Je Fais Le Ménage À Domicile.
Par ce beau jour de mai, je faisais la vaisselle torse nu, devant la fenêtre de la cuisine grande ouverte. Elle donne sur une cour assez vaste, entourée d'autres immeubles. J'adore le calme ensoleillé de cette cour à l'heure de la sieste.
À un moment, je remarque quelque chose d'insolite : à une fenêtre de l'immeuble d'en face, plus haute de deux-trois étages par rapport à la mienne, un type est en train de laver ses carreaux. Mais voilà : il est totalement à poil ! Bien que ce soit assez loin, je distingue très bien son sexe qui pend. Il faut dire qu'il doit être sur un petit tabouret ou quelque chose : on dirait qu'il fait tout pour que je le voie !
Il a vu que je le regarde ; je continue de laver mes assiettes. En fait j'ai fini, mais je prolonge la chose en tournant indéfiniment l'éponge sur la dernière assiette tout en le regardant. Il est âgé : la soixantaine. Il a des poils grisonnants sur le torse et son ventre qui ballonne.
Il s'éloigne de la fenêtre et revient avec un téléphone sans fil à la main. Avec son chiffon blanc dans l'autre main, il dessine des grands chiffres sur la vitre qu'il nettoyait. Je vais à mon tour chercher mon téléphone et je reviens un peu troublé. Il recommence à tracer des chiffres : 0
3
8
7
En composant le numéro, j'ai les doigts tout froids et qui tremblent un peu. Il décroche aussitôt :
Dis donc, petite salope, t'es bien chaude, toi, on dirait
J'ai la voix qui s'étrangle un peu, et je réponds faiblement et la bouche sèche :
J'ai envie de me faire baiser
Lave-toi le cul et ramène-toi, petite salope.
Il me dit son code, son nom, son étage. J'enfile un T-shirt, je prends des capotes et du gel et j'y vais.
Il m'accueille en short. Il me fait aller dans la cuisine.
Fous-toi à poil, et fais ma vaisselle : moi, je vais te regarder.
Je me déshabille lentement pour compenser ma maladresse, car je suis complètement troublé, et je bande comme un fou.
Il ramasse mon boxer noir par terre, le renifle. Je me retourne pour voir. Il me fait « ts ! ts ! ts ! » qui veut dire « non ». Je me replonge dans ma vaisselle. Il s'approche de moi par derrière et me passe mon boxer sur la tête en faisant une sorte de nud dans l'élastique derrière pour le faire tenir. Je ne distingue plus que vaguement ce que je fais à travers le tissu noir. J'ouvre la bouche pour respirer car il l'a laissée libre. Par contre, j'ai le nez, dans le tissu : j'ai l'odeur de ma sueur et de ma bite qui l'imprègne.
Il doit être en trains de me regarder et de se
Il marmonne des trucs :
T'as de beaux abdos
Je vais te sodomiser. Oui, continue la vaisselle salope. Nettoie bien. Penche-toi un peu
Ça te fait bander, hein ? Tu vas te faire sodomiser très, très longuement
Les yeux bandés par mon boxer, je me donne du mal pour finir la vaisselle correctement. Il salue mes efforts en disant :
oui, c'est bien
oui
Il est maintenant derrière moi, la main sur mon épaule : il me tient assez fermement. Il passe la paume de son autre main entre mes jambes, me caressant lentement l'intérieur des cuisses. Des fois, je sens son gland tendu passer à quelques millimètres de ma peau.
Quand j'ai fini de rincer la vaisselle, il me fait poser les avant-bras au fond de l'évier encore plein de l'eau chaude, et me tenant toujours fermement par l'épaule, il me fait prendre la position voulue : je m'appuie sur mes coudes au fond de l'évier, les avant-bras dans l'eau chaude, et les jambes bien écartées.
Il me lâche l'épaule un instant : je l'entends mettre une capote. Il me met une coulée de gel dans la raie, et sans plus attendre, me pénètre, allant directement au fond. Je pousse un grand soupir de surprise et de volupté.
Il commence son mouvement ample et résolu dans mon cul qui me submerge de plaisir.
Il me baise comme on monte un cheval : il me tient l'épaule bien ferme de sa main gauche, et de sa main droite surveille et rectifie ma position : en me ramenant un peu le bassin en arrière, en me tirant la cuisse plus contre la sienne, ou encore en m'appuyant sur la tête pour me forcer à la garder baissée
Et tout ça en me bourrant le cul à un rythme régulier, venant à chaque assaut coller ses aines lourdement contre mes fesses, pour faire pénétrer son gland le plus loin possible.
Il a fini par jouir longuement, en soupirant de façon totalement impudique. Puis il s'est retiré et m'a laissé m'affaler, les jambes tremblantes et ankylosées.
Je suis revenu plusieurs fois chez lui : il m'a fait passer la serpillière à 4 pattes, récurer la baignoire
Et à chaque fois il m'a lourdement enculé.
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