L'Aide À Domicile

L'aide à domicile.

Je vais vous raconter mon dépucelage et apprentissage.
J'avais 17 ans quand Allan m'a fait découvrir les joies du sexe. C'était au mois d'aout, ma tante m'avait trouvé un boulot en tant qu'aide à domicile. Mon premier patron fut un homme d'une quarantaine d'années, plâtré au bras et à la jambe suite à un accident de moto. Je devais lui faire la toilette, le ménage, les courses et le repas pendant un mois, trois heures tous les matins. Cela me suffisait largement, comme ça j'avais mes après midi de libre.
Le premier matin, je vais chez Allan, sonne à la porte et là un homme me dit d'entrer. Il était en train de déjeuner. Brun, les yeux bleus, assez musclés.

- Bonjour, je suis l'aide à domicile, je m'appelle Marion.
- Bonjour, moi c'est monsieur dulins, mais appellez moi Allan.
- Ok, donc, je commence par quoi, on m'a dit que je devais vous faire la toilette, vous voulez que je commence par ça ou autre chose.
- On va commencer par la toilette, si ça ne vous gène pas.
- C'est la première fois que je le fais, mais ça ne doit pas être trop dur !

Et là Allan eut un sourire de pervers :

- Ca dépend comment vous vous y prenez !

J'avais tout de suite compris le sous-entendu, je me suis mis à rougir et je lui ai demandé où est la salle de bain pour reprendre un peu mes esprits. Je commençais à appréhender la toilette. Il me suivit et commença à se déshabiller.

- Je vais prendre une douche, vous allez m'entourer les plâtres de sacs plastiques et je vais m'asseoir sur la chaise qui est dans la douche, pour que vous puissiez me laver.

Je le regarde se dévêtir et je ne savais trop comment réagir. Je n'avais jamais vu d'homme à poil et encore moins leur faire la toilette. Une fois qu'il fût nu, je lui mis un sac au bras et ensuite à celui de la jambe. L'expérience se révéla plus osé, je me retrouvais accroupie devant lui, le visage devant sa queue.

Je trouvais son sexe énorme, gros et flasque. Pas beau à voir. Mais je ne pouvais en détacher mon regard. Allan s'en aperçût mais ne dit rien. Je fais couler l'eau, le mouille partout et ensuite je le savonne. Le haut nickel mais arrivé en bas, j'évite de faire le sexe.

- Il faut que tu me laves le sexe et que tu le décalottes, il ne va pas te manger, ne t'inquiète pas. Ce n'est surement pas la première fois que tu en vois une.
- Si je n'ai jamais touché à ça, je n'ai jamais eu l'occasion de ... enfin vous voyez ce que je veux dire.
- Je vais t'indiquer comment faire, tu la prends dans ta main et tu fais glisser la peau vers le ventre, voilà doucement et tu laves le gland. C'est aussi comme cela qu'on branle un homme pour qu'il soit en érection mais en faisant plusieurs vas et viens.
- Ah ok merci, je serais moins cruche maintenant pour vous laver le sexe.

Je finis la toilette, l'habille. Ensuite je fais le ménage, je lui fais des courses pour la semaine, lui prépare le repas et rentre chez moi. Le soir dans mon lit, je repense à ce qu'il m'a dit. Je revois son sexe et cela me fais chaud dans le ventre. Je me demande si demain, je ne tenterais pas l'expérience de le faire bander. Après tout je peux toujours dire ne pas en avoir fais exprès, s’il me le reproche.
Le lendemain arrive même topo, je lui mets les sacs et commence la douche. Je mis du savon dans ma main et pris son sexe et j'ai fais comme il me l'a dit plusieurs vas et viens. Je sentais son sexe gonfler au fur et à mesure. Il devint tout dur et d'une taille assez impressionnante. Morte de honte, je finis de le laver et commence à le rincer mais Allan ne voyais pas cela du même œil.

- Dis donc tu as voulu me faire bander maintenant que tu as réussi il faudrait peut être finir ce que tu as commencé.
- De quoi vous parlez, j'en ai pas fait exprès. Je voulais que vous soyez propre.
- Ne fais pas l'innocente avec moi, j'en ai connu plus d'une. Tu vas continuer ce que tu as commencé et me faire jouir. Si je suis satisfait demain je t'apprendrais les choses de la vie.

Il prit ma main et entoura de mes doigts son sexe. Je ne voulais pas, mais je fis ce qu'il me dit. Je n'osais pas le regarder, j'ai levé les yeux vers lui et il me regardé avec gourmandise. Tout à coup, je l'entendis gémir et je sentis sa bite faire des soubresauts dans ma main, un truc chaud sortit de sa queue.

- Merci, tu m'as bien fait jouir, demain viens habillée en jupe et débardeur. Évite-les sous vêtements.
- Mais je ne peux pas, je viens en scoot.
- Tu n'es pas obligée de venir, mais si tu viens soit comme je te l'ai dit sinon je te vire, ok ?
- Oui, d'accord !

Le lendemain je fais comme il me dit, j'avais un peu les boules mais d'un sens j'étais excité après ce que j'avais vu.

Il était allongé dans son lit. Nu, il se branlait tranquillement. Les volets étaient fermé, il y avait juste une petite lampe d'allumé.

- Tu vas faire ce que je te dis. Tu ne parles pas, tu vas te dévêtir lentement, ensuite tu te toucheras tout le corps en insistant sur les seins et la chatte. Vas y commence sans dire un mot.

J'enlève mon débardeur, ensuite ma jupe. Je me caresse d'abord le cou, les épaules, je descend vers les seins, mes tétons sont déjà durs, je les pince et les frotte contre ma paume. Allan lui se branle toujours. Ensuite ma main descend vers mon ventre, j'entrouvre les cuisses et passe ma main sur ma vulve. Un liquide chaud en sort. Je touche mon clito qui est sorti, je ne peux pas gémir, je ferme la bouche et me mordille la langue. Un de mes doigts rentre dans ma grotte, je ne tiens plus sur mes jambes. C'est super excitant de voir quelqu'un vous mater pendant la masturbation. Je le vois lui aussi prêt d'exploser.

- Approche-toi, tu ne dis toujours rien. Tu vois ma queue tu vas la sucer comme si que c'était une glace. Je veux sentir ta langue, tes lèvres mais pas tes dents, ok. Et tu avaleras quand il faudra sans un mot.

Je me mets sur le lit et prit ça bien en bouche. Enfin j'essaye de la prendre. Je suce le gland tout rouge. Ce n'est pas mauvais, il mouille lui aussi. J'enfonce un peu plus profondément sa bite dans ma bouche, je ne peux pas le mettre entièrement sinon j'ais. Je le lèche tout le long. Je mange ses couilles, Allan gémit, je suis contente de lui faire plaisir.

- Tourne-toi, met ta chatte au niveau de ma tête, on va se faire un 69.

Je ne ressentis plus les mêmes sensations, ma chatte était en feu sous les coups de langues. Mon clito aspirait par ses lèvres. Il rentrait son doigt dans mon con et moi qui avait toujours sa bite dans la bouche, ne pensait qu'à une chose, hurler mon plaisir.

- Tu es bonne, ton petit abricot est délicieux, humm je le mange avec délice.

Et c'est ce qu'il faisait, je me faisais bouffait la chatte. Ses lèvres me tétaient le bourgeon, sa langue fouillait ma fente. Je ne savais plus où j'étais. Moi qui aspirais de plus en plus son braquemart. Sans me douter que d'un seul coup, un jet puissant de foutre m'inonda la gorge, j'eus un orgasme au même moment.

- Tu es superbe, j'ai adoré, je vais te baiser maintenant mais c'est toi qui vas me grimper. Et tu peux parler maintenant. Je veux t'entendre jouir comme une chienne.
Allez grimpe sur mon chibre.
- Vas y doucement sil te plait, je suis vierge, j'ai peur.
- T'inquiète tu auras mal au début mais après ce n'est que du bonheur. Viens sur moi, voilà. Caresse avec ta chatte ma bite. Laisse-les faire connaissance pendant que je te lèche les mamelons. HUUMM même tes seins sont magnifiques.

Je fis comme il me dit et frotte mon vagin sur son sexe. C'est bon. Mon bouton est caressé par sa bite. J'ai des frissons partout. Allan me relève un peu et je prends sa bite pour la mener vers ma fente.

- Descend tout doucement, on a le temps. C'est toi qui donne le rythme.
- Je ne sais pas si elle va rentrer tu es trop gros.
- Mais oui je vais rentrer et même ressortir, allez n'ai pas peur et ne t'arrête pas si tu as mal. Il faut aller jusqu'au bout.

Sa grosse bite m'écarta les lèvres, je l'enfonçais progressivement dans mes entrailles. Je me sentais écartelée. Sa bite buta contre mon hymen et là sans prévenir Allan décolla ses fesses du lit et s'enfonça complètement en moi. La douleur était horrible. Je ne bougeais plus. Mon petit trou était tout écartelé. Il se mit à remuer les hanches.

- Allez fait pareils que moi. Tu vois c'est ça vas y monde, descend, dans quelques secondes tu n'auras plus mal.

Et c'était vrai. Je me déhanchais tout doucement sur lui. Je sentais le plaisir arriver doucement.

- Tu es si étroite que je ne vais pas tarder à éjaculer. Tu es bonne, parfaite. Je vais bientôt t'enculer. Si ta chatte est étroite je n'imagine même pas ton petit trou du cul. Allez vas y, petite salope, je vais te défoncer.
- OHH c'est bon, je n'ai plus mal. Ta grosse bite me démonte ma chatte. OHHH je vais jouir, c'est bon, oui.

Je me déchainais sur lui. Je ne savais pas trop ce que c'était le plaisir mais là je me rattrapais. Un orgasme m'emporta, mon corps frissonnas de partout ma vulve serrait par à coups la bite d'Allan. Lui aussi jouissait. Avec sa main, il me serrait la hanche à m'en faire mal. Quand on fut calmé, je m'allongeais à coté de lui.

- Demain la même. Tu iras acheter du lubrifiant en pharmacie. Je vais t'initier à la sodomie. On va bien s'amuser tous les deux…