choses et dautre. Enfin
moi et Laetitia, car son mari est retourné se caler dans son fauteuil comme un malheureux et ne dit pas un mot.
Je suis très mal à laise et en glisse deux mots à Laetitia.
« Heu ! Il ne trinque pas avec nous ? »
« Pourquoi faire ? Il est inintéressant et cest un con ! Il est très bien dans son fauteuil ! »
« Houlà ! Il a fait une connerie ? »
« Devine ? Le jour de notre mariage, je lai surpris à danser avec ma sur. Ce salaud se frottait la panse contre elle. Il bandait comme un cheval ! »
Intérieurement, je me pose la question de savoir qui se frottait à lautre. Pas sur que ce soit ce pauvre garçon.
« Tu veux dire que tu lui fait la gueule depuis votre mariage ? »
« Presque, oui. Tiens, regarde. Ho ! Branleur ! Tu pourrais mettre de la musique, non ? »
Il bondit du fauteuil et saute sur une pile de cd.
« Tu crois pas que tu es un peu sévère, là ? Jen reviens pas quil ne dise rien. »
« Dire quoi ? Il la ramène et je le quitte ! Cest pas plus compliqué que ca ! Et tu ne sais pas tout. Il lui est interdit de me toucher et encore moins de me baiser. Sauf quand je suis pleine ! »
« Pleine ? »
« Ben oui ! Pleine ! Remplie ! Souillée ! Quand je viens de me faire troncher, quoi ! »
« Attends
tu es en train de me dire que tu prends des amants pour que ton mari est le droit de te faire lamour ? »
« Non ! Je prends des amants parce que jaime ca ! Lui ne sert quà me finir, à prolonger mon plaisir. Ses états dâme, je men branle ! Et puis le rabaisser
Hummm ! Cest super bon !»
Jai vraiment limpression de voir Serge. Elle est presque aussi autoritaire, sans cur et aussi vulgaire.
La musique démarre.
« Viens danser ! Cest un slow.»
Elle me tire par le bras et se pend à mon cou. Moi, très mal à laise, je nose pas bouger et laisse mes bras ballant.
Elle me regarde étonnée puis elle prend mes mains quelle pose sur ses hanches avant de se rependre à mon cou.
« Tu sais plus danser ou quoi ? »
« Je ferais peut être mieux de partir. »
« Dans tes rêves mon chéri ! »
Elle se plaque à moi, enfonce ses doigts dans mes cheveux et se jette sur ma bouche.
Inutile dessayer de résister à cette furie. Je me rends à son baiser.
Sa poitrine est écrasée contre mon torse. Elle se déhanche pour frotter son bas ventre au mien.
Mes mains glissent vers son cul. Je le pelote à pleine mains puis je viens attr le bas du short. Je le tire violemment vers le haut. Il se déchire sur les cotés et libère ses fesses. Je les agrippe et les presse avec force, à lui en faire lâcher un cri de douleur.
Elle me regarde étonnée par cette brutalité gratuite et inattendue.
« Ça tamuse dêtre cruelle, hein ? Putain ! Je vais te montrer ce que cest que la cruauté ! »
Je saisi à pleine main le col de son combi et tire de toute mes forces.
Les boutons volent aux quatre coins de la pièce. Sa ceinture ne me résistera pas non plus et je la brise avant de la jeter sur la table basse.
Vexée, je la vois rougir et ses yeux sembrumer.
« Arrête ! Quest ce qui te prend ! Tu me fais mal ! »
« Oui ! Et ce nest que le début, salope ! »
Je fini darracher le short et je la pousse violemment sur le canapé. Effrayée, elle met ses mains en croix devant son visage.
« Tu crois que ca vas marrêter, hein ? Sale chienne ! »
Je me rue sur elle et loblige à se mettre à genoux, cul vers moi.
Je déchire les derniers lambeaux de tissu et arrache son string.
La voilà nue, à ma merci.
Jappuis sur son dos pour la faire se cambrer. Ça a pour effet de rehausser ses orifices.
Pour donner de la force à ma pénétration, jatt ses cheveux et les tire lobligeant à lever la tête.
Je fais tomber mon pantalon et mon caleçon, libérant ma verge déjà dressée, excitée par la soumission que jafflige à Laetitia.
Mon gland se pose sur sa pastille brune.
Jassène une énorme claque sur son cuissot et la pénètre violemment, dun coup.
Je lui arrache des cris de douleur. Magnifique musique pour accompagner mes coups de butoir, loin dans son fondement.
Je tire si fort sur ses cheveux, sa tête est tellement en arrière, quelle ne peut presque plus fermer la bouche et des filets de salive coulent aux commissures de ses lèvres et viennent se répandre sur ses mains.
Elle ne crie plus. Elle ne pousse plus que des râles. Je serrais incapable de dire si cest de plaisir ou non.
Encore deux trois va et vient rapides et puissant, une claque de plus et jexplose en elle, au fond de ses entrailles.
Je reste en elle un instant. Elle plonge sa tête dans les coussins. Je crois bien quelle pleure.
Mais je nen ai pas fini avec elle.
Je mextirpe de son cul ravagé et jappelle Christophe.
« Non ! Nico ! Ne fais pas ca, salaud ! Christophe, reste ou tes, connard ! Christophe, putain ! Merde ! »
« Viens là mon ami. Regarde sa chatte est toute propre et elle est pour toi. »
Je massois près de Laetitia et je lui maintiens la tête pour quelle reste en levrette.
Le pauvre Christophe nest pas très à laise, mais lenvie lemporte.
Malgré les cris de protestations de sa mégère attitrée, il défait sa braguette pour libérer son membre.
Pour la première fois depuis leur mariage, il la pénètre propre de toute souillure.
Elle est folle de rage et jure à tour de bras.
« Claque lui le cul, ca vas la calmer ! »
Je naurais peut être pas du lui donner cette idée.
Les claques pleuvent sur ses fesses sans discontinuer. Et soudain il pette un câble.
« Je te baise salope, je te baise ! Et maintenant cest moi qui déciderai. Je te ferais bouffer de la bite quand je voudrais et autant que je le voudrais ! »
Bien quil soit encore sur la réserve, je le sens décidé à prendre le pouvoir sur sa femme. Qui vivra, verra.
Il décharge dans un cri de soulagement. Il la pousse violemment pour quelle sécroule sur le canapé et lui plante sa queue dans la bouche.
« Tiens, salope ! Suce et nettoie ton nouveau maitre, putain ! »
Je lui fais un clin dil complice et je me rhabille.
Je laisse ce gentil petit couple reprendre le cours de leur vie et je méclipse.
Épilogue.
Une famille sans histoire.
Voilà six mois que je me suis installé chez et avec Véronique. Elle a reprit gout à la vie.
Les hommes ne se retournent plus sur ses formes, mais sur ses courbes. Elle est de nouveau une femme sexy et désirable. Jen suis très fier.
Le week-end, les filles viennent souvent nous voir et dorment à la maison.
Christophe ma gentiment demandé dengrosser de nouveau Laetitia. Ce que jai fait avec plaisir.
Il a bien reprit le contrôle. Elle est désormais soumise et obéissante à ses moindres caprices.
Il nest pas rare que nous la besognions ensemble.
Ces nuits là, Floriane se glisse dans la chambre de Fleurine. Elles sentendent bien et je ne serais pas étonné quelles fassent autre chose que de dormir dans le même lit.
Je me suis beaucoup rapproché de Floriane. Je suis désormais bien plus quun père pour elle. Je suis son épaule, son oreille. Nous nous disons presque tout.
Pas rare non plus que je passe une partie de la nuit avec Fleurine. Et là, Floriane soccupe de son demi-frère et cousin, César. Et oui ! Cest mon petit empereur.
Et Véronique dans tout ca ? Elle accepte mes escapades de fin de semaine, pour, dit telle, préserver lunité et le bien être de sa petite famille, mais à la condition express que je sois dans son lit au matin.
Voilà ! Tout est bien qui finit bien.
Ha oui ! Jallais oublier !
Ma fille Floriane est enceinte.
Vous ne croyez tout de même pas que cest moi ?
Jai appris par une indiscrétion de Fleurine, que Christophe ne serrait pas étranger à laffaire.
Promis, je ne tenterais pas laventure dun arbre généalogique.
Vous êtes arrivez jusquici ?
Vous êtes mes héros ! Bravo !
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