Mon Cou Picote
Mon cou picote
tellement je l'étire et le penche en arrière. Assise sur l'accoudoir du canapé, lui il est debout, au-dessus de moi, me transperçant de son regard sombre et conquérant. Je le fixe
figée sur sa bouche bien dessinée. Elle s'entrouvre sur des dents blanches acérées, se clôt fermement à en blanchir. Puis elle s'agrandit avec un sourire de puissance, mais surtout elle parle avec douceur, rondeur et... certitude ! Un sourire carnassier avec des dents de loup !
" Alors ! " s'éclaffe-t-il, en relevant une mèche brune sur son index.
" Quoi ? Que voulez-vous ? Il n'y a pas 150 solutions ! " Rétorque-je, intérieurement fébrile " 1ère solution : Tout oublier ! La 2ème : Me balancer chez les flics ! "
" Il y en a une 3ème
" Articule-t-il, en enlevant précipitamment mes lunettes d'une main tandis que l'autre s'agrippe à mes cheveux roux les tirant durement en arrière en bloquant ma tête.
" Je n'ai pas d'argent ! " réplique-je avec un regard provocateur une lueur vive et brillante dans la pupille.
" Ah
Ah ! Je veux autre chose ! Et de suite ! " murmure-t-il en frôlant mon visage. Sa bouche charnue et humide effleure la mienne plusieurs fois. Son bout de langue chatouille mes lèvres cherchant un passage. Il me mord et s'engouffre en force dans ma bouche. Sa main enserre plus fort ma chevelure. Impossible de bouger la tête dun millimètre.
A mi-chemin entre le fauteuil et l'homme, en déséquilibre arrière, j'essaye de me débattre en vain. Me basculant sur le canapé et après une courte échafaudée, il s'écrase sur moi m'empêchant tous mouvements. Je me retrouve les poings liés par le foulard appartenant à son cou. Je suis à sa merci...
Ses mains descendent, longeant mon visage et mon cou. Elles caressent maintenant mes seins à travers ma chemise de soie avec une telle possession, s'arrêtant sur mes tétons et les pinçant. Le gonflement de ma poitrine, ma respiration saccadée et mon souffle fort ne gênent en rien les actions de l'homme.
" Non, laaiiiissez-moi
noooonnn ! S'il vous plaîîîîît ! "
Il enlève prestement les premiers boutons de mon corsage, sa main pénètre dans mon décolleté et s'abat sur mon sein, le pétrissant.
" Non ? S'il vooooouuuus plaît
Ah ! Mais ouuuiiii ça me plaît à moi
et pas qu'à moi !... tes bouts pointent et sont tous durs ! Et t'aime pas ? ! Je vais te faire crier et tu seras entièrement à moi ! " Ironise-t-il en étirant le bout de sein et le faisant roulotter entre le pouce et l'index.
Mon cerveau a de plus en plus de mal à réfléchir. Un afflux de sang chaud envahit et progresse dans mon corps, j'ai des difficultés à le maîtriser, il se répand
déjà mes tétons sont bouillants et très fermes, fortement excités sans mon consentement. Notre rapport de force laisse des séquelles sexuelles !
Sa main droite glisse sur ma jupe, appuyant légèrement au passage sur mon sexe, je gesticule, serrant fortement mes cuisses. Mon corps sarque, tressaille.
" Non, laaiiiissez-moi
noooonnn ! Je vous en priiiiie ! "
De ses deux mains puissantes, il englobe mes genoux et malgré mes efforts, il les écarte avec facilité. Mon intimité est grande ouverte, à peine caché par le mince slip de soie, offerte à cet homme que je déteste. Cet homme qui me soumet. Moi l'indépendante, la dominante
mais qui attise mes sens à m'en faire perdre la tête et mes repères.
" Non ? Je vous en priiiiie
" suppliais-je.
" Ha ! Ha ! Ha !... Merciiii, m'zelle de m'en priiier !... C'est avec bonheur que je me fais... me priiier pour jouer à ma convenance avec cette belle chatte ! Quelle vue ! Si tu savais tous les hommes qui aimeraient avoir à leur portée une femme pour la faire crier
en faire ce qu'ils veulent sexuellement pour les plaisirs des deux ! " Rit-il en accentuant la pression sur mes genoux ce qui a eu pour but de faire remonter mon fessier et doffrir un angle plus important.
Je suis dans des affres de désirs. Mes sens s'embrouillent. Mes tempes résonnent dans mon cerveau. Mon sang bouillonne. Mon esprit est lâche. Je me sens perdue et euphorique en même temps. Un NON crie dans mes oreilles alors que l'homme accélère ses mouvements, devenant de plus en plus joueur avec une assurance carnassière. Ses paroles écrasent par moment mes NON. Jaimerais me boucher les oreilles, ne plus entendre...
" Mais... Ma salope... T'es trempée ! Ha ! Ha ! Tu dis NOOON, mais avoues que t'aimes ! Tu m'appartiens !
Tu es à moi parce que je te ferai jouir à plus soif... à chaque instant de ta vie ! "
Cet homme
ce dieu du désir
cest mon mari depuis 25 ans
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