Coup Double


« Bonjour monsieur Durand. Vous avez demandé à me voir ? »
« Ha ! Oui, entrez Gabriel. »
Monsieur Durand est mon boss depuis près de vingt ans. Bon patron.
J’ai grimpé lentement dans la boite. Aujourd’hui, j’ai un bon poste, bien rémunéré. Tout pourrait aller bien, si dans ma vie privée ce n’était pas autant le bordel.
Stéphanie, ma fiancée, c’est barrée il y a trois semaines avec un type plus vieux de dix ans. Ca m’a foutu un coup. Depuis, au boulot, c’est plus vraiment ca et j’enchaine les conneries.
« J’ai appris pour votre amie. Je suis désolé, mais… »
« Je vais me reprendre monsieur Durand. Je vous le promets. Du reste je suis en vacances la semaine prochaine. Je vais pouvoir oublier tout ca et revenir en pleine forme. »
« Justement, c’est de vos vacances dont je veux vous entretenir. Dites-moi…où allez vous les passer ? »
« Chez moi, je pense. Je vais refaire les peintures, changer la déco, effacer les souvenirs. »
« Mouai ! J’ai peut être mieux à vous proposer. J’ai une villa au cap d’Agde. La personne qui me la garde à des soucis et doit s’absenter et pour ma part j’emmène ma femme et ma fille à Las Vegas. Un jardinier vient deux fois par semaine s’occuper du jardin. Il n’y a rien à faire. Votre seule préoccupation sera de vous détendre au bord de la piscine. Si vous êtes intéressé, vous partez ce soir. Et bien sur, vous toucherez une prime personnelle en plus de votre semaine de vacances supplémentaire. Qu’en dites-vous ? »

8h30.
J’ai dormi pendant tout le voyage.
Gilbert, le gardien de la villa, est là. Il m’attend pour m’y conduire et me donner quelques instructions avant de partir.
C’est un véritable petit paradis.
Pourquoi partir à l’autre bout du monde quand on a un palais tel que celui là ?
Le frigo est plein, l’eau de la piscine est bonne. Je pense avoir fais le bon choix.

Je suis rouillé et un peu courbaturé par ma séance de natation d’hier.

Alors aujourd’hui, repos.
Je m’enduis de crème et je m’allonge nu, dans un transat, avec des boissons fraiches à porté de main. Enfin, un bon farniente réparateur. Je m’endors.
« Encore une demi-heure et vous serrez à point ! »
Une voix de femme me réveille en sursaut. Je saute du transat et att une serviette pour cacher ma nudité.
« Hein !? Mais qu’est ce… ! Qui êtes vous ? »
« Christina, l’épouse de monsieur Durand. Rejoignez moi au salon, lorsque vous serrez…plus présentable. »
Elle me fait un sourire malicieux et disparait dans la maison.
Je tremble comme une feuille et je dois être rouge de honte. Nu devant la femme de mon patron. J’aurais préféré que se soit le jardinier.
Je saute dans mon short, passe un tee-shirt et je me rends au salon.
Elle est assise dans un grand canapé blanc et dépouille son courrier. Elle est couverte d’une sorte de grande robe de soie, très ample, imprimée de grosses fleurs. Elle est si légère que je devine, sans difficulté, une lourde poitrine libre de tout carcan.
Elle doit avoir une cinquantaine d’année qu’elle porte très bien. Brune aux cheveux longs, yeux claires, relativement grande, c’est une femme que je qualifierais de « sacré bon cheval ».
« Je suis confus. Vraiment. Vous ne deviez pas…enfin…je veux dire que je… »
Visiblement mon embarra l’amuse beaucoup.
« Laissez tomber. Il n’y a rien de grave. Asseyez-vous et respirez. Vous êtes si rouge que vous allez exploser. Et puis, finalement, c’était plutôt sympathique comme accueil. »
Je lui rends un sourire penaud et je me pose dans un fauteuil.
« Je pose ma valise, ici ! Elle est lourde ! Je la monterais tout à l’heure. Ho ! Pardon ! Je ne savais pas qu’il y avait du monde ? »
C’est une magnifique jeune fille à qui je ne donnerais pas vingt ans.
« C’est Gabriel. Ton père l’a prit comme gardien pour l’été. C’est bien ca ? »
« Oui, madame, c’est bien ca. »
« Je vous en prie.
Appelez-moi Christina. Je vous présente Valériane, notre fille. »
Elle est aussi blonde que sa mère est brune. Elle porte une robe de tennis blanche, ultra courte et très moulante qui met en valeur ses courbes et ses magnifiques jambes musclées.
Je me calme doucement et, après avoir monté les valises de ces dames et servi un verre de jus frais, nous nous installons pour faire plus ample connaissance et avoir des explications sur leurs présences ici.
« Comprenez mon étonnement, je vous croyais à l’autre bout de la planète. »
« C’est ce qui devait être, en effet. Mais quand j’ai appris que mon mari s’y rendait pour voir d’autres patrons et non se reposer, j’ai annulé notre voyage et il est parti seul. Nous serrons aussi bien ici. »
« Je comprend. Votre villa est splendide. Il est tard, je partirais en fin de matinée si ca ne vous dérange pas. »
« Partir ? Quel drôle d’idée ! Pas question ! Vous restez ici ! Je ne vais pas gâcher vos vacances pour la stupidité de votre patron. Gabriel, vous êtes ici chez vous ! »
Le lendemain matin, je me sens obligé de leurs préparer un bon petit déjeuner, au bord de la piscine. J’aurais bien aimé leurs apporter au lit, mais…
Christina descend la première. Je l’imagine nue, sous son peignon de satin. C’est vraiment une belle femme.
« Humm ! Merci Gabriel. C’est vraiment très gentil, mais ne vous sentez pas obligé, surtout. »
« Ce n’est rien. Ca me fais plaisir et c’est la moindre des choses. Vous êtes si gentille. »
Tandis que je sers le thé à Christina, j’entends un plongeon dans la piscine.
Je me retourne.
C’est valériane qui fait une longueur. Mais lorsqu’elle sort de l’eau…
« Valériane ! C’est indécent ! Monte immédiatement te changer.»
La petite est seins nus et vient s’installer à table, après s’être sommairement essuyée.
« Maman ! Vis avec ton temps ! Nous sommes à la mer et toutes les filles sont seins nus ! Pas vrais Gabriel ? »
Bien que gêné d’être pris à parti, je prends tout de même le temps de les regarder discrètement.
Ils sont superbes. Plutôt petits, surement très fermes et le droit est joliment décoré d’un beau grain de beauté.
« Ben ! Ne m’en voulez pas, mais votre mère a un peu raison. Nous ne sommes pas à la plage. »
Elle jette sa serviette sur la table et monte dans sa chambre en courant.
« Oups ! Je n’ai pas du me faire une amie, là ! »
« Ho ! Ne vous en faite pas. A dix huit ans, elle est encore un peu rebelle. A midi se sera oublié. J’en suis sur. »
La matinée se passe puis…
« Christina ? Vous pouvez passer à table si vous voulez. J’ai préparé une bonne salade Niçoise. Voulez vous que j’aille chercher votre fille ? Elle n’est pas redescendue depuis ce matin. »
« Pas question ! Laissez la bouder. »
Apres la sieste, toujours pas de Valériane.
« Gabriel ? Je descends en ville une heure ou deux. Il vous faut quelque chose ? »
« Non, merci. Je n’ai besoin de rien. »
Je l’accompagne jusqu'à la porte d’entrée. Je suis fasciné par sa beauté et je ne peux pas détacher mon regard. Rêveur, je la regarde traverser l’allée pour rejoindre sa voiture. Sa démarche est légère et gracieuse. Elle entre avec raffinement dans sa voiture et elle…
Je suis sorti de ma rêverie par la voix de Valériane derrière moi.
« Avouez ! Elle vous plait la garce ! Hein ? »
« Quoi ? Comment osez-vous parler de votre mère comme… »
Je me retourne, très en colère.
Elle est appuyée contre le mur, les mains dans le dos. Non contente d’être toujours seins nus, elle a également ôté le bas de son maillot de bain. Elle est devant moi dans le plus simple appareil et n’en semble nullement gênée.
« À quoi jouez vous, Valériane !? »
« Certes, nous ne sommes pas à la plage, mais nous sommes dans la ville du naturisme, non ? Ne soyez pas outré. »
Je ne peux m’empêcher de la regarder et de la détailler. Elle est superbement bien faite. Sportive, ca ne fait aucun doute. Ventre plat, légers abdominaux, jambes musclées que j’avais déjà remarqué à son arrivée.

Son sexe est bien fermé, comme un petit abricot et tout aussi lisse. Seul un petit trait blond soigneusement taillé, agrémente le haut de sa fente.
« Et puis à en juger par la bosse dans votre short, je ne vous laisse pas indifférente, non ? Je me trompe ? »
« C’est vous la garce ! Non votre mère ! »
Elle s’approche de moi, très près. Elle s’arrête à quelques millimètres. Je peux sentir sa respiration sur mon visage. Elle plaque ses deux mains sur le devant de mes cuisses, presque à toucher mon sexe. Celui ci gonfle encore, à m’en faire mal.
« Croyez-vous ? Comment appelez vous une mère qui se tape le petit ami de sa fille ? Une garce ! Non ? »
Je ne sais ni quoi faire, ni quoi dire. Putain ! Cette môme arrive à me tétaniser.
Elle monte ses mains jusqu’à mon ventre et les redescend doucement dans mon short.
Je ne porte pas de slip, ni de caleçon. Ses doigts frôlent mon sexe.
Elle approche sa bouche de la mienne. Nos lèvres se frôlent.
Excité, mais très perturbé, je n’ose toujours pas bouger.
Elle mordille ma lèvre inferieur, puis descend me donner un baiser dans le cou.
Elle laisse doucement son corps s’affaisser vers le sol et ses mains entrainent mon short, libérant mon membre déjà prêt à exploser devant tant de beauté et de douceur.
Elle tombe à genoux.
Sa langue glisse lentement de mon nombril à mes testicules, contournant soigneusement le sexe dressé. Elle les lèche, les gobe avec délicatesse, faisant monter la pression et la sève. Je caresse ses cheveux d’une douceur incomparable. Je suis aux anges.
Mais soudain elle se lève et part en courant dans les escaliers en riant et en criant.
« Alors ? C’est qui la garce ? La mère ou la fille ? Hihihi ! »
Si la mère est une garce, la fille est une belle petite salope de me planter là, short aux pieds, au milieu de l’entrée.
Je me jure de lui faire payer cette humiliation.
Le soir, le diner se fait dans le calme, outre bien sur une ultime provocation de Valériane à sa mère. Elle n’a rien trouvé de mieux que de descendre manger en col roulé. Nous en avons bien ri car finalement, c’est elle qui a chaud.
Ma nuit fut agitée. Impossible de trouver le sommeil. Toutes mes pensées étaient dirigées sur le petit jeu sadique de Valériane.
Je voyais encore ce petit corps fantastique, je sentais encore les effluves de son parfum, je ressentais encore l’immense émoi qui m’habita durant cet instant. Elle avait fait monter la pression, monter la sève. J’ai du me masturber pour me détendre et pouvoir enfin, dormir un peu.
Une belle journée s’annonce.
Je me suis promené en ville toute la matinée. Cet après midi, je ne bouge pas et j’ai promis à Christina de laver sa voiture.
Une fois fait, je fais un peu de zèle et contrôle les niveaux du véhicule. Il manque du liquide de refroidissement. Par cette chaleur, ca peut vite devenir une catastrophe. Je fouille le garage à la recherche du précieux liquide, en vain.
J’ai remarqué un petit cabanon un peut plus loin. Peut être y trouverais je mon bonheur.
J’en suis à quelques mètres seulement quand me parviennent de petits bruits. Des petits cris pour être plus précis.
Je m’approche doucement et jette un œil discret par une petite fenêtre.
Valériane est assise sur un établi, les jambes enroulées autour de la taille d’un vieux bonhomme sans âge, qui la bourre de toutes ses forces. Elle se tient un peu en arrière et je vois ses petits seins sautiller à chaque coup de butoir.
L’occasion d’une vengeance est trop belle. Je prends mon portable et commence à filmer la scène.
Le vieux jouit en elle. Elle saute ensuite de l’établi et s’agenouille pour nettoyer le vieillard.
Je ne m’éternise pas et file avant qu’ils ne sortent.
« Voilà, Christina ! Votre voiture est propre. Passez au garage pour prendre du liquide de refroidissement. Il en manque. »
« Merci Gabriel, vous êtes un ange. »
« Ben oui ! Tout le monde sait ca ! Haha ! »
Elle éclate de rire. Et soudain, Valériane surgit de derrière la maison en compagnie du vieil homme.
« Maman ! J’ai montré à monsieur Simon le gros massif à tailler. »
« C’est bien ma chérie. Gabriel, vous ne connaissez pas encore notre jardinier, je crois ? Monsieur Simon. »
Je lui serre la main et le détaille. Il est vraiment très laid et très vieux. Comment une belle jeune fille de dix huit ans, peut elle se laisser baiser par une telle horreur.
« Bonjour monsieur, enchanté. Il me semble bien vous avoir aperçu dans le coin. »
Valériane ricane bêtement.
« Ca, ca m’étonnerais. Monsieur Simon est très discret. N’est ce pas, monsieur Simon ? »
Elle s’accroche à son bras comme si c’était son grand père. Elle le serre fort et je vois son sein se presser contre le bras du vieillard. Puis, elle l’entraine à la cuisine pour lui offrir une boisson fraiche.
« Valériane adore cet homme. Faut dire qu’il est d’une telle gentillesse avec elle. »
« Oui, ca se sent. Je suis sur qu’il est très obligeant avec elle. »
Ca, j’en suis sur et certain. Pauvre Christina. Si elle savait.
La journée s’achève par une nouvelle effronterie de Valériane.
La nuit vient de tomber.
Elle descend de sa chambre fringuée comme …une pute. C’est un véritable appel au viol.
« J’me tire ! J’vais en boite avec des potes ! »
« Tu ne vas pas y aller habillée comme ca ? »
« J’vais me gêner ! »
« Rentre pas trop tard ! »
« Pffff ! Tu verras bien ! Saluttt ! »
Je collerais bien une baffe à cette petite saloperie. Christina semble très affligée par le comportement de sa fille. Elle en a complètement perdu le contrôle et sa môme en profite.




Il y a un endroit que j’adore dans le jardin de la villa. Un peu à l’écart de la piscine, il y a une petite terrasse, et une table ronde en marbre rose. Au fond, il y a une sorte de balustrade, de balcon en fer forgé. La villa étant en hauteur, il y a là un point de vue magnifique donnant directement sur la mer.
A la nuit tombée, on peut y voir les étoiles s’y refléter. C’est comme un décor de film romantique.
Appuyé à la balustrade, je repense à cette journée, aux dires de Valériane sur sa mère, à son comportement envers moi, à mon manque de réaction, à mon trouble incontrôlable.
« Vous aimez aussi ? J’adore cet endroit. J’y passe des heures. »
« Ho ! Christina ? Je ne vous ai pas entendu arriver. Oui, c’est très agréable. »
« J’ai eu une discussion avec ma fille. Elle m’a dit s’être empoignée avec vous hier après midi, lorsque j’étais en ville. »
Putain ! Quelle conne ! Qu’est ce qu’elle a bien pu encore inventé ?
« Empoigné ? C’est un bien grand mot, vraiment. Disons, un simple échange d’idées. Rien de plus. »
« Quel en était le sujet ?... Moi ? »
Je ne sais plus ou me mettre. Embarrassé, je tente de minimiser.
« Heuu ! Un sujet qui ne me regarde pas. C’est tout. »
Mais elle semble avoir besoin de parler et elle continue.
« Je viens d’avoir cinquante ans. A la naissance de Valériane, mon mari c’est senti investi d’une mission divine. Faire en sorte qu’elle ne manque de rien. Il c’est donné à fond dans son travail pour amasser une fortune. Mais il m’a oublié et délaissé. Pensez vous qu’une femme puisse rester tant d’années sans amour, sans sexe ? Ce gamin, je ne l’ai pas cherché. C’est lui qui est venu à moi. J’ai été faible, j’ai cru que… »
Elle est submergée par l’émotion et des larmes coulent sur ses joues.
« …Il m’a fait redevenir belle, jeune, désirable. J’y ai cru, pauvre idiote que je suis. Puis, il m’a dit que je ferais bien dans son tableau de chasse. Qu’une vieille… ca compte double.»
Sa peine est immense et me touche. Dans un geste de compassion, je la prends dans mes bras. Elle cache son chagrin en plongeant son visage dans mon cou.
« Je ne voulais pas qu’elle souffre. Ce n’était pas un garçon pour elle. Je ne voulais pas qu’elle aussi fasse partie du tableau de chasse, d’un gamin macho et pourri. Alors, je lui ai tout dis. »
Je la serre contre moi. Je voudrais être juste réconfortant, mais c’est plus fort que moi… je sens sa poitrine s’écraser contre mon torse. Ses cheveux sentent bon et j’y frotte ma joue. Mes mains caresse son dos doucement et je ne sens aucune bretelles de soutien gorge.
J’ai honte de penser plaisir, alors qu’elle souffre. Il faut que je lui parle.
« Vous avez fait ce qu’il fallait. Vous n’avez rien à vous reprocher. Quand à ce petit con, il ne vous a pas fais redevenir belle, jeune et désirable, car vous l’avez toujours été et vous l’êtes encore. Tant pis pour votre mari s’il est assez aveugle pour ne plus vous voir et ne plus vous désirer… »
Je perds le contrôle. Je passe ma main sous son tee-shirt et je caresse son dos à même la peau, tandis que mon autre main glisse dans ses cheveux, sur sa nuque et sur son crane. Je me colle fort à elle, avançant mon bassin pour coller mon membre contre et entre ses cuisses.
« …Moi, je vous vois ! Moi, je vous désire ! Moi, je vous veux ! Hoo ! Christinaaa ! »
Je tire un peu ses cheveux pour qu’elle lève la tête et sans attendre une réaction de sa part, je l’embrasse avec fougue.
Je la sens tout d’abord tendue, voir même rébarbative à mon baiser, mais très vite son corps se détend et ses mains glissent sur ma nuque.
Tout en m’embrassant, sans s’écarter une seconde de mes lèvres, elle me parle.
« Non, Gabriel ! Humm ! Nous allons faire une folie ! Mmmmmm ! Il ne faut pas ! Haa ! Embrassez-moi encore ! Mouiiii ! »
Je la fait reculer jusqu’à la petite table de marbre sans lâcher mon baiser. Lorsque ses fesses touchent la pierre, je libère sa lourde poitrine en soulevant son tee-shirt. D’instinct, elle se cambre et se penche en arrière en se maintenant de ses mains.
Ses seins appellent ma bouche. Je les prends à pleine mains et les malaxe avec amour. Les tétons dressés, roulent entre mes lèvres et sont agacés par la pointe de ma langue.
Lorsque je fais glisser mes baisers jusqu’à son ventre, je dénoue son paréo qui tombe au sol et je caresse ses cuisses. Elles sont fermes, chaudes.
Mon visage est enfin face à son entre jambe. D’un doigt, j’écarte son string. Une touffe brune, lisse et soyeuse cache sa grotte. Les grandes lèvres, un peu détendues, ont bien du mal à cacher un beau clito volumineux ainsi que la cyprine qui l’inonde déjà.
Je fais glisser deux doigts dans la fente.
Je la pénètre sans problème. Sa mouille est grasse et abondante. Son clito appel mes lèvres. Je m’avance et aspire le bouton rose. Je suis surpris par l’odeur plus forte, par le gout plus agressif que ceux des jeunes femmes que j’ai aimé jusqu’ici, mais je me sens enivré de la même façon.
Ma langue remplace mes doigts et je m’applique à faire jouir cette femme mure du mieux que je le peux.
« Ho ! Gabriel ! Vous me rendez folle ! Ouiiii ! Prenez-moi ! Je vous en supplie, prenez moi ! Hummm ! »
Je me redresse et fait tomber mon short pour libérer mon dard qui vient se placer directement entre les cuisses de la belle dame.
Elle se couche sur la table et monte haut ses jambes. J’att ses chevilles et je la pénètre lentement. Elle pousse une longue plainte de plaisir.
Ses yeux sont fermés et ses mains crispées cramponnent le bord de la table.
« Ouii ! Baisez-moi plus fort ! Plus fort ! Ouiii ! »
Mes couilles frappent son anus avec force. Mon membre la pilonne, provoquant des bruits de sucions ou d’aspirations.
Elle jouit fort, très fort, inondant mes testicules en hurlant mon prénom. De mémoire, je n’ai jamais provoqué un tel orgasme chez une de mes partenaires.
« Ho oui, Christina ! Je viens aussi ! Harggg ! Je vais jouir ! Hummm ! »
A ces mots, elle me pousse en arrière, saute de la table et s’agenouille pour prendre mon sexe en bouche. Elle n’aura pas longtemps à attendre et je me vide en longues saccades dans sa gorge.
Nous restons encore un moment sur la terrasse, puis dans un dernier baiser, elle prend congé et monte dans sa chambre.
Je fais de même.
Allongé sur mon lit, je ne trouve pas le sommeil. Je suis bien trop excité.
Trois heure trente du matin.
J’entends du bruit. Je me lève et scrute le couloir dans l’entrebâillement de la porte de ma chambre.
C’est Valériane qui daigne enfin rentrer. Elle se glisse dans sa chambre, ses chaussures à la main.
C’est l’heure de ma vengeance.
J’attends un peu et je pénètre dans sa chambre, sans un bruit. Elle est allongée sur son lit, encore toute habillée. J’espérais la surprendre sous sa douche. Tant pis, je ne peux plus reculer.
Je m’assois sur le bord du lit, tout près d’elle. Elle sent ma présence et se redresse d’un bond.
« Hé ! Qu’est ce que vous faite là ? »
Sans me démonter, je pose une main sur sa cuisse.
« Chuttt ! Vous allez réveiller maman ! Je viens voir si vous avez passé une bonne soirée ! »
Très vite, je glisse ma main sous sa jupe et la pose sur son sexe. La petite pute ne porte rien et elle est tellement graissée que mes doigts disparaissent dans sa fente sans que je pousse.
« Mais tu es pleine à ras bord, petite salope ! »
Elle essaie de dégager ma main, mais ma force joue en ma faveur et je reste en elle.
« Ils étaient combien pour te remplir autant ? Trois ? Quatre ? »
Vexée de ne pas avoir réussi à se dégager, elle cache son désarroi derrière une nouvelle provocation.
Elle s’allonge sur le dos en prenant soin d’étaler ses longs cheveux sur l’oreiller. Puis, elle remonte son tee-shirt et malaxe ses petits seins en pinçant ses pointes roses, puis elle passe sa langue sur ses lèvres pour les mouiller et les faire briller.
Son petit corps ondule et elle pousse son bassin sur mes doigts afin de les engloutir plus profond.
« Six ! Pourquoi ? Vous voulez jouer les prolongations et être le septième ? Ca vous plairait de baigner dans leurs jus ? Hein ? Avouez ! Ca vous plairait ! »
Croyant l’humilier, je retire mes doigts dégoulinant de foutre refroidi et je les passe sur ses lèvres.
Mais la petite a du mental en réserve. J’aurais du m’en douter.
Elle tire la langue, les lèches puis elle les fait glisser dans sa bouche. Ca semble même l’exciter énormément.
« Hummm ! Prenez-moi ! Prenez-moi, maintenant ! Faite moi jouir ! »
Inutile de me le dire deux fois et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je suis sur elle… en elle.
Sentir ma queue patauger dans ce réservoir de liqueurs gluantes, me procure une étrange sensation et je m’étonne d’en retirer autant de plaisir et d’en être si excité.
Sa bouche, ses lèvres qui ont gouté mes doigts, me troublent tout d’abord par leurs gouts salés, puis vient un étrange sentiment de partage et je me délecte de cette nouvelle saveur.
Nous roulons sur nous même et c’est elle maintenant qui me chevauche. Ses cheveux fouettent mon visage. Ses yeux dans les miens me parlent et me disent « Encore ! Encore ! Encore ! ».
Sa vulve se vide de l’excès de semences qui dégouline jusqu’à mes couilles et poursuit son chemin dans la raie de mes fesses.
« Hooo ! Jouiiii ! Je viens ! Je viens ! Jouiii en moi, avec moiii ! Viteee ! »
Ses ongles s’enfoncent dans mes épaules.
Nous nous libérons ensemble, sans retenu, dans des râles de plaisir.
Son corps s’affaisse sur le mien. De sa tête dans mon cou, j’entends sa respiration rapide se calmer lentement.
Dans un petit bruit étrange, mon sexe redevenu sage, s’extirpe seul du fourreau à plaisirs et ma semence s’échappe de cet antre pour rejoindre les autres, entre mes fesses.
Son visage, toujours dans mon cou…
« Gabriel ? »
« Oui ? »
« Vous avez pris des risques, non ? Et si je n’avais pas voulu ? »
Je fouille ma poche et glisse mon portable sous ses yeux.
« Quoi ? Je ne comprends pas. »
Je me dégage en la roulant gentiment sur le coté. Quelques manipulations plus tard, je lui fais découvrir mon petit film.
Pour la première fois, je la sens déstabilisée. Elle rougie. Mais c’est plus fort qu’elle et elle essaye de se reprendre.
« Ho, vous savez, les yeux fermés, une queue, c’est une queue ! Ca m’aide avec des mecs comme lui… comme vous. »

Un an est passé.
Christina a divorcé de monsieur Durant.
Désormais, je vis avec elle, dans la villa et nous profitons de la vie grâce à sa fortune personnelle. Nous sommes fous amoureux.
Valériane ?
C’est devenu un amour avec sa mère.
Quant à moi, elle ne parlera pas de mon grain de beauté sur mon testicule droit, tant que j’irais la rejoindre de temps en temps, dans le petit cabanon, au fond du jardin.

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