Quel Mois De Novembre !!!
Jai rencontré au début du mois de Novembre dernier, une ancienne camarade de lycée.
A lépoque nous nétions pas tout à fait des amies, mais nous avons eu le même groupe dexposé, deux fois en classe de seconde et une fois en terminale.
Elle ma tout de suite reconnue et est venue vers moi pour me faire laccolade. Nous avons bavardé environs deux minutes sans que je parvienne à savoir doù je la connaissais et cest quand elle a cité des noms qui me rappelaient notre école que des souvenirs delle me sont revenus.
Cétait une fille plus tôt maigre et sans intérêt pour la majorité des garçons de lécole (ce qui la boostait certainement à la boss
).
Mais là, elle a pris quelques kilos qui lui vont très bien et ses courbes sont parfaites surtout avec cette robe qui la moulait jusquaux genoux.
Nous avons échangé nos numéros puis on sest revue deux ou trois fois après pour partager le goûter. Curieusement, ses causeries déviaient à chaque fois sans aucune gêne vers les garçons et la baise quelle disait beaucoup aimer.
Cela me ravissait au plus au point et nous avons commencé à nous appeler plus souvent.
On passait près dune heure chaque nuit au téléphone à parler de choses coquines du genre comment on aimerait que les mecs nous fassent lamour ou comment sest passé notre dernière baise.
Une nuit alors que je venais de me mettre au lit après une bonne douche fraîche, mon téléphone vibra à mon chevet.
Je ne fus pas surprise de voir son numéro mais en guise de réponse à mon habituel « aloooooo », ce furent des gémissements que jentendis
Jai dabord cru quelle voulait me faire rire quand jentendis par la suite des :
« Vas-y mon coeur, baise moi plus vite », « oui, oui, tu baises si bien ».
Puis ce fut autour dune voix dhomme de dire :
« Tes rondeurs mexcitent trop chérie, je tiendrai pas longtemps »
On lui faisait lamour et jentendais tout !
Jai alors déduit que son cellulaire devait être resté sur le lit et que pendant leurs ébats ils avaient dû lancer accidentellement mon numéro.
Je ne pouvais pas raccrocher tellement cela mexcitait !
Jai écouté sans faire de bruit jusquà ce jentende :
« Je tiens plus, je vais éjaculer » et « oui, vas-y jouis en moi
rempli moi de ton sperme »
Quelques secondes plus tard, craignant quils saperçoivent que quelquun aurait pu les entendre, je coupais la communication.
Jétais toute retournée par ce que je venais dentendre et javais envie davoir un mec là entre mes jambes. Je fus tirée de mes rêveries environs une demi-heure après, par des vibrations
mon cellulaire clignotait dans le noir.
Cétait encore elle
je ne savais pas trop quoi faire mais me résignai à prendre la communication.
« Allo ? » fis-je.
- Tu as aimé ? demanda t-elle dun coup mais dune voix suave.
Je marquais quelques secondes de silence avant de répondre
« Tu las fais exprès ? »
- Oui, tu as aimé ?
« Cétait surprenant. »
- Tu fuis la question ?
« Non, pas du tout
cétait surprenant et très excitant, jai beaucoup aimé »
- Tu me feras écouter à ton tour un jour ?
« Oui et je crois que même que je pourrais plus men passer »
Puis, je lui posai la question qui me brûlait les lèvres depuis le début de notre conversation :
« Il était au courant ton mec ? »
- Non, il sen est pas rendu compte
cest ce qui me rendait encore plus folle !
« On va sentendre encore plus toi et moi parce que jadore les situations comme ça moi aussi »
- Cest parfait
passe une bonne nuit ! dit elle avant de raccrocher.
Le lendemain ce fut encore elle qui mappela à midi pour quon déjeune en semble dans un restaurant pas très loin de son job.
Elle portait encore une robe moulante mais qui cette fois-ci sarrêtait juste à 10 cm du ras de ses fesses. Avant quon ne sasseye, elle me murmura :
« Aujourdhui jai fais comme toi
je ne porte aucun sous corps »
Nous nous sommes installées côte à côte et avons commandé.
Cest quand la serveuse revint avec nos plats que je remarquais un type assis à la table den face lorgner sous notre table.
Jattirais secrètement lattention de véronique.
« Et si on lui en donnait pour son courage ? » me dit-elle sans lever la tête.
- ça marche pour moi, et on fait comme si on ne saperçoit de rien. Ajoutais-je pour renchérir.
Nous avons commencé à déguster les plats et jai légèrement écarté les cuisses, véronique était entrain sûrement de faire la même chose.
Je portais une jupe volante sans rien en dessous et les mouvements réguliers que je donnais à mes cuisses montraient à coup sur mon triangle par intermittence.
Chaque fois que je levais furtivement les yeux vers notre voyeur, je le surprenais regardant avidement sous notre table (assez haute pour que lobservateur de fortune ne fasse pas de grands efforts).
A ses tortillements je comprenais quil ne tenait plus dans son pantalon surtout quil avait depuis longtemps vu que nous ne portions rien dautres sous nos vêtements que notre peau.
Il prit son temps pour finir son repas et évidemment, nous finîmes avant lui.
En sortant du restau, nous sommes passées très près du mec en traînant les pas. Jai même marqué une pose juste à sa droite leffleurant presque de mes fesses, faisant mine de chercher quelque chose dans mon sac à main. Si près de lui, nue sous ma jupe et sachant quil avait vu mon entre-jambe, fit monter le plaisir dans tout mon corps.
Mais il fallait partir et je rejoignis véronique dehors avant que chacune ne retourne au boulot.
Il neut que quatre patients toute laprès midi et quand 17 heures sonnèrent, mon chef menvoya faire des photocopies non loin de la maternité. Plus de trois-cent feuilles en tout.
Le jeune homme prit les feuilles et lança les copies. Mais je remarquais quil était trop concentré devant de son ordinateur pendant que sa photocopieuse travaillait.
« Vous regardez quelque chose dintéressant ? » Demandais-je en mapprochant de lui.
Il neut pas le temps de cacher ce quil regardait. Cétait un film adulte qui montrait une femme se faisant prendre par trois hommes.
« Intéressant en effet ! » Mexclamais-je en fixant lécran.
Jétais très près de lui et un moment passa sans que personne ne prononça un mot, jusquau moment où deux des hommes à lécran se mirent à éjaculer abondamment sur le corps de la femme :
« Cest lune de mes parties préférées dans les films pornos » Dis-je.
Il leva la tête vers moi et répondit :
- ah bon ? Et cest quoi les autres parties ?
« Jaime bien aussi les éjaculations buccales »
Il aventura sa main sur mes fesses et je laissai faire. Nous nétions que deux dans sa baraque. Mais sa porte était vitrée et les passants dehors pouvaient voir à lintérieur sans compter ceux qui pouvaient entrer subitement.
Cela mexcita encore plus et je retroussais ma blouse de travail, découvrant mes fesses nues.
Il passa ses mains entre mes cuisses et remonta jusquà ma vulve. Quand il senti que je mouillais déjà, il se leva et sorti un préservatif quil enfila.
Je me penchais en avant en tenant sa table et il passa derrière moi pour me pénétrer.
Je crois quil avait complètement oublié quon pouvait nous voir mais moi ça mexcitait.
Il me baisa avec fougue pendant un moment puis me dit quil allait éjaculer.
« Sur mes fesses, sur mes fesses ! » lui criais-je.
Il se retira et enleva son préservatif puis se branla quelques secondes avant de se répandre sur mon postérieur qui ondulait de plaisir.
Quand il fini, je senti son pénis gluant se présenter encore à lentrée de mon vagin.
Je me cambrais davantage et reculais vers son membre
Il senfonça en moi lentement et resta figé quand je senti ses poils pubiens sur mes fesses. Il reprit ses vas et vient et éjacula encore, cette fois ci en moi, marrachant ma deuxième jouissance.
Il se retira, essuya mes fesses avant de ranger son sexe.
- Oui, les copies sont terminées. Répondit-il.
Je sorti après avoir payé.
De retour à la maternité, je trouvais le médecin de garde pour la nuit déjà sur place. Comme il sentretenait avec son collègue dans la salle durgence, je déposais les documents et alla mapprêter pour la fin de mon service.
Dans la salle où javais laissé mes vêtements, je trouvais un des stagiaires qui cherchait je ne trop quoi.
Il répondit à mon salut sans se détourner. Jenlevai ma blouse de travail pour me changer et bien évidemment, je me retrouvai toute nue. Cest à ce moment je crois, quil se tourna vers moi.
Il émit un sifflement approbateur et quand je levai la tête, je le vis regardant avidement mon postérieur.
- Ce nest quen même pas des fesses que tu nas jamais vu, mon chou ! Lui dis-je, alors que jétais toujours à poil.
- En fait, cest les tiennes que je nai jamais vu daussi près et dans
le plus simple appareil !
Je mapprochai de lui, la pointe de mes seins dressée. Il ny avait plus que 5 centimètres entre nous et il sinquiéta que la porte ne soit pas fermée à clé.
- Cest ce quil y a de plus excitant ! Lui soufflais-je.
Comme il ne broncha pas, je maccroupi devant lui et tirai sur la fermeture éclaire de son pantalon.
Je sorti son membre qui entra dans ma bouche. Une fellation quil noubliera pas de si tôt !
Il était tellement excité quil ne résista pas plus dune minute et se mit à inonder ma bouche de sperme. Il éjacula longtemps et je ne réussi pas à avaler tout son jus qui bientôt coula sur ma poitrine et mes seins.
Son sexe gardait toujours une rigidité extraordinaire. Aussi, passai-je à la phase supérieure en me couchant sur le dos. Il me suivit dans mon élan et vint se planter entre mes cuisses écartées.
Il me baisa un moment puis sarrêta pour descendre encore son pantalon et son slip jusquaux genoux, avant de recommencer ses va et vient.
Comme cette salle nétait pas climatisée, nous transpirions et je glissais sur les carreaux à chaque coup de boutoir.
Il me dit quil allait éjaculer encore et je lui répondis en agrippant ses fesses, quil pouvait le faire de toutes ses forces.
Je le senti gicler en moi pendant que je jouissais à mon tour.
Une fois chez moi, il mappela pour savoir sil pouvait passer dans la soirée me baiser encore.
- Tu nes jamais rassasié toi, on dirait ! Mexclamais-je.
- Je ne sais pas si je le serai avec toi tellement cétait bon tout à lheure.
- Moi aussi jai aimé
passes à 20 heures si tu as le temps. Lui dis-je avant de donner mon adresse.
On sonna à mon appartement vers 19 h 50. Je me dis quil était en avance et me déshabillai complètement avant de mavancer vers la porte que jouvris grandement
A ma grande surprise, ce fut mon voisin qui écarquillait les yeux sur mes seins et bien plus bas.
Il vivait dans lappartement den face avec sa fiancée.
Jaurais pu refermer la porte mais je me contentais de mettre mes mains sur ma poitrine et fis semblant de vraiment mexcuser :
- Toutes mes excuses, voisin. Je pensais que cétait quelquun dautre.
- Il balbutia sans quitter mon bas-ventre des yeux quil passait demander une multiprise, si jen avais.
- Je dois avoir ça quelque part dans un tiroir mais il faut que je cherche. Vous entrez ?
Il jeta un coup dil derrière lui et pénétra chez moi en refermant la porte.
Je me collais à lui aussi tôt. Il membrassa en me malaxant les fesses tandis que je lentraînais vers ma table à manger sur laquelle il fini par me poser, les jambes suspendues dans le vide.
Il enleva les boutons de son jean quil baissa en même temps que son slip, jusquà ses chevilles.
Quand il se releva, je métais couchée sur le dos et avais les cuisses écartées. Mes talons reposaient sur le rebord de la table. Cest dans cette position quil me pénétra et commença à me faire lamour.
Il est membré et je le sentais loin dans mon vagin.
Il me baisa ainsi un moment puis mon téléphone vibra sur la table, non loin de ma tête.
Je compris que cétait le stagiaire et pendant que mon voisin sactivait entre mes cuisses, je décrochai.
- Oui ? Tu es en bas ? Tu peux monter, je suis à la porte 7 ! Dis-je au téléphone en jouissant.
Mon amant de fortune ralenti sa cadence et voulu même se retirer.
- Non ! Continue, cest notre stagiaire au boulot. Il attendra quand il frappera à ma porte.
La situation mexcitait et mon voisin reprit ses va et vient.
Il baisait bien et au bout dune minute on frappa à ma porte.
Je demandais à mon voisin de ne pas sarrêter et composais le numéro du stagiaire.
Il décrocha :
- Patiente un instant, je suis avec un ami
dis-je
Il répondit quil attendrait et je raccrochais.
Mon voisin comprit que nous navions plus de temps et accéléra la cadence.
Il se retira et éjacula abondamment sur mon ventre et mon sexe. Mais quand il eu fini, il me pénétra encore et pratiqua un va et vient lent et sublime.
Je lui souris et lui dit que javais rendez-vous maintenant. Il répondit que sa fiancée allait bientôt rentrer et devait partir.
Il se retira et se rhabilla sans se nettoyer tandis que je descendais de la table avec le sperme qui dégoulinait sur mon corps. Je me passai une robe de chambre et laccompagnai à la porte.
Il salua le stagiaire et sen alla.
Jinstallais mon nouvel hôte et fonçais sous la douche.
Quand je sorti de la salle de bain, je trouvais notre stagiaire tout nu assis dans le divan, la queue raide.
Il se branlait lentement en me regardant. Je mapprochai de lui et laissa tomber ma serviette pour masseoir sur son sexe.
Il me pénétra lentement et je commençais à pomper. On gémissait tous les deux puis il me murmura :
« Vous faisiez quoi tous les deux ? »
Je cessai donduler sur son pénis pour répondre mais il me demanda de continuer.
« Allez, dis moi ce que vous faisiez. Il te baisait, hein ? Allez, dis-le ! »
Il parlait les yeux fermés et je compris quil en tirait plaisir.
Jaccélérais ma cadence en demandant :
- Ça te plais dentendre ce genre de choses ?
« Oui, jaime ça ! Dis quil te baisait, dis-le ! »
- Pourtant ce nest pas ce que nous faisions
on discutait tout simplement.
« Dommage, ça aurait été bon à entendre »
- Vraiment ? Cest excitant que tu me dises cela. On peut lui demander de se joindre à nous si tu veux
« Arrête de me bluffer, tu ne feras jamais ça ! »
- Qui moi ? Jai toujours voulu une partouze. Attends
je vais lui demander sil veut bien.
Cest quand je voulu me lever quon sonna encore à ma porte.
On se regarda tous les deux et il me dit daller ouvrir.
Jespérais que ce soit mon voisin et je ne fus pas déçue.
Il se tenait devant la porte avec le même air hébété devant ma nudité et me dit quil avait oublié de prendre la multiprise quil était venu chercher plus tôt.
- je veux bien te la donner mais à une condition.
- Une condition ? Et laquelle ?
- Tu te joins à nous pour une partie de jambes en lair ?
Il regarda derrière lui comme la première fois et répondit que sa fiancée venait de rentrer.
Mais il entra tout de même.
Je me couchais encore sur la table dans la même position que tout à lheure et le stagiaire vint planter son pénis dans mes entrailles.
Mon voisin présenta son membre à lentrée de ma bouche pour une pipe.
Cela dura un moment puis ils échangèrent leur place. En suite, le stagiaire alla se coucher par terre et me demanda de me mettre à califourchon sur lui. Il me pénétra ainsi et dit à mon voisin de me prendre par derrière en même temps.
Il hésita mais je lui dis quil le pouvait. Quand je senti son gland à lorée de mon anus, jexplosais de plaisir.
Il prit son temps et senfonça peu à peu jusquà ce quil commence un véritable va et vient.
Je sentais les deux sexes glissés en moi et ne pus me retenir de jouir une fois de plus.
Sous moi, le stagiaire annonça quil allait éjaculer et je sentis aussi tôt son sperme inonder mon vagin. Comme sils se communiquaient, mon voisin à son tour se déchargea. Je les sentais glisser vraiment et cette sublime sensation me fit exploser une troisième fois.
On resta tous les trois entremêlés, tous essoufflés.
On sonna à ma porte
Mon voisin se retira pour que je me lève et le stagiaire alla dans ma douche.
Je me passais une robe et remis la multiprise au voisin avant quil ne sorte. Le concierge était devant la porte et me tendit un courrier avant de sen aller. Le stagiaire rentra chez lui après une autre partie de baise et je pris encore une autre douche avant de me coucher.
Le Samedi qui suivi, je reçu la visite de ma copine Véronique qui voulait aller se balader dans la ville. Je décidais de laccompagner. Je lui racontais mes facéties de la semaine, lexcitant à un tel point, quelle voulu faire lamour pendant que nous étions dehors.
- Et si on se faisait un ou deux mecs ? Me dit-elle.
- Tu veux parler dune baise à plusieurs ? Tu vas devoir payer les droits dauteurs, dans ce cas.
- Tu parles ! Tu nas pas inventé lorgie, donc je nai rien à payer du tout.
- Daccord, mais cest moi qui vient de créer cette envie qui te sort de partout
Elle rit aux éclats et me remercia pour létat dans lequel elle se trouva grâce à moi.
Cest un chauffeur de taxi qui en paya les frais en premier, puis le gérant dune mais je commençais à trouver cela monotone. Javais déjà ces expériences dans mon palmarès de fille délurée.
- Il nous faut quelque chose dun peu plus pimenté. Finis-je par lui dire.
- Et à quoi penses-tu ?
- A plus de risque, mais aucun exemple précis ne me vient en tête.
La nuit venait de tomber et comme on passait devant lune des rares salles de cinéma qui avaient à la faillite, la même idée nous vînt à lesprit.
Laffiche du film qui passait dans moins dune dizaine de minutes ne fut pas la première motivation qui nous fit prendre des tickets dentrée.
La salle nétait pas pleine mais nous choisîmes deux places à larrière où un homme était déjà assis seul.
On sassit, lune à sa droite et lautre à gauche. Quand Véronique sexcusa pour passer devant lui afin de sasseoir à sa gauche, ses fesses moulées dans sa mini robe frôlèrent de très près son visage.
Assurément, cela avait dû provoquer une sensation pas très catholique.
Le film commença
Javais remarqué que notre voisin avait sa main gauche sur son pantalon, au niveau de son sexe.
Il fini en tirant sur sa braguette, par faire sortir son pénis aux proportions plus quexcitantes.
De temps à autre, il tournait la tête dans ma direction puis dans celle de Véronique, comme pour attirer notre attention. Il devait certainement se dire que notre présence au tour de lui nétait pas fortuite. Pourtant, comme si ma copine et moi avions un accord, nous fîmes comme si nous ne nous apercevions de rien.
Au bout dun moment, continuant de se branler, il posa sa main gauche sur mes cuisses.
Je tournais la tête vers lui. Il pressa son sexe de sa main droite en me la présenta. Je fixai le membre gonflé puis le regardai de nouveau.
Cest en ce moment que Véronique lui prit la tête pour lembrasser à pleine bouche. Je plongeai ma bouche aussi tôt vers le pénis en érection pour lengloutir.
Je lui fis une fellation qui le fit se tortiller dans tous les sens sur son siège. Il releva ma tête pour membrasser tandis que ma copine engloutissait à son tour la verge.
Véronique se leva en suite, retroussa sa robe jusquà ses hanches et vint sasseoir sur le mec en lui tournant le dos. Elle guida le sexe de sa main gauche puis commença à monter et descendre.
Comme nous étions seuls à la dernière rangée et quau moins deux ou trois autres rangées nous séparaient du reste des spectateurs, personne ne se douta de notre manège.
Les mouvements de Véronique saccélérèrent tandis que le mec avait ses doigts entre mes jambes écartées. Ma copine sarrêta un moment et à ma grande surprise, retira complètement sa robe par le haut, avant de reprendre ses mouvements.
Ses seins nus balançaient au gré de ses montées et descentes le long du pénis.
Lhomme mabandonna pour tenir le bassin qui le baisait.
Je dois reconnaître que la situation me plaisait au plus haut point. Je décidai de participer plus activement et me mise moi aussi toute nue en retirant ma robe.
Véronique se cambra en ondulant, certainement entrain de jouir. Elle leva pour regagner sa place.
Lhomme me demanda de venir à lui. Il navait probablement pas jouit et cela mimpressionna.
Accommodés à pénombre de la salle de projection, on pouvait voir tous les autres spectateurs captivés par le film.
Je massis sur le mec en lui donnant moi aussi dos et il me pénétra. Mes mouvements saccélérèrent bientôt. Cétait assez excitant et je mouillais comme une folle.
Soudain quelquun buta sur nous par la gauche et tomba sur mes bras qui tenaient le dossier du siège devant moi. Il venait sûrement de rentrer et cherchait à tâtons, une place pour sasseoir. Quand on rentre dans une salle de cinéma après le début du film, on a une très mauvaise visibilité, cest connu. Mon baiseur me plaqua jusquà la garde de son sexe en me maintenant les hanches.
Quoiquil en soit, la personne (un homme) qui venait de tomber sans attirer lattention des autres, se rendit compte de ce que nous faisions. En se relevant il me toucha les seins en chuchotant des excuses et rebroussa chemin pour ne sasseoir quà deux sièges de nous.
Javais jouis pendant ce laps de temps et la vague de plaisir me parcourrait encore le corps.
Je recommençai mes mouvements en regardant le dernier arrivant.
Mon baiseur me dit daccélérer la cadence et je compris quil allait éjaculer enfin.
Je mexécutai et sentis bientôt le liquide chaud gicler en moi à plusieurs reprises, me tirant une seconde jouissance.
Véronique le comprit et me proposa une petite serviette sortie de son sac à main. Je me relevai en messuyant. Le mec sessuya à son tour tandis que ma copine et moi remettions nos robes.
On lui laissa la mini-serviette et sen prendre congé, on se retrouva dehors.
Le premier taxi aperçut nous ramena chez moi. Pendant que Véronique prenait un bain, je sorti frapper à la porte du voisin.
Cest sa fiancée qui ouvrit :
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Oui, jai prêté ma multiprise à votre fiancé et jespérais la récupérer sil vous plait.
- Ah oui, il est passé chez vous il y a une heure mais il ny avait personne. On viendra vous lapporter quand il sortira de la douche. Cest à nous de nous déplacer, vous avez été aimable.
Je regagnais mon appartement. Véronique sortie de la douche quelques minutes après et je pris sa place.
Etant sous la douche, jentendis quon sonna à la porte et criais à ma copine daller ouvrir.
Quand je sortis, je la trouvai entrain de se faire prendre en levrette par le voisin.
- Vous êtes venu sans votre fiancée ? Demandais-je.
Il me répondit sans sarrêter de baiser ma copine quil lavait convaincu de rester.
Je les regardais jusquà ce quil se retire pour se répandre sur les fesses de Véronique.
Il se rajusta rapidement et sen alla.
Véronique et moi avons passé la nuit en semble, à se donner du plaisir en se remémorant notre virée au cinéma.
A mon réveil le lendemain Dimanche, Véronique était déjà partie en laissant un mot disant quelle rentrait.
Je passais la matinée à visionner des films puis juste après 12 heures, mon beau père mappela pour me dire quil était dans mon quartier.
- Tu es à la maison ? Je ne te dérange pas si je passe ?
- Bien sûr que non, je nai aucun programme ce Dimanche.
- A tout à lheure alors, le temps que je termine une course.
Une demi-heure plus tard il sonnait à ma porte.
En sasseyant il mapprit que ma mère et lui célébreraient leur mariage dans un mois.
Ils vivaient en couple depuis un moment déjà ils avaient jugé enfin de régulariser leur union.
Je massise devant lui, très contente pour eux :
- Je suis heureuse pour vous. Comment ça se passera ?
- On compte inviter quelques amis à la famille mais si tu as des propositions
- Ce que vous déciderez me conviendra. Cest votre fête et ce qui vous fera plaisir me ravira.
Il me dit que ma mère me connaissait très bien et quelle avait prédit cette réponse.
Il se leva et vint poser un baiser sur mon front. Quand il se releva, sa braguette se retrouva juste devant mon visage et une bosse commença à déformer son pantalon
Mon beau père resta planté là et je levais la tête vers lui :
- Tu vas épouser ma mère maintenant, on ne devrait plus faire ça.
- Cest vraiment des considérations qui tarrêtent, Lynn ?
Il savait que je résistais jamais à une queue en érection, surtout si près de moi
Il tira sur sa braguette et sortit son sexe qui caressa mes joues et mes lèvres.
Jouvris la bouche mais pour lui dire :
- Pas ici ! Ce nest pas assez excitant
- Ce que tu veux chérie !
Je réfléchis rapidement le balcon me vint à lesprit mais une fois sur place, je me rendis compte que personne ne risquait de nous voir et je changeais davis.
- Allons dehors. Dis-je.
Il voulu ranger son pénis mais je le saisis en faisant non de la tête. Je lavais encore dans la main droite quand on passa la porte et pendant que je fermais à clé de la main gauche, on entendit une voix féminine :
- Excusez moi mes s, vous pourriez me renseigner ?
Je tournais la tête et vis une bonne sur blanche qui se tenait juste à ma gauche. A en voir sa mine, je compris quelle ne se doutait pas que lhomme qui trouvait à ma droite avait sa bite en pleine érection dans ma main. Situation inespérée !
Je commençais à masturber lentement
. en répondant :
- Comment pouvons-nous vous aider ma sur ?
- Je cherche lappartement 9, je viens prier avec une famille qui y habite.
Je voulu gagner un peu de temps avec elle car la présence dune personne si près de moi dans une telle situation mexcite toujours quand elle ne se doute de rien mais sur tout quand elle pourrait tout découvrir subitement.
- Je connais lappartement, mais nous aurions besoin de prier nous aussi avec vous. Vous pensez que cest possible même si on na pas rendez-vous ?
Je malaxais toujours le sexe de mon beau père sur ma droite. Sa bite était devenue très dure et battait dans ma paume droite.
- Ce nest pas un problème, ma fille. Dites-moi juste où vous retrouver quand jaurai fini.
- Nous seront ici, porte 7 et lappartement 9 se trouve au bout de lallée à votre droite.
Elle me remercia et nous promis quelle serait là dans une demi-heure au plus tard. Jattendis quelle entre dans lappartement où elle allait avant de maccroupir et prendre le pénis tendu dans ma bouche.
Après une pipe, je me relevais pour me retourner en tenant le cadre de ma porte. Mon beau père retroussa ma robe jusqu'à mes hanches et me pénétra.
Il me baisa là tandis quon regardait de chaque côté et que ladrénaline montait à son maximum. Ce fut extra et à certains moments je me surprenais à espérer que la bonne sur nous surprenne ainsi.
Je sentis des giclées dans mes entrailles et jexplosais à mon tour.
Je restais seule à la maison quand mon beau père parti.
Après une douche, je me passai une robe de chambre bleue franchement transparente et métendis dans le divan.
La sur ne passa pas ce jour là.
Je mendormis jusquaux environs de 20 heures. Avant de dîner, jappelai ma mère pour la féliciter et lui dire quelle pouvait compter sur moi si elle voulait que je participe aux préparatifs.
Je passais le reste de la soirée chez moi et me rendis au travail le lendemain matin.
La journée se passa normalement. Enfin, une journée normale pour une délurée et ma garde se termina un peu avant 18 heures. Il fit sombre assez tôt et bien avant 18 heures 30, il faisait déjà nuit.
Je voulu prendre un bus pour rentrer.
Celui que je choisis était bondé de monde rentrant après une journée de labeurs.
On était entassé et un mec se trouvait derrière moi. Je sentis son sexe gonfler contre ma fesse gauche et comme je lespérais, il se débrouilla pour que sa bosse tombe juste dans la raie de mes fesses.
A chaque mouvement du véhicule, je sentais quil se frottait vraiment contre moi.
Je baissais le bras droit et farfouilla entre lui et moi. Je crois quil prit peur davoir été repéré et il se décolla un peu de moi. Ma main resta sur mon derrière avec la paume tournée vers lui.
Le bus freina à un arrêt et il revint se coller à moi. Son pénis bandé toucha cette fois ma paume et avant quil ne se ressaisisse, je malaxai le membre rapidement à travers le pantalon de tissus.
Il resta plaqué sur mon dos. Je continuai donc mais plus lentement pour quil comprenne bien mon message. Je sentais son souffle dans mon cou et jentrepris de baisser sa braguette. Il le fit lui-même et ma main pénétra dans son pantalon. Il ne portait pas de slip. Je malaxai le gland un moment et je sentis son sperme chaud couler entre mes doigts. Je continuai quelques secondes avant de retirer ma main. Un arrêt plus loin, je descendais du bus mais avant davoir fais 5 pas, quelquun derrière moi dit :
« Tu vas quen même pas me laisser comme ça ».
Je ne le reconnaissais pas mais je compris que cétait le mec du bus. Il était descendu au même arrêt que moi.
- Mais tu as déjà éjaculé, ce nétait pas suffisant ?
« Jen veux encore ! » Répondit-il.
Je me dirigeais vers un jardin public et il me suivi. Il me baisa sur un banc de béton dans la pénombre et éjacula cette fois sur mes fesses tournées vers lui, non loin dun jeune couple qui sembrassait. Il sortit un mouchoir pour messuyer avant de me demander comment me revoir. Je pris son numéro, promettant lappeler dès que jaurai un moment et remarquai que le couple nous observait.
Je rentrais tout de suite après.
Le lendemain, en partant pour ma garde du soir, je passai dans le même jardin public, histoire de revoir lendroit
Le week-end qui suivi, Véronique mappela pour que je la rejoigne dans une ville non loin de la capitale. Pour ne pas que jeffectue seule le voyage, elle menvoya quelquun qui devait me servir de guide une fois sur place.
Comme il nétait pas véhiculé et quil était hors de question dy aller en taxi, le seul moyen de transport restait les minicars qui faisaient la liaison.
Georges neut le temps quaux environs de 18 heures et le temps de se rendre à la gare de minicars et attendre quil soit chargé, il était 19 heures passées.
On avait eu le temps de sympathiser et de savoir ce quon ferait le temps du trajet qui devait durer une heure trente.
Le convoyeur voulu prendre un passager en surcharge et cela marrangeait beaucoup.
Je cédais ma place pour masseoir sur les pieds de Georges.
Evidement, sa braguette était ouverte et son pénis en érection sorti.
Une fois hors de la ville et les lumières internes éteintes, jécartai juste les cuisses pour que son sexe soit à lentrée de ma vulve puisque mon plaqué mini montait tout seul.
Quelques mouvements finirent par faire pénétrer le pénis tellement je mouillais.
Le plus dure était de pomper sans attirer lattention. Mais je crois que tous nos voisins sur la même ligne que nous avaient déjà compris ce qui se passait.
Quand jen fus convaincu et devant leur attitude de nen être pas dérangé, jai ondulé à laise sur le sexe de Georges.
Son sexe me remplissait pleinement, mais il glissait bien tellement je mouillais comme une folle.
Il me chuchota à loreille si cela me gênerait quil éjacule. Je répondis que oui car il faudrait sessuyer et cela risquait de se remarquer par les autres passagers.
On resta ainsi jusquà ce que le passager en surcharge descende à environ 5 km de notre destination. Je descendis du sexe sur lequel jétais empalé à la déception de nos trois voisins. Ils nous le firent savoir à voix basse.
Georges leur répondit que toutes les bonnes choses ont une fin et une fois arrivés, il appela Véronique pour savoir sa position.
On la retrouva dans une boîte de nuit de la place après avoir fait un tour à nos chambres réservées davance.
Georges my baisa la porte seulement rabattue et je pris mon pied quand on nous surprit en nous apportant les serviettes propres que nous avions demandées.
On retrouva Véronique à la boite indiquée vers 22 heures. Sa robe était retroussée jusquà sa taille et elle était assise à califourchon sur un mec. Il ny avait que très peu de lumière mais on distinguait les personnes.
On sinstalla et je vis que le mec aussi avait son pantalon baissé. Une serveuse vint prendre notre commande sans soccuper de nos voisins. Dailleurs je vis bientôt que dautres couples faisaient eux aussi lamour.
Je fis un tour sur la piste de danse avant de visiter la boite qui est composée de 4 compartiments.
Dans chacun deux, des couples se faisaient lamour sans soccuper des autres. Toute fois, le dernier compartiment avait pour particularité plus dobscurité. On voyait les formes et ce quelles faisaient sans pouvoir distinguer les visages et quand je mapprochai de trop près dun couple, celui-ci arrêtait ses ébats pour me demander de continuer mon chemin.
Ce compartiment mintrigua et je revins demander à lune des serveuses pourquoi il était différent des autres.
Elle répondit que cétait celui de personnalités et que cétait seulement sur invitation quon y est admis.
Je lui demandais comment cela se passait et elle comprit mon intérêt.
- Attendez-moi là si vous voulez un partenaire. Je vais voir ce que je peux faire, mais on partage vos gains.
- Mes gains ? Vous pourrez tout garder si cest dargent quil sagit. Seule la baise mintéresse.
Elle me sourit avant de se lancer dans le noir puis elle revint me faire signe quune cabine était libre pour moi.
En y mengouffrant, japerçu la silhouette dun homme nu sirotant un verre.
Plus près de lui, je vis quil se branlait lentement de lautre main.
- Déshabille toi complètement ! Murmura t-il.
Je neus quà ôter ma robe, je ne portais rien dautre.
Je maccroupis et pris le pénis en érection dans ma main puis dans ma bouche.
Son sexe augmenta de volume et se durcit encore plus.
- Tu suces bien ma petite, viens là !
Il me prit la tête et me releva. Puis il membrassa pendant que ses doigts farfouillaient ma vulve.
Quand il en eut assez, il me coucha sur le dos, releva mes jambes et me pénétra.
Il baisait bien et membrassait en même temps. Comme je métais accoutumé à la pénombre, je distinguais mieux son visage et il me sembla familier. Mais je ne connaissais personne dans cette ville et cétait plus excitant pour moi de baiser avec un inconnu. Je ny fis pas plus attention.
Il se retira pour me retourner et releva ma croupe avant de me prendre en levrette. Plus tard il se retira encore et me coucha sur le coté pour me pénétrer. En suite il me fit masseoir sur lui et on baisa dans cette position plus longtemps.
Je trouvais extra quil nest pas encore éjaculer depuis et il dit de lui faire encore une pipe.
Javais commencé moins de deux minutes quand il bloqua ma tête et fit lui-même les va et vient.
Il allait de plus en plus vite et de plus en plus profondément puis il sarrêta, son sexe toujours dans ma bouche.
Il commença à enfoncer sa bite, lentement au fond de ma gorge jusquà ses poils et garda la pose quelques secondes. Il se retira à moitié pour me laisser respirer puis recommença et ainsi de suite jusquà ce quil senfonça brusquement dans ma gorge.
Il se déchargea et son sperme me ressorti par les narines et la bouche, puis il se retira totalement.
Je repris mon souffle et il me demanda maintenant si je voulais boire quelque chose.
Je pris un verre de liqueur. Avant de revenir malaxer sa bite pendant quil me caressait les cheveux.
On resta à bavarder quelques minutes puis il tourna un bouton non loin de sa main.
La cabine séclaira un peu plus et il prit son pantalon doù il sortit des billets de grosses coupures.
- Habituellement cest 30.000 que je donne mais pour toi, ce sera 50.000. Tiens, ils sont à toi !
Il resta figé quand je levais la tête vers lui.
Il semblait me dévisager, puis il demanda :
- On sest déjà rencontré ?
- Votre visage aussi mest familier mais je ne sais plus doù.
On ne se rappela pas et on fini par dire que cela nous reviendrait un jour.
Une fois hors de la cabine, je remis largent à la serveuse qui nen croyait toujours pas ses yeux pour la somme.
On rentra à lhôtel vers trois heures pour un somme bien mérité.
Le lendemain de retour à la capitale, je regagnai mon appartement et me collais lidée que je devais voir le voisin.
Sa fiancée devait certainement être là mais cela ne me découragea pas pour autant.
Vers 17 heures je mapprêtais à sonner à leur porte quand il ouvrit.
- Tiens, voisine !
- Salut, vous allez bien ?
- Oui, et vous ?
- Ça va. Vous êtes seule ?
Il répondit que sa fiancée était absente pour laprès midi et quil commençait à sennuyer.
- Venez donc prendre un rafraîchissement chez moi
proposais je.
Il me suivi après avoir fermé sa porte et une fois dans mon appartement, commença à me tripoter sans même que je neus le temps de fermer.
Il était tout excité et on fut emporté dans notre élan jusque dans ma cuisine.
Il me déshabilla complètement, baissa son pantalon et me pénétra après mavoir retourné face à petite table.
Il me baisa ainsi pendant un moment avant de me retourner face à lui pour me faire asseoir sur la table. Jécartai les cuisses et il me pénétra encore.
Cest dans cette position que sa fiancée nous surprit.
On fut prit de court car on avait complètement oublié que ma porte était restée ouverte. Elle avait les yeux écarquillés sans pouvoir prononcer un mot puis sen alla en courant.
Le voisin voulu se retirer mais cest en ce moment que ma jouissance éclata.
Je lai maintenu le temps de lextase mais quand je lai libérer il continua ses va et vient jusquà éjaculer en moi.
Il sessuya et fonça chez lui. Je refermai ma porte.
Sa fiancée le quitta le même soir.
Le lendemain, garde commençait très tôt le matin. Je décidais de me rendre à boulot par un véhicule de transport en commun.
Je choisi six heures, lheure de pointe et me retrouvais coincée dans un bus bondé de monde.
Comme je lespérais, un mec sétait plaqué dans mon dos, par la force des choses et je le senti bientôt.
Son pénis bandé se frottait à mes fesses et je fis celle qui ne saperçoit de rien jusquau moment où je baissai un bras pour le caresser.
Par chance, lhomme portait un pantalon tissu à fermeture éclair (très pratique, quand on veut aller vite).
Une fois sa braguette baissée, ma main sengouffra derrière le sexe que je pris du plaisir à branler doucement.
Au bout dun instant, le mec me murmura darrêter sinon il éjaculerait dans son pantalon.
Il insista et je dus marrêter là, malgré moi.
Quelques minutes plus tard, je me débattais pour ne pas rater mon arrêt afin dêtre à lheure à mon service avec maintenant une envie folle de baiser pour de bon.
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