Vive Les Hommes Mûrs Et Les Surprises
Tout a commencé dans le métro. Il était 8h30 du matin à l'heure de pointe. Le métro était bondé de monde comme à son habitude. Les gens poussent pour entrer, je suis le dernier á entrer dans le wagon et me voilà dos á la porte en route pour le boulot.
C'est là que tout a dérapé. Un homme mature plutôt pas mal je dois bien l'avouer, baraqué et tout ce qui va avec, était collé à moi, sa main touchait mon sexe. Dans un premier temps j'ai mis ca sur le compte du hasard, de la compression de ''personnel''. J'ai pensé qu'il allait retirer sa main très vite. Mais au contraire, sa main se retourna et se posa complètement sur mon paquet. Il me fit un pelotage en règle de mon engin. Pas un centimètre carré ne lui a échappé.
Troublé par la situation, je me suis mis á bander très dur et à une vitesse incroyable. Lui me souriait continuant son massage qui me faisait mal à force de bander si dur. Je pris donc le décision de me retourner afin de calmer le jeu et de sortir très vite dés que les portes s'ouvriront.
Mais le jeu ne s'arrêta pas lá. Sa main se posa sur mes fesses et un massage tout aussi complet que celui de ma queue commença. A l'arrêt suivant encore plus de monde essaya de rentrer dans le wagon les gens étaient serrés comme des sardines. Cela pour vous dire que mon ''masseur'' ce retrouva collé à moi. Je senti son sexe bandé contre moi et je ne pouvais rien faire pour changer la situation. Ce sexe collé sur mon cul était plutôt long et semblait plutôt fin, mais sans que je puisse en donner la taille exacte.
Ouf, c'est mon arrêt, les portes s'ouvrent et tout le monde pousse pour sortir. Je perds mon vicieux masseur dans la foule en me disant que cette fois ci tout était bien fini.
Arrivé au boulot, je vais prendre mon café. Fouillant dans mes poches pour payer l'addition, je trouve une carte dans ma poche. Je la sors, c'était une carte de visite. Je cherche à savoir à qui appartient cette carte et quand jai je bien pu l'avoir mise dans ma poche vu que le costume est propre de ce matin.
Très troublé par ce qui c'était passé, je ne sais pas pourquoi je lui envoie un message avec un texte incompréhensible. En retour, je reçois :
- Ce soir 22 heures pile, 45 Rue Michel....., 3éme étage, porte 29, code de la porte 278... . Ne sois pas en retard.
Toute la journée je me suis posé la question suivante : J'y vais ou j'y vais pas. A chaque fois, je me suis mis á bandé de toutes mes forces. Alors j'y suis allé, excité comme une femelle.
Arrivé devant la porte, mon cur bat á 200/heure. Je frappe, la porte s'ouvre enfin et je reconnais mon masseur du métro.
- Tu es à l'heure, j'ai cru que tu ne viendrais pas,
- Ben me voilà, j'ai beaucoup pensé á
Je t'arrête, tu n'es pas là pour me raconter ta vie, va dans la salle de bain, un bain t'y attends.
- Tu es plutôt rapide comme
- Tu y vas et tu ne dis plus un mot. Je te veux propre, je vais m'occuper de toi.
J'arrive dans la salle de bain mais il n'y a que très peu d'eau dans le bain. Bref je me déshabille et entre dans l'eau. D'un coup il entre dans la salle de bain nu comme un vert, baraqué comme je l'avais imaginé, sexe déjà bandé et entre dans la baignoire, s'assoie en face de moi en me disant :
- Fais-moi une place. Place toi en face de moi, met les jambes de chaque cotés de la baignoire et repose toi en arrière sur tes coudes. Voilà très bien. Maintenant décontracte toi tu vas jouir comme une bonne salope. Tu n'imagines même pas comment tu vas aimer et á quel point tu vas en redemander.
- Je suis vierge, arrête, je n'ai jamais
- fermes la ou je t'encule sans te préparer, ce qui arrivera bien assez tôt crois moi.
Il me mit un doigt dans le cul avec du savon, á ma grande surprise il glissait tout seul dans mon trou du cul. Puis deux doigts, déjà moins facile á encaisser.
- tu es toute serrée toi petite chienne en chaleur, je ne sais pas si tu commences à aimer mais ton cul deviens tout chaud á l'intérieur.
- C'est la première fois
- Ne t'inquiète pas tu vas bien jouir, et tu vas en redemander. Voilà c'est bien relâche toi, voilà c'est bien, j'entre le troisième doigt, oui c'est bien n'essaie pas de résister, ouvre toi bien car ce soir c'est ton soir. Continue, laisse toi aller et pousse pour me faciliter le travail.
D'un coup, une claque s'abat sur ma cuisse, puis une autre, et encore une autre. Il me doigte sans retenu avec trois doigts d'une main tout en me mettant une correction comme si j'avais fait quelque chose de mal de l'autre main.
- Aille, tu me fais mal arrête sil te plait.
- Ferme la, et encaisse, tu vas en redemander tu vas voir. Tu sens ton trou du cul s'ouvrir huumm, t'es une bonne grosse salope toi j'en étais sur dés la première fois que je t'ai vu. Oui c'est ca ouvre moi bien ton cul salope.
- Humm oui vas y enfonce toi en moi, je commence à aimer cela, oui c'est bon, quel expert tu es, humm oui vas y continue, encore hummm je deviens fou, oui encore oui, s'il te plait t'arrete paaaaasssss, houuu arrreetttttteeeeeeee haaaa nonnnnnn encorrrrrreeeeeeee ouiiii ,
- Tu vois salope, tu aimes, tu en redemandes !
- Oui vas y encore, huummmmm haaaaa nnonnnn ouuiiiii arreettttttteeee nnnnoonnn continuuuueeeeee
- Vas y salope la nuit ne fais que commencer. Jouit comme une chienne encore.
- Tu veux que je jouisse encore alors baise moi encore avec tes doigts mon amour. Oui c'est ca enfonce toi encore en moi ouiiiiiiiiii haannnnnnnnn aaaarrreeeeettttttttteeeee passssss continue, c'est trop bon j'en peux plus je jouiiiiiii nnonnnnnnhhaaaaannnn
- c'est bien salope, cri ton bonheur.
- Arrête, laisse-moi reprendre mon souffle sil te plait. Hhoouuuuu que c'est bon. Je dois me redresser j'ai mal au coude et au cul mais j'ai jamais joui comme cela.
- Ho mais ce nest pas fini. Met toi à genoux et (tout en ce relevant), et mange moi la bite salope. Allez, bouge ton cul de salope !
- Mais j'ai jamais fais cela je ne sais pas faire ca.
- Ferme la encore et (en me prenant la tête) ouvre la bouche j'ai dis. Voilà c'est ca, laisse entrer mon engin va s'y pompe moi bien, aspire encore, aspire plus fort, voilà c'est bien tu vois que tu es fait pour être une salope. Et vu la vitesse à la quelle tu apprends, tu es une grosse salope qui s'ignore. Vas y suce ton maitre encore plus profondément encore. J'ai un énorme surprise pour toi dans la chambre tout à l'heure.
Tout ce qui sortait de ma bouche était des hhmmmm et des bruits de sussions. Il me baisait maintenant la bouche avec sa longue bite de bien 24 cm mais pas trop épaisse comme je m'en doutais. Mon esprit tilta sur cette fameuse surprise qui m'attendait dans sa chambre. Encore un truc de pervers, mais sans me faire plus de tracas je continue á le pomper du mieux que je pouvais.
- Oui vas y pompe, vas y salive bien, t'es une bonne baveuse, hhuummmm oui vas y branle moi en même temps que tu ne pompes la bite. Haannnnnn ouuuuiiiii . Ha salope mets toi en levrette, je bande comme un fou.
- Heu écoute des doigts c'est une chose (tout en prenant la position demandée) mais ton engin j'en suis pas sur que
..
Sans crier garde il se mit à me fesser l'arrière train du tonnerre, tantôt avec ses deux mains tantôt avec une seul en doigtant de l'autre. Je me sentais comme une chose entre ses mains et cela me plaisait. Il continua comme cela un petit moment et quand la douleur s'atténua, il posa le gland de son sexe me prit les cheveux à deux mains en me les tirant très fort pour me faire cambrer au maximum me disait il et commença á entrer en moi centimètres par centimètres. Je me suis agrippé comme j'ai pu à la baignoire mais j'étais à sa merci. Il est entré en moi comme il l'a souhaité et moi j'étais devenue son objet.
- Voila salope, tu la sens ma bite dans ton cul hein, voilà laisse toi aller, laisse moi prendre possession de mes cartiers, humm oui relâche toi, c'est bien, tiens salope prend moi en toi.
- C'est impossibleeeeeee, elle est entrée en moiiii hhein heinmmmmm, oui vas y continue encore je ne sais pas comment tu as fait mais continue ouiiiiiiiioi encoreeee, je deviens fouuu, claque moi le cul, mets moi encore une bonne fessée ohhhhhhuuummumumumm
- Tiens salope tu en redemandes voilà pour toi,
- heinnn ouii encoreeee je sens ta bite entrer et sortir de mon cul, je suis ta salope, ta pute, tu me possède et je ne sais pas comment te dire nonnnnonnonononon hein hein hein encore ouii c'est trop boonnnnnn !
Il me pilonna comme une chienne sans retenue pendant de longues très longues minutes. Sortant sa bite de mon trou il me dit :
Tu es assez ouverte pour ton cadeau tu te souviens que je t'avais promis un cadeau
Oui tout ce que tu veux mais pourvu que tu replonges dans mon cul de salope
Là il me replongea sa longue bite dans le cul et me souleva je ne sais comment, plaçant sa tête sous mon bras, et n'emmena dans sa chambre et là
.......................... un autre homme d'âge mur également nous attendait.
Je te présente marc il va se joindre á nous !
A suivre
Bisous n'hésitez pas à m'écrire
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