Na Leslie Tr 45

Leslie à Paris – P45 – Mes 24 ans, Stéphanie.

Laure et Caroline viennent de partir et nous nous retrouvons seules avec Stéphanie, le temps de boire un autre café et Stéphanie me dit :
- Leslie, je peux te poser une question,
- Oui bien sur Stéphanie, dis-je.
- Laure et Caroline sont tes amantes,
- Oui, avec Laure nous vivons ensemble et elle est mon amante féminine et Caroline est mon amante aussi mais elle ne vit pas avec nous.
Stéphanie se lève et me dit :
- Bon je vais prendre ma douche, tu veux la prendre avec moi ?
La question me surprend, mais Stéphanie m’a posée cette question naturellement et ajoute :
- Moi cela me ferait plaisir nous sommes seules alors pour se priver.
- Tu sais, lui dis-je, je ne suis peut-être pas tout à fait comme tu te l’imagine.
- Je ne m’imagine rien, me réponds t’elle, et puis je peux te renvoyer cette réflexion.
- Pourquoi pas, dis-je.
- Tu sais, rajoute Stéphanie, je ne fais pas cette proposition à toutes les filles que je rencontre mais c’est juste parce que tu me plais et que je te trouve jolie.
Puis elle s’en va vers la salle de bains sans attendre une nouvelle réponse de ma part et sans me proposer de la suivre, j’attends un instant le temps de terminer ma tasse de café et me dirige à mon tour vers la salle de bains dont Stéphanie à laissée la porte ouverte.
En arrivant vers la salle de bains je trouve Stéphanie de dos, elle a enlevée la robe de chambre, et se montre nue. Elle à un corps superbe avec des hanches bien marquées et une jolie cambrure, de jolies épaules cachées par sa chevelure brune qui descend à mi-dos, ses cheveux sont d’un noir de jais qui vont bien avec sa peau ambrée de sud-américaine, les jambes sont fines et bien dessinées au niveau du mollet, à cet instant je me dis que j’ai hâte de voir Stéphanie de face.
Mais Stéphanie me voit arriver dans le reflet de la glace et ne bouge pas, attendant que je m’approche d’elle et que je la découvre, je suis toujours enveloppée de mon peignoir qui s’est légèrement ouvert en haut laissant apparaitre ma poitrine.

Stéphanie m’observe et pose les yeux su mes seins à moitié découverts en me disant :
- Tes seins sont superbes et ta poitrine est très attirante.
Je suis de plus en plus troublée en rentrant maintenant dans la salle de bains, je suis maintenant tout près de Stéphanie et il suffirait que je tende la main pour enfin la toucher.
- Tu ne te mets pas nue ? me demande-t-elle.
- C’est que je prends mon temps, lui dis-je.
Je sens que c’est le moment de laisser tomber le peignoir à mes pieds et de montrer mon sexe à Stéphanie, je me demande comment elle va accepter que je ne sois pas une fille comme elle.
J’ouvre de mes mains complètement mon peignoir et le laisse tomber à mes pieds et reste ainsi immobile attendant la réaction de Stéphanie. Alors me regardant dans la glace elle me dit de sa voix douce :
- Tu hésitais à me montrer que tu es une transexuelle ?
- Comment, tu savais que je suis une transexuelle, demandai-je à Steph.
- Bien sur que je le savais, Caroline me l’a dit, n’oublies pas que c’est mon amie.
- Et alors.
- Alors, glisses toi sous la douche.
Je me glisse sous la douche un peu surprise que Stéphanie ne soit pas si surprise, mais parfois la vie nous réserve bien des surprises, et j’en ai une lorsque Stéphanie se retourne vers moi et que je m’aperçois qu’elle aussi est transexuelle.

Son corps est superbe, sa poitrine arrogante à l’air ferme, un ventre plat qui doit être doux au toucher et un sexe qui au repos est large et d’une longueur fort honorable, ce qui me fait aussitôt frémir d’envie.
- Je te plais, me demande Stéphanie en rentrant sous la douche.
- Oui, dis-je en lui prenant la bouche de mes lèvres pour un baiser qui réveille nos sexes, nous prenons notre douche en nous caressant et en nous embrasant à pleine bouche, si bien qu’en sortant nous sommes toutes les deux excitées et bandons comme des folles.
Le sexe de Stéphanie est maintenant de belle dimensions et le désir d’être dans ses bras me fait déjà frémir, alors je lui dis :
- J’aime ton sexe que je trouve beau.

- Le tiens n’est pas mal non plus, dit t’elle.
Elle prend mon sexe d’une main et me tire vers la chambre, nous nous allongeons sur le lit et commençons à nous caresser, mais très vite c’est en 69 que nous nous retrouvons la bouche remplie du membre de l’autre.
Nous nous suçons mutuellement essayant de procurer à maximum de plaisir à l’autre, je sui au dessus de Stéphanie et elle trouve sans problème ma rondelle offerte à son désir. Un doigt inquisiteur rentre en moi et me visite le conduit, Stéphanie me dit alors :
- Tu sais Leslie je suis très active, je ne déteste me faire sodomiser mais j’ai eue de mauvaises expériences ces derniers temps alors il me faudra le temps que je m’habitue à toi avant de m’offrir.
- Je suis à toi quand tu le veux.
- Oui je le sens mais je voulais que tu saches que cette relation ne sera pas réciproque au début.
- Cela ne me déranges pas je veux être à toi pour le moment et cela me suffit.
Je me redresse et m’allonge sur le lit les cuisses grandes ouvertes et Stéphanie se met à genoux sur le lit, son sexe dressé est près à investir mes reins, Stéphanie d’une main le caresse en se branlant doucement en me disant :
- J’aime l’amour et être heureuse dans les bras de mes compagnes ou des hommes.
- Tu n’as pas été heureuse ces derniers temps.
- Non les hommes ont profités de moi et je me sens fermée maintenant
Nous sommes là sur le lit toutes les deux, nues et pleines de désirs conversant sur le passé de Stéphanie, mais l’instant est important et j’écoute Stéphanie avec attention.
Tu vois, continue t’elle, je sens que je vais bien m’entendre avec toi et en plus tu me plais terriblement.
Il est vrai que je fais de l’effet à Stéphanie car son sexe n’a pas débandé et reste toujours dressé près à l’action.
- Arrêtes alors et pensons qu’à cet instant.
- Alors offres toi ma chérie.
Je me redresse sur mes mains pour me retrouver à quatre pattes en levrette devant elle, en lui offrant mes reins la tête dans l’oreiller, je me cambre au maximum en attendant la visite de son sexe en moi, le désir est fort et j’attends l’assaut avec fébrilité.

Stéphanie prend un instant pour équiper son sexe d’un anneau de sexe qu’elle passe sur son sexe et emprisonnant ses bourses.
- Ainsi, me dit-elle je resterais plus longtemps en toi, ma chérie.
Stéphanie se rapproche et se positionne au mieux derrière moi, je sens son sexe caressé du bout du gland mon anneau, le sexe de Stéphanie caresse en rond mon œillet impatient, puis le gland s’immobilise au cœur de mon anus et je ressens une légère pression sur mon anneau. Mes chairs s’entrouvrent légèrement comme pour laisser le passage au membre de Stéphanie.
A la deuxième pression je sens mon anneau céder le gland de Stéphanie passe la barrière de mon muscle anal, Stéphanie est en moi et je ressens un immense bonheur d’accueillir en moi mon amante. Stéphanie reste immobile juste le temps que nous nous habituions l’une à l’autre, le temps pour moi de me détendre avant l’assaut final qui va me remplir, le temps pour elle d’apprécier mon intimité et de sentir mes chairs autour de son beau sexe bandé.
Dans un souffle elle me dit :
- Tu me serres bien.
- Tu me distends comme une folle, lui di-je.
Je resserre mon muscle comme pour lui faire sentir que j’adore cette position, je suis à sa merci complètement offerte, elle est en moi et je sens son sexe vibrer en moi, l’assaut ne va pas tarder et je me détends au maximum pour apprécier ce moment.
Stéphanie pose ses mains sur mes hanches et s’agrippe à elles, Puis en me tirant vers elle des deux mains elle donne un coup de reins et s’enfonce en moi entièrement. Stéphanie m’empale sur son membre d’un seul trait me faisant gémir de plaisir, complètement enfoncée dans mes entrailles elle se penche sur moi pour m’embrasser le creux des épaules, je frémis et me distends encore plus tandis que Stéphanie progresse encore un peu plus en moi.
Je suis épinglée tel un papillon, épinglée par le cul par ma belle amante qui commence à me ramoner l’anus, je sens son sexe en moi me distendre et les larmes montent dans mes yeux, c’est un pur moment de bonheur.

Stéphanie sait y faire alternant la douceur et la rudesse des assauts, je ne sais plus où j’en suis tellement le plaisir qui monte en moi est puissant et m’emporte. Je perds conscience un instant tandis que les assauts se font de plus en plus vite et puissant.
Le temps passe mais je n’ai plus de la notion de ce temps trop occupée par la jouissance qui m’emporte et me fait hurler. Je ne suis plus que plaisir et Stéphanie commence à gémir en se retenant au maximum afin de jouir le plus tard possible.
Puis je sens son sexe gonflé tressaillir dans mes chairs et une chaleur envahit mes entrailles, Stéphanie vient de jouir en moi remplissant de son liquide chaud mon boyau accueillant.
Stéphanie s’écroule sur moi et je reste embrochée par son membre qui rentre au plus profond de moi.
Les lèvres de Stéphanie sont collées à mon oreille et dans un souffle je l’entends dire :
- Je t’aime.

A suivre……

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