Le Père Noël
Je voudrais vous raconter ce soir, comment je me suis faite prendre par le Père Noël en personne, une veille de Noël. Chez nous, le vingt-cinq décembre est une journée qui se passe en famille, mais le vingt quatre au soir nous étions invités, mon mari et moi, chez des amis. C'était des gens très riches et même un peu snob, ce qui n'est pas étonnant car mon mari est cadre et nous fréquentons beaucoup de gens de ce style. Nous avons été particulièrement bien reçus ce soir-là : foie gras, huîtres, la classique dinde aux marrons. Nous étions une quinzaine de personnes, et à cette occasion, le couple d'amis en question avait loué un Père Noël qui se trouvait là pour nous distraire, et plus principalement pour la distribution des cadeaux. Et je ne savais pas qu'il allait particulièrement me gâter.
L'ambiance était très chaleureuse, le vin coulait à flots et avec la bûche, bien sûr, nous avons bu du champagne de la meilleure marque. Et puis la distribution de cadeaux est arrivée. Le Père Noël classique, vêtu d'une robe rouge, affublé d'une grande barbe blanche, nous a fait un spectacle bien sympathique tout en attribuant à chacun le petit paquet qui lui était destiné. Dans le mien se trouvait une paire de boucles d'oreilles ravissante. Nous étions comme des s, aussi excités qu'eux au moment de la découverte de leurs jouets. Tout le monde parlait très fort. Puis le Père Noël a mis de la musique et on s'est tous mis à danser. Les confettis volaient de toutes parts.
J'avais peu bu, mais comme je ne supporte pas l'alcool, j'étais déjà bien gaie et je me sentais d'une humeur fêtarde.
J'ai dansé, au début, beaucoup avec mon mari, et puis avec le mari d'autres, et même avec le Père Noël. Il avait toujours son costume, et il semblait bien s'amuser lui aussi. Je ne voyais que ses yeux sous l'épaisse barbe. Il avait l'air jeune et séduisant. Je ne sais pas pourquoi, mais ce Père Noël là me troublait beaucoup. Je sentais ses mains moites posées sur mes reins, et je ressentais une drôle d'excitation.
Soudain, la danse s'est terminée. Je me suis retrouvée toute seule et sans trop réfléchir, je me suis écartée de la piste de danse et je me suis regardée dans la glace ; j'ai refait un peu mon maquillage. Là, je l'ai vu rentrer et fermer la porte à clef derrière lui. Je voyais son reflet dans la glace. Il s'est approché de moi et m'a collée contre le lavabo. Puis il a relevé ma robe et a découvert mon bas résille, mon porte-jarretelles et mon petit slip en dentelle. Je me suis cambrée sous ses caresses. Il a fait glisser mon slip le long de mes jambes, et mes fesses nues s'offrirent à lui généreusement. Je l'ai vu remonter sa robe. Dessous, il ne portait qu'un caleçon avec des Mickey imprimés, et sans l'enlever, il a sorti à travers la braguette une belle pine comme je les aime quand il m'arrive de tromper mon mari. Je m'accrochais au lavabo tout en me regardant dans la glace. Il m'a agrippée par les hanches et a attiré mes fesses contre son sexe. J'ai alors écarté mes jambes. Je me sentais très excitante avec tous ces dessous coquins et mes talons aiguille, et le Père Noël me paraissait complètement bouleversé par des appâts aussi alléchants. Son costume, par contre, n'était pas très excitant, mais sa belle queue bandante était largement suffisante pour mettre tous mes sens en éveil et mon ventre en feu. Tout le jus qui me dégoulinait du sexe ne pouvait arriver à l'éteindre, au contraire, même, il l'attirait ! J'ai senti ses mains fouiller dans mon décolleté. Dans la glace, j'ai vu ses doigts se délecter de mes tétons, les titiller et les faire durcir. Je me trouvais belle et désirable. Je me suis penchée un peu plus pour cambrer mon dos et dresser mes fesses, et j'ai senti le bout de sa verge fouiller ma raie.
Il s'est reculotté rapidement et est reparti vite fait bien fait. Jai fermé la porte à clef derrière lui. J'entendais à nouveau la musique envahir la maison, et les rire fusaient. Mes doigts me faisaient encore jouir le sexe, et j'avais des petits spasmes qui me remontaient. J'ai laissé couler son sperme, je me suis essuyée et jai remis ma culotte
Jai bien rincée la glace et me suis remaquillée. Je n'ai pas eu besoin de mettre du rouge sur mes joues : elles l'étaient assez comme ça ! Je n'avais toujours pas repris mes esprits et je suis sortie de la salle de bains comme si de rien n'était. J'ai croisé la maîtresse de maison qui m'a dit en riant : « Alors, vous êtes allée vous assoupir dans la baignoire ?... » J'ai souris, et je me suis remise à danser. Mon mari ne s'ennuyait pas non plus : il changeait tout le temps de cavalière et il les pelotait tout ce qu'il pouvait.
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