L'Appel De Lesbos

Je me réveille en transpiration près d'une femme que je ne connais même pas. Je me lève un peu pour la voir : elle est belle, sa poitrine aplatie pas sa position me semble un peu petite. Je lève les draps pour la voir en entier: elle a un corps magnifique. Son pubis, avec son ticket de métro est attirant, au moins pour un homme. Comment se fait-il que je dorme à ses cotés.
Elle se réveille, me prend entre ses bras en m'embrasse sur la bouche : sa langue va contre le mienne, je me laisse faire.
- Comment vas-tu ce matin ?
- Bien et toi ?
Je ne trouve que ça lui répondre.
- Nous avons bien baisé cette nuit, tu te souviens ?
A vrai dire je ne me souviens de rien sinon que la veille j'étais venue pour participer à une méga partouze pour lui faire plaisir. Que répondre ?
- Nous je n'ai aucun souvenir !
- Comment ? C'est bien toi qui es venue me chercher pour faire l'amour comme j'aime.
- C'est fort possible.
Elle doit me prendre pour une folle. J'ai du baiser avec elle. Pourtant je n'aime pas particulièrement les femmes. Je préfère et de loin les hommes.
Elle m'embrasse encore. Je ne sais comment je fais pour accepter son baiser : cette fois ma langue participe. Le plus fort est qu'elle m'excite. Elle continue en me caressant un sein, en le suçant un peu, je suis de plus en plus excitée. Elle se couche sur moi, j'écarte les jambes comme si elle avait une bite pour baiser. Elle vient simplement caresser ses seins contre les miens et son pubis contre le mien. Elle sent que je mouille de plus en plus. Elle met une main sur mon intimité, ne cherche pas longtemps, me caresse le bouton. Je la laisse faire. C'est pour moi une découverte de sentir une main de femme sur ma moule. En tout cas elle sait bien me branler puisque je jouis facilement. Elle m'enjambe pour poser sa tête sur mes cuisses, elle les écarte, pose sa langue dans ma fente et cherche tous les endroits d'où je peux jouir.

Elle embrasse mon cul avant d'y mettre sa langue. Elle l'y enfonce légèrement j'aime bien quand mon mec le fait, alors avec elle c'est une forme plus douce et aussi efficace pour que je jouisse encore. Elle pose enfin sa langue sur mon clitoris. Je ne sais trop se qu'elle me fait, en tout cas c'est différent qu'avec mon ami: elle me suce bien mieux. Je jouis encore.
Elle pose son sexe sur ma bouche, me dit "suces moi". Je ne me souviens pas avoir sucé une seule fois une fille. Pourtant je sors bien ma langue et sans trop chercher je lui lèche la cramouille de haut en bas. Je la sens jouir.
Pas possible : je ne me souviens de rien.
Elle se lève, me tend la main, je me lève et la suis dans un appartement que je connais bien : celui dans lequel je suis venue hier au soir. Nues nous allons vers une cuisine où personne n'est là: elle fait un café fort pour nous réveiller complètement.
- Comment nous avons fait connaissance ?
- Ben, hier au soir quand je t'ai invité à danser. Tu n'as pas dit non. Je n'avais jamais baisé de fille et tu m'as montré comment faire. J'ai aimé, on a été se coucher ensemble pour baiser tranquilles et nous nous sommes endormies.
- Je ne me souviens de rien.
- Pourtant je t'assure que c'est ainsi que nous nous sommes baisées.
Si elle le dit c'est que c'est vrai. Elle rajoute:
- C'est ton ami qui t'a dit de venir avec moi, parce que je te plaisais.
Enfin la mémoire me revient; nous venions de baiser à trois: j'étais entre deux hommes, un qui me baisait, un autre qui m'enculait. Nous étions debout. Je menais la danse à mon rythme. Je jouissais. Mon ami, près de moi se payait une fille grande et bien foutue. Il jouissait aussi quand il me montrait une fille seule qui se branlait en regardant les autres s'envoyer en l'air. J'allais vers elle quand elle se levait me prenait dans ses bras pour une danse plutôt osée entre filles. Je me souviens maintenant que je l'ai embrassée avant de lui caresser les seins et les fesses.
Nous nous allions ensemble vers un coin plus tranquille pour nous branler avant que je lui prenne le clitoris dans la bouche. Elle me rendait la pareille: c'est pourquoi pour pouvoir continuer seules nous nous sommes couchées dans la chambre. Je ne sais où est passé mon type. Enfin je comprends: j'ai bue je ne sais quoi qui m'a fait faire n'importe quoi.
Elle me dit qu'elle n'a personne dans sa vie, que sa main et un gode pour jouir. Je lui demande si elle aime les hommes: elle ne baise qu'avec eux.
Pourtant la veille, ni elle ni moi n'avions eu d'attirance pour les femmes. Tout en parlant nous sommes très près l'une de l'autre. Malgré nous, nous ne pouvons nous empêcher de caresser le corps de l'autre. A croire que nous sommes de parfaites lesbiennes. Nous nous embrassons encore. Elle a envie de moi: elle prend ma main la pose sur son pubis, prend la mienne et le fourre carrément entre ses jambes. Je mets deux doigts dans sa grotte, la doigte un moment. J'arrive à poser mon pouce sur son bouton. Je la fais jouir ainsi. Elle en veut plus:
- Mets-moi deux doigts dans le cul, j'aime beaucoup la sodomie.
- Je veux bien, à condition que tu m'en fasses autant.
- Avec deux doigts ?
- Non avec trois au début et quatre à la fin.
Nous voila à nouveau couché, les culs offerts aux doigts de l'autre. Faute de queue nous nous enculons ainsi. Le plaisir est arrive bien moins vite qu’avec une bite. Nous nous apercevons que nous aimons les mêmes choses.
Le temps passe vite: nous nous habillons, en cherchant partout dans la maison nos affaires. Je l'emmène chez moi, où je retrouve mon amoureux; Il se demandait où j'étais passée. Me voyant avec cette fille, il se souvient que j'étais avec elle. Il me demande si j'ai bien baisé avec elle.
- Bien sur, j'ai jouis et je l'ai faite jouir;
- Tu recommencerais encore avec elle.
- Bien sur. Elle est là pour ça.
- On baisera tous les trois.
- Ça dépend d'elle.
Je lui demande: bien sur qu'elle est d'accord, à condition qu'il l'encule avant tout.

Je le vois changer de visage: il la regarde avec intérêt. Il a bien baise d'autres filles cette nuit. Et là ce matin encore il peut farcir le cul d'une autre. Il se lève en bandant, c'est assez visible. Il la déshabille, se met égalent nu. Nous pouvons voir que sa queue est bien raide. Il va la lui mettre au cul en la faisant jouir comme elle veut. Je veux moi aussi ma part de jouissance. Je me dévêts entièrement.
Avec un rien de brutalité il pose sa queue sur l'anus de mon amante. Je peux m'interpose et lui mouillant le cul avec ma cyprine. Elle est en levrette les fesses bien ouverte. Je sais, pour lui avoir branlé le cul qu'elle se détend beaucoup. Il la lui met facilement:
- C'est mieux une bite que tes doigts, me dit-elle.
- Ça reste à voir: je vais te sucer en même temps et tu m'en diras des nouvelles.
Je me mets sous elle, je passe ma tête entre ses jambes, mon front touche les couilles de mon amant: je prend son clitoris, le suce longuement. Je peux bien voir la pine de mon mec rentrer et sortir du cul. Je me branle avant qu'elle baisse sa tête pour venir sur mon con pour le lécher, comme elle sait si bien le faire.
Il jouit dans le cul et en sort. Nous restons les deux femmes avec encore une envie de nous baiser devant ou sans lui. Nous sommes en 69. Nos langues s'agitent beaucoup. Nos mains sont dans les culs. Nous arrivons à jouir je ne sais combien de fois.
Enfin nous terminons pour un moment. Elle me demande de l'accompagner chez elle, aller retour, pour prendre son godemiché. Nous nous habillons sommairement: un simple imper fait l'affaire. Dans le taxi nous échangeons nos impressions de baises. Le chauffeur nous écoutent attentivement. Il nous propose la course gratuite si nous le laissions baiser avec nous. Après notre refus, il nous emmène enfin à destination. Nous rentrons en coup de vent chez elle prendre l'objet. Nous reprenons un taxi conduit par une femme. Malgré ça mon amante montre son gode en m'expliquant comment elle se branle avec.
C'est un de ses nouveaux rabbits qui caressent à peut près partout où une femme le désire la femme chauffeur écoute attentivement. Sa main droite disparaît sous sa jupe. Mon amie demande si elle se branle : dans ce cas, elle peut nous remmener là où elle nous a chargés, poux que nous baisions à trois. Je remarque le visage illuminé de cette femme. Elle fait demi-tour. Nous sommes dans l'appartement de mon amante. Nous l'embrassons. Elle ne se dérobe pas: elle nous caresse aussitôt les seins. Nous sommes nues très vite pressées de baiser.
Elle prend la direction des opérations: elle sait comment faire jouir les filles: elle n'aime pas tellement les hommes. Il n'empêche qu'elle sait fort bien se servir du gode. Elle branle mon amie se baise avec le gode mis en route et me suce. Nous jouissons toutes. Elle veut maintenant une langue sur son clitoris: il est très long, comme une petite pine. Je le prends dans la bouche, je suce et le lèche. Mon amie elle lui met le gode dans le cul. Elle nous laisse la baiser en disant des mots orduriers sur elles et nous: putains, salopes garces. Encore plus profond, oui suces moi encore, allez vous faire mettre etc.
Nous étions parties pour une heure. Nous revenons 3 heures plus tard avec une autre femme à notre tableau de chasse. Nous décidons désormais que nous ne baiserions avec un homme que de temps en temps, juste pour avoir du sperme dans la bouche et qu le reste du temps, nous lèverions le max de filles à baiser.
Mon ami est étonné de nos revirements brutaux : de femmes " normales" nous devenons chasseresses de fille. Nous lui permettons avant qu'il me quitte définitivement de recevoir une fellation double. Nous partageons son sperme. Quand nous en voudrons encore nous ferons appel à lui.
Nous voilà maintenant passé dans le camp opposé. Contrairement à nos craintes il est facile de trouver des filles qui de temps en temps aiment bien s'offrir à une autre fille. Presque tous les jours nous avons au moins une nouvelle fille à baiser. Quand elles savent que nous seront deux à les faire jouir, elles sont toujours d'accord, même et surtout les femmes mariées qui pour tromper leur désœuvrement préfèrent fréquenter les même lieux que nous: les pâtisseries ou les matinées dansantes.
Depuis deux ans que nous sommes presque lesbiennes, nous prenons goût à lever les femmes, mariées ou non.

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