Chapitre 27 : Première Relation Candauliste Avec Caroline.
A la fin du chapitre 26, vous vous souvenez, pendant un certain temps, Caroline, François et moi, formons un trio inséparable. Elle sexhibe tant et plus. François multiplie les prises de vue, se contentant à chaque fois de sa fellation, cest son tarif
Me concernant, je classe soigneusement les photos. Mais pas de triolisme.
Mais grâce à François, nous avons fait un large pas vers cette pratique.
Caroline à maintenant vraiment envie dun autre partenaire pour me faire plaisir, pour prendre simplement du plaisir lun et lautre.
Nous avons régulièrement au téléphone son « ex-amant » quelle a rencontré à lâge de vingt-cinq ans, et avec lequel elle a eu des relations lors de ses trois mariages précédents.
Cest des appels de courtoisie pour les anniversaires, les fêtes et les vux, mais depuis lappel du jour de notre mariage, il marrive de converser avec eux.
Pour moi, cest le partenaire idéal, mais Caroline éprouve des petites difficultés, elle lapprécie beaucoup, mais elle trouve toujours des prétextes pour ne pas aborder le sujet.
Elle est persuadée quil nappréciera pas une relation à trois.
Donc, voilà, Caroline est maintenant daccord, mais la question, est : « ou trouver » une personne qui va savoir draguer et séduire mon épouse et devenir un ami-amant.
Nous réfléchissons et regardons dans le cercle de nos proches et amis. Il y a beaucoup dadmirateurs de Caroline !!!
Mais comme pour « Gigibé » lex-amant, cela ne convient pas à Caroline.
Une fois épuisées les relations proches, personnellement jai un faible pour les contacts par Internet. Cela permet dabord une approche pour cerner lindividu et surtout démarrer la séduction qui est une étape essentielle du plaisir Cela ne débouche pas toujours sur une relation charnelle mais il y a souvent lémotion, lexcitation de la découverte et des échanges.
Au bout de quelques temps, ny tenant plus, je décide de passer une annonce validée par Caroline.
Les réponses ne se font pas attendre. Dans la journée, de très nombreux adhérents me proposent leurs services. Il y a un peu de tout mais une chose est certaine, Caroline ne laisse pas indifférent et nombreux sont ceux, preuves à lappui, qui avouent se masturber en regardant Caroline.
Ces photos de sexes en érection devant les photos de ma femme me confirment par lexcitation quelles me procurent que jai vraiment envie de loffrir comme Marie et que mon orientation sexuelle est bien le candaulisme.
Mais comment concrétiser, il nous faut trouver le bon partenaire, qui doit plaire à Caroline mais aussi à moi.
Caroline prend les choses en main, elle sélectionne, élimine, puis commence les échanges, elle apprécie les « bons mots » les phrases bien construites, elle passe beaucoup de temps, à sélectionner le « bon » candidat, mais une personne revient souvent dans nos conversations, un certain Jean-Paul, un peu plus âgé que nous, qui habite à une vingtaine de kilomètres de notre domicile.
Ils échangent beaucoup afin de bien cerner la personne, il est bi actif, enfin une petite expérience avec un autre homme, il y a quelques années.
Elle a semble-t-il, trouvé loiseau rare.
Elle me propose alors une rencontre afin de voir et découvrir quel amant jallais « lui offrir ».
Il sappelle Jean-Paul, il a cinquante-deux ans, nous en avons quarante-neuf et cinquante. Il semble présenter toutes les « garanties », en termes de gentillesse, de savoir vivre et déducation pour me permettre de lui offrir Caroline.
Nous pensons donc avoir trouvé lamant idéal.
Maintenant que nous avons validé sa candidature, Jean-Paul propose très rapidement de nous rencontrer dans un café le soir même
Personnellement, je trouve cela un peu rapide, mais Caroline est pressée et excitée et donc nous acceptons de le rencontrer.
Je ne sais comment lexpliquer, car depuis que jattends ce moment, je ne devrais pas être stressé comme je le suis ce soir-là.
Quand nous arrivons dans ce café, jai une énorme surprise, notre candidat Jean-Paul est une connaissance professionnelle éloignée, cest le président de la Chambre de commerce locale, et patron dune très grosse entreprise de BTP, ils nous arrivent dêtre en réunion ensemble
Cela me gêne beaucoup, mais Jean-Paul se montre très agréable, séducteur et très attiré par la beauté de Caroline.
Caroline semble également satisfaite, très détendue et je sens quen elle, chemine lidée de finir un jour dans son lit.
Puis, nous nous séparons en nous promettant de se revoir très bientôt.
En chemin, je demande à Caroline ce quelle pense de Jean-Paul et si elle est prête à franchir le pas. Elle massure quelle le trouve charmant et enfin, à force dinsister, elle lâche :
- Cest mon cadeau danniversaire !!!
Je lui fais part de ma gêne par rapport à Jean-Paul que je croise régulièrement en réunion, et que je crains de ne pas me libérer totalement.
Mais Caroline me fait comprendre, que nous pouvons tout arrêter définitivement.
Les jours passent, partagés entre excitation, attente et déception. Caroline fait lacquisition dune tenue très excitante pour loccasion. Je ne souhaite pas la voir, ce qui renforce encore mon excitation.
Enfin, trois semaines après notre première rencontre, Jean-Paul nous convie dans un restaurant très chic.
Caroline passe un long moment dans la salle de bains à se préparer, à se pomponner et à shabiller. Quand enfin, elle sort, ce fut une belle surprise. En tailleur, jupe chemisier, les jambes gainées de nylon, ses hauts talons la font cambrer et offrir ainsi sa belle poitrine, elle fait très bourgeoise bcbg, très Sharon avec sa coiffure. Elle est merveilleuse.
Nous arrivons au restaurant, je vois aussi à son regard, que Jean-Paul est lui aussi sous le charme.
Le repas est un délice, aussi bien par sa qualité, que par cette sorte dexcitation interne qui bouillonne en chacun de nous.
Nous parlons de choses et dautres, sans rien évoquer de la suite de la soirée.
A la fin du repas, Jean-Paul nous propose de finir la soirée dans une discothèque très chic : le DjinsClub.
Nous continuons de parler de la pluie et du beau temps en savourant quelques coupes de champagne.
Enfin, Jean-Paul me demande sil peut inviter Caroline à danser.
Je les regarde, Caroline est magnifique, mais le type de musiques proposées nincite pas à une « drague » en règle.
Enfin, les stroboscopes et les flashs séteignent pour faire place à une petite lumière douce.
Ils sont restés sur la piste et enchainent donc aussitôt la série de slows.
A chaque nouveau morceau, il me semble quils collent un peu plus, mais la faible lumière et la présence des danseurs mempêchent de bien voir.
Elle a les bras autour de son cou et lui, la plaque fermement contre lui, collant ses seins contre sa poitrine et plaquant son ventre contre le sien.
Il lui murmure des mots à loreille et quand ils se rapprochent de moi, il lembrasse sur la bouche.
Ma frustration est grande car au même moment, un couple passe entre nous et je ne peux bien voir.
Je le dis à Jean-Paul en riant
Et celui-ci, attire Caroline contre lui, lembrasse goulument debout devant moi.
Cela dure trente bonnes secondes et aux mouvements de leurs mâchoires, je vois bien que leurs langues se fouillent profondément la bouche. Caroline adore embrasser, cela lexcite au plus haut point.
Je suis hyper-excité et jai une érection monstrueuse, à tel point que je dois faire un tour aux toilettes pour me rafraichir.
A mon retour, assis sur la banquette, il continue de lembrasser avec fougue, lui caressant les seins et le ventre par-dessus sa jupe.
Connaissant ma Caroline, jimagine fort bien que ses tétons doivent être durs et dressés et son string abondamment mouillée.
La deuxième bouteille finie, il propose de terminer la soirée chez lui, car il habite à deux pas, et son épouse et ses s sont en vacances en famille.
Dans la rue, il la tient par la taille, et sarrête plusieurs fois pour lembrasser.
Arrivés chez lui, Caroline disparait immédiatement dans la salle de bains. Au bout dun moment, il la rejoint et ils restent un bon moment partis.
Je sirote une nouvelle coupe de champagne en commençant à me demander sil ne la baise pas dans la salle de bains, hors de ma vue.
Ils reviennent enfin en se serrant par la taille, il lembrasse à nouveau debout au milieu du salon, lui déclarant quil va lui faire lamour toute la nuit.
Il lui caresse les seins, glissant ses mains dans léchancrure de son chemisier et commence à la déshabiller.
Il fait dabord glisser sa jupe, dévoilant un superbe string mauve, qui met en valeur ses superbes fesses, et des bas Dim-up, soulignant ses magnifiques cuisses fuselées.
Je me régale à les regarder ainsi.
Il lui caresse le bas ventre, dabord sur le string, puis directement sur sa chatte.
Me montrant sa main toute humide, il me dit
- Regarde, Éric, comme elle a envie de baiser ta belle femme !!!
Cela, la fait rire et elle se colle encore plus contre lui et commence à lui caresser le sexe.
Quand il lui retire son chemisier, je crois que ses seins vont jaillir du soutien-gorge tellement ils sont gonflés.
Après un bon moment à sembrasser et se caresser mutuellement de façon de plus en plus appuyés, il lentraine vers sa chambre.
Un peu étourdi, jattends la suite des évènements.
Au bout dun moment, ny tenant plus, je me dirige doucement vers la chambre.
Ils sont debout, près du lit « conjugal » de Monsieur Jean-Paul, lui nu, Caroline en sous-vêtements, mais les seins sortis du soutien-gorge.
Ils sembrassent et se caressent toujours.
Elle prend son sexe à pleine main, le masturbant doucement, ne sarrêtant que pour lui caresser les couilles.
Lui de son côté a fait glisser le string et son index titille son clitoris, la faisant gémir et se tortiller.
Il finit par enlever soutien-gorge et string.
Elle se met à genoux devant lui pour prendre sa bite dans la bouche.
Elle est de dos et je ne vois pas grand-chose, ce quelle doit imaginer car elle fait un quart de tour afin de bien me montrer.
Elle met en uvre toute sa technique, avalant goulument la queue de son « amant », lui palpant et malaxant les couilles.
Parfois elle jette un coup dil vers la porte pour voir si je suis bien là, ce qui semble décupler son ardeur.
Jean-Paul lui maintient, parfois la tête, lobligeant ainsi à engloutir sa queue le plus loin possible, mais dautres fois, il la repousse, car sans doute au bord de léjaculation.
Je dois vous avouer que Caroline suce merveilleusement bien, même encore maintenant à soixante-trois ans, elle suce toujours divinement bien, elle aime la bite, les fellations
Il se décide de lallonger sur le lit.
Ses pointes de seins sont dressées.
Elle relève ses jambes, les prend dans ses mains afin de bien offrir sa chatte.
Cette position où Caroline soffre totalement décuple ma masturbation.
Je suis fier davoir une si belle épouse offerte à un presque inconnu, Jean-Paul est très excité.
Il écarte un peu plus ses grandes lèvres et y enfouit son visage.
Je vois nettement sa langue exciter le clito de ma propre épouse et rentrer le plus loin possible dans son vagin.
Sa chatte est toute luisante, dégoulinante de cyprine et de salive.
Il se redresse et approche sa queue.
Elle est très raide, le gland bien décalotté.
Il la pénètre en douceur, Caroline se cambre en gémissant offrant ses tétons quil mordille et suce avec avidité.
Il la ramone un bon moment, sortant et rentrant sa bite et provoquant des gémissements de plus en plus forts.
Jobserve toujours, cet homme est en train de baiser ma femme et cela mexcite.
Soudain, elle enserre ses cuisses autour de lui, ses muscles se contractent, en plein orgasme, elle hurle :
- Je jouie !!!
Jean-Paul est un sacré baiseur, et la queue toujours raide, il roule à côté delle en lui ordonnant :
- Viens tenfiler
Salope !!!
Caroline ne se fait pas prier et, prenant sa bite bien dure à pleine main, elle senfonce dessus en gémissant et commence à monter et descendre.
Dans cette position, elle est face à moi. Jai très envie de les rejoindre.
Je vois ses magnifiques seins se balancer au rythme de la « baise ».
Il essaie de lui mordiller les seins et quand il att un téton, il le mordille et le suce, ce qui la fait encore plus gémir.
Bouche ouverte, langue sur les lèvres, elle me regarde fixement, lair de dire :
- Regarde comme je me fais bien baiser
- Je coule de partout
- Ça te plait chéri, de voir ta petite femme se faire baiser ?
Parfois, il donne un bon coup de rein, ce qui la fait sauter en lair.
Elle se renfile en grognant et continue son manège.
Soudain, elle se met à gémir :
- Ça vient, ça vient, je vais encore jouir
Lui, lui dit :
- Vas-y, lâche toi, prends ton pieds, devant ton
- Tu aimes te faire baiser ? Ma salope !!!
Elle lui répond :
- Oh oui, tu me baises bien, jaime ta bite
Le reste se termine dans un cri et des soubresauts dun orgasme dune violence inouïe.
Je suis maintenant entièrement nu, à les observer, à me masturber, jattends une invitation à les rejoindre
Mais elle bascule sur le côté en se tortillant, sans soccuper de moi.
Queue toujours dressée, il latt :
- Met toi à genoux, salope, que je te baise plus profond et que je te fasse une surprise
Elle sexécute immédiatement offrant à notre vue son superbe cul.
Il lui écarte encore plus les fesses afin de bien dévoiler son intimité.
Il la lèche depuis le clitoris jusquà son anus, le titillant, le léchant avec avidité puis recommence.
Caroline, du coin de lil me regarde en gémissant.
Il la fait tourner un peu pour que je voie bien et, me faisant un clin dil, il crache sur sa rondelle et avec son majeur, il fait doucement pénétrer la salive dans son trou du cul.
Elle doit aimer, car elle écarte de plus en plus les cuisses, je pense quil prépare mon épouse pour que je puisse la sodomiser.
Mais se tournant vers moi, il me dit :
- Elle a lair daimer
Ta salope, je vais lui faire le cul
Il commence à rapprocher sa bite, mais à ma grande surprise, il lui met dans le vagin :
- Je vais te faire jouir pour que ton cul se dilate bien et je tencule ensuite
Je ne sais pas si cest lidée de se faire sodomiser ou les nouveaux coups de boutoirs quelle prend, mais elle jouit presque immédiatement.
Il se retire et entreprend directement de lui mettre deux doigts.
Cest dingue, comme ça rentre facilement, comme dans du beurre.
Il commente :
- Tu nes pas une pucelle du cul, tu te dilate bien ma salope, tu as dû en prendre de la bite dans le cul !!!
- Dis-nous que tu veux te faire enculer !!!
- Ooooh oui, je veux me faire enculer !!!
- Plus fort
Et devant mon cocu de mari !!!
- Oui, je veux me faire enculer devant mon gentil mari !!!
- Gentil mais cocu
Quand même !!!
Il crache dans son trou, la travaille avec ses doigts et enfin présente sa bite et enfonce doucement.
Elle laccompagne en se tortillant et en écartant ses fesses, elle est très expérimentée en matière de sodomie.
Enfin le gland passe, elle pousse un petit cri et la bite disparait en elle.
Expérimenté, lui aussi, il va doucement et sort de temps en temps pour la lubrifier en crachant et me montrer son trou béant, je dois avouer que jai très envie de la prendre, cest ma femme qui est là, offerte à un autre
A la force de la baiser, il doit être au bout, car il se retire brusquement, la retourne, glisse sa bite entre ses seins et en quelques secondes, il linonde de foutre.
Elle en a plein les seins et jusquau visage.
Métant masturbé déjà deux fois, je retourne dans la chambre que Jean-Paul nous a prêté.
Un peu plus tard, alors que je mendors, jentends Caroline et Jean-Paul prendre une douche ensemble.
Ils doivent encore se tripoter car jécoute ma femme glousser le plus silencieusement possible.
Enfin entièrement nue, elle me rejoint au lit.
Je ne peux mempêcher de la toucher.
Elle est toute fraiche, mais sa chatte est encore humide et surtout son cul est encore drôlement dilaté.
Je la complimente pour sa performance et lui déclare que je suis fier delle, et elle gentiment, soulevant le drap, elle prend ma queue bien gonflée dans sa bouche et se met à me pomper doucement.
Mais encore très excité, je ne tiens pas longtemps et je décharge presque immédiatement.
Elle ne se retire pas et avale goulument tout mon sperme qui sort.
Epuisé, je nai quune idée, dormir.
Aussi, je lui dis :
- Si tu en as envie Chérie, va le rejoindre, va encore te faire baiser !!!
- Tu es sûr, je peux rester, tu sais
- Mais non, vas le rejoindre, je sais que tu veux encore te faire baiser !!!
La nuit dans une sorte de sommeil conscient, jentends Caroline jouir plusieurs fois, avant de sombrer dans un sommeil profond.
Voilà, nous avons enfin basculé ensemble de belle manière dans le libertinage et le candaulisme.
Ce fut lunique relation avec Jean-Paul, pour différentes raisons, proximité, et peu disponible avec son épouse et son emploi du temps, et surtout parce quil souhaitait avoir Caroline pour lui tout seul.
Après cette relation, jai toujours le désir ardent de savoir ma femme aimée et désirée par un autre homme, mais ma position de mari, même « cocu » comme la déclaré Jean-Paul, doit faire part égale avec lamant.
Nous nous sommes régulièrement côtoyés professionnellement avec notre petit secret en commun.
Jean-Paul, ne manquant jamais de me dire discrètement que Caroline était une sacrée baiseuse, comme il nen avait jamais rencontré, quelle avait un corps de rêve, que cétait une femme sublime et quil était toujours disponible pour nous.
La seule différence, cest que nous ne sommes plus disponibles ayant les bons partenaires.
Mais après cette relation, je pense avoir ré-ouvert la boîte de pandore avec mon épouse, il me faut manuvrer finement, sans manipulation, avec amour, humour et une complicité sincère et bienveillante
Cest elle qui désire, cest elle qui consent
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